Mardi 1 novembre 2 01 /11 /Nov 10:34
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Ce fut une séance toute simple, comme je les aime...

Mourir sous ses fesses...

J'étais nu et ne portais qu'une cagoule de coton écru très épais fermée par un jeu de lacet à l'arrière de la tête et qui descendait jusqu'à la base du cou.
 
J'aime que Madame m'attache, mais elle n'aime pas beaucoup cela. Elle n'a pas la patience des noeuds, des cordes que l'on enroule et noue lentement sur le corps de sa victime... Victime qui n'attend que cela, prête à tout pour se retrouver à la merci de sa belle Dame, saucissonnée comme une rosette de Lyon.
J'ai donc apporté à ma Dame une trentaine de sangles de beau cuir fauve épais. De toutes les longueurs, larges de 6 cm.
Si je compte bien, 6 cm fois 30, cela fait 180 cm. 
Lorsque Madame a bouclé l'avant-dernière sangle sur moi, il ne devait rester quasi plus de peau à voir de mon corps. J'étais un gros boudin de cuir fauve. Seule ma tête encagoulée de toile raide émergeait de cet amas de sangles étroitement serrées, des chevilles aux épaules. Je savais à peine respirer. Et c'était bon d'être ainsi à sa merci.
 
Je dois dire un mot de la cagoule.
Elle m'a plu dès que je l'ai vue.
Elle est parfaitement opaque et couvre parfaitement toute la tête. Une pièce de même matière peut s'enlever, permettant de découvrir la bouche et le nez. Au niveau des narines, deux petits boutons métalliques, comme des pressions, peuvent se placer ou s'enlever, laissant apparaître deux oeillets, selon les circonstances, permettant au soumis de respirer plus ou mois difficilement.
Cette pièce de toile était fixée à la cagoule lorsque Madame me l'a mise sur la tête.
 
Il devait rester une sangle courte aux pieds de Madame car elle me l'a serrée autour du cou, juste sous la pomme d'adam, si étroitement que j'ai senti aussitôt une vague de chaleur me monter à la tête.
J'ai senti alors le poids de Madame sur moi.
Elle a marché sur moi.
Sur mon ventre, sur mon torse, sur mes cuisses, sur mes jambes, a écrasé mon sexe caché sous les sangles serrées. Puis Madame a fait rouler sur lui-même le boudin de cuir que j'étais, rouler sur le ventre, rouler sur le dos.
Cela a duré longtempds.
La tête me tournait.
 
Enfin, Madame a ôté la pièce de toile de la cagoule qui cachait ma bouche et mes narines. Elle m'a ouvert les lèvres de ses doigts gantés et y a enfoui une pièce de tissu qui semblait un fin coton. J'ai compris à la saveur du tissu qu'il s'agissait d'une petite culotte de madame.
J'ai senti mon sexe gonfler sous les sangles dès que ma salive mélangée à la culotte longtemps portée a dissout lentement les secrétions absorbées par le coton.

Quel beau cadeau que me fit Madame, ce jour-là, lorsqu'en plus de cette petite culotte dans ma bouche, Madame posa lourdement ses fesses et son con humide sur ma bouche et mon nez qui s'emplit de son odeur intime forte. Ce parfum unique et profond comme celui d'une marée. Je sentais que Madame imprimait à ses hanches un mouvement de rotation légère et mon nez entrait en elle.

Je suffoquais, je l'entendais gémir faiblement. J'avais la bouche et le nez innondés par le jus du con de Madame qui est savoureux. Je ne peux que le comparer à la mer sauvage chargée d'algues et de sel. 

Quelle belle mort, que de mourir dans ces circonstances, ai-je pensé...
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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
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