Depuis quelques jours, mes échanges avec Madame S, avec vous Madame, me rendent toujours plus proche de vous, me permettent de vous faire part de mes sentiments toujours plus forts à votre égard. Vous comptez toujours plus pour moi, vous habitez toujours plus mes pensées.

Je viens de passer une semaine particulièrement intense, 3 jours de déplacements en province, j’en avais perdu l‘habitude. Je suis rentré vendredi soir tard, et quelque peu épuisé. Mais le samedi m’a permis de bien récupérer.

Samedi soir.

Cela fait plus de 100 jours que je n’ai pas touché mon épouse. Je suis au lit, ma femme est assise à mes côtés en train de lire. 

Mes pensées sont tournées vers vous, Madame S, je pense à vous, à vos yeux, à vos formes. Je vous imagine collée à moi, vos formes prenant le pouvoir sur mon corps et de mon âme. Je commence à sentir mon sexe frétiller à l’évocation de votre regard, de vos pieds, de vos cuisses et votre corps.

Je décide alors de m’approcher de mon épouse, au risque de me faire rabrouer. Je me rapproche d’elle, pose délicatement ma main sur son ventre, et j’attends. Elle ne bouge pas, si ce n’est ses jambes qui semblent énervées et ne cessent de bouger. Je décide alors de lui masser les mollets, pour essayer de la détendre.

Aussi, petit à petit, mes mains se glissent vers le bas de ses jambes, et je commence à la masser, à masser ses mollets, à vous masser, Madame S. Le résultat de mon massage commence à faire son effet, je sens que vous commencez à vous détendre, et je sens en parallèle que ma queue durcit. Et ces massages ne font pas que vous détendre car vous commencez à écarter doucement les cuisses. Mais je feins de ne me rendre compte de rien. Et oui, vos cuisses s’écartent toujours plus, et je vous masse maintenant les pieds. C’est le moment que vous choisissez pour soulever votre bassin, et je constate avec plaisir que vous avez pris l’initiative de baisser le pantalon du pyjama.

Je plonge alors totalement sous la couette et je me trouve ainsi nez à nez avec votre chatte totalement glabre et douce. Mais je veux faire durer le plaisir, même si mon sexe commence à me faire souffrir tant il est tendu et dur. Plutôt que me jeter sur votre sexe comme le mort de faim que je suis, à la diète depuis plus de 3 mois, je m’efforce à faire durer les préliminaires. Je vous baise tendrement l’intérieur des cuisses, le ventre, le nombril, prenant soin de ne pas toucher votre sexe qui commence à chauffer.

Je me décide enfin  à sortir ma langue à la recherche de votre clitoris. J’aime l’odeur qui se dégage de votre chatte brulante et déjà humide. Votre bassin ondule déjà pour forcer la rencontre avec ma langue experte. Vos lèvres s’écartent d’elles-mêmes pour m’aider à plonger au fond de votre vagin accueillant. Mes mains écartent vos fesses, ma langue fouille votre puits d’amour, votre entre cuisse devient de plus en plus humide.  J’en profite pour glisser l’index de ma main gauche entre vos lobes fessiers si majestueux, à la recherche de l’entrée de votre grotte. Mon doigt est parfaitement lubrifié de votre mouille, et il pointe dorénavant à l’entrée de votre anus. Je ne veux rien forcer, et en basculant votre bassin, mon doigt pénètre un peu en vous, et je sens que vous aimez ça.

Vos mains caressent mon crane et commencent à faire pression pour que ma bouche se colle toujours plus sur votre sexe, votre bassin ondule toujours plus vite et plus fort, et c’est votre anus fait les va et viens sur la première phalange de mon index. J’entends votre souffle s’accélérer, je sens la pression qui monte, j’ai envie de jouir. Et soudain, vous vous cambrez totalement, les mains plaquant ma tête sur votre chatte à m’en étouffer, et je sens dans ma bouche couler votre jus de plaisir et d’amour. Vous êtes secouée de plusieurs spasmes et je sens votre longue jouissance, bien plus longue que jamais. Je viens de faire l’amour à Madame S !

Je commence à étouffer sous la couette, je n’ai pas joui mais j’ai donné du plaisir et c’est le principal. C’est le moment de retrouver mon épouse. Je me remémore ce moment où ma Maitresse a joui dans ma bouche, je caresse mon sexe et jouis sur mon ventre, dans un état de béatitude frisant le Nirvana.

Merci Madame. Mais je rêve… Titou.

Les rêves permettent toutes les situations possibles, mais surtout, cela est un récit excitant.
D’autant  plus que Madame.S est et sera toujours inaccessible et que ce rêve ne se réalisera jamais.
Mais cela te rend encore plus fidèle et dévoué… Car ne pas pouvoir m’atteindre, n’est-ce pas là le nirvana ?

Madame.S