Je lui ai demandé de venir cette après-midi-là.

Elle ne savait pas pourquoi je l’avais convoqué.

Je l’entends encore à l’autre bout du téléphone… « Oui Madame, je serais là. Mais… Vous m’avez dit de venir nue sous mon manteau, c’est bien cela ?! »…

« Oui, tu as bien compris, nue et sans rien d’autre… Enfin, si, juste tes chaussures à lacets. Celle qui te font de si jolies jambes gainées de ce fil de cuir…» Lui avais-je répondu un peu sèchement.

Elle est arrivée alors qu’il faisait presque nuit. Il faisait doux mais elle semblait avoir un peu froid, tenant le col de son manteau dans ses mains.

« Bonsoir Madame. Je suis heureuse de vous revoir ».

« Moi aussi. Entre, il fait un peu frais. »

Elle enleva son manteau. Comme convenu, elle ne portait rien.

Je l’ai guidé dans le salon, ou une amie nous attendait. Elle ne savait pas…

« Bonsoir Madame ».

« Bonsoir Mademoiselle ». Répondit mon amie.

Elle resta là, un long moment, sans oser parler ni bouger.

Je lui demandais alors de se mettre là, devant nous, à quatre pattes.

Et je déposais délicatement sur son dos… Un panneau de verre. Transparent comme l’eau claire.

Puis…

L’assiette qui contenait le raisin… La tasse dans laquelle j’avais mis mon déca…

Elle n’osait plus bouger. Peur de renverser ce que j’avais savamment disposé sur son dos. Elle ne savait pas.

Elle écoutait. N’osait toujours rien dire…

Après de longues minutes ou je bavardais avec mon amie, je décidais de retirer le morceau de verre qui laissait si joliment transparaître sa peau ;

Elle se coucha à terre, osant quémander d’une petite voix, quelques instants de repos. Je la laissais s’allonger sur le tapis.

Quelques minutes plus tard…

Je la pris par les cheveux, délicatement. Mais fermement.

Et dans ma main, une fraise roula sur son téton, tout endurci. Son regard se plongeait dans le mien. Elle baissa les yeux.

Ses mains dans le dos, ses genoux rapprochés. Je taquinais ses seins, entre mes mains, avec le fruit….

J’écrasais la fraise sur son sein droit. Et je léchais les gouttes qui perlaient sur son corps…

Je jouais de ses sens, j’affolais son désir.

« Madame, je coule pour vous »…

« Oui ma belle fleur, mouille pour moi »…

Pour… Elle se reconnaîtra.