Lundi 30 janvier 1 30 /01 /Jan 13:51

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Ce matin, j'étais levé très tôt, comme à mon habitude. J'ai fait le café et ai chauffé le lait pour le chocolat de Madame. Dès que le lait frémis, je jette dedans quelques brisures de chocolat noir et un peu de sucre, très peu. J'ai passé au four quelques petits pains achetés la veille, car il n'y a pas un commerce à des hilomètres à la ronde.

Cette fois, nous avons quitté l'Alsace. Nous sommes hébergés dans un gîte du bocage normand.

C'est l'annexe d'une ferme-château du XVIIIe siècle. Une vaste pièce dallée de pierres bleues avec une cheminée imposante de pierre sculptée surmontée d'une pièce de bois sombre qui doit peser plusieurs centaines de kilos. Un coin cuisine derrière une cloison sans porte. Une chambre aux murs blanchis à la chaux, basse de plafond. Une salle de bain équipée d'une baignoire ovale.

Nous avons déjeuné de pain chaud croustillant à souhait, de beurre fermier à la fleur de sel de Guérande et de miel de trèfles canadien onctueux et blanc. A peine le déjeuné avalé, Madame s'est levée et m'a dit : "Salle de bain !". Je ne me suis pas fait prié. J'avais envie d'un bon bain chaud.

Madame m'a rejoint à la salle de bain. "Allonge-toi dans la baignoire" m'a-t-elle ordonné, après que j'aie quitté mes vêtements. Son grand "sac à malice" était ouvert sur le carrelage. Elle en a sorti une poignée de ceintures de vynile noir comme un noeud de serpents et s'est mise à m'attacher, commençant par les chevilles, les genoux (en-dessous et au-dessus), les cuisses, puis les bras et la poitrine, des hanches aux épaules.

Et je me suis laissé glisser au fond de la baignoire fermant les yeux; j'étais bien. Quand tout à coup, le pommeau de la douche s'est mis à cracher sur moi une eau glacée au jet puissant. J'ai sursauté. Après quoi Madame m'a tiré par les pieds afin de me m'étendre tout-à-fait à plat.

Madame a alors enjambé le rebord et est venue s'asseoir sur moi et s'est mise à se branler des doigts. Son sexe était à quelques centimètres de mon nez, beau, suintant déjà abondamment, très odorant. Madame s'est encore approchée de mon menton et massait avec application son petit bouton rose qui me narguait. L'instant d'après, Madame s'est mise à frémir, a ouvert la bouche. Je ne l'avais jamais vue aussi belle, aussi transparente.

Puis c'est un râle qui est sorti de sa gorge et elle s'est soulevée légèrement et s'est mise à pisser abondamment sur mon visage, dans ma bouche, sur ma poitrine. Sa pisse était chaude et salée. C'était bon.

Lorsqu'elle eut terminé, elle quitta la baignoire et me dit: "Je vais te laisser macérer un peu. A tantôt, petite chose."

- Merci, Madame, merci pour les vitamines ! ai-je dit en souriant.

Elle a quitté la salle de bain en riant.

Madame est revenue une demie heure plus tard. Elle a aussitôt actionné le pommeau de la douche... à l'eau glacée. Puis elle a débouclé les ceintures qui me retenaient prisonnier.

- Prends un bain à présent... tu commences à puer la rage ! Et puis rejoins moi nu dans la chambre.

Je me suis lavé chaque recoin, chaque replis de peau et me suis séché à l'aide de la seule serviette se trouvant dans la salle d'eau. Celle que Madame avait utilisée une heure plus tôt. Elle était encore humide, sentait bon Madame. Je suis resté un long moment la tête enfouie dans le tissu éponge. Puis qu'ai rejoint Madame dans la chambre. Elle était assise sur le lit.

- Viens, je vais te mettre ce très beau serre-taille.

C'était en effet une pièce magnifique, en cuir épais, garni de petites pointes sur tout l'intérieur.

- Allonge-toi sur le serre-taille et étire-toi les bras en avant pour être bien tendu, je vais te le serrer convenablement.

J'en ai assez de voir ta bedaine en avant. Ce n'est pas beau... Tu sais que tu n'es pas beau ?...

Je me suis allongé sur le lit, le ventre sur le serre-taille et Madame s'est mise à passer lentement le long cordon de coton noir dans les oeillets et à le resserrer progressivement. Je sentais les petites pointes me piquer la peau des reins et du ventre. Elle n'est pas arrivée à faire se joindre les deux bords du corselet, mais il ne manquait que deux centimètres.

- Il faut que tu perdes au moins deux kilos pour notre prochain rendez-vous. Je ne veux plus te voir avant, c'est compris ?

- Oui, Madame. Je vais me mettre au régime.

Au moindre mouvement, j'avais l'impression que ma peau se déchirait sous le cuir. C'était douloureux et délicieux.

- Je veux que tu allumes un petit feu dans la cheminée. Tu sais que je suis frileuse ! Tu aurais du y penser sans que je doive te le rappeler. Allez, exécution !

J'ai fait flamber deux allume-feu et ai jeté quelques poignées de brindilles sèches sur lesquelles j'ai déposé deux petites bûches de chêne bien sec.

- Place-toi face à la cheminée à présent.

Madame m'a attaché les poignets écartés à la poutre du manteau de la cheminée à l'aide de deux cordes. J'ai dû m'en écarter, les flammes risquant de me lécher les cuisses et le ventre. Ensuite elle m'a attaché les chevilles et les genoux joints à l'aide d'une troisième corde. Je bandais fort.

Madame a utilisé trois fouets différents à lanières multiples tout d'abord, pour m'échauffer la peau, disait-elle. Puis elle a usé de deux cravaches. Chaque coup me faisait tressauter et les pointes du corset semblaient s'enfoncer davantage dans ma chair. Mais c'est la badine qui m'a fait le plus souffrir, cinglante sur les fesses et les cuisses.

Lorsqu'elle a jugé que c'était suffisant, Madame elle allée s'asseoir dans une bergère, à droite de la cheminée, une cravache à la main, avec

laquelle elle s'est mise à agacer mon sexe et mes testicules, doucement, comme pour m'exciter, me faire bander. Mais à chaque fois qu'une érecction montait, un coup violent sur le gland la faisait retomber d'un seul coup. Ce jeu l'amusait beaucoup. Cela a duré presque une heure.

- Bien, j'en ai assez, je vais dormir. Je te laisse là. Si je dois me lever pour pisser durant la nuit, peut-être que je te détacherai.

Alphonse L

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Vendredi 27 janvier 5 27 /01 /Jan 18:01


 

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Une horloge qui sonne,

Mais quelle heure est-il ?

Que t'importe, c'est la bonne !

Lève-toi, Elle est ton île.

 

Une horloge qui sonne,

Mais que dit-elle ?

Chaste, tu es sa nonne !

Prie, Elle est ton éternelle.

 

Une horloge qui sonne,

Egrenant les coups ....

A chacun qu'Elle te donne,

Tu soupires retenu par ton licou.

 

Une horloge qui sonne :

Le glas, la tempête ou l'accalmie ?

Dans ton inconscient résonne

L'essence de la Déesse de la vie.

 

                    Soumise wanda pour célébrer les heures aux pieds de Madame.

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 26 janvier 4 26 /01 /Jan 10:21

Nous changeons de salle, et ma Maitresse imagine comment elle va pouvoir s’amuser avec moi. Elle trouve un carcan dans lequel elle pourra emprisonner mes mains et ma tête, pendant que J’aurai les fesses totalement à sa merci. 26.01.2012-copie-4.jpeg

Elle se lance dans une démonstration de cravache, fessées et martinets. Les coups pleuvent, les instruments changent, mes fesses rougissent. J’adore les moments où les lanières des martinets caressent mon dos et mes fesses et je trouve cet instrument très sensuel quand il est utilisé ainsi. J’aime moins quand les mêmes martinets s’abattent violemment en séries de 5 coups, portés à pleine puissance par ma Maitresse, mais j’arrive tant bien que mal à étouffer mes cris. Pour les cravaches, la douleur est plus vive, et j’ai plus de mal à ne pas crier, mais je veux me montrer digne de ma Maitresse.

La séance va durer de longues minutes, et il m’est absolument impossible de vous en donner le décompte. Je me suis enfermé dans ma bulle, j’ai eu l’impression que cela a duré une éternité. Quand ma Maitresse me détache, j’ai du mal à tenir debout sur mes jambes, et je mets un peu de temps à atterrir. Mais il serait difficile de masquer le plaisir que j’ai pris, tant mon sourire est éloquent.

Après une pause au bar, ma Maitresse trouve une  place auprès d’un masseur. Moi qui suis parfaitement nul en massage, je vais tenter d’observer ses gestes, afin d’apprendre. Mais il s’agit d’un spécialiste, et ceux-ci seront difficiles à reproduire. En tout état de cause, il fait beaucoup de bien à Maitresse Olivia, qui s’abandonne à ces massages. Je suis un peu jaloux de la voir si heureuse entre les mains d’un autre, alors que je devrais simplement être content pour elle.

Après ce moment de détente pour elle, nous retournons au bar, où ma Maitresse discute à nouveau avec quelques invités. Elle a admiré la dextérité de Maitre Patrick, un grand spécialiste du bondage et de la suspension, et elle me propose, s’il accepte, qu’il exerce son art sur moi. Je suis totalement ravi de tenter cette nouvelle expérience, et je peux vous assurer, cher lecteur, que ce moment restera gravé à jamais dans ma mémoire, et m’aura permis d’oublier tous les moments de solitude que j’ai vécu aujourd’hui.

Maitre Patrick avait rangé ses cordes, mais il accepte de ressortir son attirail pour moi. Ma Maitresse lui demande de me suspendre dans une position où elle pourra jouer avec moi, où je serai à sa disposition.

Je me déshabille, ne conservant que mes sous-vêtements et me présente devant lui. Je me sens en confiance devant ce Maitre, qui fait tout pour diminuer mon stress. Je le vois réfléchir longuement à la manière dont il va me suspendre, étant entendu qu’il ne pratique jamais sur les hommes, et qu’il ne fait jamais le même ouvrage.

Il commence par entourer mon torse de cordes, s’arrangeant à laisser libres mes tétons, ma Maitresse ayant la ferme intention d’y accrocher les pinces à seins qui me font si mal. Un de ses amis arrive sur ces entrefaites avec un bambou, qui va servir à me suspendre. Il l’attache dernière mes épaules, et me montre que je pourrais m’en servir pour reposer mes bras. Le bambou est maintenant accroché au portique, et Maitre Patrick me pousse en arrière afin de me faire sentir que je suis déjà à moitié suspendu. Je peux totalement me relâcher et me détendre, je ne pourrai plus tomber.

Il enroule maintenant des cordes autours de mes cuisses, qu’il accroche au portique. Je me retrouve dorénavant accroché à quelques centimètres du sol, les jambes écartées de manière obscène.

Il va continuer à tirer sur les cordes, les unes après les autres, et brusquement, il me bascule vers l’avant. Je ne sais pas bien comment décrire cette position, que je vis de l’intérieur, et dont je ne peux voir le résultat. J’ai les fesses qui sont maintenant plus haut que la tête, les jambes outrageusement écartées, les bras accrochés au bambou.

Cette sensation nouvelle est tout à fait indescriptible, et me procure un grand bien être. Je ne sens plus mon poids, j’ai l’impression d’être en apesanteur, de voler, sans ressentir la moindre douleur. Quel bonheur !

Maitre Patrick, qui a été très proche de moi pendant tout le travail de suspension, afin de vérifier que les cordes étaient bien positionnées et ne risquaient pas de me couper la circulation, me laisse entre les mains de ma Maitresse.

Maitresse Olivia commence par se pencher vers moi pour m’embrasser langoureusement, ce qui augmente encore mon plaisir. Elle accroche ensuite les pinces sur mes tétons encore sensibles de la veille. Elle me montre maintenant ses mains, me demandant de choisir l’une ou l’autre. Quand je lui propose la gauche, je sens bien que cela ne lui convient pas, elle me demande donc si je parle de la sienne ou de la mienne. Mauvaise réponse, je choisis la main qui contenait le poids le plus lourd. Heureusement, elle ne retrouvera pas son petit frère, et ce sont finalement les petits poids qu’elle accroche au bout des pinces.

J’ai maintenant les yeux fermés, je m’enferme dans ma bulle, totalement à l’écoute de mon corps, de mes sensations.

Quelques coups de cravache ou de martinet pour réveiller mes sens, et je l’entends jouer du briquet. Je ne suis donc pas surpris lorsque je sens les premières coulures de cire chaude bruler mon dos et mes fesses. Je donnerais cher pour admirer les dessins que ma Maitresse effectue sur mon corps immobilisé. Quelques gouttes de cire sur mes fesses rougies par le martinet m’arrachent un souffle de douleur, mais globalement, je commence à perdre pied mentalement, à vivre un moment du plaisir indescriptible.

Ma Maitresse semble contente de son ouvrage, et je l’entends à nouveau fouiller dans son sac de Mary Poppins.

Maintenant, c’est le froid qui m’assaille entre les fesses. De sa main gantée, Maitresse Olivia est en train de m’enduire l’anus de gel. Je sens ses doigts s’introduire un à un dans mon cul, deux, puis trois, et commence à gémir de plaisir.

C’est le moment que choisit une marquise soumise pour me questionner pour tenter d’en savoir plus au cas où elle se retrouverait un jour à cette même place. Je tente de lui décrire mes sensations, et en mettant des mots sur celles-ci, j’apprécie encore plus le plaisir que je ressens. Je lui explique à quel point je me sens léger, que je ne subis aucune douleur, que je ne sens même plus la douleur des pinces qui me font tant souffrir habituellement. Cette élévation me procure un bien être proche du nirvana.

Maitresse Olivia introduit ses doigts un à un dans mon cul. Elle doit s’arrêter à quatre, et elle entreprend de me baiser littéralement le cul avec sa main. Suspendu comme je le suis, mon corps entame un mouvement de balancier qui accentue le plaisir de cette sodomie. Je commence à gémir de plaisir, sous le regard de la marquise. Mon cul est totalement écartelé, mon dos balafré des coups de martinets et des coulures de cire, mes seins torturés par les pinces. Je m’abandonne totalement, je deviens le jouet de ma Maitresse et mon corps est devenu un immense réceptacle de plaisir.

Je suis au nirvana, merci ma Maitresse.

Finalement, la suspension commence à tirer sur mes bras, et Maitre Patrick préfère me descendre en douceur. Quand mon corps touche le plancher, j’ai du mal à tenir sur mes jambes, sous le poids de l’apesanteur retrouvée.

Une fois totalement libéré de mes liens, je me précipite dans les bras de ma Maitresse, pour la serrer fort dans mes bras, les yeux embués de larmes, tant l’émotion fut intense.

 Je sais que je viens de vivre un grand moment dans ma vie de soumis !

La fin de soirée approche, et nous rentrons chez ma Maitresse.

 Je vais passer une nouvelle nuit dans les bras de Maitresse Olivia, pour mon plus grand bonheur.

Merci Maitresse, mille mercis pour ce week-end inoubliable…

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mercredi 25 janvier 3 25 /01 /Jan 11:05

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La nuit a été courte quand sonne brutalement le réveil de ma Maitresse. Nous avons dormi deux paires d’heures après une soirée riche, bien que le thème du gang bang n’ait pas été respecté. J’en ai raconté les grandes lignes dans un récit intitulé « Gang bang chez Maitresse Olivia » sur le blog de Madame.S il y a quelques semaines...

Ma Maitresse doit aller travailler. Elle m’a autorisé à rester au lit afin de récupérer de ma soirée, et je ne tarde pas à me rendormir.

Quand je me réveille, il est déjà 10 heures. Je me précipite sous la douche et remets la maison en état. Je mets mes tous nouveaux bas rouges, mes portes jarretelles et mon string.

A la demande de ma Maitresse, je prends la direction de la galerie marchande située sur la route pour y trouver une paire de chaussures rouges. Evidemment, je vais devoir les essayer, et je me dis un peu tard que j’aurais peut-être pu éviter de mettre mes bas tout de suite.

Dès la première boutique, je tombe sur les chaussures adéquates, rouges vernies, les talons ne sont pas trop hauts. Je fais tout de même un tour de la galerie pour m’assurer qu’il n’y a pas des modèles plus sexy, et je dois me résoudre à pénétrer dans ce premier magasin.

Le problème, c’est que le magasin est quasiment vide, à l’exception de trois vendeurs et vendeuses, en train de discuter, je vous le donne en mille, à côté des chaussures en questions, et des sièges destinées à faire les essayages. Personne ne s’occupant de moi, je prends les chaussures en questions, et j’essaye la taille 39, en prenant soin de m’assoir d’un côté où les vendeurs ne me verront pas. Je trouve les chaussures un peu grandes, et je retourne au rayon chercher un 38. Mes allées et venues attirent l’attention d’une vendeuse qui vient auprès de moi me proposer ses conseils et de l’aide. Je dois alors lui montrer les chaussures de femme que je suis en train d’essayer, exposant mes pieds gainées du nylon rouge. Très professionnelle, elle n’esquissera pas un sourire, et restera parfaitement naturelle pendant cet essayage. Je n’ose imaginer les discussions qui s’en suivront, dès lors que j’aurai quitté la boutique.

Enfin bref, mission accomplie, j’ai des chaussures rouges à ma taille !

Je peux maintenant me rendre tranquillement aux caves Lechapelais, où se déroulera la cérémonie de marquage de la soumise de Maitre Caïman, suivie d’une grande soirée.

La cérémonie consiste à marquer la fesse de la soumise avec un fer rouge, dessiné en forme de Caïman. Cela se déroulera selon le rite de la rose. De plus, afin de rendre ce moment encore plus grandiose, les invités seront vêtus en costumes du 17 ou 18ème siècle, ce qui promet un joli spectacle.

J’arrive comme promis vers midi, et force est de constater que rien n’est vraiment finalisé. Il faut finir de monter la croix de Saint André, organiser les tables pour le buffet, installer le vestiaire et préparer les tickets d’entrée pour la soirée qui sera ouverte au public. Quelques amis de Maitre Caïman et de sa soumise sont déjà à pied d’œuvre, et je suis rapidement employé à diverses taches. Je vais notamment passer beaucoup de temps à préparer les tickets d’entrée, qui serviront finalement assez peu.

Les invités commencent à arriver, et pour ma part, je commence à m’inquiéter de ne pas voir Madame Isis. C’est en effet elle qui apporte mon costume de soubrette, fabriqué sur mesure pour moi. C’est ma Maitresse qui en a eu l’idée à la signature de mon contrat, elle a souhaité me voir habillé en soubrette, mais en rouge, car c’est ma couleur.

Je saute au bras de Madame Isis quand enfin je la trouve, et elle m’aide à m’habiller. Me voilà maintenant prêt à faire le service, avec deux autres  soubrettes, et quelques soumis du cercle noir.

La cérémonie tarde à débuter, et j’avoue me sentir un peu seul. Tous les gens présents se connaissent et discutent entre eux. Ils ne prêtent aucune attention à une soubrette rouge et barbue, qui a certes son collier, mais pas encore de laisse. Ma Maitresse ne doit arriver que vers 21 heures. Je peux cependant admirer la beauté des convives, les femmes habillées en marquises sont resplendissantes, alors que les hommes sont tout à fait élégants dans leur costume.

La cérémonie débute enfin, et nous sommes conviés à passer dans la seconde salle, dans laquelle des bancs ont été disposés, ainsi qu’un autel placé sur une estrade. Maitre Philippe est le maitre de cérémonie, et place les hommes à gauche et les femmes à droites. Je m’installe instinctivement avec les femmes, rejoint d’ailleurs par les deux autres soubrettes travesties, qui ne se sont pas plus que moi posé la question.

Un cardinal nous explique ce qui va se passer, avec force discours plutôt humoristiques.

Les deux acteurs arrivent enfin, la soumise est superbe dans sa robe pourpre, et semble très émue.

Après la cérémonie de la rose, au cours de laquelle Maitre Caïman et sa soumise se piquent mutuellement le doigt avec une épine de rose, la soumise est intégralement déshabillée. Elle est ensuite bondagée et allongée sur l’autel à plat ventre. Elle sera ainsi totalement immobilisée, et son Maitre pourra alors la marquer au fer rouge, sans risquer une quelconque dérobade.

Le marquage est très rapide, et la soumise est chaudement félicitée par une salve d’applaudissements.

Chacun y va de son commentaire, la soumise est emmenée pour être réconfortée, et les invités sont maintenant priés d’aller se restaurer au buffet.

J’aurais voulu aider au service, mais les soumis du cercle noir ont trusté le buffet, et il n’y a guère de place pour moi. J’attends donc que tous les invités soient servis, et me décide enfin à manger un peu, afin d’être en forme quand ma Maitresse arrivera enfin.

Je suis brusquement contraint d’aller mettre un pantalon et une chemise sous ma tenue de soubrette, afin d’obéir aux ordres de Madame Isis, qui craint que je n’attrape froid dans ces caves non chauffées.

Le temps me parait interminable, ma Maitresse ma manque et je m’ennuie.

Je passe un peu de temps à admirer le Squale, qui est un Maitre incontesté du maniement des doubles fouets. J’admire son style et sa dextérité, j’admire les soumises qui subissent ses coups, avec une certaine envie. J’ai besoin qu’on s’occupe de moi, j’ai besoin qu’on me réchauffe, mais je n’ose demander à ces dominants de grande classe que je ne connais pas, d’autant plus que ma Maitresse n’est pas présente.

Je harcèle Madame Isis pour savoir à quelle heure arrivera ma Maitresse, quand soudain, elle me fait signe de la suivre dans la salle prévue pour se changer. Maitresse Olivia vient d’arriver, et je me précipite à ces pieds pour les lui baiser avec dévotion. Elle n’est pas encore dans le jeu, manifestement d’assez mauvaise humeur, et je crains le pire pour la suite. Je l’aide à s’habiller et à se maquiller, et quand elle est enfin prête, qu’elle a accroché mon collier à la laisse, je la sens parfaitement détendue. Et moi donc !

Nous descendons à la salle où discutent et jouent les invités, et je suis fier d’être trainé ainsi par Maitresse Olivia. D’ailleurs, moi qui étais transparent pendant toute la journée, je deviens visible. Ma Maitresse est manifestement connue de la majorité des invités, avec qui elle discute volontiers.

Nous croisons une dominatrice qui nous explique être assez novice dans cette pratique, et qui prend des conseils auprès de ma Maitresse. Elles discutent de mon éducation, comme si je n’étais pas là, en utilisant la plupart du temps des termes peu élogieux. Elles prennent un malin plaisir à m’humilier, mais pour l’instant, rien ne peut atteindre mon moral, car j’ai enfin retrouvé ma Maitresse, et elle me tient en laisse. Je suis sa chose, et c’est tout ce qui compte pour moi...

A suivre...

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 24 janvier 2 24 /01 /Jan 09:23

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Votre chien à bien de la chance, mais si j'étais le vrai toutou de Madame, par aaron…

 

 Maîtresse,


On parle très souvent d'humanisation de la race canine, mais malheureusement plus rarement, de la ''caninisation'' de la race humaine et pourtant, dieu sait si nous sommes nombreux à rêver d'une telle existence....


 N'existe-t-il pas, en effet, d'instant, plus pétillant et de plus engageant, que d'avoir conscience, qu'une Dame est venue soudainement se proclamer Maîtresse, de son destin et de sa vie.


Je m’imagine, alors communiquer avec Vous, uniquement par le regard, car la nature ne m'a pas doté de la parole, nu devant Vous et Votre Grandeur d'Esprit, sans offusqué personne; Appréhender avec un frisson profond mon nouvel horizon, placé en dessous de la ligne de Vos Genoux; M'endormir la plupart du temps à Vos Pieds; Pouvoir lécher Vos Semelles en remerciement de m'honorer de Votre Présence, percevoir et apprécier Vos Cris de Jouissance, lorsque Vous décidez de faire l'amour, entendre Votre Ricanement quand je fais l'amour avec un autre chien, obéir aux sons de Votre Voix, quand Vous me soufflez : ''Assis, couché, au pied, donne la patte...'', avoir l'honneur de Vous soutenir quand rien ne va....


Bref, sachez Maîtresse, que cette destinée se limite au phantasme pour moi et pour d'autres, mais que ''G'' votre chien, a cette chance inouïe de Vous appartenir, peut-être sans en n'avoir conscience...


 aaron

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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Samedi 21 janvier 6 21 /01 /Jan 11:46

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Est-ce possible, dieu possible ?

Jamais nous n'avons compté les moutons

Jamais joint l'intime à l'agréable

La chambre n'est pas sordide

Elle est vide

Un sommier de fer ou d'acier

Une paillasse de feuilles de maïs

Dans un sac plat de toile à rayures

La chambre vide et la chaise vide

Et des taches aux murs

 

La paillasse elle a ôté

Sur le sommier de fer ou d'acierh

Elle m'a fixé

Les membres et le ventre et le cou et la tête cousus au sommier

Par la ficelle de boucher

Tout boudiné rôti ficelé sur le sommier

Ma petite bête s'est érigée

Comme un élan désuet

Comme un effort inutile

Elle tapé du fouet

L'animal s'est recroquevillé

Petit gris rentré dans coquille

 

Elle a soulevé les lourds plis de son vêtement

Ample jupe d'épaisse peau

D'hippopotame rose et de caïman pervenche

S'est assise de tout son poids, bon an mal an,

Mon nez par ses lèvres salées englouti

Ma bouche par son cul rose bâillonnée

C'est un présent rare qu'elle me fait

Je suis inondé d'elle et de bonheur

Son poivre et sa sueur me saoulent

J'étouffe mais dieu c'est bon c'est divin

Mon nez ce pic au cœur du parfum

Le parfum le seul la Femme et

Ce petit trou rose où ma langue pique

Ce petit trou rose où ma langue glisse

Enfin, je ne sais s'il est rose ou brun ou rouge

Il fait nuit là-dessous !

 

« Un soumis d’occasion – mai 2011».

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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Mercredi 18 janvier 3 18 /01 /Jan 13:13

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Sous la blouse, bât un cœur.

Rester pierre devant la douleur ?

La déesse, souffrante, allongée

Sur le lit blanc. Médusée ?

 

Une toute petite chose, soumise wanda

 

 

Voilà quelques mots qui résument mon séjour à la clinique. Rien de grave rassurez-vous, juste une douleur présente à mon épaule depuis des mois que je devais soulager…

Vous m’avez manqué, n’ayant pas de connexion wifi là où je me trouvais…

J'arpentais les couloirs, ô désespoir...


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Je mangeais avec gourmandise les chocolats déposés par soumise Wanda…

 

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Je regardais les fleurs dans ma chambre…

 

 

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Et... Je vous conseille ce livre BD de l’auteur SERRE, qui parle fort bien de l’hôpital. Ames sensibles s’abstenir !!

 

 

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Me voilà de retour chez moi, mais encore embrumée par les vapeurs de morphine, aussi, laissez-moi le temps de refaire surface…

 

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Par Madame. S
Samedi 7 janvier 6 07 /01 /Jan 11:16

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Nu, maigre et tremblant…

 

Je suis là à vos pieds,

Nu et tremblant, mais si fier

D'être le tapis qui vous sied.

D'un édifice, la première pierre !

 

Sur mes maigres épaules,

Le poids de votre pouvoir,

La magnificence de votre rôle

De déesse étouffoir.

 

        soumise wanda

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 6 janvier 5 06 /01 /Jan 10:59

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Maîtresse,

           Permettez-moi de Vous rendre grâce en déposant à Vos Pieds, ce coeur sanguinolent, qui ne m'appartient plus, car je me suis remis à Votre Volonté, depuis le 5 novembre dernier, par la signature de ce contrat d'esclavage, édicté par Votre Âme Généreuse et débordante de subtilités et sous le contrôle bienveillant de Monsieur Votre Amoureux.

            L'issue en est encore supérieure à tout ce que je pouvais espérer, car je n'ai maintenant plus le moindre doute sur le fait que mon destin Vous appartient. De plus, Vous Seule, restez libre d'en faire ce que bon Vous semble, même de me faire accomplir le pire aux yeux du commun des mortels, alors que pour moi cet acte resterait une issue heureuse et 
bienveillante, puisque Vous l'auriez décidé. 

       Nous avons l'un et l'autre cette forme de réciprocité, qui nous conduit dans ce plaisir bdsm, sans exclure le rapport affectif qui semble s'étoffer avec le temps. Nous avons cette chance extraordinaire de nous accomplir par instincts sans se poser la moindre question, Vous me considérez comme Votre esclave tout en me respectant à Votre Manière et moi je Vous vénère amoureusement comme un père envers sa fille ou un fils envers sa mère.

Mon obéissance à Vos Pieds s'impose pour moi, comme une nécessité. En Vous révélant par nature Dominante, et moi en tentant de veiller sur Votre Bien-Être, nous ouvrons la porte secrète de notre bonheur.

Au travers de la Limpidité de Votre Esprit, Vous révélez équilibrante pour Vous mais assurément pour le valet de Pieds qui ne cesse de penser à Vous. Par exemple, le fait de m'avoir ordonné de Vous masser les Pieds puis de les lécher, alors que Vous et Monsieur étiez allongés dans le canapé, pour Votre Détente Amoureuse a fait naître en moi la dimension d'un plaisir profond et psychologique,  jusque-là inconnu…

              Peut-être que Vous et moi savons que dans l'acte amoureux, il existe toujours un risque qui conduit parfois à la rupture, alors que dans notre cas, la rupture n'est même pas envisageable car nous glanons le plaisir dans Votre Jardin en faisant abstraction à tout acte sexuel. La où d'autres n'y verraient que désespoir, souffrance humiliation, et douleur, nous avons cette chance inouïe d'y découvrir le ferment de notre bonheur. Vous et moi savons, que les couples qui durent sont les meilleurs amis au monde, on se sent parfois soeur et frère, parfois associées, parfois confident, parfois mère et fils, mais nous n'oublions jamais que ce qui nous lie de manière fusionnelle, qu’est ce Lien, le BDSM.

J'ose Vous avouer que jamais il ne m'a été possible de vivre pareille relation avec quelqu'un. Il existe une vibration et une intensité que peu de gens sont capables de ressentir, dans cette manière de nous révéler intimes l'Une en face de l'autre.

               Lorsque je Vous ai rencontré pour la première fois, je savais que je venais de nouer avec cet Être Cher qui avait en plus, tout ce que  j'avais en moins, c'est pour cela que chacune de nos rencontres sont belles et nous assainit l'esprit de toutes négativité.
Je sais maintenant que je n'aurai plus à me poser la moindre question sur mes angoisses existentielles, car je sais que Vous êtes là toujours Supérieure à mes craintes de l'abandon.

Par ce contrat pensé et écrit par Vous, Vous m'avez appris à écrire le mot Dépendance, avec un ''D'' majuscule, comme on peut écrire, Vos Initiales avec les mêmes majuscules de Respect. 

Vous m'avez laissé le choix de l'engagement, dans un esprit chevaleresque, bien que je reste condamné à vie à vivre aux sabots de Votre Cheval pour mon plus grand bonheur.... 

''J'existe pour servir ma Déesse et son plaisir...la Dèesse a tout droit pour devenir exigeante à souhait ou de plus en plus dure si elle le souhaite.... Une sorte de merveilleuse dépendance spirituelle, physique et cérébrale de l'esclave ainsi lié à sa Déesse.... Ne pouvant, plus fuir sa condition, son appartenance, et l'évidence de son but sur cette terre : appartenir à sa Déesse à tout  jamais .... Devenir le réceptacle de ses ignominies, si Elle l'humilié par Sa Souillure, Son Urine, Sa Transpiration, ou pire, Elle apprend au soumis, l'humilité.....

L'esclave devra respecter certains rituels comme ramper devant Elle, être à genoux, embrasser les Pieds quand il La revoit et Lui réciter des prières de vénération.....''

Lorsque je relis ces courts passages de notre Contrat, je comprends que j'ai dû attendre 47 ans pour connaître ce moment exceptionnel de magie pour enfin vivre selon Votre Envie, Vous en êtes ainsi devenu mon Obsession sentimentale que je vénère à tout prix et à tout moment de la journée : avec mes proches, avec ma famille, mes collègues, quand je me couche, quand je bois mon café, quand je suis en train d'observer un ciel bleu ou le même ciel étoilé.....

              Lorsque je Vous ai rencontré en ce jour de juillet 2005, je savais pour le plus grand bonheur de mes soupirs, que j'acceptais de nouer avec une Dame Exceptionnelle, qui avait en plus, tout ce que j'avais en moins, c'est pour cela que chacune de nos rencontres sont belles, car elles nous assainnies l'esprit de toutes négativités.

J’ose Vous avouer que je suis chaque fois confus, car chacun de mes remerciements, pensées, ou petits présents semblent être á des années lumières de Votre Sensualité Suprême.

Je ne cesse jamais de m'appuyer par le dessous, sur tous ces Bienfaits que la nature semble Vous avoir confiée : Votre Féminité, Votre Beauté, Votre Regard pleins de sensualité, Votre Parfum, bref Votre Aura qui fait de Vous cette Être à la fois proche et pourtant imprévisible et inaccessible. En fait j'ai toujours pensé que Votre Âme restait par nature Humaine, mais c'est tout ce qui l'entoure qui Vous rends impénétrable. 

Votre Harmonie me rends moins vulnérable face à la médiocrité, pourtant je sais que cette Harmonie pourrait faire très mal si Elle le voulait, mais chaque fois que Vous décidez de m'assainir de Vos Coups de Fouets, plus ces derniers sont violents et plus je Vous sens belle, heureuse et épanouie.....  C’est ce qui fait tout le paradoxe de notre histoire en la rendant très belle.  

 Je me confie et me livre à Vous totalement sur le ton de Vos Paroles. Je me sens maintenant lié à Votre Bonheur, comme à Vos Malheurs par ces chaînes à la fois virtuelles et pourtant réelles qui ne cessent de me rappeler la magie de ces moments intemporels où sous Votre Joug, je ne fais plus la différence entre le rêve et la réalité.

Être à Vos Pieds et Ressentir Votre Volupté reste pour moi le plus foudroyant des bonheurs et je Vous remercie de m'accepter en tant que tel... Merci à Vous et à Monsieur pour la Cordialité de Votre Accueil, Vous avez fait en sorte d'installer sans que je le réalise vraiment ma dépendance à Votre Plaisir, une dépendance que j'assimile à une véritable thérapie. 
Chaque fois je ressens Votre Plaisir, quelle chose me dit que moi aussi je suis l'objet de Votre Partage, je sens alors les frissons de Votre Âme Généreuse me parcourir. 

Votre Chemin de l'existence est une route vers la paix intérieure, qui génère en moi ce plaisir pénétrant, me menant vers un apaisement psychique puissant, c'est un bonheur que je rêverais de vivre jusqu'à ma mort. Arrivé ainsi au bout de Votre Désir, est pour moi la plus sincère des récompenses. Voilà qui est fait avec la signature de ce Contrat.
Ce fut véritablement une expérience enrichissante et inoubliable.


                                                   Merci à Vous, Maîtresse et Monsieur,
                                                                             aaron

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 5 janvier 4 05 /01 /Jan 12:51

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Le collier, le vrai… D’aaron…

 

Aaron vous parlait de collier lundi, aussi j’ai eu l’idée de vous montrer le sien, le vrai, celui qu’il a créé à ma gloire…

Moi, je le trouve magnifique… 

Et j’aime le prendre dans mes mains pour l’attacher à son cou.
J’aime le voir à son cou, ce signe d’appartenance qui pour moi est incontournable et fort….

J’aime savoir qu’il le porte pour moi, rien que pour moi sa Divine…
Et qu’il est heureux, de le porter, fièrement… Dignement…

Avec soumission et abandon…

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 5 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 10:54

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Etre à Elle...

(par soumise wanda)

Je suis soumise par essence, par besoin vital, et ma vie me pousse vers plus de soumission. Mais je suis toujours restée maîtresse de cette dernière, ne lâchant jamais prise. Une bonne soumise répondant aux ordres de sa Maîtresse … qui dirige qui, en fait ? Si je ne suis pas le maître du jeu, je suis passée maître dans celui de l’illusion. Qu’on ne se méprenne pas, je réponds aux sollicitations avec l’empressement et tout le dévouement que réclame ce jeu de chat et souris, mais pour mon plaisir personnel avant tout !

Alors jusque-là, j’étais quoi ? Une soumise-maîtresse, égoïste dans son plaisir plus que dans celui de sa maîtresse? Peu importe, finalement, car je l’ai rencontré. Oui, j’ai rencontré ma Divine, celle par qui tout peut devenir possible.

Je suis lente à comprendre les choses, aussi je n’ai pas vu l’évidente lumière qui m’a éblouit le jour de notre rencontre. Là, il faut que je vous précise que notre rencontre physique n’a jamais eu lieu et pourtant ses premiers mots par mail et ses yeux posés sur moi, au travers d’une photo glanée sur internet, ont instauré le germe du doute dans mes certitudes.

Je n’ai pas la prétention de dire que je la connais. Ce qu’elle a bien voulu partager avec moi, peut-être l’a-t-elle partagé avec d’autre, mais ce que je lui ai écrit à nulle autre mon âme n’a pu en écrire d’avantage et pourtant je sais que je peux faire mieux pour ELLE.

Etre meilleure, voilà ce qu’elle a fait pour moi ….et voilà pourquoi je veux être à Elle !

Que suis-je face au soleil qui rayonne de sa magnificence source de vie ?

Que suis-je aux pieds d’une montagne majestueuse aux neiges éternelles ?

Que suis-je devant la force irréductible d’un fleuve intrépide ?

Oui je suis un petit animal fragile, mais dans mon subconscient j’ai enfin trouvé ma place dans le sillage de ma Déesse … et je veux être à Elle !

Etre à Elle, c’est du lever au coucher du soleil être son parfum intime. Etre la merveilleuse conséquence du cycle de la vie de ma Divine.

Etre à Elle, c’est être sa protection contre les éléments déchaînés de la nature. Etre son parapluie, son coupe-vent, ses bottes, ses chaussettes, son bonnet, son écharpe, ses gants. Mais aussi son armure indéfectible contre l’Homme et ses machines de destruction.

Etre à Elle, c’est être son miroir reflétant l’éclat indicible de sa beauté. Un miroir que même le temps n’arrivera pas à entamer, mes yeux sachant capter la lumière que seule une déesse a pu générer.

Etre à Elle, c’est caresser sa peau comme le toucher délicat de sa lingerie sur son corps. Le frottement d’un corset en vinyle que des liens à son dos rattachent.

Etre à Elle, c’est ne dormir que lorsqu’elle dort et être éveillé avant Elle pour la réconforter par mes regards d’adoration lorsqu’Elle revient du monde des rêves.

Etre à Elle, c’est être sa nourriture physique et spirituelle. Une déesse, ne doit pas se préoccuper des choses matérielles de notre monde. Son caractère évanescent doit suffire à contenter le misérable vermisseau.

Etre à Elle, c’est être son talon de chaussure sur lequel elle repose son divin pied. Ne pas faillir, ni faiblir, car c’est sur ce talon qu’elle m’a donné toute sa confiance.

Etre à Elle, c’est être la coupe bénite qui reçoit ses intimités comme le don le plus précieux qui soit.

Etre à Elle, c’est être son choix. Etre là quand Elle veut et disparaitre le reste du temps. Etre indispensable et invisible comme un Smartphone dans son sac à main.

Etre à Elle, c’est être la seule chose à laquelle Elle ne pense plus mais qui ferait s’écrouler tout son monde si cette chose venait à disparaitre.

Etre à Elle, c’est être la fleur qui enchante son regard, être le tableau qui illumine son cœur, être la musique qui éveille ses sens.

Etre à Elle, c’est être le lit du ruisseau de son âme.

Les mots sont-ils suffisamment forts pour exprimer la puissance de ma dévotion à Madame? J’en doute car ils ne sont qu’un pâle reflet tronqué !

Sachez que je suis jalouse des faveurs que mes rivaux ont eu, l’ont-ils mérité ? Je n’ai pas le pouvoir de les juger, mise en quarantaine castratrice comme je le suis. Mais je ne me plains pas car Madame sait toujours me rappeler, avec justesse, qu’elle est ma position à l’échelle humaine face à une Divine et toujours le vermisseau que je suis sort grandit du chant de son courroux.

 

Respectueuses pensées à ma Déesse.

 

soumise wanda.

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 7 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 2 janvier 1 02 /01 /Jan 14:55

 

 

 

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Mon collier pour elle…

 

Quand en 2005, je décidais de Vous offrir mon collier, scellant toute ma dévotion à Vos Pieds, je l'achetais dans une 
animalerie, car je me considérais tel Votre animal.
Cependant, les choses ont quelques peu évolué, depuis car après la disparition de votre chien et regretté "S", est venu ''G'', Vous 
m'avez appris à écrire leur nom avec cette déférence de respect, qu'est la majuscule.

J’ai enfin compris que mêmes Vos Animaux pouvaient profiter de droits, qui ne pouvaient m'être octroyés pour mon plus grand bonheur. Comme par exemple, faire leurs besoins que je dois ramasser, s'assoire sur le canapé de sa Maîtresse, manger à heure régulière,... 

Hormis Monsieur, peut-être avez Vous plus confiance en nos amis canins, qu'en la ''race'' des hommes.

Bref, ce qui est beau et sensuel, c'est de me livrer à Vous en perdant une part de conscience humaine et en abandonnant mon 
coeur fragile à Vos Pieds. 

Vivre selon Votre Propre Conviction sans se soucier du reste, et en harmonie avec Votre Conscience est le plus sincére des 
miracles qu'il m'est été amené de vivre.....

aaron eunuque dans l'âme

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Dimanche 1 janvier 7 01 /01 /Jan 09:16

 

 

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Très bonne année 2012 !

A very good new year !

Muito um bom ano 2012 !

Un muy bueno año 2012 !

Un buono anno 2012 !

Een zeer goed nieuwjaar !

 


Une nouvelle Année...

Une nouvelle Année...

Comme un voile emporté au petit levé

Où le soleil flambe nos magnifiques idées

Pour assouvir tous nos rêves inachevés.

Une nouvelle Année...

" Bonne Année / Bonne Santé "

Plus qu'un désir pour nos aimés

Le choix d'une future réalité.

Une nouvelle Année ...

Un nouveau berceau pour notre humanité

Une trace, la preuve de notre destinée

L'expression d'une vie ainsi bien nommée

 

EsteBan Hache

 

 

                            BONNE ANNEE...


Je Vous souhaite
Une bonne année
plein de moments chouettes
les doigts dans le nez

Je Vous souhaite
des amours fous
qui, comme des tempêtes
vous mettent à genoux

je vous souhaite
plein de soleils
remplis de fêtes
et, un peu d'oseille

je Vous souhaite
un brin de paix
à la sauvette
sur canapé

Je Vous souhaite
toutes vos envies
c'est tout bête
vivre votre vie

 

Et ma petite touche personnelle…

Mes vœux de bonne année !

Avouez que les bonnes résolutions s’envolent et que les vœux ne se réalisent pas toujours vraiment….
Ce que moi, j’aimerais vous souhaiter pour 2012….

 Je ne vous souhaite « rien », ou plutôt, « tout », ce qui vous fera vibrer et selon les gens que vous croiserez et que le destin aura mis sur votre route…

Vivez, vibrez, partagez, offrez-vous dans la passion SM, souffrez, admirez, osez, rêvez et surtout… Aimez…

Merci également à mes fidèles lecteurs, inscrits à la Newsletter et merci à ceux, qui ne sont que de passage et aux nouveaux à venir…

Bonne Année 2012

Madame. S

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 15 commentaires - Publié dans : Divers fêtes et occasions
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 30 décembre 5 30 /12 /Déc 13:55

30.12.2011

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 10 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 10:29

 

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Voici un rêve, que vous fais partager venant d’un soumis....

 

Madame Sylvania.

Voici le rêve que j'ai fait dans une nuit de la semaine dernière. Bien sûr, un rêve est habité par le fantasme et il tient forcément compte davantage des miens que des vôtres que je connais encore peu. Et sa transcription sur le papier (ou sur l'écran) le transforme en littérature. Il n'en reste pas moins que ce rêve n'a existé que parce que vous existez. Vous êtes entrée dans ma vie et dans mon esprit comme une ombre. Et vous planez sur moi.

Depuis notre rencontre, bien que virtuelle, j'ai le sommeil agité et bref. Au réveil, me sont revenues devant les yeux les images de mon rêve. Rêve ou cauchemar ? Je penche pour la première proposition, mais mon rêve n'a pas eu de fin... Peut-être se termine-t-il en cauchemar !

 

J'étais à Strasbourg pour 24 heures. Il était 13h. Un jour frisquet. Etait-ce déjà l'automne, ma saison préférée, ou un caprice du climat ?

Vous m'attendiez en face de la grande verrière. Je vous ai repérée au premier coup d’œil. Votre chevelure sombre, vos lèvres carminées. Le noir de votre manteau ciré.

 J'avais réservé une chambre dans un petit hôtel modeste proche de la gare, car j'ai peu de moyens.

La cerbère qui tenait la réception, après que j'eusse complété la fiche, nous donna la clef de la chambre la moins chère, au dernier étage, sous les combles. Le confort de ma chambre m'importait peu. J'étais à Strasbourg pour recevoir de vos mains la punition bien méritée. Nous avons pris l'ascenseur qui nous a élevé jusqu'au dernier étage. Au bout d'un couloir étroit, un escalier et en haut, une porte identique à toutes les autres. Je me suis effacé pour vous laisser entrer, j'ai refermé la porte derrière nous. Mon sort était scellé. Plus de marche arrière possible.

 C'était une pièce mansardée de 5 à 6 m sur 4. Au fond, un lit de bois doré et un placard. Des poutres au plafond, un plancher de bois sombre. Une table ronde, trois fauteuils type bergère, des tentures de velours lie de vin.

 Etrangement, mon rêve était muet. Je n'ai aucun souvenir de paroles échangées entre nous... La raison en est probablement que je ne connaissais pas le son de votre voix. Ou bien, notre connivence serait-elle à ce point forte qu'aucun mot ne soit nécessaire pour nous exprimer nos sentiments, nos ressentis, nos peurs, nos joies ?... Les deux raisons mêlée, certainement.

 Je me suis mis nu, près de l'un des fauteuils où vous vous êtes assise avoir posé votre sac sur la table.

Vous en avez sorti une corde de cinq ou six mètres de long et plusieurs larges ceintures de cuir brun. Je me suis approché de vous. Vous avez bouclé une ceinture étroitement autour de ma taille puis vous m'avez attaché les poignets joints à l'aide d'une ceinture et noué l’extrémité de la corde autour de la ceinture, entre mes poignets, les séparant par un espace de d'un centimètre. Vous vous êtes levée, me tirant à reculons vers le centre de la pièce. Vous avez passé l'autre extrémité de la corde au-dessus d'une poutre et vous l'avez tirée lentement, m'étirant les bras vers l'arrière et vers le haut, m'obligeant à pencher la tête vers les genoux.

 Puis vous m'avez enfilé sur la tête un sac de toile épaisse qui a dû être maintenu à l'aide d'une autre ceinture bouclée autour du cou. Ma respiration s'est aussitôt ralentie. J'ai senti que Vous nouiez un lacet à la base de mon gland. Erection naissante. Un coup sur la queue m'a fait retomber illico. Vous m'avez fait écarter les jambes et avez tiré fort sur le lacet, ramenant mon sexe vers l'arrière, entre les testicules puis vous avez attaché le lacet à la ceinture de la taille bouclée sur les reins. Quelques claques sur le cul, du plat de la main, je pense, m'ont obligé à resserrer les cuisses et vous avez bouclé deux ceintures  en-dessous et au-dessus de mes genoux, étroitement serrés, ayant pour effet de comprimer mes testicules.

 Pour ajouter un peu de restriction, vous avez placé une autre ceinture autour de mes coudes, les rapprochant le plus possible. Puis j'ai senti les premiers coups reçus sur les fesses et l'arrière des cuisses. A l'aide d'une autre ceinture, je suppose. Les coups n'étaient pas très forts, mais rapides et ils m'obligeaient quand même à bouger au bout de ma corde, manquant de perdre l'équilibre à tout mouvement, obligé de garder les pieds écartés du mieux que je le pouvais, les genoux entravés, afin de garder un peu de stabilité. Les épaules, les bras et les poignets me faisaient mal par les tensions exercées.

 Puis vous m'avez laissé dans cette posture après avoir entouré ma tête au niveau des yeux et de la bouche, à l'aide de ce j'ai cru être de la bande adhésive, restreignant encore ma respiration sans l'empêcher totalement, bien sûr. J'avais le vertige. Je n'ai pas la notion du temps qui s'était écoulé. Je sentais un bourdonnement constant, j'avais les tambours du Bronx dans ma tête et dans ma poitrine.

 Lorsque vous êtes revenue vers moi, vous avez du détacher la corde de la poutre, car j'ai pu me redresser assez brièvement, juste une dizaine de secondes, car la corde s'est à nouveau tendue, étirant mes poignets plus haut qu'auparavant, m'obligeant à rester sur la pointe des pieds. Et là, j'ai pu apprécier votre art du détail qui a rendu cette punition totalement enivrante et extrêmement perverse: vous m'avez entravé les chevilles jointes par une dernière ceinture réduisant à néant le peu d'équilibre que j'avais. Puis de nouvelles volées de coups de ceinture on plut sur mes fesses, mes cuisses et mes mollets. Et J'ai senti des larmes couler sous le sac recouvrant ma tête et j'ai grommelé "Merci Madame S".

 Voilà. C'était mon rêve sans fin. Qu'a-t-il pu se produire par la suite ? Les gestes que je vous ai prêtés sont-il ceux que vous auriez pu exécuter ? Peut-être pas. Je n'ai encore de vous que des impressions (qui m'impressionnent) mais qui surtout m'émeuvent.

 Attaché à vos pieds,

 A.

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance

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  • Elle et lui...
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  • Jolies chaussures à brides...
  • A mes pieds...
  • Se maquiller en toute tranquilité...
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