Vendredi 3 juin 5 03 /06 /Juin 08:17
03.06.2011
Le radiateur...

Un petit récit imaginaire par “A” de Belgique...

Madame. S,
Un petit récit imaginaire inspiré par vous, par nos échanges. Cette scène est tellement impensable pour moi que je déteste avoir trop chaud autant qu'avoir froid ! C'est du fantasme poussé loin.
Pour votre plaisir, Maîtresse étouffeuse...

Le radiateur...
 
C'était l'hiver. Je m'étais vêtu très chaudement. Je suis frileux. Pantalon de velours, gros chandail, une grosse parka en toile épaisse fourrée de laine, grosses chaussures, à la demande de Madame. J'imaginais que nous aurions une sortie en montagne dans le froid et la neige. La chambre exigue où j'attendais Madame était fraîche. J'avais même gardé ma parka.

Madame est entrée.
- Tu n'est pas à genoux, vermisseau ?
- Pardon, Madame. Je ne vous ai pas entendue entrer.
- Pas de commentaire. C'est trop tard. Tu aurais du m'attendre à genoux. Assieds-toi sur cette chaise.
J'ai pris place sur la chaise, seul meuble, au centre de la petit pièce de 7 ou 8 m².

Madame m'a attaché sur la chaise à l'aide de sangles utilisées pour l'arrimage de marchandises sur les camions. De larges sangles de nylon rouge à boucles autoblocantes.
Elle m'en a mis autour des chevilles et des genoux, autour de la taille et de la poitrine, six ou sept. J'était comprimé comme on ne peut l'imaginer. J'avais peine à respirer.

Puis Madame m'a passé une cagoule de latex sur la tête. Toute fermée, juste un petit trou en face de chaque oeil et un troisième à hauteur de la bouche. Par les trous des yeux, je ne voyais pas grand chose.
J'ai vu Madame se diriger vers le radiateur, puis elle est sortie en me disant: "A plus tard" !
 
Au bout d'un quart d'heure, j'ai compris qu'elle avait poussé le chauffage. La chaleur montait rapidement. Vêtu comme je l'étais, ça devenait tout simplement suffoquant et j'étais en nage. J'ai essayé de ne pas paniquer, ne pas m'énerver, pour contrôler la température de mon corps, si tant est que ce fût possible.

Je ne sais combien de temps s'est écoulé entre sa sortie et son retour dans la chambre. Une heure trente ?... Peut-être davantage. J'étais épuisé.

Alors madame a collé des bouts de scotch opaque sur les trous des yeux et je n'y ai plus rien vu.
Je sentais les mains de Madame me caresser la tête, le joues, le cou, tout ce qui était recouvert de latex. C'était doux. Cela m'apaisait.

Puis elle a collé un morceau de scotch sur la bouche. Je n'y étais pas préparé. J'ai très vite paniqué. Je me sentais complètement démuni, à sa merci, prêt à mourir pour son plaisir.

Je savais que son plaisir n'était pas de me faire mourir, mais de bien me faire éprouver son emprise qui était totale. J'étais vraiment sa chose, complètement dépendante d'elle. Plusieurs fois, elle a ôté et remis le bout de tape sur ma bouche, en ne me laissant parfois prendre qu'une faible goulée d'air. Je suffoquais. Je mourais entre les mains de Madame.

“A” - 30.05.2011


Diabolique que cette situation ! Cela m’inspire... Bravo « A ». Il est tout à fait possible de reproduire une telle scène dans une pièce quelconque mais comportant un radiateur !... Les lecteurs apprécieront...
Madame. S
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Par Madame. S
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