Le blog de Madame. S journal intime d'une Dominatrice

 

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Découvrez une soirée de Titou, il y a quelques années, moment qu’il souhaite partager avec mes lecteurs ;

A lire sans modération ! ;-)

 

Je viens de passer une semaine de congés en Auvergne, et j’ai trouvé le temps long sans ma Maitresse.

Malgré un planning, chargé, je me suis débrouillé pour me rendre disponible ce soir. Nous avons rendez-vous au 69 bis, et je suis comme toujours impatient de retrouver Maitresse Olivia et Madame Isis.

Début de soirée ; J’arrive au 69 bis de bonne heure, j’étais trop impatient pour attendre plus longtemps. Je suis un peu chargé, avec mon sac à dos qui contient mes affaires (je dors au 69 bis cette nuit), mon cartable, et quelques cadeaux. Maitresse Olivia adore le fromage, alors je lui apporté du fromage d’auvergne, un saucisson et une bouteille de vin d’auvergne.

Je pose mes sacs précipitamment, avant d’aller baiser les pieds de ma Maitresse, comme il se doit.

Arrivé un peu tôt, ni Maitresse Olivia, ni Madame Isis ne sont prêtes, et nous nous habillons de concert, en discutant autours de soumis qui doivent se joindre à nous.

Maitresse Olivia revêt une magnifique robe longue, noire, en cuir, qui augmente encore, s’il en était besoin, sa majesté. Qu’elle est belle, quand elle est dans sa tenue de dominatrice !

 

Ma Maitresse et moi-même changeons de place la table du 69 bis, afin d’installer la cage. La table est bien lourde à transporter, et cela me donne l’occasion de faire une remarque à Madame Isis.

J’aurais mieux fait de ma taire, car ma Maitresse décide de me corriger pour ce manque de respect. Après un léger échauffement de mes fesses, je reçois 5 coups de la cravache appelée « la saloperie », puis 5 nouveaux coups plus appuyés car je n’ai pas remercié Maitresse Olivia assez vite.

Merci Maitresse Olivia pour cette marque d’attention, et ces marques sur les fesses.

Sur les conseils de Maitresse Olivia, j’installe la cage à l’emplacement que nous venons de libérer, et je m’installe à l’intérieur pour 25 minutes, 20 minutes qui correspondent à une des punitions inscrites sur le carnet, et 5 minutes de plus de la part de Madame Isis, pour m’apprendre à parler à tort et à travers.

Au bout de quelques minutes, ma Maitresse installe une couverture sur la cage afin de me placer dans l’obscurité, et vient s’assoir devant. Elle place ses pieds dans une fente de la cage, et j’ai ainsi le bout de ses bottes à portée de langue. Je me précipite évidemment pour lui lécher les bottes, comme la bonne chienne que je tente de devenir. J’adore ce moment, où je suis un bon toutou, avec pour seul objectif de montrer à ma Maitresse combien j’ai besoin, combien j’ai envie de la satisfaire.

Le temps imparti s’étant écoulé, ma Maitresse m’autorise à sortir de la cage, et à me détendre un peu. De son coté, elle va dans la pièce d’à côté, dans laquelle je l’entends bouger des choses, faire du bruit. Je n’ose aller voir et me demande ce qu’elle est en train de préparer.


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Dim 19 jun 2016 4 commentaires
Maîtresse .
De bon matin .
Je lis et relis ce texte avec délectation .titou peut-il nous éclairer sur cette cravache nommé "saloperie ".merci.
Godeline chancelante .
Godeline - le 19/06/2016 à 09h58

Je pense que Titou lira ton commentaire et te répondra sur cette cravache…

Madame. S
OH OH belle cage ..... ce plan a du etre plein de surprise oui la suite
tant qu'a moi je fais faire le récit de ma rencontre et plan de hier sur mon blog
SLRN 304-791-946 - le 19/06/2016 à 11h08

Oui j’ai vu ton blog, j’aime ta façon de nous parler de tes rencontres et autres plans !!

Madame. S
Merci Maîtresse de publier ce récit, cela me permet de le relire et de me remémorer certains détails oubliés de cette soirée, celà me permet de revivre cette période de ma vie au cours de laquelle le BDSM était très présent.
Pour répondre à godeline, la saloperie était une cravache que nous avions qualifié ainsi tant les coups portés avec faisaient souffrir. La cravache était en cuir, la tige n'était absolument pas souple ce qui n'amortissait pas le coup, et la claquette était en cuir très dur.
Je peux dire que les soumises et les soumis qui en avaient tâté la redoutait énormément.
Titou - le 24/06/2016 à 10h34
Maîtresse,
Les petits détails croustillants de la soirée de Titou me rappelle bizarrement une soirée passée en Votre Compagnie et quelques unes de Vos Amies.
aaron
aaron - le 02/07/2016 à 21h23

Et oui, il y a des soirées que l’on ne pourra jamais oublier ! Et celle dont tu parles en fait partie !

Madame. S