Samedi 16 juillet 6 16 /07 /Juil 15:31
16.07.2011 2
Joëlle dans les bras de son mari et la main de Madame. S...

Récit d’un séjour parisien… - 3 -

…Nous avons bu un verre, et nous discutions de choses et d’autres, tranquillement, et je faisais monter l’envie. Ne précipitant rien, je proposais à cette femme et son époux de monter dans la pièce à thème que j'avais pris soin de choisir et ou se trouvait un joli secrétaire ainsi qu'un beau fauteuil de style.

La jeune femme semblait apeurée. Mais je lui pris alors la main. Je la sentis plutôt confiante à cet instant et ce geste, simple, la rassura pourtant.
L’accompagner vers un lieu mystérieux et à la lumière tamisée m’enchantait.
Je savais qu’elle en avait envie.
Je l’avais senti pendant nos échanges en début de soirée. Elle était certes très intimidée, mais un peu coquine. Son sourire ne me trompait pas et je voyais dans ses yeux qu’elle était «prête » à s’abandonner.

Un des dominateurs, qui avait avec moi monté les enchères m'a gentiment demandé de participer à ce que j'appellerai "mon doux plaisir". J'ai accepté car ce Monsieur était fort sympathique et m'inspirait confiance. 
Je ne m'étais pas trompée. Il fut ensuite un complice de choix.
Mais je me permettais de lui dire que c’est moi qui avais acheté cette dame et que je souhaitais un complice de qualité et pas un inquisiteur. Ce hochement de tête pour acquiescer me rassura.
Je me suis occupée de Madame Joëlle avec un plaisir certain. Elle buvait mes mots, avec ce petit regard en coin, toujours respectueux. Elle attendait mes consignes.

Et là, je la guidais, doucement à se pencher sur le fauteuil, à l'endroit ou je lui avais dis de s'installer. Les genoux sur l'assise, la tête appuyée contre le dossier et les mains sur les accoudoirs, la tête baissée.

Elle était offerte et attendait apparemment avec anxiété les coups que j'allais lui donner avec la cravache que je tenais dans ma main droite…

Je faisais silence.
Je la regardais, avoir peur. Ne pas savoir si…
Ou si….

Aussi elle fut surprise quand elle sentit qu'au départ elle n'aurait droit qu'a ma main…
Perversion du moment.

Un petit sourire adressé à son époux, resté à l’encadrement de la pièce pour ne pas gêner mes faits et gestes. J’appréciais de le savoir là et de regarder. Prendre quelques photos de ce merveilleux moment.

Cette cravache dans ma main, fût finalement déposée sur le bureau. « Non, pas tout de suite ma jolie ! ».
Elle tremblait.
Je demandais à son mari de s'asseoir dans le fauteuil pour la soutenir...

Je m’assurais par quelques paroles de son bien être, elle m’assura être confiante et heureuse d’être vendue à une jolie Dame de mon rang tout en me demandant d’une petite voix de lui permettre de baiser ma main.
Je lui permis ce petit plaisir.
Et je finis par lui glisser une main sur sa tête, puis sur sa nuque. Pour lui tirer un peu les cheveux ou les lui caresser, en glissant mes doigts dans sa chevelure.

Elle tremblait encore plus…

L’on pouvait presque entendre le bruissement du silence.

Ma main, douce et caressante, lentement, balayait sa peau, douce et ferme. 
L’alternance des fesses était un délice. Ma main tapait la gauche, puis la droite. Quel bonheur...
Et je la guidais vers les supplices et délices de ma paume, ferme ou plus coquine…

Elle attendait et sursautait à chaque fois que ma main atteignait sa croupe…

 

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Des mains se proménent sur les fesses de Joëlle...

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  • Elle et lui...
  • Aux pieds de Madame.S
  • Madame.S approche sa main...
  • Un cou, des lèvres, des cheveux...
  • Vinyle...
  • Aux pieds de Madame...

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