Le blog de Madame. S journal intime d'une Dominatrice

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Aline a terriblement envie de se faire tirer encore plus fort ses tétons.

Elle doit souffrir pour honorer sa Divine Domina et se présenter à Elle les tétons dressés !

Mar 19 avr 2016 6 commentaires
c'est bien aline brave petite soumise
albin - le 19/04/2016 à 07h40

Aline a encore beaucoup à apprendre mais elle est volontaire…

Madame. S
Bonjour madame,
OHHHHHHHHHHH , déjà essayé çà je n'arrive pas a le faire seins trop petits.......
Mais les pinces tiennent bien oui le travail des tits c'est TROP BON
SLRN304-791-946
SLRN 304-791-946 - le 19/04/2016 à 09h03

Il faut les travailler et les tirer, encore et encore, toujours plus fort !!

Madame. S
Waouh !
Souffrance absolue
Jouissance infinie
pour le plaisir de
Divine Domina !
Merci à elle
Aline aux anges
Aline - le 19/04/2016 à 12h38

La jouissance que nous partageons est forte et il est vrai qu’Aline m’apporte joie et cruauté !! ;-)

Madame. S
Maîtresse,
Décidément nombreux sont les soumis qui croient en Votre Parole, c'est très beau et cela doit faire mal.
aaron
aaron - le 21/04/2016 à 23h26

J’aime guider les soumis sur le chemin de la douleur et je les accompagne pour y arriver sereinement…

Madame. S
La magie d'avoir des tétons dressés ainsi .Aline a une poitrine très féminine avec ses tétons très travaillés par les ligatures et les étirements .ses seins gonflés l'a font de plus en plus ....Femme
Godeline - le 22/04/2016 à 14h58
Ces images me rappellent de bien mauvais souvenirs, de très anciens souvenirs lyonnais. Un couples de dominants, surtout lui. Il avait une petite chaîne avec des pinces à tétons. Les pinces mordaient cruellement les bouts de seins. La chaîne était courte mais lourde, son simple poids tirait sur les tetons endoloris. Mais il fallait ensuite mettre la chaîne dans la bouche. Et le simple fait de lever la tête tirait abominablement sur les seins. Il m'à fait pleurer devant des amis à lui en me faisant simplement prendre la chaîne dans la bouche et lever la tête pour regarder l'auditoire. Il prenait ensuite la cravache pour faire tomber la chaîne, m'arrachant un premier cri avant qu'il ne vienne appuyer sur les tetons enfin libérés, ce qui me m obligeait à ravaler un hurlement de douleur. Cruauté, mais nostalgie.
Titou - le 02/05/2016 à 23h21

Ah ces instants dont on se souvient et qui nous rendent nostalgiques ; On ne peut revenir en arrière. Alors avançons et continuons ensemble ce beau chemin… Et un soumis qui pleure est magnifique…

Madame. S