Mardi 7 août 2 07 /08 /Août 13:25

 

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Récit imaginaire venant de « A » de Belgique.

 

(Attention, ce récit imaginaire est irrévérencieux. Mais c'est si bon de l'imaginer ainsi, comme une offense d'amour à Ma Dame.)

 

Un soir que nous nous étions retrouvés dans cette petite maison nichée au creux de la montagne vosgienne, Madame m'a dit:

- Aujourd'hui, je n'ai pas envie de t'attacher, ni de te fouetter, ni même de te dominer. C'est toi qui va me dominer. J'en ai envie.

Mais dis-toi bien, petite chose, que si je n'y trouve pas le plaisir digne de moi, tu subiras mes foudres et je serai d'autant plus impitoyable que j'aurai été déçue par toi.

Es-tu prêt à relever le défi ? La seule chose que je t'interdis est de me tutoyer.

Et j'ai planté mes yeux sombres dans ses yeux d'eau.

Je l'ai fixée droit dans les yeux.

C'était ma manière d'accepter son défi.

Comme la première fois que nous avions passé ce délicieux week-end dans cette petite maison des Vosges, Madame portait ce pantalon de toile ample et ce chandail noirs qui lui vont si bien.

Je les lui ai fait enlever et pour la première fois, j'ai pu l'admirer entièrement nue. J'ai aimé l'arrondi de son ventre et la toison noire dessous, ses seins ronds, ses hanches galbées, ses cuisses accueillantes. Elle est restée là, les bras le long du corps, les jambes légèrement écartées, impudique et belle à en mourir.

- Montez sur ce fauteuil et asseyez-vous, les reins sur le dossier, ai-je ordonné.

Elle a obéi et j'ai été ébloui par tant de beauté crue, douce obscénité. Sa fente était luisante.

A l'aide d'une corde, j'ai attaché ses poignets aux pieds arrières du fauteuil, ai placé ses genoux écartés de part et d'autres des accoudoirs de velours et ai attaché ses chevilles aux pieds avant du fauteuil. Cette position était inconfortable pour elle, fortement arquée, en équilibre sur le dossier de velours du gros fauteuil trapu, la tête rejetée en arrière. Sa fente luisante m'était offerte comme le nez au milieu du visage. Pour accentuer encore son inconfort et sa contrainte, j'ai entouré son cou de deux tours de corde noués par un nœud bloquant afin qu'elle ne s'étrangle pas, mais suffisamment serré pour lui imposer l'immobilité totale. J'ai attaché cette corde juste tendue à la corde passant d'un pied arrière du fauteuil à l'autre, augmentant quelque peu les tensions des liens.

Puis, mes mains l'on fouillée. Caressé les aréoles de ses seins lourds et les tétons que ma bouche a mordus, que ma langue a léchés avec délectation. Longuement caressé le ventre tendu. Ma joue s'est frottée à son ventre, très doucement et mes lèvres ont embrassé ce ventre.

Après quoi, ma main a abattu sur son ventre puis sur ses seins les neuf lanières d'un fouet de cuir souple. Je l'ai entendue gémir faiblement dès le premier coup. Après cinq ou six coups,  j'ai abandonné le fouet et suis venu vers son visage un peu crispé. J'ai caressé son front lisse. Je l'ai baisé, ce front de Reine. Et j'ai caressé ses paupières fermées. Et le cou tendu, sous les cordes. Mes doigts, humectés par ma langue, ont effleuré sa bouche entrouverte. J'avais une folle envie de l'embrasser. Je savais que je n'y avais pas droit. C'était la manière dont elle me dominait tout en m'offrant son corps abandonné. Lourd paradoxe.

Puis mes doigts ont caressé sa touffe drue, longeant la ligne de ses lèvres rouges, un pouce agaçant son bouton dur alors que deux doigts la pénétraient fermement avec de longs ralentissements relâchés. Et vous m'avez crié :

- Bouffe-moi la chatte, nom de dieu !

J'ai obéi, bien entendu. Me suis agenouillé sur le fauteuil, assis sur les talons, juste à la bonne hauteur pour vous lécher le con et le cul, vous laper la fente et l'anus et agacer ce petit bouton rose qui se dressait entre les poils drus. Je vous entends soupirer fortement. Vos soupirs se mêlent à vos râles. Peut-être avez-vous mal au dos ou aux cuisses...

Je ne comprends pas vos mots étranglés.

Ma langue poursuit son œuvre en vous.

Mon nez vous respire comme il n'a jamais rien respiré…

Votre sève est forte, prenante, enivrante. J'en ai plein la bouche. Je me sens perdu. Vos pieds que j'avais attachés à l'aide de nœuds succincts, je les ai déliés d'un seul geste afin de poser vos jambes sur mes épaules et vos cuisses ont serré ma tête et ma langue a accéléré ses va-et-vient, ma langue qui me fait mal et qui ne peut plus s'arrêter. Nous nous sommes éteints dans un long soupir grave et content. J'ai aussitôt libéré votre cou et vos poignets qui étaient marqués par les cordes et me suis mis à vos genoux, vous effondrée dans le creux du fauteuil. Après vous être ressaisie, vous m'avez dit :

 - Bon, tu ne t'en tire pas trop mal cette fois, tu auras quand même une punition, demain, car je n'ai pas un sentiment d'assouvissement complet. C'était bien, très bien même, mais... incomplet. Donc tu seras puni. Demain.

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
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