Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 10:19

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Madame, je vous fais parvenir la suite du récit que j'avais écrit de cette histoire qui n'en est qu'à la deuxième journée…

 

Soumis(e) dans cette position attaché(e) sentait l'air frais entre ses fesses ouvertes.

L'étirement de ses bourses vers le bas et toutes ses pensées durcissaient son clito qui cognait le bord de table.

C'est sans doute ce que voulait Maîtresse : stimuler le clito de soumis(e) en le rendant inutilisable.

Soumis(e) eut du mal à trouver le sommeil.

Plus tard, soudain : un son de moteur le réveilla.

Un fort rayon de lumière apparut sur le sol et monta progressivement sur le mur. La porte du garage s'ouvrait. Une voiture plein phares entrait. Soumis(e) toute son intimité offerte aux phares de voiture, visage tourné vers le mur ne voyait que l'ombre de sa croupe se dessiner sur celui- ci. Le moteur s'arrêta mais les phares restaient allumés éclairant fortement les parties intimes de soumis(e) écartelé(e).

La portière claqua... Une voix d'homme dit :

"Tiens serait-ce notre nouvelle soubrette annoncée par Maîtresse mon épouse ? Hmmmm très belle cambrure, très féminine, belle chatte... Enfin presque parce que avec ses attributs très voyants, il va falloir trouver des astuces pour te rendre très femme. Le clito est intéressant!".

Sur ce il le prit et le serra fortement dans une main pour le faire grossir.

"Au premier coup d'œil 18-19 cm, ça doit être dur de ne pas s'en servir !".

"Bon je te laisse, je rentre de voyage, je vais prendre une douche ici pour ne pas déranger Maitresse et puis elle aime que je me glisse a cote d'elle tout frais".

L'homme se déshabilla devant soumis(e), qui découvrit un bel homme carré, musclé, au moins 1m85, brun.

Soumis(e) le voyait de dos prendre sa douche: silhouette très athlétique. Quand l'eau s'arrêta, l'homme se retourna, soumis(e) fut affolé.

L'homme était en érection, son sexe était impressionnant.

"Ah tu me regardes avec des grands yeux, de peur ou d'envie? J'en suis assez fier, j'aime m'en servir moi. J'aime faire jouir. Pour t'informer il ne fait que 22 cm de long sur 4,5-5 cm de large".

Soumis(e) se sentait vulnérable et intérieurement fut pris de panique, mais pour sa Maitresse il avait signé une semaine d'obéissance. L'homme passa derrière soumis(e). Il posa ses mains sur ses lobes fessiers bien arrondis et cambrés, de ces pouces il lui écarta la chatte anale. Soumis se contracta, essayant de la refermer.

"Elle m'a l'air très serrée, il va falloir la travailler si tu veux avoir une belle fente féminine".

"La séduction féminine c'est aussi pour nous maîtresse et moi, l'épilation totale, il va falloir perdre ces poils autour de ta chatte !".

Soumis(e) immobile, ainsi écartelé par des mains d'homme qui l'écartelaient était rouge de honte.

L'homme lui saisit les bourses et lui pressa fortement. Soumis(e) poussa un cri.

"Cà aussi, nous les voulons lisses, bien distendues, si tu veux qu'elles ressemblent à des grandes lèvres".

"Soubrette ! Le titre se mérite" dit-il en lui claquant fortement les fesses ! Pas assez désirable encore "....

"Bonne fin de nuit" dit-il en lui griffant le sillon fessier que Soumis(e) rétracta.

"Au fait finis ta boisson, sinon Maîtresse ne sera pas contente".

Et il partit, soumis(e) stressait à cause de ce membre énorme qu'il allait sans doute revoir dans d'autres conditions et à cette idée de devenir désirable au féminin. Il se mit à téter son gode biberon et s'endormit rompu de fatigue...

"7 heures, il est 7 heures ma chérie, samedi, j'ai pris quelques rendez-vous pour toi..... Aujourd'hui, tu vas devenir féminine !

Soumis(e) se réveilla avec une forte envie d'uriner, un clito très dur et mal partout. Avec fermeté Maitresse pressa d'une main les bourses ligaturées étirées et de l'autre le clito turgescent.

"Dis-donc tu fais des rêves érotiques, n’oublie que depuis hier soir, tu dois penser au féminin.

"Oui Maitresse".

La douleur de ces bourses lui fit perdre la dureté de son clito. Maitresse passa devant lui, elle était magnifique avec un chignon, un chemisier blanc, un tailleur bleu marine très court mettant en évidence sa taille et sa cambrure.

Les chaussures marines avec des très hauts-talons galbaient ses jambes bronzées.

«Monsieur m'a félicitée pour le casting, il est rentre tout excite dans le lit... C'était merveilleux"!

"Tu n'es pas jalouse ?..... Tu dois être fière, Grace à toi, il m'a encore mieux honorée !".

Ce compliment toucha Soumis(e), il avait signé pour le plaisir de sa Maitresse.

"Pour ton premier rendez-vous tu dois avoir une hygiène parfaite, tu m'as dit que tu avais fait des lavements avant de venir mais bon... On n'est jamais si bien servi que par soi-même, je veux vérifier !"

Maîtresse ouvrit un placard, prit un lubrifiant, un gode très arrondi d'un côté (de petite dimension : 2,5 cm de large) et muni d'un tuyau de l'autre avec sangles et un entonnoir. Elle mit des gants de latex posa du lubrifiant sur un doigt.

"Donne-moi ta chatte ma chérie, pousse arrondit ton petit trou".

Elle posa son doigt lubrifié à l'entrée du petit cratère formé et poussa".

"Aaaahhhh".....

"Juste un doigt et un petit gode pour ne pas trop le déflorer encore !"

Soumis(e) avait honte mais il était fier d'être pénétré par le doigt de sa Maîtresse..........

Elle tourna avec application son doigt à l'intérieur.

«Voilà ta première mouille ma chérie !".

Puis elle lui enfila le gode, le sangla et fixa le tuyau avec l'entonnoir à un support en hauteur.

Maîtresse retourna au placard et revint avec une poche de liquide.

"Voilà 2 litres d'eau parfumée glycérinée pour une chatte parfaite". Et Maîtresse fit couler la solution.

Soumis(e)sentit le liquide froid rentrer en lui et parcourir son ventre. Au fur et à mesure qu'il se remplissait, son ventre se gonflait et appuyait sur sa vessie, il (elle) se tortillait.

"Maîtresse j'ai besoin d'aller aux toilettes, je vous en supplie !"

"C'est bien de demander, il faut toujours demander... Allez vas-y vide-toi, tu vas me faire de la place, il me reste encore un litre de liquide à mettre dans ton entonnoir ! Vide-toi !de toute façon pour la semaine à venir toute entrée ou sortie de tes orifices se fera sous mon contrôle ! Compris ! Dit-elle en plaçant un grand vase sous le clito de son soumis. Oui, Maîtresse"...

Et là toujours attaché, écartelé, pénétré. Soumis(e) urina sous le regard de Maîtresse.......... Un long jet bruyant…

A nouveau du liquide  froid parcourut ses entrailles...... Son ventre gargouillait... Soumis(e) pensa aux rendez-vous promis de la journée.

Qu'est-ce que Maitresse avait imaginé ?.... 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 14:12

 

26.03.2012

 

 

 

Deux rayons de lumière,

Au volant de ma civière,

Les pancartes défilent

Devant mes yeux débiles.

 

La route, bitume avalé,

Chargée d’humeurs refoulées

Se confond dans le tumulte

Incessant de la voiture-culte.

 

Deux rayons de lumière

Moribonds, empoussièrent

Les lignes et les traits,

SOS cherchant la voiture balais.

 

Sur l’autre rive, le flot ininterrompu

Sur l’autre rive, réside mon salut

Sur l’autre rive, à sens contraire

Aussi, comment lui plaire ?

 

 

soumise wanda

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 23 mars 5 23 /03 /Mars 10:53

 

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Quelle tentation !!

Et pourtant vouée à l'échec permanent pour ce malheureux ! S'il insiste, désespérément il ne peut que s'étrangler !

Je me pose une question : peut-il espérer que le "lourd fauteuil de bois sombre" quitte, ou s'éloigne un tant soit peu du "mur opposé" pour se rapprocher de lui ?

Moi je songe à un rail, sur lequel, par l'action sur un simple levier, Madame pourrait rapprocher, avec une désespérante lenteur le fauteuil dont les pieds reposeraient sur ce chemin de fer mécanique... Il pourrait ainsi, ce pauvre pantin de chair, destiné aux amusements de sa Dame, retrouver un brin d'espoir ...

 
Voilà ! Il a effleuré le gros orteil au doucereux parfum ! ... Oui, il l'a effleuré !! Et voilà qu'il lui semble que sa Reine va vouloir le rapprocher encore un peu plus ! Il croit voir le pommeau du levier, dans l'adorable main, se mouvoir encore ... imperceptiblement... Il se sent presqu'en mesure de gober, d'ici une seconde la quasi-totalité du gros orteil... Oui ! Le gober !!

 
" Mon Dieu que ça va être bon si j'y parviens ! " se dit-il.

Elle le lit dans ce regard suppliant qu'il lui livre ... elle va avancer encore de quelques millimètres !... il en est sûr ... il cherche déjà à lui lancer un regard cette fois énamouré, reconnaissant.

MAIS NON ! VOUS SAVEZ QUOI ? Un pied est venu se poser sur la chaîne au niveau du flanc du malheureux... là ! Au pire moment !! ... celui du but atteint ! Et ce bout de chaîne entraîné vers le sol et de fait raccourci, tire la tête du pénitent vers l’arrière.

 
" Ahhhahaaha ! Chéri ! Tu ne veux donc pas que notre esclave prenne un peu de plaisir ? "


C'est juste Monsieur qui vient de rentrer et qui a son tour éclate de rire en appuyant bien du talon de sa botte, dont le supplicié sent maintenant le cuir : il, écrase les anneaux de la chaine contre la dalle froide...

Le fugitif espoir d'un instant de bonheur s'est envolé : quand Monsieur, désormais pressé d'aller embrasser Madame, libère les anneaux, Madame instantanément recule le fauteuil d'une simple pression sur le levier et les amants peuvent s'embrasser joyeusement, totalement hors de portée de ce membre du cheptel de la Divine.

Lui rentrera tout à l'heure "au chenil" plus frustré que jamais. Pourtant! Comme il avait espéré quand il avait entendu son nom, beaucoup plus tôt, et que cela, pour lui voulait dire une rencontre tellement - et depuis si longtemps - attendue !!!

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 11:59

 

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Je constate avec un réel plaisir que le « Scénario rêvé » vous à fait réagir et j’ai beaucoup aimé toutes vos suites et surtout pour votre imagination débordante et inspirée qui permettent d’en avoir pour tous les goûts ! Et je me permets de finir mon histoire, par « MA » fin du récit… Par Madame.S…

 

Les yeux bandés, le visage recouvert d'une cagoule en latex, il lui faut attentivement prêter l'oreille s’il veut L'entendre.

Le sol est mou, et absorbe le son de Ses talons aiguilles. Le bruit de sa respiration saccadée résonne à ses oreilles, et il ne peut se faire la moindre idée de ce qui se trame, ni de ce que sont Ses obscurs dessins.

Son imagination s'emballe.

Il sursaute violemment. Elle vient de lui saisir brutalement les couilles.

Perdu dans ses pensées, il ne l'avait entendu approcher. Il ouvre la bouche pour pousser un cri, le coup de cravache s'abat avant même qu'un son ne sorte. Elle lit en lui, le devance, petit vermisseau prévisible qu'il est.

La sueur de son visage masqué s'engouffre dans sa bouche, coule dans ses yeux.

Ses gestes sont précis, Elle ne tremble pas. Formant un anneau avec Ses doigts, elle rassemble ses couilles en un petit paquet, qu’elle lie promptement à l'aide d'un lacet.

Plusieurs tours, serrés. Il reste immobile, à quatre pattes, tremblant légèrement.

Un talon s’enfonce progressivement dans son épaule. Il ne peut que plier. Il entend sourdement son rire léger et moqueur, alors qu'il se retrouve face contre terre et les fesses en l'air. Des secondes, ou des minutes ?... Il n'entend plus rien.

Le doute s'installe. Aucun bruit, pas un mouvement d'air. Seul. Il se risque à redresser la tête, un tout petit peu. La surprise le saisit avant même que la douce douleur ne l'envahisse.

Ses fesses se mettent à brûler, il les imagine rougissantes, zébrées. Il reconnaît dans l'instant l'instrument dont Elle se sert. Il avait eu la "mauvaise" idée, il y a fort longtemps, de le Lui offrir un jour où il se promenait en Sa compagnie le long d'un minuscule sentier dans les montagnes vosgiennes. Une fine et longue branche verte de noisetier, cueillie sur le bord du chemin...

Elle le laisse ; essoufflé, pantelant, déboussolé, reconnaissant. Complètement allongé, sur le sol humide. Des petits coups de triques incisifs le forcent à se redresser, et à se mettre à quatre pattes de nouveau.

Puis ce son... Froid. Métallique. Qui n'en finit plus ! Une longue chaîne. Il peut La deviner ; il lui semble qu’elle s'affaire quelque par derrière lui. Il sent ses couilles enserrées. Pour combien de temps encore ? Quand le libérera-t-elle ?

Elle s'approche, saisi le paquet vulnérable. Y accroche l'extrémité de la chaîne. Le poids soudain des anneaux lui arrache un cri étouffé.

Elle lui retire son masque. L'odeur de la cave envahie ses narines.

Il risque un regard par-dessus son épaule. Il est là, au centre de la pièce obscure, à quatre pattes. L'autre extrémité de la chaîne, il peut la voir, est fixée au mur derrière lui.

Un lourd fauteuil en bois sombre trône devant lui, contre le mur opposé. Elle y est assise, les jambes croisées. Elle le regarde, dubitative, un léger sourire au coin de Ses lèvres moqueuses. Ses yeux brillent.

D'une voix, où se mêlent sévérité glaciale et candeur amusée,

Elle lui ordonne :

" Viens embrasser Mes pieds !"

Il avance vers Elle. Ses genoux et ses mains sur le sol terreux. Il peut entendre les anneaux tinter derrière lui, alors que la chaîne se déroule...

" Viens ! Approche ! " La chaîne quitte le sol, tout son poids se fait alors sentir. " Viens ! "

Comment pourrait- il, dorénavant ? Il allonge son dos, tend le cou, la langue.

Quelques centimètres, deux, tout au plus, le séparent de Ses orteils aux ongles rouges framboise.

La chaîne qui le retient au mur par son intimité ne pourrait être plus tendue... " Ne me déçois pas ! .... Viens..."

......A suivre ?...... 

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mercredi 21 mars 3 21 /03 /Mars 10:45

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Soumis(e) avait des crampes dans tous ces muscles, luttait pour préserver ses boules étirées avec en même temps ces tétons en feu.

A l'heure dite, Maîtresse revint «cela te fait du bien ce petit traitement, aucune virilité affichée ! 

Ton clito devient féminin de dimension raisonnable !

J’ai toujours pensé qu'il fallait penser à ses autres muscles pour éviter de penser à celui que vous avez entre les jambes : Vous ces mâles qui ne rêvaient que d'être féminisées, travesties....."

"Tu as désiré devenir soubrette male, tu vas le devenir !""Tu as droit à du repos avant un programme chargé dans les jours à venir «Maîtresse commença par détacher les poignets de soumis(e),

Mais le savant jeu de liens entre ses bourses et les anneaux l'obligea soumis(e) à faire attention à son équilibre.
Maîtresse prit évidemment son temps.
La cordelette dénouée soulagea enfin ces bourses. Il tomba à genoux de fatigue mais une douleur lui cisailla les fesses.

  Maîtresse lui avait donné un coup de fine baguette.
De sa main gantée par derrière elle lui saisit les boules pour l'obliger à se redresser.

"C’est moi qui décide de tes positions, compris soumis(e) !reste debout je vais t'emmener à ta chambre!"
Maîtresse lui plaça une laisse en chaînette un peu lourde à l'anneau -avant -du ballstrecher et lui relia les mains dans le dos.

"Alors ma soumise, tes tétons deviendraient-ils sensibles?"

Maîtresse ôta les pinces.
Soumise ressenti alors une brûlure encore plus violente. Elle aurait aimé qu’ 'on lui frotte les seins mais avec les mains dans le dos elle ne pouvait rien faire, elle poussait sa poitrine en avant comme pour la soulager.

"C’est bien, tu penses plus à tes seins qu'à ton ex- attribut mâle ".

 Maîtresse emmena soumise. Elle ouvrit une porte qui donnait sur l'extérieur.
La nuit était noire, il faisait froid, soumis(e)... nu(e) ressentait encore plus la brûlure de ces seins.
La marche pieds nus sur l'allée gravillonnée était difficile.
Des projecteurs s'allumaient sur leur passage.

Soumis(e) admirait dans des contre-jours la belle silhouette de Maîtresse avec cette main gantée qui le tenait en laisse.
Maîtresse prit un malin plaisir à lui faire plusieurs tours de sa propriété pendant 20 minutes. Frissons, seins et pieds brûlants, bourses douloureuses.... Soumis(e) ne de raccrochait qu'a la vénération de sa maîtresse.
Elle l'emmena vers un grand garage. La porte s'ouvrit pour découvrir un grand espace. Un côté réservé aux voitures et l'autre au sport avec plusieurs agrées et une douche.

"Ce soir tu dormiras ici. C’est plus pratique pour demain matin, j'ai pris quelque rendez-vous pour toi chez des spécialistes en ville, je tiens à avoir une soubrette présentable pour le week-end ! "

«Allonge-toi à plat ventre sur cette table! Jusqu’au niveau de ton clito."

Le cuir de la table était froid, Maîtresse sangla la taille et le haut du dos du soumis à la table fortement. Puis avec une motorisation incurva vers le bas le centre de la table. Soumis(e) se retrouva très cambré(e) avec les fesses relevées. Elle lui écarta les cuisses au maximum en les remontant et les sangla à des montants.

"C'est bien de montrer ta chatte!"

Elle fixa la laisse des bourses a un anneau au sol, prit soin d'attacher les mains dans le dos et mît un petit coussin sous le visage de soumis(e).

"Je préfère que tu passes une bonne nui t!"
"Au fait si tu as soif, voici ton biberon."

Elle amena sur un chariot une bouteille verticale avec dessous comme robinet ce qui avait la forme d'un gode qu'elle plaça devant sa bouche.

"C'est simple, tu têtes et l'eau arrive, il y a un litre et demi et je veux qu'il soit vide demain matin quand je viendrai te chercher !"

"Bon et bien bonne nuit, ma chérie " lui dit-elle en lui passant son doigt ganté dans le sillon fessier.

"Hmmm belle chatte on va s'occuper des poils disgracieux demain."

"Au fait ne t'inquiète pas, tu seras dérangé par le retour de voyage de mon mari  cette nuit."

La porte claqua, la lumière s'éteignit. Il devait être 1 h du matin.

Soumis(e) dans cette position offerte inconfortable s'inquiétait.............................. Il ou elle se mit à téter le gode...

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mardi 20 mars 2 20 /03 /Mars 10:48

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…Alors qu’il se tient prostré, recroquevillé sur lui-même, il entend la porte de la cave grincer à nouveau. Une seconde personne vient d’entrer de cette salle de torture. Le bruit sourd des bottes lui font comprendre qu’il s’agit d’un homme. Dans la pénombre, il ne peut le reconnaitre. S’agit-il de l’amant de sa Maitresse ?

Il n’aura pas le temps de se poser des questions bien longtemps. Des mains vigoureuses l’attrapent et le soulèvent du sol. Elle lui met un collier de chien autour du cou, relié par une laisse.

Il est ainsi trainé vers l’escalier qu’il grimpe sur les genoux. Son anus lui brule toujours, et ses cris sont toujours étouffés par le bâillon boule. Il ressent le filet de bave qui s’échappe de sa bouche souillé le sol sur son passage, mais il ne peut le retenir.

La laisse le tire encore et toujours, et il s’approche d’une porte qui mène vers l’extérieur, et nu comme un vers qu’il se retrouve à quatre pattes sur le gazon de sa Maitresse.

L’homme qui les accompagne doit être son jardinier. Il vient de s’emparer d’une lance d’arrosage, et il reçoit brusquement un jet d’eau glacé. L’homme a décidé de la nettoyer de fonds en comble. Tout y passe, son torse, ses jambes, son sexe qui diminue à vue d’œil, ses fesses. Son anus est libéré de son plug, et le jet vient s’insinuer dans son conduit pour le laver également de l’intérieur. Le jet est violent, et il tente de lui échapper en se contorsionnant dans tous les sens, mais sans grand succès.

Et quand la lance s’arrête enfin de le torturer, il est propre comme un sou neuf, mais totalement transis et humilié devant cet homme qui lui jette un regard narquois.

Sa Maitresse s’approche enfin de lui, avec son regard d’acier qui le transperce de part en part, bien plus profondément que ne l’a fait le jardinier muni de son tuyau d’arrosage…

Avec une certaine tendresse, son visage orné d’un sourire glacial à quelques centimètres du sien, elle lui retire enfin son bâillon.

« Tu as voulu jouer avec ta Maitresse, ma petite salope, et bien nous allons jouer ! » Lui lance-t-elle.

Et elle continue :

« Si tu veux continuer à rester à mon service, tu as intérêt à être une bonne salope bien obéissante. Je ne veux pas une jérémiade ».

Quel sort sa Divine Maitresse lui a-t-elle réservé pour le remettre une bonne fois pour toute à sa place ?

Elle le tire à nouveau par la laisse, et l’emmène dans un coin reculé du jardin qu’il ne connaissait pas.

Cet endroit est plus intime, car bordé d’arbustes opaques. Plus intime vis-à-vis de l’extérieur, mais pour le soumis, l’intimité est de courte durée, car sur les bords de ce carré de verdure sont postés une dizaine d’hommes de tous âges. Certains ont un âge respectable, d’autres plus jeunes, certains sont sveltes et d’autres bedonnants. Mais ils ont tous un point commun : leur braguette est ouverte et ils tiennent leur chibre à la main.

« Tu vois ma salope, tous ces hommes sont venus pour toi ! C’est gentil, non ? Et ils ont tous envie de te voir humilier, de te traiter comme une bonne salope !

Je crois savoir que certains d’entre eux ont bu beaucoup de bière avant de venir, mais je jeune marocain que tu vois à droite, cela fait une semaine qu’il n’a pas vu de femme, alors je te laisse imaginer ce qu’il te réserve ! »

Le soumis vient de comprendre ce que lui a réservé sa Maitresse. Il va servir de vide couille à une bande de males, des vrais males, pas comme lui, et il va devoir tout subir sans rechigner, au risque de voir sa Maitresse le délaisser à jamais. Lui qui était transi de froid il y a peu va vite se réchauffer.

Mais ses pensées n’ont pas le temps de tourner dans son cerveau apeuré.

2 hommes viennent de s’approcher de lui, et avant qu’il n’ait eu le loisir de prononcer un mot, il reçoit un jet de pisse en pleine figure.

« Ouvre la bouche et avale !» lui lance le premier.

Interdiction de réfléchir ! Obéir ! Obéir ! Il n’a plus que ce verbe en tête.

L’homme a bien visé, et il commence à boire une urine bien jaune, au gout acre et salé. Il manque de recracher tant ce gout est fort, mais il se force à avaler. La chaleur commence à monter car le deuxième homme lui pisse directement sur la tête, et il sent cette urine chaude lui couler sur le visage, lui bruler les yeux au passage.

Il entend bien ces hommes le traiter de moins que rien, de salope et de sous-produit de la nature, il entend les quolibets mais il n’en n’a cure. Un seul objectif : obéir.

« A quatre pattes, entend-t-il !»

C’est une voix d’homme qui vient de lancer cet ordre auquel il obtempère immédiatement.

Un homme vient de passer derrière lui, et sans ménagement, il sent ses chairs se déchirer par une bite de gros calibre. Il voudrait hurler, ouvre la bouche pour émettre un son qui devient inaudible, une nouvelle queue vient de prendre possession de sa bouche et son sert comme d’une chatte. Il se fait limer la bouche à en baver, et il se fait ramoner l’anus sauvagement. Les jets de pisse continuent à lui réchauffer le corps, il n’est plus un homme, il n’est qu’une succession de trous à disposition.

Et le pire est qu’il commence à prendre du plaisir. Il sent bien qu’il commence à mouiller du cul, d’ailleurs son bassin a pris les mouvements du males qui le sodomise bien profondément. Il aime cela, à tel point que lorsque son sodomite sort de son cul pour lui éjaculer dans la bouche, il ressent comme un manque. Deux mains prennent possession de ses fesses pour élargir son trou béant, et il comprend qu’un nouvel homme est en train de lui pisser dans son conduit. Plein de pisse, un nouvel étalon encore mieux membré que le précédent lui ramone le boyau encore humide.

Combien de temps va durer ce gang-bang, impossible à dire. Quelle quantité de sperme va-t-il avaler, impossible à dire.

Ce qu’il sait, c’est qu’il a été à la hauteur du défi, qu’il a obéit et que l’humiliation du début a fait place au plaisir.

Brusquement, alors qu’il est englué dans le foutre et dans la pisse, il entend des mains frapper la fin de la partie.

C’est sa Maitresse qui vient de décider que l’humiliation avait atteint le niveau attendu, et que son soumis avait subi de mauvais traitement.

Elle est fière d’avoir montré à son soumis combien il ne faut pas jouer avec elle, et qui dirige et décide.

Il est fier d’avoir montré combien il savait obéir.

Cette journée lui a permis de grandir, il sait qu’il pourra continuer à servir sa Maitresse.

Il est heureux…

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 10:31

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(Il y aura une suite et une fin par titou, que je publierais demain ! titou déborde d’imagination lui aussi ! Tout comme godeline !)

 

Cette nuit doit devenir une véritable nuit d’enfer. Il l’a voulu, il l’a cherché, il ne peut plus se dérober.

Au fond de la cave, un sommier métallique est accroché au mur. C’est là qu’il va passer le début de la nuit.

Sortant des solides cordes d’une malle en bois, elle lui attache une après l’autre ses 2 mains aux coins hauts du sommier. Son corps ressent déjà la froidure du sommier métallique, et une légère douleur commence à poindre.

C’est maintenant au tour des pieds d’être solidement attaché aux coins du sommier. Il est dorénavant écartelé, impuissant, à la merci du pouvoir de sa Maitresse.

Pour éviter d’être dérangé par ses bruits, elle lui fixe maintenant un bâillon boule sur la bouche. Il pourra respirer, il pourra geindre mais ne pourra plus crier.

Ce bondage nocturne n’est pas encore terminé. Il sent brusquement un froid humide entre ses fesses. Dans un élan de bonté, sa Maitresse lui enduit l’anus de gel avant de lui introduire sans ménagement un épais plug anal. Heureusement que le bâillon était en place, car la douleur fugace de cette introduction lui arrache un cri de douleur étouffé du fond de sa gorge.

Il sent maintenant une nouvelle corde sur son torse. Celle-ci est destiné à le maintenir fermement sur ce sommier métallique dont il ressent toutes les lames lui scier le corps. Les cordes se tendent, plus aucun mouvement ne lui est permis.

Pour finir son œuvre, une ultime corde vient entourer ses couilles et son sexe, avant de revenir derrière pour maintenir bien enfoncé le plug profondément fiché dans ses fesses.

Il est totalement ligoté, rempli et son sexe se tend douloureusement du fait des cordes qui l’entourent.

Une violente claque sur les fesses, et sa Maitresse lui souhaite une bonne nuit avec un rire narquois, avant de fermer la lumière et la porte de la cave.

Le voilà dorénavant seul dans cet espace froid et confiné. Sa Maitresse, en experte de bondage, a su positionner les cordes de telle sorte que le sang puisse circuler. Mais il commence à ressentir la douleur liée au métal froid du sommier abimant ses chairs. Une douleur plus sourde se fait lancinante dans les tréfonds de ses entrailles. Il voudrait expulser ce plug, mais cela est rendu impossible par les cordes qui le maintiennent fiché dans son anus.

Mais tout cela devient annexe, car son cerveau commence à tourner en boucle dans tous les sens. Seul dans le noir, ligoté solidement dans une position inconfortable à ce sommier, il se demande combien de temps va durer son supplice.

Et si sa Maitresse l’oubliait ?

Et s’il devait rester ainsi prisonnier tout le week-end sans boire ni manger ?

Et si des crampes faisaient leur apparition ?

Et si ? Et si ?

L’angoisse commence à le submerger, les pensées les plus noires se bousculent dans sa tête.

Combien de temps va durer cette attente dans le noir de l’arrivée salvatrice de sa Maitresse ? Il ne le saura jamais tant le temps s’est arrêté pour lui.

C’est une lampe torche qui le sortir brutalement de sa torpeur. Ses membres son engourdis, sont anus le brule terriblement, sa bouche est sèche. Il est totalement anéanti par cet enfermement forcé. Il sait qu’il obéira dorénavant à sa Maitresse sans chercher à réfléchir, et sans chercher une nouvelle punition.

Sa Maitresse le détache lentement, commençant par les pieds, une main, la seconde. Il s’écroule lourdement sur la terre battue qui recouvre le sol, se recroquevillant tel un bébé sur lui-même.

Sa Maitresse tourne autour de lui, il voudrait se blottir à ses pieds pour implorer son pardon, lui dire combien il l’aime et la vénère.

Mais sa Maitresse en a-t-elle finit avec lui ?

Lui a-t-elle montrée véritablement qui dirige, qui domine ?

Ou doit-il encore souffrir ?

 

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Par Madame. S
Vendredi 16 mars 5 16 /03 /Mars 10:51

 

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Le soumis(e) a les membres tendus comme des arcs, il commence à avoir des crampes dans les mollets en restant sur la pointe des pieds mais il se concentre en pensant à ses bourses déjà très étirées.

Son ventre prisonnier du serre-taille très serré fait qu'il se sent très vulnérable sous la "ceinture".

Sa situation et ses pensées font que son clitoris se développe soudainement mais mollit rapidement parce que cela a aussi pour effet de tirailler ses bourses................. Cruel !

Il est dans le noir, il fait frais, il frissonne, il n'y a qu'une pendule lumineuse qui lui indique l'heure. Une heure dans cette position c'est éreintant !! Il est 23 h30 vendredi soir.

Il y a 2 heures dans une brasserie avec Maîtresse : Il signait son contrat de servante mâle soumise pour une semaine ; Il avait pris une semaine de congé pour vivre cette expérience.

Il ne s'était pas attendu à cette mise en condition aussi rapide : là immobile, écartelé, attaché.

En fait au bout de 30 minutes Maîtresse revient, elle allume la lumière, elle est toute gainée de cuir avec un justaucorps noir et rouge qui lui met en valeur sa poitrine. Ses jambes portent des bas noires résilles retenues par un porte-jarretelles. Elle a des chaussures noires vernies à hauts-talons fins.

Elle va vers le soumis(e) lui pince les tétons en les faisant rouler entre ses doigts gantés pour bien faire ressortir la pointe puis sur chacun elle place une pince qui se resserre avec des vis.

"Voilà ma belle tes zones érogènes doivent être stimulées... Chaque endroit stimulé doit te faire penser à ta maîtresse".

Maîtresse passa derrière le soumis(e).

De sa main elle pressa les boules étirées...... Soumis(e) grogna.....

"Fais attention elles sont bien mures, bien veineuses, la peau est fine, elles me semblent prêtent à exploser, elles doivent être gorgées de jus depuis 14 jours si tu as respecté mes consignes à la lettre !! Mais bon ce n'est pas à moi qu'elles vont servir, j'ai un vrai mâle à la maison.....

« Toi je vais t'apprendre à oublier ta virilité, tu es ici pour développer ta féminité de soubrette mâle...."

Dit-elle en griffant les fesses du soumis avec ses ongles. 

Maîtresse regagna la porte, le soumis réalisa qu'il n'était qu'un jouet de sa maîtresse, il découvrait qu'elle avait sa vie de l'autre côté de cette porte avec son male comme elle dit.

En fermant la porte et en éteignant la lumière, elle dit :

"Allez encore 20 minutes ma belle ! "

Soumis(e) frissonnait, transpirait, ces tétons devenaient douloureux : les pinces devaient être très serrées.

Mais il se sentait devenir dévoué et offert dans la patience à sa maîtresse qu'il vénérait.

Avec ces pensées son clito que sa Maîtresse désignait ainsi se mit à gonfler qui lui fit sentir encore plus ses boules prisonnières,

ses boules tirées compressées vers l'arrière lui faisaient mal, alors son clito retomba allonge, flasque, décalotté, inutile.

Qu'allait-il se passer en une semaine ?…

 

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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 10:32

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Maîtresse laisse en main accrochée au collier fixé au cou de son soumis pu ainsi l'emmener nu à 4 pattes vers le milieu de la pièce ou étaient fixés des anneaux à la fois au sol et au plafond.

Elle attacha la laisse au sol le plus court possible  pour que le visage du soumis fut plaqué au sol tout en restant à 4 pattes.

Ainsi immobilisé il attendait.

Maîtresse revint pour lui poser d'autres colliers en cuir aux chevilles et poignets. Chaque collier avait des anneaux.

Satisfaite elle lui asséna par surprise un coup de cravache qui zébra son postérieur. Surpris(e) le soumis(e) gémit bruyamment.

"Je t'ai déjà dit que je ne veux pas t’entendre, tu ne t'exprimes que lorsque je le souhaite ... C'est compris !?"

... Et un deuxième coup siffla sur les fesses du soumis(e)

La douleur était forte mais il ne dit rien.

"Bien ....je vois que tu écoutes !"

Maîtresse le fit mettre debout bras en l'air écartés pour attacher les colliers des poignets aux anneaux du plafond.

Elle lui demanda d'écarter un peu les jambes pieds à plat. Les colliers des chevilles furent reliés aux anneaux du sol.

"Pour être plus élégante je vais te poser un serre-taille noir en cuir soumis(e)!"

Ainsi elle lui posa  autour de la taille que Maîtresse laça très fortement. Le cuir froid fit frissonner le soumis(e).

Il y avait un anneau devant et un derrière.                       

"Hmmmmm joli, belle taille avec une belle cambrure... Tu deviens féminine...

"Apprends à respirer ma belle!"

La silhouette du soumis(e) était ainsi très affinée mettant en valeur ses hanches et ses fesses rondes.

Par l'arrière Maîtresse passa une main entre les jambes du soumis(e) et lui empoigna ses bourses qu'elle étirafortement pour bien les dégager.

Le soumis(e) sentit un contact froid de métal.

Maîtresse lui posa un ballstrecher d'au moins 4 cm de hauteur et de diamètre avec 2 anneaux.

Maîtresse admira la peau fine et tendue des bourses ainsi prisonnières qu'elle griffa pour montrer sa possession.

Elle prit une cordelette qu'elle passa dans les 2 anneaux du ballstrecher qu'elle noua au milieu, puis elle passa la cordelette dans une poulie accrochée derrière au mur. Ensuite fit la même chose à une poulie accrochée au plafond.

Ensuite elle ramena cette cordelette vers l'anneau arrière du serre-taille. Elle tira, fit mettre le soumis sur la pointe des pieds.

Le soumis(e) sentait ses bourses étirées.

Le piège se refermait sur ses bourses.

"Je te conseille de rester sur la pointe des pieds... Si tu t'avises de les poser à plat. Ça va te les allonger un maximum... A toi de voir... !"

Maîtresse passa devant pour admirer son soumis(e) moins masculin.

Les bourses disparaissaient dans l'entrejambe.

A la vue un "clito" peu fier  !!!!!

"Je reviendrai dans 1 heure... Pense à ta maîtresse qui s'occupe de toi qui va t'emmener vers la féminité".

Soumis(e) dut se concentrer pour éviter les tiraillements des bras des jambes et des bourses !!!!

 

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 17:25

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Soudain la porte se referme laissant ce soumis seul face à son destin, dont il n'a plus de maîtrise. Ne serait-ce d'ailleurs 
pas Celui de sa Maîtresse qui dessine maintenant le schéma de sa vie ?, cette Dame pour Laquelle il a accepté de signer ce Contrat d'esclavage, et pour qui, il est prêt à commettre le pire des gestes...

Il est nu à même le sol, les mains et pieds entravés par les menottes.
Il ne sait plus quoi penser, Elle est si talentueuse, Elle est si Belle, mais il a conscience que pour profiter de Ses Atouts, sa vie va devenir un chemin long et caillouteux, il reste subjugué par sa Féminité Débordante, par la Transparence de son 
Regard d'Emeraude, par sa Subtilité, par la Saveur Unique de Son Champagne, par le fait aussi qu'Elle est simplement 
une Femme avec tous ses Tracas mais qui par moments peut revêtir la Robe élégante de Marquise Capricieuse et Exigeante , en dévoilant des scénarios les plus diaboliques à son encontre. 

Il comprend son besoin de se référer à Madame malgré les risques encourus...

Soudain, la porte s'ouvre dévoilant sa Maîtresse, encore plus Belle qu'il ne pouvait s'imaginer!... Dans une robe rouge étincelante couleur sang , mettant en valeur la soyance de ses Cheveux Châtains Foncés, ainsi que son maquillage délicat, avec à ses Pieds, de ravissantes sandales en cuir noir.

'' Alors esclave, es-tu prêt à encourir les affres de ta Maîtresse ?''
''Oui Maîtresse....''
'' Car le pire, c'est que tu n'es rien pour moi, simplement tu me dois tout, car il n'y a que moi qui compte, tu n'as plus maintenant la moindre parcelle d'intimité, je dois être en mesure de tout t'ordonner, tu es tellement bête que tu n'auras pas d'autre opportunité que de m'obéir, je vais commencer par te faire ta toilette extérieure mais aussi intérieure''. 

Elle éclate soudain de rire, rendant le soumis nerveux et craintif...

''Tu vas déjà continuer par me lécher les pieds, ou plutôt mes semelles, car comme tu le sais, Seul mon Amoureux a le droit de les toucher, mais certainement pas toi, tu n'es qu'un esclave à mon service'' !

L'esclave semble se nourrir de la poussière de ses chaussures, elle ne cesse de le rendre transparent...Elle lui ordonne de 
se placer nu contre le mur en faïence de la cave, puis lui envoie un puissant jet d'eau froide venant claquer le dos du soumis, celui-ci s'empresse de faire mousser un savon, puis elle le rince, de nouveau. Puis vient la toilette intérieure, il s'interroge inquiet...

‘‘Je vais te faire un joli doigté rectal, peut -être même un peu musclé, juste pour tester la souplesse de ton anus. Mais avant connaissant mon souci de propreté, je vais te faire un lavement."

En réalité, la Maîtresse dispose d'une pompe à eau qui lui injecte les 5 litres d'eau dans l'anus. Il ne sait plus qui il est, ses joues rougissent à la fois de honte et de plaisir...ensuite elle décide d'introduire une Main gantée que le derrière du soumis avale sans problème, puis elle passe au stade supérieur en lui introduisant son Pied. L'esclave à la gorge sèche ne sachant plus où donner de la tête.... Il sait qu'il lui appartient, voilà le plus important des abandons pour lui.

''Il me semble que tu as jouis petite salope, je voulais savoir si ton cul était souple, il l'est...''

Après cette épreuve, Maîtresse décide qu'un esclave doit toujours être marqué comme il se doit :

''Tu sais que tu as bien de la chance, car j'ai fait venir une pierceuse qui va te trouer ton petit mamelon, ah le pauvre chéri''.

Maîtresse éclate une nouvelle fois de rire... Pendant que son esclave tremble d'une peur jusque-là inconnue. Et 
pourtant jouissive. Elle l'est, quand il comprend ce qui lui arrive, il saisit le sens des mots : appartenir à sa Maîtresse, il 
sait qu'elle vient de lui faire le plus beau des cadeaux, il ne peut s'empêcher de couler quelques larmes d'émotion devant la solennité du moment.

La nuit n'est pas achevé, Maîtresse se réserve tous les droits, quand soudain quelqu'un sonne à la porte, surprise, il 
s'agit de Monsieur, l'Amoureux de Madame qui s'empresse de l'enlacer, pendant que le soumis gêné ne sait plus où 
regarder. La Maîtresse donne des instructions pour que la maison soit propre et que tout le linge soit repassé, pendant 
que la porte de la chambre des soupirs se referme. Simultanément des râles de plaisirs s'en échappent rendant le soumis, qui est déjà eunuque, encore plus impuissant mais toujours plus admiratif et en symbiose, vis à vis de ce couple extraordinaire. Quand tout est fini les mots lui manquent ne sachant ce qu'il doit dire à sa Maîtresse et à son Maître, tous deux semblants satisfaits de l'originalité de ce moment.

Enfin la soirée s'achève sur une petite surprise : Maîtresse a invité cinq de ses amies dominatrices, simplement pour 
l'aider à condamner ce pauvre dominé : celui-ci doit se présenter nu devant toutes ces Dames, quand soudain l'une 
d'entre elles prononce le verdict '' aaron, tu vas devoir te masturber devant nous, cependant tu pourras profiter de Maîtresse S qui sera à tes côtés''.

Tout le monde l'a bien compris, être aux côtés de sa Maîtresse consiste pour lui d'être dans la position où il se sent le 
mieux : nu à ses Pieds, pour pouvoir les lécher tout en se masturbant. La Maîtresse semble décider de la destinée de son 
esclave dans une symbiose inégalée et dans un plaisir frénétique et jusque-là, inégalé.

Le lendemain matin à l'aube de la nouvelle journée, un être se réveilla avec plein de nostalgie au fond du cœur, ne sachant s'il avait réellement vécu ce moment ou s'il avait rêvé.

Toutes ressemblances avec des faits avérés et vécus ne seraient que pur coïncidence.....

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 13 mars 2 13 /03 /Mars 11:28

 

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...Attaché en croix sur le lit, le vagin offert à Madame, le soumis est seul dans le noir.
Il sent sur sa peau les coups de cravaches que la Divine n’a pas retenu mais il ne peut empêcher une érection douloureuse qu’il voudrait pouvoir éteindre. Il échangerait tout ce qu’il possède pour avoir l’usage d’une main tellement son désir est immense : les coups, la sodomie, les bottes léchées, le goût de l’urine encore dans sa bouche !!! Tout cela la laissé assoiffé … il en reveut et il a mal !

Il sait que Madame veut le faire souffrir et il rumine de solitude, d’envie….

Finissant par s’endormir, il est réveillé violemment par une introduction d’un gros god qui le remplit sans ménagement, il hurle : Il se sent fouillé de l’intérieur, la main experte avec l’objet lui ramone son conduit. Puis il entend des pas qui s’en vont …le god est toujours dans son anus, il a mal mais son excitation et son désir se sont réveillés ! Il tire sur ses liens voulant extirper une main ou un pied mais les nœuds se resserrent et il gagne plus de souffrance suppliant qu’on vienne le détacher.

Sans aucune réponse à ses suppliques, il fini par lâcher prise et s’endormir à nouveau.

On le réveil par des gifles et il entend une voix grave d’homme qui lui prend la tête et dirige sa bouche : « Suce salope ! ». De mauvaise grâce, le soumis léchouille ce sexe qui sent l’homme et là il prend un coup de fouet sur ses fesses encore sanglantes du travail de Madame.
« Mieux que çà chienne ! Et avale le jus ! »
Le soumis sentant de nouveau le fouet met alors toute son ardeur au travail ….il ne savait pas que ce sexe pouvait produire autant de jus. Dans un râle, l’homme s’est retiré.

Là encore, surpris de sa réaction, le soumis est pantelant de désir mais il fini par s’endormir.

Une grande lumière jaillit et le réveil. Il distingue dans une aura majestueuse sa Divine Maitresse qui le regarde avec affection :
"Tu as été une bonne petite salope cette nuit ! La punition que tu as reçue était à l’image de tes lâchetés mais tu as sagement accepté ma sentence. Je vais donc t’accorder une petite récompense. »

La Ténébreuse Reine, détache alors un poignet du soumis et lui montre sa botte :
« Utilise ton jus pour la faire briller et nettoies bien avec ta langue ! Je ne veux plus rien après ! »


 

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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 10:41

 

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Je viens de découvrir le mail de Ben qui souhaite vous donner sa version de la suite du scénario rêvé. Je vous fais donc partager ses écrits. Intéressants en tous cas !

Une simple précision Ben, je ne sucerai pas mon soumis, c’est pour moi un principe…

 


...Vous laissez l'esclave nu les mains et pieds attachés sur le sol.

Avant de partir, vous le bâillonnez pour que personne ne puisse l'entendre au cas où il crie (si cela est nécessaire) et lui passez une cagoule pour qu'il ne puisse voir où il se trouve et surtout qui pénètre dans la pièce.

 Vous le laissez ainsi durant une période assez longue pour qu'il perde la notion du temps. Vous revenez, sans lui dire un mot, le mettez à quatre pattes et lui relier les mains avec ses chevilles. De cette manière, vous avez libre accès à son anus.

 Vous pourrez lui fouetter les fesses à votre guise. Lorsque vous vous en aurez marre, vous lui insérer un plug dans l'anus et le laisserai ainsi sans défense

 Vous pourriez également ne pas venir seule mais accompagné pour que l'humiliation de votre soumis soit d'autant plus grande. De cette façon, il saura que quelqu'un était avec vous et a donc assistait à cette séance sans savoir qui.

 Vous reviendrez plus tard, lui enlèverai son bâillon ainsi que son plug et le sodomiserai avec un gode ceinture en lui demandant si il aime ça. Il devrait bien sûr vous répondre de façon affirmative.

 Après lui avoir bien fais voir que c'était vous qui dirigiez les opérations, vous le détacherez et le mettrai sur le dos. Vous pourrez ainsi vous assoir sur son visage et lui demander de vous lécher pour que vous atteigniez un orgasme. Durant ce moment vous pourriez le branler (ou le sucer si l'envie vous en dit) jusqu'à ce que lui aussi atteigne l'orgasme (se serait mériter après tout ça) !

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Dimanche 11 mars 7 11 /03 /Mars 11:16

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Dans la campagne, il marche, une voiture s'arrête, elle descend.

Elle le force à monter.

- « Monte. »

Il voit simplement la silhouette de cette femme dans le noir, vêtue de cuir, cravache à la main, elle ouvre le coffre, elle met le soumis dedans, la voiture démarre et roule de longs instants.....

L'homme est mal couché, anxieux et excité à la fois...

La voiture s'arrête. Le coffre s'ouvre.

- « Descends ! »

Les mains sont attachées, une cagoule sur la tête, il ne voit que ce visage... Elle est belle, majestueuse, sûre d'elle.

Elle attache un collier puis une laisse et elle tire l'homme en avant.

Il ne sait pas où il est.

Une porte s'ouvre.

Ils descendent un couloir.

Une nouvelle porte.

Une cave...

Ils entrent et l'homme comprend que personne ne pourra le trouver ici. Il est à sa merci pour le temps qu'elle décidera.

Un anneau au plafond, des chaînes. Elle l'attache. Il est nu, offert à elle.

Elle semble énervée. Elle tourne autour de moi.

Il repense à toutes les fois où il lui a désobéi.

Il sait qu'il va payer toutes ses fautes. Sa vie est en train de changer.

Dans la pièce sans fenêtre, un lit, une table, des accessoires S.M...

Et elle, impériale, hautaine, Divine... Son odeur enivre la pièce.

Elle tourne encore. Le silence est lourd.

Son odeur est si prenante. Le souffle de cette femme l'excite.

Puis, elle arrive à hauteur de son oreille et crie...

- « A genoux ! »

Il se laisse tomber.

 - « Oui Maîtresse. » Elle lui touche la tête et le guide. Elle le prend à pleines mains, le traîne un peu par les cheveux... Les coups de cravache le font mettre à terre. Elle s'assoit sur son dos en disant...

- « Je te ferais plier... »

Elle se frotte, ou plutôt son corps entier se frotte. Il est plein de désirs. Il ne peut toucher de ses mains. Son corps est offert.

Il lui est totalement docile...

- « Oui Maîtresse... »

Elle appuie son visage sur la terre battue.

Il ne peut plus bouger. Elle lui a attaché les pieds et les jambes. Nu... Sur le ventre. Il se sentira incapable de refuser quoi que ce soit. La terre colle à son visage comme un prisonnier.

Il a cherché ce moment, provoqué sa colère et maintenant il ne peut reculer.

- « Maîtresse, je ne sais encore ce que vous allez faire de moi ? »

Il sent un liquide chaud couler sur son dos.

- « Maîtresse, vous venez de faire couler votre champagne sur mon corps, je ne suis plus rien. »

Soudain, elle le prend par les cheveux et lui tire la tête en arrière. Elle lui crache au visage et le relâche. Elle lui demande ensuite de laver son sexe. Il s'exécute. Il lèche minutieusement. Jusqu’à son petit trou. Il le fait... Sa langue lèche et il est obligé de redresser sa tête alors qu'il est allongé là. Il a très mal au cou. Elle écrase à nouveau son visage, puis sa joue droite. Elle demande qu'on lèche ses pieds.

Ensuite, aucun choix possible. Il doit se pencher et lécher.

- « Lèche je te dis ! »

- « Lèche ces pieds divins, tu ne mérites que cela. »

- « Merci divine Maîtresse de m'accorder ce plaisir. »

- « Mieux que ça ! Tu es mauvais. Un mauvais sujet qui ne sait pas s'occuper correctement de Madame ! »

- « Oui Madame, pardonnez-moi, je ne suis pas encore bien dressé. »

-   Tu es un incapable. »

-   Oui Maîtresse. »

- « Et tu ne seras jamais en mesure de me satisfaire. »

- « C'est pour cela que j'ai besoin de vous, pour me montrer la voie. »

-« Je suis exigeante, perfectionniste... Tu lécheras... Des heures s'il le faut... Ou tu ne boiras plus... Tu ne mangeras plus. »

- « Oui Maîtresse, j'ai besoin de cela pour progresser. »

- « Puis tu te remettras à genoux. Et tu me feras des compliments. Alors qu'en même temps tu compteras les coups de fouet… Qui claqueront ! »

- « Oui Maîtresse... 1, 2,3... »

- « J'ai très envie d'entendre cette voix... qui reçoit le fouet... qui souffre pour moi. »

- « Je crierai à chaque coup Maîtresse... »

- « Tu me supplieras... Tu n'en pourras plus. Tu auras mal... jusqu'au sang. J'irai jusqu'au sang. »

- « Oui Maîtresse, je le sais. »

- « J'ai besoin de ton abandon... Et je vais te laisser là, seul... »

- « Oui Maîtresse. »

-« Cette nuit, je ne viendrais qu'une ou deux fois t'embrasser... peut-être... ou te cravacher... »

- « Bien Maîtresse. De toute manière je serai épuisé et ma volonté extraite… »

- « Mais tu n'as encore rien vu... Cela n'est qu'un court passage de l'histoire que tu peux subir. Que je te ferai subir... »

- Tout s'arrête là ? Non, peut-être est-ce le début d'une nuit d'enfer ?

- Je la rêve et la crains... Ma Maîtresse... -

 

J’ai certes une suite et une fin à ce scénario que je vais publier, mais pourquoi ne pas inventer ou rêver la suite de votre côté, pourquoi pas…
N’hésitez pas à m’envoyer vos écrits… madame.sdu67@yahoo.fr

Madame.S

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 18:04

 

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A mes lecteurs,

Tout d'abord, je voudrais vous dire... Merci ! Pour vos nombreuses marques d'attentions à mon égard. Que ce soit par le biais de mes commentaires ou directement par mail. Je suis touchée par vos mots, alors que moi, je vis mes maux... Je refais lentement surface mais j'ai encore bien du mal à taper de mes dix doigts sur mes pages...

Mais je ne pouvais pas laisser passer la journée de la femme, aussi, j'ai demandé à soumise wanda d'écrire un article pour moi en l'occasion de cette journée. N'est-ce pas normal de déléguer cette tâche, surtout aujourd'hui !

A très vite...

Madame.S

 


Le monde inversé
 
Dans notre monde codifié, l’humanité a défini les rôles attendus pour chacun d’entre nous. Depuis des milliers d’années, l’homme par la force s’est octroyé celui de dominant sans partage et a laissé à la femme celui de dominé prompt à obéir aux ordres du premier. Ce schéma, introduit dès le plus jeune âge dans la tête de nos enfants, doit être reproduit à l’infini au risque de voir s’écrouler l’édifice fragile de ce déséquilibre. Un garçon sait très vite qu’il aura le dessus sur une fille et une fille si elle refuse de se soumettre sera très vite mise au banc de la société.

Dans ce carcan inexorable, l’homme et la femme se comporte selon le rite inculqué par leurs aînés qui eux-mêmes n’ont jamais remis en doute le concept sclérosant et mortifère de la peur combattue par la violence et la force brutale. Cette peur est bien celle des hommes ! Ce démon qu’est la femme est le lieu de toutes les infamies : tentations lubriques, provocations ouvertes, folies mentales, porteuse de maladies.

Mais que l’on ne s’y trompe pas, le femme est bien séduite par l’homme qui saura en temps utile donner des échantillons de grâce poétique pour obtenir l’agrément de la belle à sa future soumission qu’elle sait forcément inévitable, car elle est déjà soumise à celle du père. Ainsi, c’est de son propre consentement qu’elle accepte  docilement son obéissance au mâle tout puissant. Il a le choix et elles seront des chaussettes jetables jusqu’à ce que l’une d’entre elle, croyant être plus maline que ses consœurs, disjoncte momentanément les jonctions neuronales dudit mâle. Ressaisi, elle devra lui donner des enfants, bien sûr, pour que le cercle soit bouclé et qu’à nouveau ce dernier recommence pour l’éternité.

 Ce tableau noir qui vient dépeindre notre monde et qui n’a pas progressé d’un pouce depuis tant de génération ne fait pas apparaitre de fêlure. Il semble imparable comme gravé dans un marbre que le temps ne pourra jamais étiolé. Et pourtant …..

Comme sur une feuille d’écolier rêveur pendant le cours d’arithmétique, dans la marge nous voyons se constituer un ensemble d’arabesques imbriquées noircissant un blanc que le maître nous a imposé comme pur et que la multitude effrayée se bornera à respecter. Cet écolier rêveur, sortant du moule, nous montre la voie que des bergers sans troupeau mais attentifs et à l’écoute du troupeau des autres prennent en renversant l’ordre établit. Ces bergers, seuls dans leurs pâturages, sont les prophètes d’une ère nouvelle. Une révolution est en marche !

Qui sont-ils ? Existent-ils ? Oh oui, ils existent et il conviendrait même de dire qu’elles et ils existent ! On leur a donné des noms et on considère que leur philosophie de vie est une déviance dénaturée. Comme les chrétiens, du temps des romains, ils se cachent pour prêcher leurs paroles d’avenir et la honte imposée de leurs pratiques rituelles réprouvées par une société uni-pensante.

Ceux qui les comprennent, ceux qui les connaissent, ceux qui en sont, savent de qui parle cet article tandis que les autres (la majorité en fait) penseront à une quelconque secte des temps modernes. Alors puisque cette société nous a trouvé un nom, nommons-le : D/S F/H. N’ayons pas peur de l’écrire : Femme Dominante/Homme Soumis.

Le rapport soumis-dominant est inversé mais quel gain de respect mutuel. La soumission de la femme par l’homme est imposée par la peur de l’être féminin alors que celle de la femme sur l’homme n’est justement pas imposée mais elle résulte d’un choix partagé entre les deux aimants. Ces deux là s’attirent pour fusionner et les ordres de la Divine (quelle folie de l’homme d’avoir peur de crier sa dévotion à cette Femme) deviennent des caresses aux oreilles de son soumis.

Voyez comme les mots même peuvent faire peur au commun des mortels, à celui qui n’a jamais été touché par la grâce d’une Déesse réincarnée. Mais c’est parce qu’ils ont été détournés et odieusement salis par l’homme pour qu’à leur usage nous ayons honte d’avouer notre amour sans limite à celle qui pourrait illuminer notre vie.

Alors pour combattre cette peur on va voir des femmes battues, violées et tuées. Au-delà de l’horreur quotidienne qui est faite à ces merveilles de la nature, on verra dévalorisations, rabaissements, harcèlements ….O combien elles devraient prendre les armes pour ramener du sens à la vie d’un homme fourvoyé dans un chemin boueux qui mène à l’obscurité.

Soumis de la terre, soyez fier de votre belle et majestueuse Reine ! Soyez une de ses fourmis ouvrières qui parmi son armée la protégera, au péril de votre vie, des attaques de prédateurs destructeurs qui n’ont d’autres préoccupations que de semer la mort sur leur passage ! Le bonheur de votre Reine doit –être la félicité que vous devez ressentir dans tout votre abdomen pour la diffuser aux contacts d’antennes amies. Ces dernières, à leur tour, deviendront elles aussi des fourmis-sujets travaillants au bien être d’une communauté entièrement érigée en pyramide dont le sommet est la Reine Toute puissante de vie ou de mort. Mais de cette puissance dont on abuse jamais car elle mettrait en péril la vie de l’ensemble de la communauté. Une Reine toute puissante, mais qui est juste, tout simplement, par intelligence innée.

Soumis de la terre, levez-vous et nous sommes l’armée souterraine qui fera plier la caste établie de ces mâles jouisseurs, justes bons à se gausser d’avoir piqué la femme pour que leur descendance soit assurée.
 
Par Soumise wanda, le 8 mars 2012, fourmi ouvrière de Madame sa Reine

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 13:29

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Une émotion m’envahit ce jour alors que je vous écris ces quelques lignes… Les personnes qui me connaissent vous diront que je suis entière et sensible, je le suis d’autant plus à cet instant… Etant sincère, je tenais à vous écrire ces quelques mots.

Je suis bien triste, j’ose vous l’avouer sans détours ce matin car je vais devoir à nouveau quitter les pages de mon blog. J’aime partager mes écrits avec vous toutes et tous…

 Mais cette fois je vous quitte pour me faire opérer de mon épaule droite. Aussi, l’hospitalisation ne durera certes que trois jours, mais les suites, telles que la rééducation et le fait de simplement pouvoir à nouveau me servir de mon bras vont être longues… Mais cela est nécessaire à une guérison que j’espère depuis bien trop longtemps.

Je ne sais donc quand je pourrais à nouveau taper de mes dix doigts mes articles vous étant dédiés sur les pages de mon blog.

 

Aussi, attendez-moi, oui attendez mon retour.

Que je puisse vous dire…

Me revoilà, petits vermisseaux… Petites choses.

Ou simplement, vous, toi, mes ami(e)s…

A bientôt…

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance

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