Billet d'humeur.

Rien de plus à ajouter….

Pour ceux qui suivent mon blog et mes aventures, vous savez que Sr66 ne peut être disponible autant qu’il le voudrait ces derniers jours et ceux à venir ; Il n’en reste pas moins encagé pour mon bon plaisir ; Mais également pour le sien. Nous partageons ensemble de beaux moments de complicité et cet encagement semble avoir réuni deux personnes pour le meilleur et un peu pour le pire ! Eclats de rires ! Surtout pour la perversité de Madame, qui aime savoir son soumis fidèle encagé et qui décide de le libérer… Ou non…

Et mon décolleté semble faire de l’effet à sr66, vous le constaterez sur la photo, ce sexe qui semble vouloir s’échapper de sa cage. Et non ; Il devra encore patienter un peu, juste un peu…

Je suis arrivée dans la cave.

Je l’avais enfermé dans une cage. Mais je l’avais laissé libre de ses mouvements ; Il ne semblait pas avoir beaucoup dormi, il avait des cernes.

Il faisait frais après la nuit passée dans cet endroit j’imagine pour lui. Moi j’avais bien dormi dans mon lit et j’avais pris soin de prendre un long petit déjeuner ; Pour le faire languir, encore, encore un peu plus… Avant mon arrivée.

Il était là, recroquevillé, un tremblotait. Mais il n’osa dire un mot et encore moins se plaindre…

Face à moi, devant la cage, il se mit à genoux et me salua d’un « Bonjour Madame, merci de m’avoir permis de dormir dans votre cave cette nuit. Je suis heureux de pouvoir vous contempler ce matin, belle comme le jour ».

Je le sortais de sa cage.

Et je lui demandais de poser son sexe sur l’objet froid et dur. Il eut un moment d’appréhension mais il ne put reculer…

Il baissait la tête et fermait les yeux.

Impressionné il ne disait toujours rien.

Il attendait…

Il avait peur et j’aimais le sentir à ma merci…

J’avais empoigné le marteau et je m’approchais vers lui…

Allais-je lui donner un coup ?

Ou non ?

J’allais le castrer en direct et le faire devenir eunuque ou lui laisser une chance de repartir ?...

Mystère…

Maîtresse,
Permettez-moi de Vous souhaiter une joyeuse fête de la Saint Valentin, à Vous et Monsieur.
Maîtresse, peut-être Vous interrogerez Vous comment un esclave peut ainsi Vous souhaiter une fête dédiée à l'amour, en mettant les pieds sur un terrain qui lui est fondamentalement interdit ?   
Je ne suis que Votre fidèle serviteur et je ne vois entre Vous et Monsieur, que Votre Amour. Même si rien ne peut se transformer en rapport ou caresse amoureuse, dans notre rapport purement BDSM, tout semble nous unir dans cet univers, dont Vous Seule, possédez les clés ... 
Le sentiment que j'ai pour Vous et dont je n'arrive pas à trouver la dénomination, ne ressemble en rien à l'amitié, ou à l’amour, cependant il me parait tout aussi tendre et durable.
Peut-être nous est-il devenu incontournable avec le temps ?...
Même si Votre Beauté m'est particulièrement intimidante et inatteignable,  je suis toujours subjugué par cette confiance que Vous et Monsieur, avez su insérer dans nos rapport au cours de toutes ces années, celle-ci s'est petit à petit transformée en une  affection pure sans que l'Une ou l'autre puisse en tirer le moindre plaisir sexuel.
C'est vrai, Vous comprenez les choses de la vie avec tant de justesse, Vous êtes si précise dans Vos Sentiments,  Vous êtes très souvent aux limites de l'exception et du sublime. La force de Vos Convictions, la Pureté de Votre Caractère, Votre Fidélité vis à vis de Monsieur, la Noblesse de Vos Sentiments, tout Vous distingue.
J’aimerai tant Vous ressembler.
Vous êtes faites d'une incontestable autorité, qui inspire le respect même si ce dernier reste platonique. 
Je ressens dès lors un plaisir plein de spiritualité, à Vous servir.   
Vous et moi avons eu la chance de nous rencontrer et c'est Vous même qui avez su instaurer un tel dévouement pour Votre eunuque.
Merci à Votre Générosité et bonne Saint Valentin.
Aaron

Aaron,

De bien jolis mots, qui me touchent profondément...

Et je trouve que tu as tout à fait le droit de m'envoyer un message pour cette fête. Car même si nous ne sommes pas amoureux, nous partageons une forme d'amour à laquelle je n'ai pas réussi à trouver de nom...

Comment parler de notre lien ? Car il y a de l'affection et de l'amour non amoureux. Mais un attachement si fort.

C'est étrange. Mais j'aime cette fidélité sans rien se promettre, à part d'être chacun à notre place, Maîtresse et soumis…

 Madame.S

Maîtresse,

Les moments les plus beaux de ma vie, les plus riches et les plus exaltants se situent dans la poussière de Vos Pas. 
Quand Votre Liberté est au pouvoir, mon imagination  reprend son sens. 

On cherche, l'Un et l'autre, de nouvelles frontières à notre plaisir anticonformiste, où rien ne peut nous apparaître impossible. 
Étonnante conjonction, pour le commun des mortels, mais Vous et moi, savons que notre lien se situe dans l'éternelle Vibration de Votre Vérité qui reste incommensurable devant l'infini. Certains s'inquiéteront de ce contrat social, qui nous anime mais Vous, Monsieur et moi-même, savons en quoi réside notre Contrat...

Vous accomplissez Votre Destin avec une force personnelle, digne de respect sinon d'admiration, c'est pour cela , Maîtresse, que  je crois en Votre Sincérité, à un point tel que Vous pouvez tout Vous permettre même les pires excès, que cela ne Vous rendra encore que plus Belle.

Aaron

Et oui, vous avez bien lu. Samantha à demander de pouvoir se désencager hier soir. Sa cage a eu raison de la distance qu’il a parcourue cette semaine en voiture pour son travail. Pour ne pas risquer d’aggraver la situation, j’ai décidé de dire stop par précaution. Vous le constaterez par vous-même avec les photos qui prouvent que le frottement de la cage à bien inflammé la peau de son sexe.

Samantha a certes retirer sa cage de chasteté, mais je vous l’assure, à grand regret. Elle qui voulait atteindre son objectif du 14 février. Elle est très déçue. Mais elle ne manquera pas de nous surprendre, j’en suis sûre, au cours des semaines à venir… A suivre…