Une soirée SM par titou...
Histoire réelle vécue
- 2 - et fin...
Chez Maîtresse Olivia...
...Je vais passer la soirée à servir, à faire la vaisselle, toujours à l’écoute de ma Maîtresse qui enchaîne les
ordres. Pendant l’apéritif, et alors que je ressers un verre à Lorenzo, celui-ci constate que je fais le service avec une cigarette au bec. Cette faute évidente de goût me vaut deux coups de
cravache bien sentis, devant toute l’assistance médusée.
L’apéritif se passe sans autre anicroche, et je sers le dîner aux invités qui sont restés. Pour moi, le dîner se
passera évidemment par terre, dans ma gamelle, et après avoir servi à manger aux uns et aux autres. J’ai encore de la chance de pouvoir manger aux pieds de ma Maîtresse, elle aurait pu me laisser
à la cuisine !
Ce service est assez éprouvant, car je suis à l’affût du moindre besoin non exprimé des invités, et bien sur, je
suis régulièrement rabroué par ma Maîtresse, qui voit tout. Comme d’habitude, elle est implacable !
Dieu merci, ma Maîtresse a prévu des assiettes et couverts en plastique, ce qui m’épargnera une partie de la
vaisselle. Ouf, je respire en pensant à la fin de soirée.
Avant le dessert, pour me punir d’une faute dont j’ai oublié le motif, mais surtout pour montrer aux convives ce
que peut faire une dominatrice, ma Maîtresse décide de me poser des pinces sur les seins, les pinces que je redoute tant car elles sont acérées. Elles sont reliées par une courte chaîne, que
Maîtresse Olivia ma met dans la bouche.
Assis à ses pieds, ma Maîtresse m’ordonne de relever la tête, tirant ainsi sur la chaîne et augmentant de fait la
douleur sur mes tétons. Je grimace et tente de faire bonne figure, mais je ne peux m’empêcher de baisser la tête à plusieurs reprises.
Ma Maîtresse se décide alors à glisser sa cravache à la verticale sous mon menton, m’interdisant dès lors de
relâcher la pression sur les pinces. Alors que tout le monde discute de choses et d’autres, je souffre la martyre en silence, motivé à montrer aux convives que Maîtresse Olivia m’a bien dressé.
Je ne vous cache pas qu’après de longues minutes dans cette position, ma Maîtresse retirant les pinces, je ne peux retenir à petit cri de douleur, et d’autant plus alors qu’elle torture mes
tétons douloureux.
Après dîner, les conversations tournent beaucoup autours des aventures BDSM des uns et des autres, et plus
particulièrement des appareils de tortures dont les uns et les autres sont en possession.
En fin de soirée, Maître J. décide de jouer avec sa soumise. Il lui bondage les seins et lui ligote les mains
dans le dos. Il lui accroche ensuite des pinces à seins. Elle va rester immobilisée ainsi un bon bout de temps.
Cela donne des idées à ma Maîtresse, qui décide de me ligoter également, ou du moins d’effectuer un bondage,
selon le terme consacré. J’adore tant être immobilisé ainsi à sa merci.
Maître J. envisage également de tester des bougies sur sa soumise et entreprend de lui faire des dessins dans le
dos, ceux-ci sont d’ailleurs très jolis et presque artistiques, tant il s’applique à marquer cette femme qui ne peut qu’accepter de sentir la cire couler sur son dos, mais également sur les
seins, ce qu’elle n’apprécie que peu. Son visage en dit long...
Ma Maîtresse en profite alors pour montrer ma résistance et mon goût pour la cire. Elle me demande de prendre la
position couchée de chienne qu’elle m’a apprise, et utilise une de ses nouvelles bougies pour orner mon dos. Merci Maîtresse. Je souffre pour vous, mais j’aime cette douleur par amour pour ma
belle Divine.
C’est sur ce petit moment bien agréable que nous finissons la soirée. Il est déjà fort tard, Maîtresse Olivia
doit se lever de bonne heure, et une nouvelle soirée nous attend demain.
Je finis de ranger un peu, de finir la vaisselle, et me couche enfin auprès de ma Maîtresse.
Après cette longue soirée à faire la bonniche, je commence à être épuisé, mais ma Maîtresse me tend les bras, et
je m’y précipite. Je la sers bien fort dans mes bras, et cela me récompense de tous les efforts que j’ai accompli ce soir. Je suis si heureux, quelle belle récompense elle me donne là...
Ainsi conforté dans ses bras, j’ai envie de m’abandonner à son emprise...
Ma Maîtresse ressens le plaisir qu’elle me procure, et rapidement, elle se charge de ma queue encore molle. Ses
caresses avec sa chaussure me font rapidement de l’effet et malgré la fatigue celle-ci commence à durcir.
Puis ses mains parcourent mon corps et ma queue. C’est encore nouveau pour moi, mais ses caresses me mettent dans
un état second.
Puis, mon corps se jette à la rencontre de sa main, de ses doigts, mon plaisir se traduit par des gémissements et
des halètements que j’ai de plus de plus de mal à contenir.
Je pense qu’il ne faudrait plus très longtemps pour que je jouisse, et ma Maîtresse arrête brusquement cette
torture.
Je ne suis presque pas surpris, elle est terrible. Elle me fait un simple mais tendre baiser sur la joue, me
souhaite une bonne nuit, ma queue toujours emprisonnée dans sa main, et s’endort...
Quelle soirée !
Merci Maîtresse Olivia.
Quel succulent récit de Titou, tout réel soumis aux Pieds de sa Maîtresse, ne peut que retranscrire ses émotions avec autant de pertinence. aaron
Oui, il est agréable de ressentir tout son amour pour sa Divine dans ses mots...
J'aime à me souvenir de l'amour que j'ai ressenti envers ma Maitresse, et de la fierté d'avoir répondu à ses attentes devant les invités.
Soit rassuré titou, j’ai souvent moi-même du mal à parler ou encore à écrire les moments vécus et partagés. On n’est jamais satisfait du rendu, on aimerait tant que les autres puissent vivre le moment, mais cela est difficile. Car vivre le moment, c’est le vivre intensément, avec le coeur et les sentiments, aussi comment faire apparaître tant de ressentis ? Cela est compliqué. Mais je suis persuadée que les lecteurs auront compris que tu l’as fait avec tout ton coeur et avec dévotion pour ta Divine...