Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 09:17
16.06.2011
« Madame est de mauvais poil ! Un week-end à la montagne... »
- 3 -

...Quelques minutes à peine après que Madame ait quitté le chalet, la porte s'est ouverte. J'ai entendu marcher sur le plancher.
- C'est vous, Madame ? Ai-je demandé.
On n'a pas répondu. Mais on s'est approché de moi. On a débouclé la ceinture de mon pantalon et il a glissé le long de mes cuisses. Les mains ont aussi abaissé mon slip sur mes genoux.

Puis j'ai senti sur mes fesses et mes cuisses les coups de cravache tomber sèchement. J'ai crié. J'ai bandé. Un coup sur la queue m'a fait débander en un instant. Puis, les lanières d'un martinet lourd se sont abattues sur moi. A la moindre érection, un coup la faisait retomber.

Au bout d'un moment interminable et délicieux, tout s'est arrêté.

On a détaché la corde qui m'étirait vers la poutre. On m'a maintenu sous les aisselles pour m'allonger sur le sol où je suis resté ainsi longtemps, allongé sur le dos. Des mains m'ont ligaturé les testicules et le sexe à l'aide d'une cordelette. De temps à autres, quelques coups de martinet tombaient et je me roulais par terre. J'étais toujours aveuglé par le bandeau.

J'ai senti que l'on tirait sur les liens de mes chevilles. Puis on a tiré sur mes poignets, par les menottes, afin de m'étirer le plus possible. Mes bras, surtout me faisaient mal. Mais c'était bon. On avait dû attacher mes chevilles et mes poignets à des madriers de la charpente du chalet entre deux murs opposés.

J'ai redemandé : "C'est vous, Madame ?"
On n'a pas répondu.

Je suis resté étiré ainsi un très long moment. J'entendais marcher autour de moi. La porte qui s'ouvrait et se refermait. Il devait y avoir plusieurs personnes dans la pièce, au moins deux, peut-être davantage. C'était évident. On a placé sur mes oreilles ce que j'ai pris pour un casque audio. C'en était un. Et une musique électronique a été diffusée. Le genre de musique que je déteste, linéaire, sans relief, lancinante. J'ai alors compris que Madame était là. Mais elle n'était pas seule. Il y avait des voix autour de moi. Mais j'étais incapable de les reconnaître, étouffées par la musique.

On s'est assis sur ma poitrine. J'ai senti des poils se mêler aux poils de ma poitrine. C'était une femme. Ce ne devait pas être Madame. Elle n'est pas spécialement légère, mais cette personne était bien plus lourde encore. J'ai pensé à la propriétaire du chalet. Cette grande et forte femme rousse aperçue la veille. Une autre personne s'est assise sur mon bas-ventre.
Cette fois, c'était Madame. J'en étais certain...
A suivre...
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 2 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S
Retour à l'accueil

Images Aléatoires

  • Mon peton verni de rose...
  • Initiales M. S.
  • Ustensiles...
  • Aux pieds de Madame...
  • Cheveux...
  • Le lien...

Présentation

Derniers Commentaires

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés