Samedi 18 juin
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09:30
Billet d’humeur avec un poème de ma composition...
Il faisait chaud… J’...
Je me suis installée face à la cheminée. Il faisait chaud et c'était bon.
Je me suis mise à nu...
Je n'ai pris aucun complément d'objet. Je me voulais là, seule et vierge de vêtements.
Mes lèvres étaient déjà gonflées. Et j'avais envie d'y coller mes doigts.
Je regardais les flammes ; Mais de quel enfer ?
J'essayais de t'imaginer là. A me regarder.
J'aurais aimé que ce soit toi qui soit là, sous moi ; A me lécher goulûment ;
J'aurais ordonné, tu aurais obéi.
J'imaginais ta langue s'enfouissant dans mes entrailles.
J'ai branlé, lentement..... Si lentement que cela en devenait insoutenable.
Je devais accélérer, je n'en pouvais plus.
Tu ne pouvais plus me toucher, à un moment je t'ai écarté de mon visage. Et...
J'ai du très brutalement accélérer mes gestes, j'avais trop envie de jouir.
J'ai crié, hurler de bonheur.
Pour toi...
Avec toi dans mes pensées.
Madame. S - 2005
C'est sa place également de la faire jouir, hurler de bonheur!
C'est son rôle d'obeir; à ce qu'elle ordonne; si ils sont chacun bien dans leur rôle!
Soyons assurés que tous ici le sont!
Ah le face-sitting, quel soumis pourrait dire que cela ne le fait pas rêver ?...
C’est bien le rôle du sujet que d’être sous sa Maîtresse et de respirer ses odeurs et de lapper après autorisation...
Ce poème fait rêver certains d’entre vous oui et à juste titre non !?
Il illustre parfaitement les gestes de l'amour que je préfère, quand ils sont partagés à deux.