Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 09:40
02.07.2011
Un petit récit imaginé et que je vous fais partager, venant de Gaston...

Le masque et la dentelle.
Et la toison de Madame, un travail de précision...

Depuis quelques temps, Madame et moi écumons les gîtes de la région.

Cette fois, nous avons jeté notre dévolu sur un bâtiment très ordinaire et qui ne paie pas de mine, près de Molsheim, proche de Strasbourg.
On dirait une annexe en blocs de béton ajoutée à une habitation. Le plafond est bas, les fenêtres petites. L'intérieur est assez ordinaire et ne reflète pas vraiment ce que nous avions vu sur le site de location. Le mobilier est disparate mais assez confortable.
L'équipement est néanmoins complet.
 
Je savais, en arrivant au gîte, que Madame allait m'infiger une punition. Je n'avais pas été à la hauteur ces derniers temps.
Je dois bien le reconnaître. J'avais négligé Madame.
Pour tout dire, j'avais été en-dessous de tout...

 - Déshabille-toi et enfile ceci. Je ne veux pas t'entendre !

Madame m'avait tendu une culotte en dentelle rose. Je me suis exécuté sans dire un mot.
La petite chose en question, une fois glissée le long de mes jambes et de mes cuisses, avait eu beaucoup de mal à franchir le cap des hanches.
Une fois en place, ce slip ne tenait pas la totalité de mon service trois pièces. Seul un testicule y était entré, mon sexe passait la tête au milieu d'une touffe de poils par-dessus l'élastique. Je devais avoir l'air fin ! Madame qui était allée ranger ses effets à la chambre, a pouffé de rire en me voyant.
- Et ben, ça te va bien, ces fanfreluches ! Tu as l'air con mais j'aime bien te voir ainsi. Je dois penser à te féminiser un peu. Tu es bien trop mâle !
- Va chercher mon grand sac noir dans le coffre de la voiture.

Après avoir ouvert la porte, j'ai eu quelque hésitation. J'ai vérifié que personne ne passait dans la rue à ce moment avant de sortir, mais Madame, sans complaisance, m'a poussé dehors d'une bourrade dans le dos. Heureusement, je n'ai vu personne à moins de vingt mètres. J'ai rempli ma mission en toute hâte. Lorsque je suis revenu vers la porte, celle-ci était fermée à clef. Madame aime les plaisanteries.

J'ai attendu, le sac au bout du bras, face à la porte, afin qu'on ne voie que mon postérieur depuis la rue. Madame m'a ouvert en rigolant au bout de cinq minutes.
- C'est vraiment trop drôle ! 

Madame a fouillé dans son grand sac à malices et en a sorti un serre-taille en coutil écru garni de baleines. Elle me l'a fait passer et a serré le cordon le plus qu'elle pouvait. Je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais eu la taille aussi fine. Mais cette contrainte n'était pas désagréable.
- Il ne te manque qu'un jupon de tule et un soutif, mais ce sera pour une autre fois.

De son sac, Madame a retiré une boîte en carton brun. Dans ce carton, il y avait une besace de couleur vert kaki. Provenant sans doute de l’armée. Elle en a sorti un masque à gaz qu'elle m'a placé sur la tête. Madame m’avait fait part de cet achat, mais je ne savais pas quand elle s’en servirait. Le moment était donc venu ! Il était de caoutchouc blanc, très enveloppant sur le visage, maintenu par des sangles à l'arrière de la tête. Ce masque m'a obligé à ralentir ma respiration.
Après quoi Madame m'a sanglé les bras le long du corps depuis les épaules juqu'aux poignets à l'aide de courroies de nylon rouge munies de boucles autoblocantes. Elle m'a ensuite fait reculer dans un coin de la pièce et m'a sanglé les genoux et les chevilles joints. Après quoi Madame a tracé à la craie le contour de mes pieds sur le sol.
- Voilà. Reste là. Ne bouge plus du tout jusqu'à ce que je revienne. Je vais me reposer jusqu'à l'heure du souper.
 
Lorsque Madame est reparue, une heure plus tard, je n'avais guère bougé, juste de quelques centimètres afin de maintenir l'équilibre. Mais mes pieds n'étaient plus à l'intérieur du tracé à la craie.
- Tu as bougé, vilain. Tu n'est pas obéissant. J'aurais aimé que nous passions une soirée agréable, mais elle ne sera agréable que pour moi, je le crains. Je vais préparer mon souper. Il y a longtemps que tu as jeûné ? 

J'ai bien grommelé quelques mots, mais au travers du masque, ce devait être inaudible.
Lorsque Madame est revenue de la cuisine, elle a ôté les sangles qui me comprimaient le corps.
- Bon j'ai changé d'avis. Tu auras mes restes. Je me suis préparé une salade et du poulet froid. Tu aimes les os de poulets ? Je te donnerai les ailes aussi, je n'aime pas les ailes. Ensuite j'aurai un travail de précision à te confier. Si tu le fais bien, tu pourras dormir dans ma chambre. Viens ici que je t'enlève ce masque à gaz. Il te va bien, c'est un bon achat. Ca me change de ta tête. Assieds-toi par terre à côté de ma chaise pendant que je mange.

Madame m'a donné les os de poulet à ronger. Quelques morceaux de peau trop cuite, et une aile. Elle a donné la seconde aile au chat de la propriétaire qui dormait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
- Lave-toi les mains et viens me rejoindre dans la chambre.

J'ai obtempéré et me suis présenté à elle. Elle tenait à la main le paddle que je lui avais fabriqué de mes mains à l'aide de cuir sellier épais d'une belle teinte fauve.
- Voilà ce que tu vas faire. J'en ai marre de la toison de mon sexe trop drue. J'aimerais une toison plus légère. Tu vas m'épiler un poil sur deux. Si tu me fais mal... Elle a fait claquer le paddle d'un coup sec dans sa main gauche pour me faire comprendre ce qui m'attendait.
- Place-toi à côté de moi sur le lit avec le cul relevé et fais bien attention.
Je me suis attelé à la tâche avec application, entre les cuisses de Madame. Cela a duré plus de deux heures.

J'étais tiraillé par une envie folle de lécher le sexe de Madame, son beau sexe rose et rouge si odorant. Son parfum intime que j'appelle le N° 5 de Madame me rend littéralement fou.

Une fois la toison de Madame allégée comme elle le souhaitait, je suis allé à la salle de bain. J'avais le derrière tout bleu.
De retour auprès d'elle, elle m'a passé autour du cou le collier de maintien que j'avais réalisé à partir de deux ceinturons épais réunis côte à côte à l'aide de rivets de laiton et munis d'anneaux. Il se ferme à l'aide de deux boucles et maintient le cou tendu, la tête haute.

Madame m'a fait asseoir par terre, au pied du lit et m'a attaché par le collier au montant du lit.
- Je te souhaite bonne nuit, vilain.
- Bonne nuit Madame.
« Gaston » 11 juin 2011
02.07.2011 2
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