Jeudi 31 mars 4 31 /03 /Mars 10:38

 L'esclave et ses devoirs… - Episode 3 –

Etre attaché induit le sentiment de fidélité et le sentiment d'être aliéné, attaché... Le sentiment d'obligation de ne pouvoir penser qu'à sa Déesse, toujours... On peut imaginer milles chaînes et milles liens attachant un esclave, telle une proie dans une toile d'araignée, à la portée de la brutalité de la Déesse qui dresse... L'esclave doit être pris dans des chaînes lourdes et des nœuds serrés, entre la peur et la prise de conscience que cela est nécessaire pour son évolution et son apprentissage.
Si la Déesse écrase par de tout son poids, debout sur le ventre, elle fait ressentir son poids qualitatif: le poids de sa féminité, de son importance de femme, des devoirs envers sa beauté : en fait elle écrase sensuellement et sensiblement de toute sa puissance de femme...
En faisant cela, elle rend le soumis humble et fait perdre en un éclair toute prétention futile devant elle. Elle apprends a faire de l'esclave s'écraser sans attendre devant tous ses caprices et exigences de femme... L'écrasement est l'acte aliénant le plus puissant de tous, il est la clé, le point de départ... Lors d'un écrasement, le soumis peut se débattre mais sa force musculaire diminue progressivement, et une prise de conscience soumise s'opère...
L'esclave n'en sors jamais vraiment indemne. La répétition prolongée de cet acte cultive réellement en profondeur sa soumission et écrase dans l'œuf toute rébellion malvenue, toute contestation déplacée... L'écrasement abdominal et son impact est très personnel.
Subir toutes ses odeurs de la femme dominante et goûter à chacune d'elle apprend que tout en elle doit être aimé et vénéré, et que chaque esclave doit tout accepter d'elle... Même le pire... Devenir le réceptacle de ses ignominies... Si elle humilie par sa souillure, son urine, sa transpiration, ou pire, elle apprend au soumis l'humilité, à être humble comme il doit l'être dans la vie pour elle... Là encore, l'acte physique génère son "dressage comportemental" futur, avec cette étroite relation chez lui entre l'épreuve physique subie et son évolution comportemental. Enfin, être étouffé physiquement générerait en lui la capacité à rester cloîtré en attendant ses ordres..
A se "contenter de peu" et a s'auto-suffire dans la béatitude de son appartenance, totale...

 

31.03.2011 2

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 5 commentaires - Publié dans : L'esclave et ses devoirs...
Par Madame. S
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Commentaires

Ce texte me donne une terrible envie,
une impérative nécessité de très vite
vous rencontrer physiquement et pas
seulement virtuellement, bien que déjà
mon attachement, mon appartenance
soient terriblement forte
commentaire n° :1 posté par : Pierre le: 15/01/2014 à 23h56

Nous nous rencontrerons un jour, je le sais. Toi aussi…

réponse de : Madame. S le: 16/01/2014 à 14h48
ô Madame,

L'écrasement ? Oui, bien sûr ! Voilà pourquoi, le sentiment erroné de soumission à des déesses usurpatrices m'a toujours poursuivi. Et je comprends aussi pourquoi la photo "du maquillage en toute tranquillité" de votre blog m'a fait tellement d'effet.

La liberté dans l'enchaînement.

Soumise Wanda.
commentaire n° :2 posté par : Wanda le: 23/09/2011 à 12h51

J’adore savoir que j’ai le pouvoir de cet écrasement... Namio sait si bien refléter cela ! !

réponse de : Madame. S le: 24/09/2011 à 09h42
Bonjour Divine Madame s

je vous présente mes respects, c'est effectivement son rôle divin d'entraver de restreindre de limiter tout autre action de l'esclave pour le concentrer à son service exclusif, merci Divine Madame s de lire vos réponses,d'avoir cet échange d'opinion avec la Déesse que vous êtes

respectueusement
commentaire n° :3 posté par : thierry le: 30/08/2011 à 15h37
Bonsoir Divine Madame S

je vous présente mes respects,il est vrai qu'ai delà du fait d'être privé de le liberté de mouvement en étant étroitement attaché,menotté ou enchainé,cela crée un lien intime et captivant avec la Maîtresse qui joue de la liberté de son esclave,faisant de lui ce qu'elle désire,qu'il n'a plus le libre arbitre d'aller où bon lui semble et qu'il se doit rester aux pieds de sa Maîtresse

j'aime votre manière de penser la domination

avec mes respects
commentaire n° :4 posté par : thierry le: 26/08/2011 à 22h47

Je pense selon ma conviction et ma façon de fonctionner. Je suis seule à décider et cela est fort plaisant. Mais n’est-ce pas là le rôle de la Dominante ? Diriger pour mieux renier...

réponse de : Madame. S le: 29/08/2011 à 16h05
Vous décrivez là, Déesse, l'exacte situation du soumis qui ne peut être qu'attaché. Fortement attaché. Afin de subir sur tout son corps et ses membres votre pression, afin de lui imposer le poids de votre domination, celui de vos odeurs... Au diable le n°5 de Chanel! C'est votre odeur qui m'enivre et me transporte hors du monde si banal dans votre monde si riche et déroutant.
commentaire n° :5 posté par : amasuppai le: 04/05/2011 à 11h48

Etre attaché est synonyme d’abandon, total.

Viennent ensuite, la peur et oui, les odeurs... Ennivrantes et troublantes...

réponse de : Madame. S le: 04/05/2011 à 15h56

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