Lundi 9 mai 1 09 /05 /Mai 10:53
09.05.2011
Mon "O"... - 3 -

Ou la soumission au féminin.

...Je n'oublierai jamais comme elle était belle…
Debout, à mes côtés. Sa tête penchée, osant à peine relever les yeux, de peur de me fâcher et d’obtenir les foudres de mes mains. Moi, assise sur un grand tabouret de bar. Je discutais avec le patron, Monsieur Francis, nous parlions de sujets divers et j’essayais de ne plus m’occuper d’elle. Pour la mettre encore un peu plus mal à l’aise et la troubler… Elle baissait les yeux en essayant de regarder ce qui se passait autour d'elle, discrètement et si curieuse du sort de ses compagnons de chaînes.

Puis, le Président haussa la voix et ouvrit la séance !

On la jugea. Mais pour cela il fallait la mettre dans la cage de présentation. Elle ne pouvait y tenir debout, elle était donc assise, les mains croisées sur ses jambes en essayant de cacher une certaine nudité que l’on pouvait entr'apercevoir sous sa petite jupe presque trop courte.
Elle écoutait, paisiblement, en attente.

Je me présentais face à l’assistance et je dénonçai haut et fort sa jalousie et son manque de confiance à mon égard, devant la cour. On m’écoutait attentivement et un lourd silence régnait dans l’assistance. Je savourais ce moment. « O » était là, pour moi et je me délectais à la condamner, pour la punir à ma guise à la fin de son jugement.

Je finis par lui demander qu'elle se présente face à moi, en me vénérant devant tous les gens présents, à voix haute et intelligible. Qu’elle dise à tous ces hommes et ses femmes combien je compte pour elle et combien elle n’aurait pas envie de me perdre !

Son avocat, mauvais (c’était un soumis choisi au hasard dans la soirée), ne sut comment défendre une telle atteinte à mon rang !
Sa voix était tremblotante, elle était mal à l’aise, toutes ces personnes la regardaient. Ses joues rougissaient à chacunes des ses paroles.
Mais l'accusée, n'essaya même pas de nier... L'évidence. Elle plaida coupable !
Le procureur, acquiesça à ma demande et souffla à l'accusée de respecter sa peine.
On la sortit de sa cage et on l'amena à quatre pattes devant moi.

Elle était là, à genoux... Si belle, si belle…
Et devant tous, elle devait me vénérer. "LA" punition suprême pour mon "O"...
Elle aurait sans doute préféré une fessée, voir deux, un coup de cravache, mais dans l’intimité, ce qui lui aurait permis d'éviter de parler et ainsi on en aurait fini rapidement et tout aurait pu reprendre le cours des choses. Cela était tellement plus facile ! Ne rien dire et subir. Mais là, elle était obligée d'avouer.
Et elle me déclarait son amour de soumise.
Elle était ma femelle et je l'entends encore me dire ces mots...
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Par Madame. S
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