Le blog de Madame. S journal intime d'une Dominatrice

« Il n'y a qu'à la souffrance qu'on ne ment pas » Jean GIONO. Bonne réflexion…
Mar 24 sep 2013 14 commentaires
Oh les vilains et vilaines fifilles, elles vont ramasser une bonne fessée c'est tout ce qu'elles méritent, sur le deuxième dessin, "Vénus à la fourrure" s'y emploie très méchamment Hummmmmmmm
sainte ange - le 25/09/2013 à 08h29

Et oui ils ne méritent que cela ! Une bonne fessée et pourquoi pas ajouter une petite série de claques !! Hummmmm....

Madame. S
De très belles photos accompagnent cette citation...Je pense que plus d'un soumis aimerait être ainsi sur vos genoux tout offert à vos sévices...et l'on peut effectivement dire dans ce cas qu'il serait très difficile de mentir à la souffrance infligé par des coups d'une brosse à cheveux sur nos fesses où d'un fouet faisant chauffer nos fesses...mais avec la bouche bailloné on peut plus où moins mentir à la souffrance :).
SJ - le 25/09/2013 à 15h16

Avec un baillon, tu ne peux qu'accepter la sentance de ta Divine et souffrir pour elle en silence...

Madame. S
de quoi mediter pour la journée moi qui soufre en silence toute les nuit la queue coincée dans la cage ....mais pour quoi , pour quoi a t il fallu que ma femme m oblige "lol quoi qu 'elle n a pas du forcer trop " a la remette
amitié yanode
yanode - le 26/09/2013 à 07h10

Je pense qu'effectivement, elle n'a pas du trop te forcer, car au final, tu aimes lui appartenir et lui obéir, par amour et complicité....

Madame. S
La souffrance, vous en connaissez un rayon.
Et pour vous, elle est subie, ce qui est le pire.
Car pour nous autres masos, la souffrance physique est une quete qui peut nous amener au plaisir, espérant surtout qu'il soit partagé par le bourreau.
Je ne pense pas que Giono connaissait des hurluberlus comme moi qui recherchent la souffrance pour l'offrir à son dominant.
Ce qui est certain en tous cas, c'est qu'il convient de ne pas mélanger souffrance physique et souffrance morale. J'ai reçu une fessée mémorable hier soir, à la main, au martinet puis à la cane anglaise, par une rencontre d'un soir. Cela fut jouissif pour moi, et tellement réconfortant au regard de la souffrance que je ressens encore parfois en me remémorant le jour où ma Maitresse m'a jeté!
titou - le 02/10/2013 à 23h26

Merci de souligner que de mon côté, je subie celle-ci. Je n'aime pas en parler et "ennuyer" mes lecteurs avec ce sujet, mais il est vrai qu'il est bien de le rappeler à ceux qui me sont fidéles. Et effectivement, quand la douleur est subie, seule et presque en silence, elle est difficile à accepter...

Voilà toute la différence avec une personne qui attend la punition et la douleur. Qui la réclame et la vit avec bonheur...

Et les hurluberlus comme toi, il devrait y en avoir plus, car ta sincérité ne fait plus un doute surtout sur ta soumission.

Merci titou pour tes mots, souvent très justes et agréables envers ma personne.

Madame. S