Merci Madame,
Merci de m'autoriser à rêver.
Merci de me laisser imaginer ces pieds si bien chaussés s'approcher de moi, les sentir froler mon visage, descendre sur ma bouche.
J'attends votre signal, je sens que je ne vais plus pouvoir controler mes pulsions.
Heureusement vous avez donné votre autorisation, et délicatement je prend cette chaussure et l'embrasse, la leche, en suce le talon. Je me caresse les joues avec votre escarpin. Je voudrais que le temps s'arrete, je vibre, je vais ma lacher.
Quand soudain, vous m'autorisez à retirer cette chaussure si belle,mais néanmoins l'obstacle qui e sépare de votre pied nu..
Et la, je peux lecher à loisir votre si joli pied, l'embrasser, en sucer les orteils un à un.
Je crois que je vais jouir à l'évocation de cet instant. Mais heureusement, vous sifflez la fin de la partie.
Il était temps.

Merci, grand Merci, Madame

Au premier plan les escarpins dans une lumière froide, objets des désirs inapprochables, rendent fébrile notre Aaron, qui, enfin, atteint le nirvana dans cette chaude lumière orangée, le moment est subtil comme le dit si bien le texte et les photos

si Aaron est aux anges que doit il en ètre de sa divine Maitresse ....
amitié Yanode

Surtout ils doivent sentir bon.... car tout neuf.