Mardi 20 mars 2 20 /03 /Mars 10:48

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…Alors qu’il se tient prostré, recroquevillé sur lui-même, il entend la porte de la cave grincer à nouveau. Une seconde personne vient d’entrer de cette salle de torture. Le bruit sourd des bottes lui font comprendre qu’il s’agit d’un homme. Dans la pénombre, il ne peut le reconnaitre. S’agit-il de l’amant de sa Maitresse ?

Il n’aura pas le temps de se poser des questions bien longtemps. Des mains vigoureuses l’attrapent et le soulèvent du sol. Elle lui met un collier de chien autour du cou, relié par une laisse.

Il est ainsi trainé vers l’escalier qu’il grimpe sur les genoux. Son anus lui brule toujours, et ses cris sont toujours étouffés par le bâillon boule. Il ressent le filet de bave qui s’échappe de sa bouche souillé le sol sur son passage, mais il ne peut le retenir.

La laisse le tire encore et toujours, et il s’approche d’une porte qui mène vers l’extérieur, et nu comme un vers qu’il se retrouve à quatre pattes sur le gazon de sa Maitresse.

L’homme qui les accompagne doit être son jardinier. Il vient de s’emparer d’une lance d’arrosage, et il reçoit brusquement un jet d’eau glacé. L’homme a décidé de la nettoyer de fonds en comble. Tout y passe, son torse, ses jambes, son sexe qui diminue à vue d’œil, ses fesses. Son anus est libéré de son plug, et le jet vient s’insinuer dans son conduit pour le laver également de l’intérieur. Le jet est violent, et il tente de lui échapper en se contorsionnant dans tous les sens, mais sans grand succès.

Et quand la lance s’arrête enfin de le torturer, il est propre comme un sou neuf, mais totalement transis et humilié devant cet homme qui lui jette un regard narquois.

Sa Maitresse s’approche enfin de lui, avec son regard d’acier qui le transperce de part en part, bien plus profondément que ne l’a fait le jardinier muni de son tuyau d’arrosage…

Avec une certaine tendresse, son visage orné d’un sourire glacial à quelques centimètres du sien, elle lui retire enfin son bâillon.

« Tu as voulu jouer avec ta Maitresse, ma petite salope, et bien nous allons jouer ! » Lui lance-t-elle.

Et elle continue :

« Si tu veux continuer à rester à mon service, tu as intérêt à être une bonne salope bien obéissante. Je ne veux pas une jérémiade ».

Quel sort sa Divine Maitresse lui a-t-elle réservé pour le remettre une bonne fois pour toute à sa place ?

Elle le tire à nouveau par la laisse, et l’emmène dans un coin reculé du jardin qu’il ne connaissait pas.

Cet endroit est plus intime, car bordé d’arbustes opaques. Plus intime vis-à-vis de l’extérieur, mais pour le soumis, l’intimité est de courte durée, car sur les bords de ce carré de verdure sont postés une dizaine d’hommes de tous âges. Certains ont un âge respectable, d’autres plus jeunes, certains sont sveltes et d’autres bedonnants. Mais ils ont tous un point commun : leur braguette est ouverte et ils tiennent leur chibre à la main.

« Tu vois ma salope, tous ces hommes sont venus pour toi ! C’est gentil, non ? Et ils ont tous envie de te voir humilier, de te traiter comme une bonne salope !

Je crois savoir que certains d’entre eux ont bu beaucoup de bière avant de venir, mais je jeune marocain que tu vois à droite, cela fait une semaine qu’il n’a pas vu de femme, alors je te laisse imaginer ce qu’il te réserve ! »

Le soumis vient de comprendre ce que lui a réservé sa Maitresse. Il va servir de vide couille à une bande de males, des vrais males, pas comme lui, et il va devoir tout subir sans rechigner, au risque de voir sa Maitresse le délaisser à jamais. Lui qui était transi de froid il y a peu va vite se réchauffer.

Mais ses pensées n’ont pas le temps de tourner dans son cerveau apeuré.

2 hommes viennent de s’approcher de lui, et avant qu’il n’ait eu le loisir de prononcer un mot, il reçoit un jet de pisse en pleine figure.

« Ouvre la bouche et avale !» lui lance le premier.

Interdiction de réfléchir ! Obéir ! Obéir ! Il n’a plus que ce verbe en tête.

L’homme a bien visé, et il commence à boire une urine bien jaune, au gout acre et salé. Il manque de recracher tant ce gout est fort, mais il se force à avaler. La chaleur commence à monter car le deuxième homme lui pisse directement sur la tête, et il sent cette urine chaude lui couler sur le visage, lui bruler les yeux au passage.

Il entend bien ces hommes le traiter de moins que rien, de salope et de sous-produit de la nature, il entend les quolibets mais il n’en n’a cure. Un seul objectif : obéir.

« A quatre pattes, entend-t-il !»

C’est une voix d’homme qui vient de lancer cet ordre auquel il obtempère immédiatement.

Un homme vient de passer derrière lui, et sans ménagement, il sent ses chairs se déchirer par une bite de gros calibre. Il voudrait hurler, ouvre la bouche pour émettre un son qui devient inaudible, une nouvelle queue vient de prendre possession de sa bouche et son sert comme d’une chatte. Il se fait limer la bouche à en baver, et il se fait ramoner l’anus sauvagement. Les jets de pisse continuent à lui réchauffer le corps, il n’est plus un homme, il n’est qu’une succession de trous à disposition.

Et le pire est qu’il commence à prendre du plaisir. Il sent bien qu’il commence à mouiller du cul, d’ailleurs son bassin a pris les mouvements du males qui le sodomise bien profondément. Il aime cela, à tel point que lorsque son sodomite sort de son cul pour lui éjaculer dans la bouche, il ressent comme un manque. Deux mains prennent possession de ses fesses pour élargir son trou béant, et il comprend qu’un nouvel homme est en train de lui pisser dans son conduit. Plein de pisse, un nouvel étalon encore mieux membré que le précédent lui ramone le boyau encore humide.

Combien de temps va durer ce gang-bang, impossible à dire. Quelle quantité de sperme va-t-il avaler, impossible à dire.

Ce qu’il sait, c’est qu’il a été à la hauteur du défi, qu’il a obéit et que l’humiliation du début a fait place au plaisir.

Brusquement, alors qu’il est englué dans le foutre et dans la pisse, il entend des mains frapper la fin de la partie.

C’est sa Maitresse qui vient de décider que l’humiliation avait atteint le niveau attendu, et que son soumis avait subi de mauvais traitement.

Elle est fière d’avoir montré à son soumis combien il ne faut pas jouer avec elle, et qui dirige et décide.

Il est fier d’avoir montré combien il savait obéir.

Cette journée lui a permis de grandir, il sait qu’il pourra continuer à servir sa Maitresse.

Il est heureux…

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
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