Aaron ne savait pas ce que sa Maîtresse avait en tête ce matin-là. Après avoir eu l’honneur de déguster son champagne doré, j’ordonnais à Aaron de rester nu et d’aller dans la chambre du fond pour s’allonger sur le lit, ventre à plat. Etonné, il obéit à mon ordre.

Il avait entendu mes allers-retours avec mes sacs, les bruits qui s’ajoutaient sans doute à son angoisse ; Il ne savait rien…

Sur le ventre, il attendait mes instructions. Je lui attachais les poignets et les chevilles avec des bracelets et le tout rassemblé avec cet objet magique qui permets de lui ces membres entre eux et contraindre un soumis. Je le regardais avec un certain plaisir ; Aaron était là, abandonné, à ma merci.

Pour mon bon plaisir, le sien, le nôtre…

Aaron avait sans doute oublié ce que pouvait faire la morsure des pinces que je lui accrochais aux tétons. Ces gémissements ne se firent pas attendre et j’étais contente ! Souffrir pour sa Maîtresse, pour lui prouver qu’on s’abandonne à elle est indispensable. Partager ces instants, ensemble…

Madame.S pouvait alors s’adonner avec plaisir aux joies de la cravache avec un petit embout plat, qui laissait des traces fort jolies sur les cuisses d’Aaron, qui supportait mes supplices matinaux…