Le blog de Madame. S journal intime d'une Dominatrice
Majestueuse
perchée sur ses talons, ce doux visage d'ange.
Avec grâce et élégance, elle saura vous apporter mille plaisirs.
Dévotion,
fidélité, dévouement .... A tout jamais je veux vous servir !
A vos
pieds, je souhaite m'épanouir. N'est –ce pas là, étrange ?
Merci à vous
pour ces merveilleux souvenirs, ces moments de complicité.
Et c'est entre
vos mains que je veux m'abondonner pour ne rien regretter.
Sauriez-vous
devenir ma fée pour que ce rêve devienne réalité ?
Calina
Tu manques d’air !? Mais non, Madame.S sait doser quand elle étouffe avec ses jambes !!
Voilà des mots d’une logique implacable, qui pourtant est souvent peu appliquée. Il faut choyer l’être aimé et en prendre soin, surtout dans le temps…
Quel merveilleux choix d'illustration :cet étau qui se compresse inexorablement sur nous : pauvres soumis(e)s à votre dévotion
Godeline en apnée
Elle serre, de plus en plus et enserre le soumis, abandonné…
Superbe dessin également.
Mille tendres bisous, chère amie !
Je crois que la motivation et l’envie sont bien là. Reste à savoir si le reste suivra… Sourires… J’aime beaucoup moi aussi le dessin. Bisous à vous.
Bonne journée
Je suis heureuse que cela inspire Madame Saint Ange !! Tout comme moi !
Aucune peur de manquer d'oxygène si l'on se retrouve prisonnier de la sorte par votre corps... Une telle Déesse sait nourrir ses esclaves de sa seule présence... La seule peur serait de manquer de vous une fois libéré...
De son joli mot de votre soumise, il est difficile d'égaler avec des mots votre ineffable beauté...
Fidèlement votre.
Alexandra
J’aime savoir que le pouvoir est entre mes mains et que je peux décider, à chaque instant, de la suite à donner au moment que je partage…
Elle reflète bien votre grandeur et l'emprise que vous avez sur vos soumis.... j'en rêve déjà !
Agenouillée aux pieds de sa Divine, totallement immobilisée par l'étau se resserant au gré de vos envies, je m'abandonne à votre bon vouloir, excitée par les effluves de ce corps inaccesible.
Si je pouvais choisir ma mort future, nul doute que ce serait sous l'etouffement de vos delicieuses cuisses
De doux rêves, à atteindre, qui sait, un jour… Peut-être, ou pas… Petite Calina qui espére…
Très belle prose en Votre Honneur.
aaron
Tant pis pour le jouet
SLRN304-791-946