Aaron me demande d’une petite voix :

-          « Maîtresse, je suis abstinent depuis plusieurs semaines. Je n’ose espérer pouvoir jouir alors que je m’occupe de vos chaussures. »

-          Je lui réponds : « Et bien si Aaron, tu vas pouvoir déverser ton jus et le déposer à mes pieds, en offrande pour ta Divine… »

Aaron n’en revient pas et ne se fait bien sûr pas prier longuement. Il se met à genoux, face à moi, baisse les yeux, puis sa tête.

Il retire sa cage de chasteté rapidement. Et… Il aura suffi de moins de 10 secondes pour que sa semence gicle sur le sol… Plaisir intense des sens.

Et qu’il doive sous mes ordres nettoyer de sa langue…

Voilà encore quelques épisodes des moments intimes partagés en compagnie de mon fidèle Aaron.

Après avoir eu la chance de pouvoir admirer mes chaussures, de loin, de près…

Aaron a eu le droit de s’approcher de moi…

De s’allonger sur le sol, nu, abandonné.

Je l’ai laissé là, sans parler, quelques minutes.

J’aime le sentir respirer, ne plus parler, que ces silences deviennent éternité…

Et j’ai posé un pied, puis l’autre, sur son dos, ses fesses…

Gémissements étouffés. Aaron savoure le poids de mon pied, qui écrase sa fesse.

Et le talon qui s’enfonçait sur sa peau et laissait mes traces ; le talon qui parcourait aussi la raie de son petit trou…

Aaron jouissait, je jouissais, nous jouissions en communion des sens…

Tu dors Aaron ?

Dans le noir. Madame approche sa main vers moi. Mais que va-t-elle faire ou « me » faire plutôt ?

Je ne l’entends presque pas avancer cette main vers moi. Mais si, je reconnaîtrais son parfum entre mille.

Je reste là, presque prostré, de peur qu’elle sache qu’en fait je suis réveillé ; Je n’ose presque plus respirer.

Elle a allumé la lampe de chevet et s’est retourné vers moi.

Et soudain, me parle sur un ton des plus sec...

          - « Ne fais pas semblant de dormir, j’ai entendu à ta respiration et je sais que tu étais réveillé !

Mince, je me suis fait avoir ! Moi qui pensais qu’elle me croyait endormi. Elle a dû entendre, malgré de tout petits bruits discrets que j’étais en train de renifler la culotte qu’elle a déposée pour moi sur ma couche du sol.

Ou alors j’ai fait trop de bruits à embrasser les bottes qu’elle a bien voulu me laisser pour la nuit.

Sa main, oh oui sa main…

La sienne…

Je rêve de la voir sur moi, me caresser.

Je rêve qu’elle me domine.

Je rêve d’être son soumis à tout jamais…

Cette année, je ferais simple… Et ce pour ne pas être ennuyeuse mais surtout vous envoyer mes vœux néanmoins très sincères.

Je vous souhaite de beaux joujoux sous votre sapin et d’heureux moments proches de ceux qui vous sont chers…

Et je remercie toutes les attentions que j’ai pu recevoir en privé et je répondrais à toutes et tous bientôt…

En attendant, je pense bien à vous, petites choses… Pas si loin de moi…

Madame.S

Aaron n’a pas été sage !

Lors de son séjour, je lui avais demandé de nettoyer les murs de PVC de la salle de bains du bas. Et je n’ai pas été satisfaite du résultat !

Surtout qu’il avait déjà été assez maladroit avec les trous dans le mur auparavant ! Aussi…

Je lui ai donc trouvé une punition amusante !

Ramasser nu, les feuilles dans le jardin, avec une fourchette, alors qu’il faisait moins 8 degrés, au petit matin !

Lui qui avait eu très chaud sur son corps avec les coups distillés par mes bons soins !!

Aaron à rapidement grelotté et m’a alors supplié de pouvoir rentrer et de cela en s’appliquant pour sa tâche suivante à l’intérieur….

Je peux vous assurer que la prise de conscience a été d’une efficacité redoutable…

Après la douleur, les cris et l’abandon…

La récompense, celle que l’on attend avec délice, les caresses de Maîtresse…

Et j’entends encore Aaron, ses petits gémissements, et savourer cette main, qui passe délicatement dans son dos…

Le bonheur de sentir cette main, qui distille douceurs et sensualité.

Et des remerciements pour sa Divine.

Et heureux l’esclave qui a accepté les sentences et autres punitions avec fierté et pour le plaisir de Madame.S et Aaron…

Après de longues minutes d’attente, Aaron commençait à faiblir des genoux.

Je le sentais se tortiller, toujours sans rien me dire.

Et moi je passais tout près de lui, je faisais beaucoup de bruits pour éveiller sa curiosité. Mais il ne pouvait regarder dans ma direction.

Jouissif moment intellectuel.

Je rôdais… Et j’aimais cela.

Je me suis approchée de la chaise où j’avais disposé mes 5 objets ; Et je n’ai pu m’empêcher de choisir la badine en bois de noisetier que j’avais mis de côté depuis des mois. Et oui, j’avais déjà pensé à l’époque qu’elle pourrait faire des miracles dans ma main et sur la peau de mon doux Aaron…

Elle est si fine, son bruit retentit sur la peau de mon soumis, à quatre pattes. J’aime sa souplesse et la façon dont elle rebondit.

Le claquement me suffit. Pas trop gras, plutôt fin et efficace.

J’entends Aaron me remercier d’une petite voix…. « Merci Maîtresse »… « C’est bon Maîtresse ! ».

Ces encouragements ne font qu’accélérer mes gestes.

Le haut de ses fesses commence à marquer. De jolies petites traces blanches se dessinent. J’insiste à cet endroit.

Nous vibrons à l’unisson…

Mais déjà, je change d’objet. Et la cravache à petit bout de plastique claque sur ses fesses. Rapidement, elles rougissent et prennent une teinte variable ; Jaune, orange, rouge, même un peu de bleu apparaît. Quelles jolies traces.

Délicieux à mes yeux.

Je glisse ma cravache entre ses cuisses. Juste pour titiller un peu la cage de chasteté.

Mais il faut faire encore un peu plus fort.

Et prendre cet objet rouge, fait de cuir et de métal ; Encore jamais utilisée. Terrifiante. Un bruit lourd et qui se fracasse tout autant en lourdeur sur le dos d’Aaron. Il gémit et m’exprime que l’objet tranche dans le vif. L’objet cassera à un endroit tant les gestes sont sûrs et fermes.

Je frappe et je comprends qu’Aaron encaisse et à mal.

Mais je décide.

Encore ?