Un soir, je l'ai crois(é)e, 'elle' femme dans la peau d'un homme...

Jeudi 15 septembre 4 15 /09 /Sep 08:26

Un soir, je l'ai crois(é)e, "elle" femme dans la peau d'un homme...

Un soir, je l’ai crois(é)e, « elle » femme dans la peau d’un homme…

Je l’ai alors baptisée Natacha.

J'ai fait un rêve... Non, j'ai bien vécu ce que j'appellerais un conte de fée pour dominatrice.

Rien ne sera plus jamais pareil...

« Elle » m'est apparue un samedi soir, un joli moi de mai, apprêtée et si belle. Je ne m'y attendais pas.

Mes yeux la dévisageaient. Ses courbes, son sourire, ses yeux.

Elle était là, devant moi... Sexy et attirante.

Oui, Natacha était belle, avec ses cheveux bruns au carré. Je ne pouvais imaginer un instant qu’elle portait une perruque, jamais…

Ses yeux étaient maquillés de noir et son mascara l'embellissaient.

Le bleu du fard à paupière lui donnait un regard profond.

Ses longs cils nous offrait son regard de biche.

Son rouge a lèvres carmin la rendait féline, sa bouche attirait votre regard.

Elle était belle et je la désirais. C’est fou...

J'étais presque jalouse de ses formes et de sa tenue. Provocante et provocatrice.

Avec ses collants, a grosses résilles, troué à hauteur de ses fesses, me faisait rêver que je la prenais.

Oui, la prendre, avec ce gode ceinture m'excitait et je ne pensais plus qu'à cela...

J'avais envie qu'elle devienne mienne.

Je VEUX qu'elle soit à moi...

Je te VEUX Natacha.

Je veux te garder prés de moi.

Tu ne m'échapperas plus, je te prends profondément...

Sa jolie culotte noire a rayures transparentes et affriolantes, laissait apparaître son sexe de façon impertinente mais si discrète.

Son soutien-gorge, noir, entourait ses petits seins. Elle était fière de se montrer.

Et, soudain, sa robe...

J'ai basculé….

Ainsi apprêtée, je la découvrais, troublante, souriante, heureuse.

Le monde tournait et changeait en mes yeux et en mon esprit.

C'était elle, enfin...

Ses gestes étaient beaux et fins.

Sa mouvance, naturellement féminine.

Je l'ai trouvée si belle.... Si belle.

Aujourd'hui encore j'ai du mal à parler de cette vision dans la nuit.

Elle me trouble et je sais pourtant que c'est elle, que c'est toi, vous trois....

« E », merci de m'avoir fait partager ce moment que je n'oublierais jamais.

Jamais. Vous êtes tous différents.

Madame.S

E et Natacha… Vous n’êtes plus « mienne et mien »…

Mais vous resterez à jamais en ma mémoire…

Madame.S

« Un soir, je l’ai crois(é)e, « elle » femme dans la peau d’un homme… »

Réponse à Ma Dame…

Cette réponse, parle d’elle-même de ce que j’ai pu vivre aux côtés de « E » et « Natacha », qui ne font désormais pour moi plus qu’un(e)…

Madame. S

Ma Dame,

Je suis heureux(se) de partager quelques minutes en Votre compagnie.

Pouvoir poser mes yeux sur la peau de Votre cou, me perdre dans l'entrebâillement de Votre chemisier, ou t-shirt, tenter de distinguer une bretelle de soutien-gorge, remarquer le jeux des ombres sur Votre peau claire.

Voir Vos joues s'arrondir, lorsque Vous souriez, voir Vos lèvres se serrer lorsque je tiens des propos qui Vous déplaisent.

Dois-je avouer que je me montre parfois malicieux, juste pour voir Vos traits se durcir, juste pour éprouver de la crainte?

Surtout lors de nos courtes entrevues, où il me semble indispensable, tant le temps file, de pouvoir ressentir toute une palette de sentiments.

J'aime Vous craindre.

J'aime sentir que Vous ne plaisantez pas.

J'aime me sentir tout petit, embarrassé, rougissant de peur.

Toujours les mêmes pensées.

Encore et encore.

Vous, Ma Dame, de noire vêtue... Sombre, aux pensées énigmatiques, aux gestes précis.

Décidée à dompter cette petite chienne féline, lubrique, aux fesses avides, au regard implorant et au rire mutin.

Zébrez ces fesses glabres, pincez ces tétons, faites couler le rimmel sous ces yeux bleus, écoutez là gémir cette petite salope, ouvrez lui son cul au ralenti, griffez ces cuisses, étalez ce rouge à lèvre sur toute sa bouche avec le plat de Votre main, chiffonnez-la, brusquez-la...

Mais aussi...

« Natacha», attachée...

Avec de solides cordes noires, dans des positions très provocantes, prise en photo à la mode des pin-up des années cinquante. Des clichés sensuels et provocants ; crus et croustillants...

Madame. S et « Natacha», immortalisées…

Moi, les fesses en l'air, la tète par terre, ma bouche autour de Votre talon, le regard perdu et suppliant.

Une soubrette attendant sa fessée.

J'ai également du mal à trouver les mots.

Les Votre m'ont fait vibrer.

J'ai été cueilli par un sentiment étrange, jusqu'alors inconnu...

Une partie de moi s'est découvert (et découverte) alors que je me couvrais de cette robe à lucioles.

Je ne sais si je dois parler de « Natacha» à la troisième personne, tant le sentiment est étrange.

Je n'ai pas à réfléchir pour me sentir féminine; bouger, marcher, ajuster ma robe, une bretelle...

Me trémousser, offrir mes fesses, engloutir cette bitte dans ma bouche...

Je suis...

moi...

Etonnamment.

Je serai Votre « Natacha », la Votre.

Vous seule possédez la formule magique, jolie fée diabolique, qui la fait apparaître.

Elle est en moi, et Vous attend... Je suis sûr que Vous l'avez vue aujourd'hui, au fond de mes yeux.

Elle espère un prochain rendez-vous.

Elle a l'outrecuidance de gémir d'impatience.

La petite chienne. « Natacha »…

15.09.2011 3

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme

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