Bonjour Maîtresse,

Nous aurons atteint les 4 semaines d'abstinence demain. Pour ma part, cela devient tous les jours un peu plus difficiles à supporter. J'ai une envie permanente de me toucher, ce qui a le bénéfice me rapprocher de vous, mais l'inconvénient d’accroître ma frustration.

Je suis rentré de week-end dimanche midi, et instantanément j'ai cherché comment me faire du mal pour calmer mes ardeurs, et vous assurer, s'il en était besoin, de toujours plus de soumission.

J'ai échafaudé le scénario suivant : il y a une roumaine qui tapine dans les bois tout près de chez nous. J'ai imaginé lui offrir un petit billet pour me fouetter avec des orties que j'aurais préalablement arraché, et qu'elle me prenne en photo les fesses et le sexe boursouflés.

Vers 16 h, j'ai prétexté d'aller laver la voiture pour mettre mon plan à exécution. Je suis allé dans le bois en question muni de gants de jardin, et j'ai commencé par constituer un gros bouquet d'orties. J'ai ensuite fait signe à la fille qui est venue à ma rencontre. La pauvre ne parle quasiment pas le français, et à part sexe et baiser, son vocabulaire semble des plus restreints. J'ai tenté de lui expliquer ce que j'attendais d'elle, en lui montrant les orties et en faisant des gestes. Son premier réflexe a été de partir un peu effrayée, mais j'ai tenté de la rassurer et elle m'a alors réclamé une somme exorbitante pour ce que j'attendais d'elle. Frustré, je suis remonté dans ma voiture, et je suis allé au lavage automatique.

Mais la frustration était trop grande, j'avais ce besoin irrésistible de souffrir et de vous montrer dans quel état je me mets en votre honneur.

La voiture propre, je suis retourné dans le bois, décidé à me faire mal tout seul. J'ai récupéré le bouquet d'orties, me suis mis dans un endroit discret, et j'ai baissé mon pantalon. Les premiers coups sur les fesses ont failli m'arracher un cri tant les plantes étaient urticantes. Mais passé la première surprise, je me suis acharné sur les fesses, frappant le plus fort possible afin de bien faire pénétrer les petites aiguilles dans la chair.

Puis je me suis occupé de mon sexe et de mes boules, en arrachant de nouvelles branches d'orties plus fraîches et donc plus piquantes. Et j'ai recommencé à me brutaliser, atteignant par inadvertance la peau plus tendre de l'intérieur des cuisses. J'ai dégusté, mais c'était bien le but recherché !

De retour à la maison quelques minutes plus tard, je suis allé dans la chambre pour me changer et prendre quelques photos. Difficile de se prendre en photo, mais cela donne une idée du résultat.

Cette nuit fut atroce. Outre la chaleur dans la chambre, la chaleur de mes fesses, le frottement sur les draps m'ont quasiment empêché de dormir. Et toujours cette envie de me toucher en me remémorant la scène.

Ce besoin de souffrance pour vous m'a encore plus excité et produit l'effet inverse à ce que je cherchais.

Je vous écris ce matin du bureau. J'ai encore des sensations de brûlures aux fesses, exacerbées par le frottement du jean. Mon sexe se réveille en vous écrivant et en repensant à votre dernière photo. Maîtresse, votre perversité me bouleverse, je me sens plus que jamais une petite chose entre vos mains expertes, et je rêve de m'y abandonner.

Merci Maîtresse de m'amener toujours plus loin sur le chemin de ma soumission envers vous.