Jeudi 31 mai 4 31 /05 /Mai 11:35

 

Pour finir cette jolie série en beauté, voici Scatman dans des poses encore un peu plus suggestives qu’hier, sous un joli soleil dans une forêt alsacienne. Et il nous inciterait presque à lui prendre son petit cul de petite salope… Quelle invitation non !

Et pour les deux dernières photos, un bien bel hommage à Madame.S, à genoux…

Que de jolis symboles de soumission…

 

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 11:05

 

Toujours très sexy pour faire plaisir à sa Divine et ce dans sa tenue et ses poses suggestives, Scatman avant d’avoir goûté aux orties, Scatman à bien suivi mes consignes :

Mettre des pinces sur ces jolis tétons et tirer sur la chaîne qui le relie à ses mains, ce qui semble un tant soit peu lui faire mal ! Pauvre soumis qui souffre pour sa Divine !

Et il s’est paré de magnifiques boucles d’oreilles ! De deux paires différentes qui plus est ! Mais aviez-vous seulement remarqué ces petits détails d’un charme fou !!

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mardi 29 mai 2 29 /05 /Mai 14:03

Scatman et son dévouement à Madame, toujours selon ses consignes, avec ses jolies orties…

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mercredi 23 mai 3 23 /05 /Mai 14:18

 

Je vous parlais il y a quelques jours des possibilités offertes par les orties. Et il y en a quelques-unes vous en conviendrez avec moi sans aucun doute ! Parmi celles-ci, il y a… Des ordres, formulés par moi-même à Scatman…

Voici donc un exemple, avec Scatman, dans une forêt Alsacienne resplendissante, à qui j’ai demandé de s’amuser avec quelques feuilles bien choisies, urticantes à souhait …

Jolies poses et tenue de circonstance.

J’aime le voir se dandiner ainsi pour moi…

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mercredi 16 mai 3 16 /05 /Mai 14:19

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Il y a quelques jours, j’ai découvert ce magnifique champ d’orties, juste à côté de ma maison. Je n’en revenais pas, tant il y en avait partout ! Et que voulez-vous, je me suis mise à rêver… Aaron aurait pu, à ma demande, s’y jeter pour se délasser suite à une longue journée !? Rires ! Cela lui aurait un peu chauffer les fesses, mais si peu voyons !

 

Et puis, j’ai découvert ce si joli couple d’orties, au détour d’un chemin, au bord du ruisseau. Tous les deux, comme deux amoureux, côte à côte, se donnant la main, mais surtout prêts à être utilisés.

Mais pour quoi ? Ou qui ? Ah… Petits curieux... Vous le saurez peut-être bientôt…

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 13:55

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Dans ma tanière,

Elle a surgit.

Un souffle, j’ai senti…

Morsures des lanières.

 

A chaque coup porté,

Claquement saccadé

D’un talon compensé

Sur ce sol dévasté.

 

La main sure et zélée,

Elle frappe sans discontinuer

Mon corps déjà zébré.

Sang …sans pitié !

 

Pluies acides sur les plaies,

Eau à 90 degrés,

Hurlements incontrôlés

Je me hais.

 

soumise wanda

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Samedi 12 mai 6 12 /05 /Mai 10:23

 

Soumise Wanda m’a avouée cette semaine avoir été surprise, car elle a découvert avec tristesse qu’elle avait certes parcouru mon blog, mais qu’elle avait également oubliée certains passages, dont certains d’importance.

Ma sang ne fit pas qu’un tour en découvrant ceci, mais deux ! Je ne pouvais laisser passer cela sans la sanctionner. Et voilà, après mûre réflexion, je lui ai demandé d’écrire 500 lignes, pour corriger son oubli. Oui, pour ne plus jamais oublier…

Et Wanda semblait avoir bien mal au bras certains soirs de cette semaine…

Courage, petite chose…

Et applique-toi bien !

 


Le début. 1ère page...

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Après 10 lignes, il faut prendre le rythme...

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2ème page...

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La suite...

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 7 mai 1 07 /05 /Mai 13:50

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Pour Madame S vénérée.

Je vous livre la suite de cette deuxième journée... 


Soumis(e) était fier(e) et honteux(se) d'être ainsi exposé(e) à sa Maîtresse toujours attaché(e) cambré(e) sur cette table.

Maîtresse actionna le moteur de la table pour la rendre horizontale puis elle retira le petit gode tuyau.

Soumis(e) ressentit une petite brûlure.

"C'est bien, ta corolle se resserre bien: dit-elle en lui flattant les fesses... Et ton ventre gargouille".

Maitresse lui dessangla les cuisses, détacha la cordelette reliée à ses bourses de l'anneau au sol et tira dessus.

"Viens ma chérie, descends de cette table !".

Soumis(e) était toute ankylosée, avec des crampes partout : le dos, les cuisses, et ce ventre ballonné.

Maîtresse lui retira le corset, mais relia dans le dos les 2 bracelets des poignets.

Cela eu pour effet de voir ainsi le ventre de Soumis(e) s'arrondir. Puis d'une main avec la cordelette elle le fit marcher dans la pièce.  

De l'autre main elle avait une longue cravache pour houspiller les fesses de Soumis(e) et le faire courir.

Le ventre de soumis(e) était bien ballonné avec la pression des 2 litres de lavement.

Plus soumis(e) courait, plus le liquide poussait son sphincter, plus soumis(e) contractait ses fesses.

Maitresse s'en amusait... "Je n'en peux plus maîtresse !".

Et un jet de liquide partit. Un violent coup de cravache cingla et zébra les 2 lobes fessiers rebondis de soumis(e).

Maitresse tira fortement sur la cordelette et l'amena au-dessus d'une bassine et l'invita à s'accroupir.

"Je suis déçue, tu dois te contrôler et attendre mes ordres et mon bon désir".

Elle fixa la cordelette à un anneau au sol pour qu'il(elle)ne puisse se relever.

"Voilà accroupi(e) pour tout besoin il va falloir t'habituer !!!.... Oublie ta condition de mâle....!

Maintenant montre-moi si tu as respecté mes consignes que je t'avais données avant de venir. Tu as du déjà faire tes petits lavements chez toi en pensant à moi ?".

Honteux(se), soumis(e) poussa. Sans effort un long jet gicla dans la bassine.

"Tu sais que vu(e) ainsi. De derrière tu es moins mâle ! .... Allez... Vides-toi bien!".

A plusieurs reprises soumis(e) poussa pour faire ressortir le lavement.

"Bien mets-toi a 4 pattes, visage au sol, pousse encore, ouvre ta corolle".

Un dernier filet de liquide coula de cette corolle turgescente et glissa sur ses bourses.

"Bravo ma chérie, tout ce lavement est clair et limpide, je vois que tu m'avais bien obéi pour préparer ton stage".

"J'adore l'hygiène, je déteste le négligé".

Un coup d'ongle lui rétracta sa corolle. "Hmmmmmmmm..... Quelle sensibilité et quelle réactivité".

Sur ce, Maîtresse alla chercher le tuyau d'arrosage du garage et un shampoing dans la douche.

Un premier jet d'eau glaça la peau de soumis(e), puis Maîtresse avec des gants en latex lui shampouina tout le corps en s'attardant sur les parties intimes toujours ballstrechées qu'elle malaxa sans précaution afin que le côté douloureux l'emporte sur un éventuel plaisir.

Soumis(e) grelottant(te) était ridicule à 4 pattes tout(e) recouverte de mousse.

"Oh..! J'ai mouillé mon tailleur... A m'occuper de toi, je reviens.........." Soumis(e) était transi(e) de froid.

Maitresse revint 10 mn plus tard, elle avait passé des bottes cuissardes rouge en chevreau jusqu'à mi-cuisses, une jupe noire en satin courte, droite et moulante sur sa peau nue et une veste cuir rouge fermée par un bouton qui laissait voir une partie de sa poitrine ferme et généreuse.

Rapidement, de loin elle passa le jet d'eau sur soumis(e) qui se tortillait en faisant attention à ses bourses qui en plus se rétractaient avec le froid.

Puis elle augmenta le débit d'eau et visa la corolle et l'entre-jambes. Soumis(e) se tortillait...

"Voilà ça brille!... Je vais pouvoir t'emmener à ton premier rendez-vous".

Avec la cordelette elle l'amena dans une pièce avec des miroirs.

Soumis(e) pu se voir nu(e) tenu(e) en laisse. "Ne bouge pas".

Elle lui détacha les mains. Maitresse  lui tendit un grand bol d'eau sucrée."Tiens c'est ton petit déjeuner !"

Puis elle alla chercher une paire de bas noirs auto-fixants  C’est une paire d'escarpins noirs.

"Enfile çà !".

Soumis(e) aimait sentir le contact des bas sur sa peau  et essaya de les mettre de manière féminine pour plaire à sa Maitresse.

Soumis(e) comprenait pourquoi il était venu ici.... C'était pour être sur la voie de la féminisation et de la servitude et se donner à sa maitresse.

Sa vision dans le miroir en bas noirs et escarpins à côté de sa Maitresse lui provoqua une forte émotion clitoridienne.

"Eh bien, tu vas être difficile à féminiser si tu as autant d'émotions, nous allons devoir trouver des solutions."

Maitresse fixa des bracelets rouges avec anneaux aux chevilles et poignets à Soumis(e) puis vint lui poser sur les épaules une cape courte noire qui s'arrête à la limite haute des bas  .Une cape qu'elle boutonna.

Ensuite elle lui attacha à nouveau les mains dans le dos. Tirant la cordelette qui passait entre les boutons elle amena Soumis(e) à la voiture et la plaça sur la banquette arrière en lui écartant les jambes et elle attacha les chevilles de chaque côté de la banquette.

Le froid du cuir sur le haut des cuisses fit frissonner Soumis(e) qui se regardait ainsi offert(e) avec indécence; ballstréché(e) avec un clitoris très dur... Mais ce qu'il(elle) avait désiré(e) en signant pour son stage de soumission.

 Maitresse fixa la cordelette au levier de vitesses.

"Surveille tes bourses quand je rétrograde".

Elle posa ses mains gantées de noir sur le volant. En partance pour le premier rendez-vous............................

Godeline 

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mardi 1 mai 2 01 /05 /Mai 13:59

Un joli brin de muguet, savamment disposé, pour des vœux de bonheur inspirés…

Entremêlé de feuille d’ortie et d’une aiguille, dissimulée…


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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Lundi 30 avril 1 30 /04 /Avr 14:27

En version fille ?...

 

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 En version garçon ?...


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A vous de choisir...

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Samedi 28 avril 6 28 /04 /Avr 10:08

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Maîtresse,


Je peux enfin Vous renvoyer cette suite où j'avais regretté, il y a quelques jours de ne pas avoir développé certains souvenirs, qui continuent à me faire battre le cœur. je me suis ainsi permis de rajouter, un écrit quelque peu scénarisé, de ce moment insaisissable où, Vous m'aviez placé nu, au pieds de Votre Amour Vous unissant Vous et Mademoiselle O :

 
'' Il s'éveille le matin sans vraiment saisir, si le moment vécu est réel ou s'il en avait simplement rêvé... Il constate simplement un engourdissement profond de ses membres supérieurs et inférieurs, suivi d'impatiences. Il tente alors de se relever, en constatant que ses poignées et chevilles, sont belles et bien liées entre elles, par des chaînes menottées."

 
Preuve qu'il n'est pas dans un songe, mais pourtant bel et bien l'esclave de sa Dominatrice dont il dépend et dont le claquement de talons ne tardent pas à se faire entendre sur le plancher et de se rapprocher de lui.

''Alors petite sous merde, je t'annonce que j'ai bien dormi, quand à toi si tu savais comme je m'en moque !!!....''

C'est ce genre de phrase, qui le faisait vibrer psychologiquement car elle le projetait vers le néant tout en éclaircissant son destin, sur lequel Madame avait une totale emprise. Il savait que seul compte pour lui la Grandeur de sa Maîtresse, devant Qui il n'était plus rien.

‘‘Je vais te laisser comme cela à même le sol, le temps que je déciderai, mais dans un premier temps tu vas commencer ta journée en te nourrissant du léchage de mes Mules, elles m'ont déjà fait la saison dernière, profites en bien car ce sera ta seule nourriture de la journée...'' 

La Maîtresse éclata de rire en observant son soumis conquis par sa tache… Puis s'en alla pour rejoindre son Amoureux, qui l'attendait dans le Lit Conjugal... Une heure après, elle revint '' délivrer'' son pauvre esclave, qui marchait difficilement tant son immobilisation lui en cuisait. Elle rejoignit P son Amant, pendant que l'esclave, se tenant debout devant leur Lit, n'osait Les affronter de son regard perdu, il se sentait tellement ridicule dans sa tenue d’Adam, il entendit cependant sa Maîtresse, lui intimait l'ordre de boire un verre d'urine, qu'Elle lui avait réservé, puis il dut lécher les Bottes de sa Maîtresse, il s'y appliqua tellement qu'il ne sut jamais ce qu'il avait inspiré à ce Couple, à quelques mètres de lui....

Puis vînt l'heure pour Monsieur, de s'habiller pour rejoindre son travail car Il exerçait de hautes responsabilités dans le milieu de la distribution, et devant partir à un séminaire de deux jours embrassa profondément son Amour, ce qui impressionna le serviteur. Madame et Monsieur, se portaient l'Un et l'Autre une confiance absolue à un tel point que jamais le moindre doute ne pouvait jaillir concernant l'esclave de Madame, ou même de Sa soumise, Mlle O.

Une bonne partie, de la journée s'écoula, quand quelqu'un sonna à la porte, il s'agissait de Théo, ami de Madame pour qui Elle avait par le passé exercé ses Talents de Femme Capricieuse et Dirigeante. Ils passèrent à hauteur du soumis, qui était nu en train de gratter les sols à quatre pattes. Il entendit la Voix de sa Maîtresse l'appeler. Quand il ouvrit la porte du séjour, il comprit ce qui l'attendait en observant cet homme nu, devant Madame, alors que cette Dernière s'était étendue dans le canapé. 


'' Il y a longtemps que j'avais envie de voir tous les deux réunis et à ma merci, maintenant seriez-vous capables de vous allonger à mes pieds et de vous sucer mutuellement, ne serait-ce que pour le bonheur psychologique de Votre Maîtresse...'' 

Les deux soumis s'exécutent en s'appliquant l'un et l'autre dans cette tâche qui vient de leur être confiée. Après une vingtaine de minutes, la Dominatrice leurs ordonne de stopper... Chacun se relève, un peu honteux et pourtant comblés d'avoir découvert ce nouveau plaisir grâce à Madame. Sur l'approbation de Celle-ci, Théo quitta les lieux, les deux soumis se saluèrent en se disant que peut-être ne se verront-ils plus mais que pour chacun, ce moment restera gravé dans leur conscience et dans leur cœur à jamais.

Le soumis prépara le diner de Madame avec beaucoup d'applications, même s'il lui restait de nombreux efforts à effectuer, pour gagner la confiance de sa Maîtresse. Après avoir débarrassé la table et avoir effectué un brin de ménage, quelqu'un sonna à la porte.

Le soumis nu, toujours ridicule, dut aller ouvrir la porte. C'était Mlle O, la soumise de la Maîtresse, qui se jeta dans ses bras, elle était très belle, d'une taille très fine presque fragile, qui entretenait avec Madame, une relation saphique basée sur lasoumission. À la différence de l'esclave, celle-ci ne revêtait qu'une dépendance psychologique. Le serviteur ne pouvait que s'aplatir devant ce lien qu'il trouvait très beau.

Pendant que Madame et Mlle O parlaient l'Une et l'Autre dans le canapé, l'esclave avait reçu l'ordre de vernir les Pieds de ces deux Dames. Elles se levèrent soudain, et décidèrent d'un commun accord d'accrocher les bras du soumis, au portique en laissant ses pieds pendre dans le vide. La Dominatrice intima l'ordre à O de se saisir du fouet et de fouetter le soumis de 200 coups, condition incontournable si elle voulait ce soir finir dans le lit de Madame. 

Quant au pauvre dominé, il ne lui reste plus qu'à serrer les dents, et à espérer que sa conduite soit plus qu'exemplaire pour le plaisir de ces deux Dames.

Il comprit soudain, une nouvelle fois, la valeur du mot ''dépendance''....

aaron

 

 

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aaron et "T"...

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 27 avril 5 27 /04 /Avr 12:54

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Un petit poème d’un de mes lecteurs, que je vous fais partager...

 

 

Sous les toits.

 

Un chat à neuf queues sur le lit bien fait

Où Madame me passe mes quatre voluptés

J'aime éprouver son cuir me tenir encore

Sentir sa chaîne me comprimer fort

 

Madame aux genoux de qui je rampe

Nu et lié, de nuit, sous la lampe

Madame, Maîtresse de moi-même

Et d'elle encore, dans la lueur blème

 

S'épanouit dans le fil rouge incarnat

De mon sang qui coule à ses bas

Conscient, inquiet à sa merci jeté

Je lèche à ses genoux mon sang versé

 

Sur le drap noir et froid de vinyle tendu

Mis en croix, étiré, elle m'a étendu

De ses talons cruels, acérés me piétine

Et me fait la chaude offrande de son urine.

 

« Victor H. » mai 2011

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 26 avril 4 26 /04 /Avr 11:44

En lisant un magazine au hasard, j’ai découvert une page de publicité pour un vernis à ongles qui ne m’a pas laissé indifférente et qui m’a fait plutôt sourire…

Voyez vous-même…

Sans équivoque !

 

26.04.2012

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mardi 24 avril 2 24 /04 /Avr 11:06

 

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La signature de mon contrat. Histoire vraie vécue par titou...

Le 18 janvier 2010 au 69 bis  – 2 et fin  -

 

La soirée avec D

 Maîtresse Olivia et Madame Isis accueillent D, un nouveau soumis. Il remplit son questionnaire, en dégustant le verre de whiskies que je lui ai servi, en bonne petite soubrette. Il se présente comme un soumis plutôt soft, même s’il fantasme sur l’uro, ce qui se traduit par de nombreux « non » sur le questionnaire, assez cérébral, et je ne me fais aucun doute sur le fait que les dominatrices du lieu sauront adapter leurs pratiques et le satisfaire.

On lui indique l’endroit où il pourra déposer ses affaires, et il file se déshabiller. Ne le voyant pas revenir, ma Maîtresse va le rejoindre.

Les minutes s’égrènent, et je ne les vois toujours pas revenir. Je ne sais ce que Maîtresse Olivia fait à mon nouveau collègue, mais cela commence un peu à m’agacer. Et moi alors !

Pour combler ce moment et éviter la jalousie de prendre possession plus avant de mon cerveau, j’entreprends, sous les instructions de Madame Isis, de dresser la table pour prendre l’apéritif.

La table est maintenant dressée, et je vois ma Maîtresse revenir, avec D qui la suit. Il semble plutôt content, et moi j’enrage discrètement.

Maîtresse Olivia et Madame Isis s’installent confortablement, et je sers à chacun de quoi se détendre. Ma Maîtresse s’applique à bien m’humilier, en expliquant à D que je suis la soubrette du lieu, que mon travail est de les servir. Elle m’ordonne de faire le service à notre nouveau soumis également, malgré ses quolibets peu élogieux. Mais au fond, je n’ai que faire de ce qu’il peut penser de moi, seul ce que pense Maîtresse Olivia a de l’importance à mes yeux.

Je peux tout même profiter d’un moment de répits, de me détendre un peu, et nous écoutons D nous parler un peu de lui, de sa maison en Auvergne, de sa responsable qu’il raccompagne en voiture de fonction, un peu de sa conception du BDSM.

Ce sujet donne l’occasion à ma Maîtresse de lui montrer ce qu’on peut faire à des soumis obéissants, et j’ai droit à une séance de cravache avec comptage à la Maîtresse Olivia (pour le lecteur étourdi, je rappelle que Maîtresse Olivia aime faire compter par tranches de 0.25), et je suis vraiment en sueur quand je compte 10. Ouf, mes erreurs ne sont pas comptabilisées, et je peux tenter de retourner m’asseoir, non sans avoir remercié comme il se doit ma tortionnaire.

Le dîner se passera calmement, sans réprimande particulière, et j’ai le sentiment d’avoir fait des progrès.

C’est l’heure du dessert, et pour respecter la tradition, Madame Isis nous propose une galette des rois. Etant le plus jeune de la bande (non je plaisante), étant celui qui est à quatre pattes depuis le début de la soirée, je me glisse sous la table pour annoncer les destinataires des parts de gâteau. Je commence par ma Maîtresse bien évidemment (je ne vais quand même pas lui tendre les bâtons pour me battre), puis Madame Isis, et je finis par D, la dernière part me revenant de facto. En observant les regards amusés de mes deux dominatrices, je me doute que quelque chose s’est tramé pendant que j’étais sous la table. Quelle attention ! Les deux dominatrices ont caché une fève dans ma part, afin d’être certaines que je serais le roi de la soirée. Et je le serai doublement, car c’est bien moi qui avait la fève. Je voulais cette soirée magique, pour une occasion magique, et le hasard de la galette s’en est mêlé, au meilleur des moments. Il me semble que tous ces signes sont de bons augures pour cette soirée où je m’apprête à offrir son âme et son corps à ma Maîtresse. Et en plus, Maîtresse Olivia a prévu un cadeau plutôt qu’une couronne ! Elle me montre le gode ceinture qu’elle se propose à utiliser me faire jouir ce soir.

Merci Maîtresses !

Après dîner, je me charge de débarrasser, et entame la vaisselle, pendant que ma Maîtresse entraîne D dans la salle de bain. Elle croise mon regard implorant, et s’en détourne brusquement.

Je sais bien ce qui va se passer derrière ce rideau, je sais qu’elle sait que je sais, et je sais qu’elle sait bien le coup de poignard qu’elle vient de m’envoyer, en allant offrir son champagne à D. Maîtresse Olivia manie la frustration avec une perversité absolue, et je peux vous dire qu’elle vient de réussir un coup de Maîtresse !

Avant de partir, D se laisse convaincre de tester la bougie. Il dit n’être pas maso, mais la cire procure des sensations qui sont sans rapport avec le masochisme. La brûlure immédiate est violente, mais la douleur disparaît aussi vite qu’elle est arrivée. En ce qui me concerne, les jeux de cire me procurent un plaisir intense, et vous pouvez admirer le résultat sur mes fesses en page d’accueil.

D et moi recouvrons le sol de la bâche prévue à cet effet, et D est le premier à s’allonger. Sur le ventre, D se fait dessiner le dos à la cire par Madame Isis, sans broncher le moins du monde. Aucune réaction n’est visible, difficile de savoir s’il souffre, s’il prend du plaisir, ou s’il s’ennuie. Il va par contre déguster quand on lui retirera l’œuvre d’art de Madame Isis avec le couteau planqué à cet effet dans le congélateur, car D est poilu. Enfin, mon supplice est terminé de voir un soumis souffrir sous la bougie, et moi rester à le regarder.

Ma Maîtresse me demande de baisser mes portes jarretelles et mon string, et de m’allonger sur le dos. Elle commence par s’occuper de mes tétons encore douloureux des pinces à seins. Sur cette partie endolorie de mon corps, la douleur est fulgurante, et je ravale un cri. Le gauche puis le droit, la sensibilité est la même. Mais elle descend inexorablement vers mon sexe, et j’attends ce moment avec impatience. La peau entre les cuisses est trop douce, et je supporte mal la bougie à cet endroit, mais sur mon sexe … Mes soupirs sont ceux du plaisir, de l’abandon, de la volupté, de la souffrance qui amène le plaisir. Maîtresse Olivia orne ma bite et mes couilles, alterne la bougie rouge et la bougie noire. Je passe du plaisir à la douleur, j’aimerais que cet instant ne s’arrête jamais !

Je me mets maintenant sur le ventre, et c’est mon dos qui sert de planche à dessin à Maîtresse Olivia. Mon corps ondule de plaisir, et j’aimerai pouvoir admirer ce que ma Maîtresse écrit sur moi. Cette séance de bougie me parait avoir duré une éternité, j’ai le sentiment d’avoir vécu en osmose avec ma Maîtresse pendant de longues minutes, et quand la douleur s’arrête, elle fait place à une impression de manque.

Merci Maîtresse !

 D nous quitte (enfin), alors que Mphil entre à l’instant.

 

La signature

L’arrivée de Mphil et le départ de D ont profondément changé l’atmosphère. Nous sommes entre amis, cela fait tomber un peu la pression, même si je ne quitte pas ma Maîtresse du regard afin de tenter d’anticiper le moindre de ses désirs.Je sers une part de Galette à Mphil, une nouvelle bouteille de champagne est débouchée, et nous discutons de choses et d’autres.

Bientôt, le sujet se tourne vers ma demande d’engagement auprès de Maîtresse Olivia. Nous échangeons à nouveau sur le fait que cet engagement est fort, qu’il sera compliqué à vivre au quotidien compte tenu de nos vies et de nos engagements respectifs.

Je pense être clair dans ma tête, et je veux y aller. Mphil est également d’accord sur le principe de mon appartenance à Madame Isis. Rien ne s’oppose dorénavant à la signature de ce contrat, que ma Maîtresse tient dans ses mains.

Madame Isis est allé chercher une aiguille, et la stérilise en la faisant chauffer au-dessus de la flamme de son briquet. Le bout de l’aiguille prend une couleur rouge et je deviens brusquement obnubilé par cette flamme qui vacille sous mes yeux. Une intense émotion s’empare insidieusement de mon âme et de mon être. Un instant magique va se dérouler, et j’en serai  un des acteurs principaux.

Ma Maîtresse ne me quitte plus des yeux, et je comprends qu’elle vit également ce moment avec intensité.

Madame Isis me tend l’aiguille et m’explique maintenant la procédure à suivre: je dois me piquer le bout du doigt avec, faire jaillir une goutte de sang et apposer mon empreinte ensanglanté sur chaque page du contrat.

Je prends donc cette petite aiguille, et m’emploie, avec quelques difficultés, à me piquer l’index. Je suis surpris de la difficulté que j’ai à me faire souffrir, à transpercer la peau légèrement cornée de mon index, alors que je subis bien pire de ma Maîtresse.

Enfin, la goutte de sang tant attendue jaillit au bout de mon doigt. Je plonge mon regard dans les yeux de ma Maîtresse, et j’appose mon doigt sur la première page du contrat. Instantanément,  je suis gagné par un certain trouble, mes mains tremblent légèrement, et je lutte à tourner les pages. Madame Isis vient à mon secours pour m’éviter de faire des taches de sang sur chaque page, et je continue à marquer de mon sceau ce contrat. A la troisième page, l’émotion devient trop forte, et je présente par avance mes excuses au lecteur si je ne réussis pas à la lui faire partager.

Cette émotion me gagne inexorablement, au point de faire jaillir un flot de larmes. Pour être tout à fait précis, je pleure, mes lunettes sont totalement embuées, les larmes coulent dans un flot continu sur mes joues, et je peux arrêter les sanglots. Les pages se tournent, mon empreinte se dépose sur les pages du contrat, et je pleure de joie, de ce bonheur immense d’avoir une Maîtresse qui m’accepte, qui me prend sous sa coupe, comme je suis, avec mes qualités et mes défauts, qui va s’engager à mes côtés pour me faire progresser et nous permettre de vivre des moments intenses de bonheur partagé. (Et que dire de cet instant précis où je rédige ses quelques lignes, je peine à ravaler de nouveaux des larmes de joie).

Le contrat est enfin signé, Maîtresse Olivia appose enfin sa signature, Madame Isis également, et l’une et l’autre me prennent dans leurs bras pour m’aider à faire redescendre cette émotion.

 Nous trinquons autours d’une coupe de champagne, et je m’éclipse rapidement dans la salle de bain pour retrouver un visage un peu plus digne.

 Pour clore en beauté cette soirée qui restera gravée dans ma mémoire à jamais, ma Maîtresse m’entraîne dans la pièce du fond.

« A quatre pattes, salope »

Je me précipite sur le bord du lit, les fesses bien cambrées, pendant que Maîtresse Olivia s’équipe du gode ceinture qu’elle a présenté lors de la galette. Pour la première fois depuis que je la connais, je vais enfin me faire enculer par ma Maîtresse. Un peu de gel, et j’avale cette bite en latex avec gourmandise. Je sens ma Maîtresse prendre possession de mon cul, profondément. Mes chairs se dilatent, je suis totalement rempli. Ma Maîtresse entame un mouvement de va et vient, d’abord en douceur, puis de plus en plus rapide, profond, violent. Elle m’a enfin donné l’autorisation de me caresser, et je me masturbe avec frénésie, allant au-devant de cette queue en latex.

Je gémis, je suis proche de la plénitude, mais j’attends l’autorisation de jouir. Mes couinements se font implorants, et Maîtresse Olivia, sentant que je ne tiendrai plus très longtemps, m’autorise enfin à me lâcher.

C’est dans un ultime gémissement que je lâche quelques jets blanchâtres, en m’écroulant sur le lit, le gode profondément fiché de mon cul de salope. Je jouis avec force, et l’émotion me gagne à nouveau. Ce plaisir intense fait jaillir à nouveau un flot de larmes, un flot tellement fort que j’éclate en sanglots. Ma Maîtresse a quitté la pièce pour se remettre de ce moment intense, et je peine à ma calmer, écroulé sur le lit.

 Quelle soirée, quel bonheur !

Cette soirée représente l’apothéose de mes rencontres avec ma Maîtresse, et je sais qu’il y en aura d’autres, toutes plus folles les unes que les autres.

Et je le sais d’autant plus qu’à l’heure où je rédige ce récit, je viens de revoir ma Maîtresse, et je peux vous dire que je n’ai pas été déçu.

Mais cela est une autre histoire.

 Merci Maîtresse Olivia !

Merci Madame Isis !

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 20 avril 5 20 /04 /Avr 14:14

 

Pour ceux qui suivent mon blog, (et il y en a quelque un(e)s avec assiduité et j’en profite d’ailleurs pour les remercier ici car cela me fait bien plaisir ! Surtout qu’il y a des jours, où j’en conviens, je ne publie pas toujours le must ! Rires ! Alors d’autant plus merci à vous de me rester fidèles !), mais revenons à nos moutons, certains sauront que je suis une rééducation suite à mon opération de l’épaule. Et ce matin, j’ai été inspirée par la lumière rouge qui couvrait mon corps et le réchauffait pour détendre mon épaule et ses douleurs. Aussi, j’ai eu l’idée de prendre quelques photos.

Je vous fais donc partager quelques clichés, avec ces jeux d’ombres et de lumières, qui moi, m’inspirent…

Je souhaite qu’ils vous plaisent tout autant…

 

 

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