Journal intime d'une femme Dominatrice...
Ce matin, j'étais levé très tôt, comme à mon habitude. J'ai fait le café et ai chauffé le lait pour le chocolat de Madame. Dès que le lait frémis, je jette dedans quelques brisures de chocolat noir et un peu de sucre, très peu. J'ai passé au four quelques petits pains achetés la veille, car il n'y a pas un commerce à des hilomètres à la ronde.
Cette fois, nous avons quitté l'Alsace. Nous sommes hébergés dans un gîte du bocage normand.
C'est l'annexe d'une ferme-château du XVIIIe siècle. Une vaste pièce dallée de pierres bleues avec une cheminée imposante de pierre sculptée surmontée d'une pièce de bois sombre qui doit peser plusieurs centaines de kilos. Un coin cuisine derrière une cloison sans porte. Une chambre aux murs blanchis à la chaux, basse de plafond. Une salle de bain équipée d'une baignoire ovale.
Nous avons déjeuné de pain chaud croustillant à souhait, de beurre fermier à la fleur de sel de Guérande et de miel de trèfles canadien onctueux et blanc. A peine le déjeuné avalé, Madame s'est levée et m'a dit : "Salle de bain !". Je ne me suis pas fait prié. J'avais envie d'un bon bain chaud.
Madame m'a rejoint à la salle de bain. "Allonge-toi dans la baignoire" m'a-t-elle ordonné, après que j'aie quitté mes vêtements. Son grand "sac à malice" était ouvert sur le carrelage. Elle en a sorti une poignée de ceintures de vynile noir comme un noeud de serpents et s'est mise à m'attacher, commençant par les chevilles, les genoux (en-dessous et au-dessus), les cuisses, puis les bras et la poitrine, des hanches aux épaules.
Et je me suis laissé glisser au fond de la baignoire fermant les yeux; j'étais bien. Quand tout à coup, le pommeau de la douche s'est mis à cracher sur moi une eau glacée au jet puissant. J'ai sursauté. Après quoi Madame m'a tiré par les pieds afin de me m'étendre tout-à-fait à plat.
Madame a alors enjambé le rebord et est venue s'asseoir sur moi et s'est mise à se branler des doigts. Son sexe était à quelques centimètres de mon nez, beau, suintant déjà abondamment, très odorant. Madame s'est encore approchée de mon menton et massait avec application son petit bouton rose qui me narguait. L'instant d'après, Madame s'est mise à frémir, a ouvert la bouche. Je ne l'avais jamais vue aussi belle, aussi transparente.
Puis c'est un râle qui est sorti de sa gorge et elle s'est soulevée légèrement et s'est mise à pisser abondamment sur mon visage, dans ma bouche, sur ma poitrine. Sa pisse était chaude et salée. C'était bon.
Lorsqu'elle eut terminé, elle quitta la baignoire et me dit: "Je vais te laisser macérer un peu. A tantôt, petite chose."
- Merci, Madame, merci pour les vitamines ! ai-je dit en souriant.
Elle a quitté la salle de bain en riant.
Madame est revenue une demie heure plus tard. Elle a aussitôt actionné le pommeau de la douche... à l'eau glacée. Puis elle a débouclé les ceintures qui me retenaient prisonnier.
- Prends un bain à présent... tu commences à puer la rage ! Et puis rejoins moi nu dans la chambre.
Je me suis lavé chaque recoin, chaque replis de peau et me suis séché à l'aide de la seule serviette se trouvant dans la salle d'eau. Celle que Madame avait utilisée une heure plus tôt. Elle était encore humide, sentait bon Madame. Je suis resté un long moment la tête enfouie dans le tissu éponge. Puis qu'ai rejoint Madame dans la chambre. Elle était assise sur le lit.
- Viens, je vais te mettre ce très beau serre-taille.
C'était en effet une pièce magnifique, en cuir épais, garni de petites pointes sur tout l'intérieur.
- Allonge-toi sur le serre-taille et étire-toi les bras en avant pour être bien tendu, je vais te le serrer convenablement.
J'en ai assez de voir ta bedaine en avant. Ce n'est pas beau... Tu sais que tu n'es pas beau ?...
Je me suis allongé sur le lit, le ventre sur le serre-taille et Madame s'est mise à passer lentement le long cordon de coton noir dans les oeillets et à le resserrer progressivement. Je sentais les petites pointes me piquer la peau des reins et du ventre. Elle n'est pas arrivée à faire se joindre les deux bords du corselet, mais il ne manquait que deux centimètres.
- Il faut que tu perdes au moins deux kilos pour notre prochain rendez-vous. Je ne veux plus te voir avant, c'est compris ?
- Oui, Madame. Je vais me mettre au régime.
Au moindre mouvement, j'avais l'impression que ma peau se déchirait sous le cuir. C'était douloureux et délicieux.
- Je veux que tu allumes un petit feu dans la cheminée. Tu sais que je suis frileuse ! Tu aurais du y penser sans que je doive te le rappeler. Allez, exécution !
J'ai fait flamber deux allume-feu et ai jeté quelques poignées de brindilles sèches sur lesquelles j'ai déposé deux petites bûches de chêne bien sec.
- Place-toi face à la cheminée à présent.
Madame m'a attaché les poignets écartés à la poutre du manteau de la cheminée à l'aide de deux cordes. J'ai dû m'en écarter, les flammes risquant de me lécher les cuisses et le ventre. Ensuite elle m'a attaché les chevilles et les genoux joints à l'aide d'une troisième corde. Je bandais fort.
Madame a utilisé trois fouets différents à lanières multiples tout d'abord, pour m'échauffer la peau, disait-elle. Puis elle a usé de deux cravaches. Chaque coup me faisait tressauter et les pointes du corset semblaient s'enfoncer davantage dans ma chair. Mais c'est la badine qui m'a fait le plus souffrir, cinglante sur les fesses et les cuisses.
Lorsqu'elle a jugé que c'était suffisant, Madame elle allée s'asseoir dans une bergère, à droite de la cheminée, une cravache à la main, avec
laquelle elle s'est mise à agacer mon sexe et mes testicules, doucement, comme pour m'exciter, me faire bander. Mais à chaque fois qu'une érecction montait, un coup violent sur le gland la faisait retomber d'un seul coup. Ce jeu l'amusait beaucoup. Cela a duré presque une heure.
- Bien, j'en ai assez, je vais dormir. Je te laisse là. Si je dois me lever pour pisser durant la nuit, peut-être que je te détacherai.
Alphonse L
Mars 2025 | ||||||||||
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quel beau récit de votre soumis lors d'un séjour normand et apparemment charmant. que j'aurais aimé etre a sa place car une partie de ce que j'aime est dans ce récit.
votre soumis christophe de strasbourg
Pour être à se place il faut en avoir envie très fort et le vouloir…
dyonisos
Tu sembles être inspiré par ce texte et tu veux le mettre en application, soit, je donne mon accord, à une condition, que tu me le racontes quand tu l’auras vécu…
Mille tendres bisous !
Oui, il y a effectivement une panoplie de fouets, pour différentes possibilités sourires !
Des images plein la tête, je vous laisse rêver un peu…
Bisous à vous.
Merci donc pour ce récit.
dyonisos
Ce récit à tous les ingrédients pour rêver et même si celui-ci n’est qu’imaginaire, il aurait tout à fait pu voir le jour, avec l’auteur de cet écrit, mais chuttt, il ne le sait peut-être pas…
bises
Dommage que l’histoire soit imaginaire, sinon je serais venue vous faire un couou qui sait !!
En lisant ces quelques lignes, je vibre littéralement devant ces Ebats que l'on ne peut intituler d'amoureux, mais qui révèlent cependant une force et un lien indestructible ...merci à Vous.
aaron
La force des mots, cela peut aller loin dans la rêverie et l’envie de vivre vraiment ce moment partagé…
Ah les exigences de Madame, tout un programme…
vous voyez je fais des efforts "sourire" pas des bien gros tant ce que je viens de lire reflete le plaisir que peux avoir un soumis a appartenir a sa maitresse quelques soit ce qu elle lui donne alors si en plus c est une partie d elle meme en sa douche dorée quel bonheur .
yanode soumis de Maitresse Flo
J’apprécie tes efforts sourires !!
Le bonheur du soumis et de sa Divine… Belle image oui…
Oui finalement laissons le doute planer, cela permet d’y croire, ou non…
Bon toujours est il que ce récit m'a passionné ! Merci à l'auteur de nous avoir fait partager un peu de son bonheur... bonheur de servir une telle Maîtresse !
Ce récit donne effectivement envie d’être aux pieds de Madame et de pouvoir la craindre… La badine est redoutable certes ! Mais laisse de si jolies traces…
Je compatis sincérement à la dureté de ta position. Etre encagé et ne pas pouvoir jouir à loisir doit être bien difficile ! Bravo pour tes efforts exemplaires !!