Dimanche 17 juillet
7
17
/07
/Juil
10:10
Les fesses rougissantes de Joëlle et Madame. S...
Récit d’un séjour parisien… - 4 -
…Je lui demandai de faire face au mur.
Bras relevés et appuyés contre celui-ci.
Je lui caressai les cheveux, la nuque, les bras. Puis le dos, cambré et offert. Les jambes, chaudes et presque
transpirantes. Le peu de vêtements gardés sur son corps, comme si on les lui avait déchirés. Ses gants noirs en mitaines, ses bas résilles et jupe retroussée...
Je m’attardais maintenant sur ses fesses…
J'allai doucement, puis de plus en plus vite. Mes mains virevoltaient tour à tour sur la fesse droite, puis la
gauche
Elle rougissait et ses fesses devenaient chaudes.
Le dominateur qui m’accompagnait, dans un regard, me fit comprendre qu’il aurait aimé partager avec moi cet
instant. Je me reculai un peu et je lui laissai ces fesses rougies et encore tièdes. Il prit soin de la caresser sur les hanches et de ne lui donner que de petites tapes bien légères. Je le
trouvais bien sage.
Car elle méritait qu’on sache si elle pouvait en supporter un peu plus.
Elle devait être obéissante !
Elle commençait à gémir et de petits soubresauts la rendaient encore plus soumise. J'avais envie qu'elle ait
encore un peu plus mal. Mais juste pour qu’elle sente combien je la dominais et qui tenait les rennes de ce moment…
Un homme m’accompagnait, mais je lui rappelais à l’oreille que c’est moi qui l’avais acheté pour ce moment et que
je décidais de son sort.
Elle me répondit d’une petite voix, « Oui, Madame, vous êtes seule à décider de ce moment que je savoure avec
vous. Je vous obéirai et sous la douceur de vos mains, j’apprendrai… ».
Je l’embrassai sur la bouche, délicatement. Je sentis qu’elle avait envie de chercher mes lèvres et elle
attendait un autre baiser, sans doute.
Je n’en avais pas envie…
Le dominateur à mes côtés, alla chercher un gant de toilette pour rafraîchir ce joufflu encore meurtri par mes
mains et les siennes. J’avais trouvé cette attention très gentille et il semblait lui aussi vouloir prendre soin d’elle et de ce moment…
Son mari prenait toujours des photos.
Les voyeurs étaient de la partie. Mais ne venaient pas troubler notre moment. Le mari était à l’entrée de la
pièce et veillait à notre quiétude.
Cette complicité m’était agréable et je passais un bon moment…
Derniers Commentaires