Lundi 18 juillet
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10:59
Joëlle est fouillée... Madame. S à ses côtés...
Récit d’un séjour parisien… - 5 -
…Elle était là, belle, pour moi et cet homme qui m’accompagnait. Rien que pour la Divine que je suis à ses yeux.
Et parce que je l'avais décidé ainsi.
Sa jupe relevée sous ses reins, ses bas résilles, dessinant joliment ses jambes jusqu’en dessous de
fesses…
Puis, le dominant à son tour donna quelques tapes sur les deux fesses joufflues. Il était précautionneux et je le
trouvais bien tendre et sa sensibilité me plaisait. Il comprenait ma façon d’imaginer la situation et de la rendre aussi plaisante que possible pour tous.
Il prenait lui aussi le temps de s’occuper de cette jolie blonde à notre merci.
Je caressais Joëlle, partout. La lenteur de mes gestes, la précision de ceux-ci, la rassurais sans doute. Mes
mains sur sa peau, glissaient et j’aimais lui transmettre cette forme de délicatesse.
Mes caresses l’apaisaient, la réconfortait et consolidait ma position... De dominante.
Sa bouche laissait quelquefois échapper des petits râles. On la sentait ailleurs, comme moi qui profitais du
spectacle de ses fesses offertes à mon plaisir.
Elle posait un instant sa tête sur mon épaule, elle recherchait un contact, quand je m'approchais d'elle.
Elle se rassurait ainsi, elle sentait ma main ferme ou douce, mais elle s'abandonnait avec
confiance.
Par alternance, chacun à notre tour, nous lui donnions cette fessée qu’elle attendait, qu’elle espérait.
Elle devait mouiller. Car ses yeux ne mentaient pas quand je lui soulevais le menton et que je constatais qu’elle
vibrait sous nos mains en soutenant son regard.
Le dominateur me regardait et laissait son visage expressif me confirmer sa jouissance, à lui aussi. Il adorait
la prendre par surprise.
Sa main tapotait, ou frappait plus violemment. Ses yeux brillaient et il était bien.
Tout cela se passait dans un silence, pas de paroles oui.
Juste des bruits, connus, des mains sur ses fesses.
La « cérébralité » était le mot décrivant ce moment.
Son mari laissa alors entrer un autre complice de ce moment. C’était l’homme soumis de la soirée qui était vendu
aux enchères. Il me sourit et je lui permis de se joindre à nous. J’étais surprise qu’il prenne le rôle d’un dominant. Mais pas étonnée finalement, car celui-ci avait dû être alléché par ce qu’il
avait pu voir jusqu’ici et désirait sans doute un spectacle un peu plus croustillant avec la complicité de mâles qui se trouvaient à mes côtés.
L’homme entra et en silence, commença par atteindre les fesses de Joëlle avec ses doigts. Il la fouillait sans
ménagement et attendait que Joëlle s’exprime plus bruyamment. Je trouvais ses gestes précis, mais un peu trop brusques.
Après un moment, ses gestes se firent plus lents et il s’accroupit, pour atteindre les jambes de Joëlle et les
caresser de bas en haut... Et sa langue commençait par lécher délicatement entre les deux fesses de la soumise.
Puis, il glissait sa langue dans la raie, pour descendre jusqu'à son petit trou.
Les râles de Joëlle devenaient de plus en plus bruyants.
Je lui caressais les seins, en lui tirant délicatement les tétons.
Ma bouche croisait la sienne. Nos lèvres, humides, s’emballaient...
Lui, léchait, profondément…
Et avec ardeur et plaisir…
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