Mercredi 21 septembre
3
21
/09
/Sep
08:41
Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 4 -
… Mes narines se posèrent sur la première étoffe que Muriel me colla sur le nez. Ce n’était pas celle de ma
maîtresse, elle sentait le parfum.
La deuxième n’était pas la bonne non plus, l’odeur était forte, sa propriétaire devait être déjà très excitée
mais le bouquet ne m’était pas familier.
La troisième me paru être la bonne. La quatrième sentait la lessive et l’adoucissant mais pas ceux que
j’utilise pour soigner les dessous de la femme que je sers. Je pensais donc avoir trouvé quand Muriel me fit sentir la dernière culotte. Celle-ci aussi pouvait la bonne.
« Alors Alexandra, quelle était ma culotte ? »
Après une courte hésitation je montrais trois doigts.
« Perdu !!! Crièrent en cœur Marie et Agnès. »
« Tu n’es pas capable de me reconnaître ! Tiens, comme ça tu vas t’imprégner de mon parfum ! »
Je sentis une paire de main me saisir la tête et m’enfiler une culotte qui me recouvrit le nez. J’avais
honte, à la fois de ce masque que je devinais ridicule et d’avoir déçu ma maîtresse. On me fit allonger sur le dos et je sentis tout le long de mon corps les talons s’enfoncer plus ou moins dans
mes chaires.
Après le café on demanda à Muriel de mettre de la musique, de se donner en spectacle en dansant, puis en se
caressant.
Je restais étendu sur le sol et les pieds me torturaient le corps au rythme de la musique ou des gémissements
de l’autre soubrette.
« Au tour d’Alexandra d’assurer le spectacle, déclara ma maîtresse. »
Je sentis au même instant mes tétons étirés et modus par les pinces. Heureusement les pieds quittèrent mon
corps pour que je puisse suivre tant bien que mal le mouvement.
Apres quelques pas on me retira mon string, puis à l’aide de la chaîne on me fit mettre à genoux la tête sur
la moquette les jambes écartées et la croupe offerte…
J’ai effectivement l’impression que ce récit trouble mes lecteurs. Et bien tant mieux car moi aussi j’aime énormément cette histoire !
Et j’aime le trouble que cela peut provoquer dans l’esprit des personnes qui s’imaginent à la place de la petite Alexandre. Cela est délicieux en mon esprit...
Ce rapport presque paradoxal entre fantasme et réalité, crée chez moi le plus beau des troubles . Merci petite Alexandra
aaron
J'aime te savoir troublé...