Dimanche 4 décembre 7 04 /12 /Déc 00:00

 

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Le petit journal et Madame Lise...


Un petit journal gratuit est mis à la disposition du public dans les transports en commun. Il s'appelle "Métro". Il ne fait que reprendre les grands titres de la presse quotidienne et un bref résumé des informations. Une rubrique intitulée "Kiss and Ride" permet aux lecteurs de s'adresser des messages personnels.

Un jour, consultant cette rubrique parfois amusante, je tombe sur une annonce qui semble me concerner. Le texte disait: "Je croise chaque matin un monsieur fort sympa aux cheveux et barbe blancs coupés très courts. Je descends l'escalier de la gare centrale, il le remonte. Nous nous sourions, nous nous saluons. Un jour, il m'a dit combien mon sourire lui faisait du bien et illuminait sa journée. Cette attention m'a touchée. Et je dois vous avouer que, moi aussi, votre sourire illumine ma journée. J'aimerais que nous fassions connaissance, si vous le souhaitez. Je m'appelle Elisabeth, j'ai vingt-huit ans et je suis de nature très autoritaire, mais j'espère que cela ne vous fera pas peur. Voici mon adresse email: madame.lise.de.la.gare.centrale@hitmail.tom. A bientôt, j'espère.".
J'ai immédiatement visualisé Elisabeth. Une grande fille brune, très sympa et souriante, effectivement.

Le soir même, j'ai adressé un courriel à Elisabeth. J'ai reçu une réponse presque immédiate: "Je te remercie pour ton message bien sympa. Cela me fait plaisir, néanmoins, je dois te dire que je ne tolère pas d'être tutoyée. Désormais, tu me vouvoieras. C'est la première condition que je pose. Il y en aura d'autres."

J'ai été très surpris du ton de ce message; surpris et assez excité. N'était-elle pas, entre les lignes, en train de me proposer une relation à caractère dominante/soumis ?
Cela ne m'était jamais arrivé, n'étant ni de nature soumise, ni de nature dominante et, à vrai dire, je ne m'étais jamais interrogé sur ces questions qui n'ont jamais fait partie de mes préoccupations.

Dans le mail suivant, Lise me fixa rendez-vous.
"Tu arrives à la gare centrale vers 7h30. Tu pourra être chez moi pour 8 h. Voici mon adresse. (Suivait l'adresse de Lise, dans le centre de Bruxelles.) Je t'attends dès demain. Je suis en congé."

Je me suis rendu à pieds au domicile de Lise. J'ai acheté en route quatre croissants dans une boulangerie. Je me suis retrouvé face à un immeuble de trois étages, dans une rue étroite d'un quartier commerçant assez animé. 
Six sonnettes avec des noms en regard.
Elisabeth D.

Je sonne et dans le parlophone, elle me dit: "J'ouvre. Deuxième étage à gauche". Et la porte d'entrée de l'immeuble se déverrouille.

Je dois avouer que je n'étais pas tout-à-fait tranquille. Cette jeune femme qui me faisait penser sinon à une étudiante, du moins à une jeune institutrice d'enfants en bas âge n'était manifestement pas celle que j'avais cru lorsque je la croisais chaque matin.

J'arrive devant sa porte. Une étiquette sur la porte avec son nom.
Je sonne.
La porte s'ouvre.

Elisabeth m'apparait enveloppée dans une vaste sortie de bain en coton éponge blanc.
- Entre, me dit-elle.

Je me retrouve au centre d'un petit appartement fort coquet. Un living avec coin cuisine très fonctionnelle. Deux portes menant aux chambres, j'imagine.
Je lui tends les croissants, elle me prend par la main.
- Viens, le thé est prêt dans une minute. C'est bien d'avoir pensé aux croissants.

Je reste debout devant la table. Lise s'assied, j'écarte une chaise à mon tour.
- Non, viens près de moi, me dit-elle.
Je me sens assez nigaud, debout à côté de la chaise où elle est assise.
- Bien. Mest-toi à genoux à présent.
- Ce n'est pas sérieux ? Je lui demande.
- Très sérieux. Sinon, la porte est là.
Je décide d'obéir, de jouer le jeu, et je m'agenouille à côté de sa chaise.
- Ne me regarde pas comme ça. Baisse les yeux.

Lise se met à manger un croissant. Elle m'en met un morceau sous le nez de temps en temps en me disant:  "Prends-le doucement".
A mon grand étonnement, j'obtempère. J'y prends même un certain plaisir que je ne comprends pas.

Tout en déjeunant, elle m'interroge sur moi, sur ma vie, ma famille. Lorsqu'elle a terminé un deuxième croissant, elle se lève.
- Viens avec moi, me dit-elle.

Elle ouvre une des deux portes du living et me fait entrer dans une pièce sombre. Le volet de la fenêtre est baissé.
- Déshabille-toi complètement et couche-toi sur le ventre sur le plancher, au centre de la pièce.
Je ne suis guère surpris de cet ordre. Je décide de poursuivre l'expérience qui, décidément ne me déplaît pas du tout.

Lise va vers un coin de la pièce et en revient avec entre les mains deux paires de menottes en cuir qu'elle me serre aux poignets derrière le dos et aux chevilles. Les bracelets sont reliés entre eux par un gros anneau d'acier. Elle me replie les genoux sur les fesses et accroche un mousqueton à l'anneau des menottes de chevilles à celui des menottes des poignets. Me voilà immobilisé.

Je me tord le cou pour tenter de voir ce qu'elle manigance derrière moi.
Elle s'empare d'une corde.
Elle en attache une extrémité au mousqueton et lance l'autre extrémité au-dessus d'une poutre du plafond.
Elle tire sur la corde avec force. Je sens mes bras et mes pieds étirés vers le haut.
Elle noue la corde afin de la maintenir tendue.
J'entends Lise ouvrir un tiroir dans un coin sombre de la pièce.

Elle revient vers moi tenant un morceau d'étoffe noir. C'est un simple sac de coton épais, qu'elle me glisse sur la tête et qu'elle ajuste en me serrant autour du cou ce qui doit être une ceinture ou un collier. Je ne peux décrire ce que j'ai ressenti à cet instant. Je devais être à la fois en état de panique sans possibilité de me rebeller et dans un certain état de bien-être incompréhensible. Mais force m'est de constater que je bandais dur !
- Je reviens dans un moment, dit-elle, me laissant seul dans la pièce. 
 
J'ai bien du rester une heure ainsi attaché. Lorsque Lise est revenue, elle m'a ôté le sac de la tête et a entrouvert le volet et j'ai pu voir le décor. C'est une pièce vide. Seule une commode en bois sombre, dans un coin. Tout autour de la pièce, à un mètre du sol environ, une barre de bois de section ronde est fixée aux murs par des attaches de laiton. Cette pièce a du servir de classe de danse.

Lise passe derrière moi.
Elle dénoue la corde tendue.

Mes bras et mes cuisses se détendent et me font mal. Puis elle ôte le mousqueton et mes pieds retombent sur le sol. Lise passe devant moi. Elle porte une jupe courte de coton noir sur des bas qui semblent de latex et un soutient-gorge de latex également. Elle s'agenouille à côté de moi et me caresse les fesses puis les testicules. Je ne bande plus à ce moment. Mais sa main se met à me serrer les couilles très fort et je pousse un cri sourd.
 
Lise me libère les mains dans le dos et rattache  les menottes de cuir bras en avant, puis elle noue une corde à l'anneau d'acier. Elle se lève et va attacher la corde à la barre de bois qui court le long du mur en tirant fort afin de m'étirer les bras vers l'avant. Elle fait de même aux chevilles et tend la corde du plus qu'elle peut en la fixant à la barre du mur opposé. Me voilà tout étiré à quelques centimètres du plancher, la queue trainant sur le sol. Lise revient vers moi et me remets le sac de coton sur la tête. Elle me laisse ainsi un long moment. Les muscles des membres me font mal.

Lorsqu'elle revient dans la pièce, aussitôt, des lanières lourdes me flagellent les fesses, les cuisses, le dos. Mais la douleur est supportable, presque agréable. Après cette série, ce sont des coups plus secs qui me sont administrés, avec une cravache, sans doute. Sans aucune pause entre les séries de coups, elle passe à un autre instrument qui doit être une fine baguette souple.
Là, ça devient douloureux...
Les coups sont secs, en séries rapides alternées par des séries plus lentes et plus ajustées, plus sèches. Je dois serrer les dents. Je sens mon esprit s'embrumer. Je me surprends à aimer cela. Enfin, Lise me donne une dizaine de coups de cette baguette sur la plante des pieds. Je bande à nouveau. C'est presque insupportable, j'ai envie de crier, mais je regrette presque, lorsqu'elle s'arrête de frapper.
 
Lorsque Lise met fin à mon doux supplice, qu'elle vient m'ôter le sac de la tête et détache mes poignets et mes chevilles, je me surprends à regretter que cela se termine déjà.
- Voilà, me dit-elle. Tu es surpris, hein ?
- Ca, on peut le dire. Je n'aurais jamais imaginé prendre autant de plaisir à cette situation.
- Tu as bien assuré, je trouve pour une première fois ! Je suis satisfaite.
- Pensez-vous qu'il y aura d'autres fois Madame Lise ?
- Tu peux me tutoyer à présent. Ces moments sont des intermèdes dans ma vie. A partir de cet instant, tout reprend son cours normal. Branlons-nous mutuellement, pour terminer cette matinée. Je veux sentir tes doigts et ta langue partout. Puis tu m'inviteras à dîner ?
- Tu auras un repas de princesse...  

Alphonse L.
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