Jules et moi... Moi et Jules... 'Mains douces et ravageuses ?'

Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 11:49

Jules et moi... Moi et Jules... "Mains douces et ravageuses ?"

Jules et moi… Moi et Jules…

« Mains douces et ravageuses ? »

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Mais, en prime et pour finaliser ce joli tableau…Je lui mis les menottes aux chevilles pour la nuit. Le doux cliquetis du métal résonnera quelquefois dans le silence de la nuit, pour mon plaisir, pour son plaisir, le nôtre…

Au petit matin, Jules hésite à me réveiller, je somnole doucement mais étrangement je le sens m’observer et il semble être prés de moi.

Me regarde-t-il dormir ?

Ca y est. Il ose, me demandant la permission de lui retirer les menottes ;

« Dois-je vous apporter votre cravache Maîtresse et si oui laquelle ? ».

« A ton avis, Jules ?!».

Aucune hésitation. Jules à bien compris et se courbe en prenant dans sa bouche la cravache fine et longue. Il poursuit et me demande,

« Dois-je me courber sur le lit Maîtresse ? ». « Oui, mets-toi à genoux, les mains dans le dos et le menton sur la couette du lit ».

Jules s’exécute et le voir ainsi m’excite profondément. J’aime cette image que je garde précieusement pour moi. Je frappe, un peu plus fort que pendant la nuit. A mon grand étonnement, Jules ne bouge, presque pas.

Il me dit être fier de sa résistance, être meilleur et plus résistant que pendant la nuit. Je le sens fier. Il le peut. Il accepte plus volontiers la sentence.

Je frappe, donc, plus fort. Mais très vite je me rends compte qu’il faut arrêter là. Et je décide de conclure ce moment par 3 coups, fortement dosés.

Jules à mal…

Mais je ne pu m’empêcher de poursuivre et conclure avec ma quête. Les tétons… Meurtris, je le sais. Si sensibles. Mais Jules vibre, encore sous mes doigts. J’attache de plus les poignets dans son dos. Il est à genoux et il ne peut pas beaucoup bouger. Abandonné, Jules est délicieux. Je l’observe de mon regard vitriolique…

Ses cris résonnent à nouveau dans la chambre.

« Oui, Maîtresse, ah, oh… ».

Jules finira par me demander la permission d’aller prendre sa douche, avant de prendre congé.

Jules m’embrasse, délicatement et j’entends le bruit de la porte au rez de chaussée se refermer sur lui…

J’ai envie de le dresser, encore, de le forger « à ma façon »…

A bientôt, peut-être…

En souvenir d’une rencontre en 2008 avec Jules...

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance

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