Samedi 14 mai 6 14 /05 /Mai 09:03
14.05.2011
Mon "O"... - 8 -

Ou la soumission au féminin.

…Je reprenais, il est vrai, difficilement mes esprits.
Mon excitation était bien présente. Cela ne m’arrive pas souvent lors d’un moment partagé, j’essaie vraiment de garder tout contrôle, cela va sans dire et ne parler que de sécurité avant tout. Mais avec « O » tout était différent. Son abandon me troublait et ses silences me rendaient encore plus perverse. Elle était prête à tout et savoir que je pouvais la dominer avec cette infinie tendresse, mais aussi cette fermeté me rendait plus sensible dans mes mouvements et mes punitions.
Mais... Ma culotte s’humidifiait et je ne pouvais me cacher plus longuement.

Je pris la tête de « O ».

Je l’embrassai brusquement à pleine bouche. Je lui avouai discrètement en lui chuchotant à l’oreille que ce petit instant ou elle devint rebelle, avait su me déstabiliser. Elle me souriait et je la trouvais si jolie.

Je n’aime pas les surprises, mais comment vouliez-vous que je punisse cet égarement. J’aimais ce qu’elle venait de me faire et j’en voulais encore. Encore…
Avec mon baiser, je lui prenais les deux mains et je l’encourageais à prendre mes seins dans ses mains. Elle les palpait et elle était assoiffée. Je ne l’arrêtais plus…

Tout à coup, je la stoppai net dans son élan. Et je la remis à sa place.
Qu’il était délicieux de la sentir à nouveau repentante et soumise. Envieuse de toucher, encore...
Elle baissa la tête et attendit.

Je tournai alors autour du lit. Lui demandant de toujours garder la tête baissée : « Ne relève pas la tête vilaine petite chose ! Ou je vais être très mécontente ! ».

Elle ne bougeait pas. Le silence était religieux dans cette chambre sombre. Tout au plus, l'on entendait les badauds attirés par nos murmures, leur tête encastrée dans les petites ouvertures d’indiscrétion.
Cela m’excitait. Savoir qu’on ne pouvait entrer et que j’étais là avec « O ». Que les hommes pouvaient nous voir, mais ne pas nous toucher. Oui, je jubilais ! Telle une panthère s’occupant de son festin.

« O » était si jolie, en attente, silencieuse. De sa peau blanche et de ses vêtements noirs. Sa chevelure en bataille, après que je lui aie pris les cheveux pour les lui tirer pendant que je la collais contre ma poitrine.

Et, sans qu’elle s’y attende, je m’arrêtai à la hauteur de son dos. Et là, un coup de badine traversa la pièce et atterri sur ses petites fesses. Elle sursauta, bien sûr.

Je recommençai et plus fermement. Puis, une troisième fois, plus sagement…
J’alternais la douceur des coups avec la fermeté de mes caresses ou inversement la douceur de mes mains et la fermeté de mes coups donnés.
« O » émettait de jolis petits bruits en essayant de ne pas trop crier. Elle subissait mais elle aimait.

Je vins lui caresser le dos, des épaules jusqu’à ses reins...

Ses fesses commençaient sérieusement à rougir… Et les traces sur ses fesses étaient bien présentes et marquaient sa peau...
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Par Madame. S
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