Les coups pleuvaient et ne cessaient pas. Madame.S avait décidé de s’en donner à cœur joie et Aaron en redemandait…

Ses gémissements ne me trompaient pas. Aaron supportait ces coups de cravache, sur son dos, le creux de ses reins, sur le haut des épaules, sur les flancs, les fesses…

Partout ! Madame frappait…

Je m’interrompais un instant ! « Tu as mal Aaron !? » « Oh non Maîtresse, c’est délicieux ! ».

Les traces devenaient rouges, bleues… Disparaissaient. Mordaient la peau et étaient si belles.

Aaron qui partait dans un délirium tellement fort, qui l’emportait et il se retrouvait à genoux, recroquevillé sur le pont…

Sans s’en rendre compte, il acceptait la morsure de la cravache et s’abandonnait sans sourciller…

De longues minutes, sans discontinuer.