Jeudi 19 avril 4 19 /04 /Avr 10:41

19.04.2012-1.jpg


Le 18 janvier 2010 au 69 bis - 1 -

 

Les préparatifs :

 

Mi-décembre, j’ai participé à la soirée de clôture organisée au 69 bis par Maîtresse Olivia et Madame Isis. J’y ai vécu des moments d’une grande richesse, des choses que je n’avais encore jamais connues en leur compagnie et des grands moments d’émotions.

 Les après-midi des deux dominatrices ont enfin repris. Ils se dérouleront le lundi, et il m’aura fallu attendre la troisième semaine de janvier pour les revoir. Je vous laisse imaginer mon état d’impatience.

 Cela fait donc des semaines que je fantasme sur cette soirée. Cette journée de lundi est interminable, un peu de boulot mais sans plus, et mon cerveau est en ébullition. J’ai prévu de partir vers 17 H, ce qui me laissera un peu de temps pour passer à l’hôtel me laver, l’intérieur et l’extérieur, me changer, et ainsi me présenter à ma Maîtresse sous les meilleurs auspices. J’ai mon manteau sur le dos, la serviette à la main, je vais sortir de mon bureau, quand mon patron et un collègue surgissent de l’ascenseur. Ils ont bien sur un sujet urgent à traiter avec moi. Je bous intérieurement et tente de leur faire comprendre que j’ai un rendez-vous à l’extérieur, mais je dois tout de même écouter leur questionnement, et préparer un début de réponse que j’étayerai par la suite.

 Une demi-heure de perdu, la poisse !

 Et à Paris, une demi-heure, cela peut vouloir dire plus d’embouteillage, donc plus de temps perdu à gamberger. Si je suis ordinairement plutôt zen dans la circulation parisienne, ce n’est pas le cas ce soir, et les automobilistes n’ont qu’à bien se conduire. Par chance, je trouve une place de parking immédiatement à l’arrivée à l’hôtel, quoiqu’un peu courte pour mon tank, et ma lenteur à réaliser le créneau a le don de m’agacer. Je fonce à l’hôtel, commence à me dévêtir dans ma chambre pour constater que, dans la précipitation, j’ai oublié mes affaires de travelo et mes plugs dans la voiture. Je dois me rhabiller, descendre à la voiture. Que de temps perdu.

 Je me précipite enfin dans la douche, lavement pour commencer, plug, douche, re-lavement, je pense être enfin prêt et propre. Il en reste plus qu’à m’habiller. Je sors de mon sac de tafiole les jolis bas rouges que m’a offert Madame Isis, et en mettant le second, je m’aperçois que je viens de le filer. Obligé de mettre mes bas résilles rouges, ceux que ma Maîtresse semble ne pas aimer tant que cela, encore du temps de perdu. Et comme par hasard, je n’arrive pas à les accrocher au porte-jarretelles. Quand j’arrive enfin à tout accrocher, je m’aperçois que l’élastique le plus difficile à fixer, celui de derrière, a tourné sur lui-même. Après tous ces efforts, je suis en nage malgré la douche, et je ne veux pas prendre le risque d’être encore plus en retard. Si ma Maîtresse se rend compte que j’ai fait des nœuds, je serai puni et je l’aurai bien mérité, mais là, je n’en peux plus, il faut que j’y aille.

J’enfile rapidement mes vêtements de ville par-dessus ma panoplie de soumis travesti, et je fonce en direction du 69 Bis.

 Mon arrivée au 69 bis

 Quel soulagement de sonner enfin à l’entrée de ce lieu, qui deviendra un jour mythique, soyez en sûr, cher lecteur.

Je mets rapidement mon collier autour du cou, et je franchis le seuil de la porte, les mains encombrées, le pain dans l’une, le champagne dans l’autre, et je ne peux me précipiter aux pieds de ma Maîtresse pour les lui baiser. Je file donc à la cuisine me débarrasser, avant de serrer une poignée de mains amicale à Mphil – j’étais parti pour lui faire la bise, mais en croisant son regard, je n’ai pas su si je pouvais aller plus loin – et d’aller enfin baiser les pieds de Maîtresse Olivia.

Je suis le premier soumis à être arrivé, cela va me laisser un peu de temps pour en profiter.

 Maîtresse Olivia est vraiment superbe !

 J’entends le lecteur assidu me souffler « comme toujours ». Bien sûr, ma Maîtresse est superbe, comme toujours, mais aujourd’hui, elle est habillée en couleur, et dans ma couleur. Le haut rouge en tissu fin et les cuissardes rouge vif la mettent particulièrement en valeur. Elle me toise de son regard hautain, qui n’arrive pas à masquer la grande humanité qui l’habite, et le plaisir que je sens percevoir de me revoir.

 Avant d’aller me mettre en tenue, j’ai le loisir d’astiquer les cuissardes de ma Maîtresse, et j’y prends beaucoup de plaisir.

 Une fois en tenue, je me sens plus à l’aise. Je suis l’esclave, cela ne fais plus aucun doute. Je suis là pour obéir, servir, et remercier.

 Madame Isis et Mphil doivent nous quitter quelques instants, et j’en profite pour remettre à ma Maîtresse le contrat que j’ai rédigé. J’aurai voulu faire cela devant Madame Isis, mais je ne peux plus patienter.

 Je suis un peu inquiet, car j’ai voulu rédiger un contrat un peu particulier, un contrat qui soit le reflet de ma personnalité, de mes attentes, et surtout des rapports que j’ai tissé avec les membres permanents du 69 bis.

 En fait, mon contrat présente la particularité suivante :

- Je demande à Maîtresse Olivia de lui appartenir corps et âme, et ce de manière exclusive. Jusque-là rien de bien original, un contrat d’esclavage traditionnel.

- Je propose à Madame Isis de lui obéir en tout, et par la même de s’affranchir de toute autorisation de ma Maîtresse pour me donner des ordres ou me punir.

 Un contrat tripartite est plus qu’original, je n’en ai jamais trouvé d’exemples sur Internet.

 Je crains par ailleurs que ma Maîtresse n’en soit vexée, même si je connais la très grande amitié qui les rapproche, et je ne sais pas si Madame Isis en aura l’envie ou la possibilité.

 Maîtresse Olivia s’empare de mon contrat manuscrit (l’exemplaire publié sur le site en est la version informatisée, mais j’ai évidemment signé de mon sang un document rédigé de ma main) et le parcours silencieusement, non sans avoir pris l’initiative de ma fourrer son sexe dans la bouche.

 Je m’applique à mettre en ordre de marche cette superbe queue, que je caresse toujours l’espoir de sentir entre mes fesses. Je la suce de mon mieux, avec tout l’amour que j’ai pour sa propriétaire, tantôt avec douceur en la titillant avec ma langue, tantôt avec plus de fermeté, la serrant entre mes lèvres avides. Ma Maîtresse me complimente en me disant que j’ai fait des progrès depuis la dernière pipe, et en me caressant la tête comme on le fait pour flatter son chien. Cela me donne toujours plus de cœur à l’ouvrage (oui je sais bien, cher lecteur assidu, que je n’ai point besoin d’encouragements pour m’appliquer à sucer une belle bite). Ma Maîtresse me demande d’ouvrir mon string afin de  voir l’effet que sa queue fait à la mienne, et elle constate avec dépit et force remarques acerbes que l’effet n’est pas visible. Vous m’impressionnez tellement, Maîtresse Olivia, que mon corps ne réagit pas toujours comme je le voudrais, et je suis plus concentré à vous donner du plaisir qu’à en retirer moi-même.

Cela n’empêche pas Maîtresse de continuer tranquillement sa lecture, et de me poser quelques questions :

« Etes-vous conscient de la valeur de ce contrat et de ton engagement ? »

« Oui Maîtresse ! »

Evidemment, pour lui répondre, j’ai dû cesser un instant de la sucer, et je prends une première gifle. « Je vous ai demandé d’arrêter ? » Me lance-t-elle.

Je fais non de la tête de reprends immédiatement sa queue dans ma bouche, non sans un sentiment d’injustice, mais qui me fait bander légèrement.

« Vous êtes conscient de ne plus pouvoir traîner dans les cinémas pornos sans mon autorisation ? »

« Oui Maîtresse ! »

Cette fois ci, je n’ai pas lâché sa bite pour répondre, mais je prends une nouvelle gifle qui me surprend.

« On ne parle pas la bouche pleine ! »

La suite du dialogue se fera avec des signes de têtes, pour ma part, des signes d’approbation, vous vous en doutez, et je sens que ma Maîtresse goutte son plaisir.

 Le début de soirée :

 Madame Isis et Mphil reviennent sur ces entrefaites, et Madame Isis lâche quelques commentaires du genre : « alors, elle suce bien cette salope ? Quelle chienne ! » Qui correspondent tellement à ce que je suis devenu !

 Maîtresse Olivia ayant terminé la lecture de mon contrat, le transmet à Madame Isis qui est également concernée. Pendant qu’elles discutent de mon contrat, et du sort qu’elles vont lui donner, je suis enjoint à aller dans la cuisine afin de préparer l’apéritif et servir mes Maîtresses.

 Maîtresse Olivia a maintenant envie de jouer avec moi. Elle m’envoie cherche son sac à malice, afin de me montrer les cadeaux que lui a apporté le père Noël. Elle commence par sortir les pinces à seins que je déteste (elles me font vraiment très mal), puis quatre poids de 80 et 130 grammes, dont elle est particulièrement fière. Que de malices dans ces yeux.

 En me fixant de son regard sadique, ma Maîtresse m’accroche la première pince, puis la seconde qui m’arrache en soupir de douleur. Ne voulant pas être trop cruelle en ce début de soirée, elle ajuste la position de la seconde pince sur mon sein en emprisonnant plus de chair. J’encaisse tant bien que mal, et elle accroche maintenant les deux petits poids. A sa demande, je prends la chaîne dans ma bouche, et lève la tête, ce qui a pour effet de tirer un peu plus sur les pinces. Quand elle m’ordonne enfin de la lâcher, la chaîne lestée des poids tombe sur mon ventre, et m’arrache un nouveau cri de douleur, qui n’est pas de son goût.

 Elle m’envoie à l’autre bout de la pièce chercher à quatre pattes une cravache. En marchant ainsi, les poids tirent sur mes tétons, à chaque pas. J’avance lentement et avec précaution, pour limiter les mouvements brusques et la douleur induite. Je prends la première cravache dans ma bouche, et traverse la pièce dans l’autre sens pour la lui présenter en faisant le beau, enfin le beau grimaçant. Les gouttes de sueur perlent sur mon front, j’ai chaud et j’ai mal. Evidemment, je n’ai pas pris la cravache que Maîtresse Olivia souhaitait, et je dois bien vous avouer que j’ai sciemment évité de choisir « la salope », celle qui fait tant souffrir.

 Je vais donc devoir aller la chercher, toujours à quatre pattes, au moment où la pince droite se détache brusquement. Je réprime à peine un nouveau cri de douleur qui amuse beaucoup ma Maîtresse. Que faire de cette pince qui s’est détachée ? Je caresse l’espoir qu’elle disparaisse au fond du sac à malice, mais c’est sans compter sur la perversité de la dominatrice que je veux chérir.

« Ouvrez la bouche et tirez la langue !

Me lance-t-elle. Sans comprendre, j’obéis immédiatement, et me retrouve avec une pince sur le sein gauche et une pince sur la langue. La douleur lancinante reprend sa place, mais pire, je ne peux rentrer ma langue dans ma bouche, et commence à baver abondamment comme un boxer, sans pouvoir maîtriser quoi que ce soit.

 Et me voilà reparti à quatre pattes chercher une cravache qui sans nul doute marquera mon cul. La saloperie est coincée sous d’autres instruments de torture, et je galère à l’extraire avec ma bouche, d’autant que j’ai toujours la langue prisonnière de cette pince. Bien sûr, la loi de l’emmerdement maximum bien connue des informaticiens fait son office, et la cravache tombe à terre. Je tente désespérément de la ramasser, toujours avec la bouche. Je pense que c’est impossible, et lance des regards désespérés et embués de larmes à ma Maîtresse. Elle est sans pitié, et je pense maintenant, avec le recul, qu’elle est en train de me tester, pour connaître ma véritable motivation à lui appartenir. Mes larmes sont maintenant bien réelles, et je m’acharne à attraper cette cravache récalcitrante. Et miracle, dans un sursaut de désespoir, j’arrive enfin à en prendre possession. Le sol à mes pieds est inondé de bave et de larmes mêlées, et c’est avec la fierté du devoir accompli, et les félicitations amusées visibles dans le regard de ma Maîtresse que je rapporte la cravache, et la présente à ma Maîtresse.

 C’est l’instant que choisi D, le second soumis de la soirée, pour se présenter au 69 bis. Je suis à genoux devant ma Maîtresse, le string encore ouvert, la bave qui dégouline et les yeux larmoyants, il est debout à l’entrée en costume cravate ! J’adore ce contraste, et j’espère qu’il est un peu maso, sinon, il risque de prendre ses jambes à son cou.

 Maîtresse Olivia se décide à mettre une fin momentanée à ma torture, m’enlève les pince, m’arrachant un dernier cri de douleur, et m’envoie nettoyer mes cochonneries.

Merci Maîtresse Olivia !

19.04.2012-2.jpg

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 2 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 17 avril 2 17 /04 /Avr 13:47

17.04.2012-2.JPG

 

 

Cours de formation aux hommes !

Voilà une liste bien détaillée d’un travail des plus sérieux à expérimenter Mesdames avec vos soumis, mais pourquoi pas vos maris ou compagnons ! Je vous propose de lire les choix à appliquer pour faire le dressage de votre soumis dans ce sens. Un bon soumis, respectera d’ores et déjà tous ces chapitres, si vous avez su lui donner une bonne éducation ! Un dressage en bonne voie…

Eclats de rires…

 

 

17.04.2012-1.jpg

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 12 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 16 avril 1 16 /04 /Avr 13:21

16.04.2012.jpg

 

Maîtresse,

 
J'appartiens à ces gens, qui auront toujours besoin d'une puissance révélatrice et dominatrice, pour les guider.
C'est ce que l'on appelle le monde des soumises et soumis...


En face, la cour des Dominantes et Dominants, qui s'harmonise étrangement avec le précédent cheptel, car l'un et l'autre restent liés par la foi du serment, du devoir d'obéissance comme celui de la servitude sans oublier bien sûr le plaisir. 

                                                  Le cours de la vie m'a propulsé sur des chemins diverses où  les relations humaines, de manière générale me sont devenues indispensables.


Des sentiments aussi variés que le courage comme la peur, la tristesse, la solennité, le respect, la violence m'ont aidé à trouver une forme d'équilibre psychique.


Cependant, chaque fois que j'ai pu y réfléchir, l'inachèvement et l'errance ne cessaient de me poursuivre, car il me manquait avant tout, quelqu'un pour arriver à m'accomplir réellement. Cette personne dans mes rêves était nécessairement une Dominatrice, que  j'aurai aimée respectueusement, tout en communiquant, en partageant  et en  instituant un lien où la connaissance de l'autre est essentielle.


Jusqu'au jour où j'ai eu la chance inouïe de croiser Votre Destin...         

Je Vous ai rencontré, un soir d'été, tout était plus beau qu'en rêve...     

Vous m'avez tendu le Pied, je m'y suis accroché sans jamais le lâcher.

C'est alors que ma vie a pris un nouveau tournant, où Votre Présence m'apprend chaque jour à me méfier de mes propres certitudes, en évitant tout relent d'orgueil.....

J’idolâtre Votre Sérénité qui me rend humble.

Merci à Vous Maîtresse.


aaron

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 8 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Samedi 14 avril 6 14 /04 /Avr 09:19

 

14.04.2012-copie-1.jpg

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 1 commentaires - Publié dans : Photos...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 12 avril 4 12 /04 /Avr 09:36

 

12.04.2012.jpg

 

« Quelques lignes avec un certain humour pour Madame S. vénérée, moi, ver à ses pieds mais ceux-ci sont des vers sans pied, des vers désordonnés mais non sans queue ni tête. A. »

 

La récompense de Madame.

 

Haut le talon qui glisse entre mes dents

La taille de Madame corsetée

Dans ce va-et-vient incessant

Son jupon a voleté

A genoux !

Rampe !

Debout !

C'est épuisant

C'est enivrant

Bousculé

Cravaché

Enfermé

Etranglé

Où sont le nord et le sud

Je perds la notion

Allongé sur le dos

Sanglé de bas en haut

Son fessier sur le nez

J'étouffe, que c'est bon !

Encore encore ! Hardi ! Pardi !

S'évanouir

Sous la belle callipyge

Rendre l'âme que je n'ai pas volée

Rendre les armes que je n'ai pas prises

Ses mains vives pétrissent ma pauvre chose

Qui n'obéit plus à rien

Cet appendice ridicule comme une flatulence

Que malmène sa main ardente

Et qui dans un sursaut inélégant

Crache sa goutte blanche sur le tapis rose.

 

A.10 mai 2011

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 11 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 10:47

J’adore que l’on s’occupe de mes petits petons, mais à lire cet article, je vais me méfier à l’avenir pour confier mes pieds à un  fétichiste un peu trop collant à mon goût ! Sans jeu de mots sourires !!

 

10.04.2012.jpg

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 11 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 11:48

08.04.2012-0.jpg

 

08.04.2012-1.jpg

 

08.04.2012-2.jpg

 

08.04.2012-3.jpg

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 10 commentaires - Publié dans : Divers fêtes et occasions
Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Samedi 7 avril 6 07 /04 /Avr 10:15

07.04.2012-1.jpg

 

Et vous, où vous posititonneriez-vous ?

Ou faut-il créer une nouvelle catégorie ?

 

 

      07.04.2012 2

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 19 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 6 avril 5 06 /04 /Avr 10:13

 

Pour ce vendredi, voici un article en forme de billet d’humeur pour vous faire enrager un peu ! Moi taquine, non, juste un tout petit peu et puis je n’ai pu m’empêcher, c’était bien trop tentant !

Enfin je parle de ceux qui ne peuvent pas comprendre car s’ils ne vivent pas en Alsace par exemple, ni en Moselle. Ce régime si particulier qui fait que le vendredi Saint ici est un jour férié pour nous ! Et oui, voilà encore certains privilèges que l’on n’est pas prêts ici à se refuser !! Tout comme le 26 décembre.

Alors, à tous les gens du coin, voici l’objet indispensable pour vous détendre dans un jardin…


  06.04.2012-1.jpg

 

Ou alors…

Pour les Maîtresses, s'il fait trop frisquet dehors, je vous propose deux autres solutions originales pour continuer de vous détendre, histoire de se changer les idées pendant la journée…

 

06.04.2012-2.jpg

06.04.2012-3.jpg


Bon week-end prolongé de Pâques ! Et profitez-en pour faire plein de bêtises avec les petits œufs de vos soumis !!

Madame.S

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 5 avril 4 05 /04 /Avr 19:05

05.04.2012.jpg

 

La cage….thoracique ?

 

Je tourne en rond

Dans cet espace clos.

Chappe de plomb,

La violence sans mots.

 

Bourdonnements,

Battements,

Effondrements,

Le corps ment.

 

Son absence,

Son essence,

Et mes sens,

Contre-sens.

 

soumise wanda

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 2 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 3 avril 2 03 /04 /Avr 10:01

La petite chose qu’est greg, s’est mise en scène par le biais de ses photos de soumission pour Madame.S

Vous pouvez toujours m’envoyer vos photos par le biais de mon mail, je les publireais avec plaisir !

madame.sdu67@yahoo.fr

 

03.04.2012-1-copie-1.jpg

 

03.04.2012-2.jpg

 

 

03.04.2012-3.jpg

 

03.04.2012-4.jpg

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 11 commentaires - Publié dans : Photos...
Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Lundi 2 avril 1 02 /04 /Avr 14:24

02.04.2012.jpg

 

Maîtresse,

 
Le destin m'a fait naître en région champagne, où les gens ont comme d'autres zones viticoles, la même joie de vivre, je pense à l'Alsace ou le Languedoc Roussillon.
Mais là s'arrête la comparaison... Ne serait- ce que du point de vue historique, culinaire, ou bien des grands espaces, ces deux dernières régions n'ont vraiment pas d'égal....

Cela n'empêche que dès mon plus jeune âge, j'ai été confronté à ce vin flamboyant qu'est le champagne, j'aimais arpenter la profondeur de ces longues caves voûtées et fraîches. Je me suis souvent questionné si mon appétence pour les horizons lointains issue des voyages ou plus secrètement du phantasme, n'avait pas rapport

avec cette fracassante et pulpeuse bouteille que l'on vient fracasser sur la virginité des coques de navires ?
Bien que n'ayant jamais dépassé le coin de ma rue, un jour, Vous, Maîtresse Sylvania, avez décidé que notre lien avait atteint un tel niveau de confiance mutuelle, que j'étais en mesure, moi aussi d'être aussi ''baptisé'' par Votre Précieux Liquide, aussi appelé, Champagne.

Sous l'emprise d'une douce euphorie, j'ai tout de suite été attiré par ce véritable trésor, qui sommeille en Vous. Je suis ainsi devenu addicte à Votre Sirop, traduisant avec clarté, Votre Troublante et Imminente Suprématie. Il permet à mon âme de serviteur, de se sentir lavé de tous ses maux, il est devenu vital et indissociable de mon existence.

Ce véritable appel aux sens me permet de voyager avec une émotion certaine, sur les mamelons de Votre Effervescence toute Féminine. Je perçois sans cesse cette performance avec une longueur de retard, car Seule pour moi compte, Votre Insaisissable Sensualité qui tranche avec ma transparence ''eunuquienne''.
Vis à vis de cet art, beaucoup de néophytes diront considérer cette dégustation comme insultante ou trompeuse.

''Boire de l'urine ! Moi jamais...''
‘‘Je préfère mourir de soif !...''
‘‘Mais c'est dégueulasse .....''

 Je leur répondrai que Votre Vin, Madame, a un goût unique, un caractère, une philosophie, et une puissance aromatique qui n'a d'égal que Votre Suprématie.
Cette fine et douce amertume, aux arômes subtils de salé et au parfum iodé m'enivre avec cette sensation d'infini. Je suis chaque fois devant comme l'on peut être devant une chaîne montagneuse, ou l'immensité de la mer, chaque gorgée m'offrant une bouffée de chlorophylle à l'état liquide et doucement jaunâtre. A la fois doux et aigu, Votre Sécrétion a nécessairement de la tendresse.

Dans ce moment de partage et de mutualité, Votre Complicité est un révélateur certain, un véritable traité de sagesse, devant lequel je m'incline. Si nous ne croyions pas en l'Une et en l'autre, nous en sortirions anéanties. C'est aussi pour moi, la réjouissance, de constater cette simple proximité entre Votre Partition Liquide et l'humble soumis que je suis.

Vous avez ainsi le talent de renforcer ce lien, qui avec le temps est devenu indestructible. Lorsque je sens dégouliner Votre Urine, en bouche qui n'est plus une bouche, mais plutôt l'équivalent de Votre Cabinet de Toilette, je ressens Votre 
Merveilleuse et Sincère Générosité m'humidifier comme l'eau nourrit la terre...

Je Vous sens alors en pleine possession de Votre Féminité, Vous allez à l'essentiel en refusant le superflu à Votre Esclave. 
J’idolâtre le fait que Vous m'ouvriez les Portes Sophistiquées de Votre Domination. Vous me faites ainsi atteindre un plaisir que je n'avais jamais eu l'honneur de connaître auparavant. Je me sens renaître car je ne me suis jamais autant senti libre.
C'est une façon spontanée pour Vous et moi, d'accéder à Votre Bonheur, qui devient aussi le mien. C'est affolant et 
troublant de ressentir l'intensité du moment présent : Vous êtes là simplement, au-dessus de moi où Vous ne jouez pas à faire semblant.

Je sais que je suis un serviteur privilégier dans cette part de rêve, je ne me pose pas la moindre question, je m'incline en toute lucidité à Votre Beauté. Ce moment vertueux m'inspire aussi cette dimension cérébrale très forte, voir incalculable : 
Vous me donnez et je reçois...

Je conseille à quiconque qui aurait le moindre doute sur sa capacité de fusion avec l'être bien aimé, de se tester par ce procédé. Si le Champagne vient à couler avec le même mordant de plaisir, de sagesse, d'humilité, et de bonheur, l'Une et l'autre seront faits pour se respecter très longtemps... il sera peut-être plus dur de savoir qui des deux va devoir faire sur l'autre, quant à nous, Maîtresse, nous n'avons jamais eu le moindre doute...

Je Vous remercie de m'offrir, cette performance qui respire Votre Sincérité Dominante et dont je me souviendrai jusqu'à la fin de mes jours.


Votre esclave aaron

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 14 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 09:45

01.04.2012-1--1-.jpg

 

En ce dimanche matin, pas de poisson d’avril, mais plutôt un sujet sérieux, que je souhaitais développer par un billet d’humeur personnel, vous encourager pour les dons, même symboliques, qui feront gonfler la cagnotte du Sidaction 2012.

Ayant été volontaire il y a quelques années dans l’association Aides Provence, je ne pouvais passer cet article sous silence.

Savez-vous que 5000 personnes meurent par jour dans le monde de cette fichue maladie ?

Alors, donnez, ou pas, à vous de voir ! Je ne suis pas là pour vous juger. Je voulais juste vous dire qu’il suffit de composer le 110…

Madame.S

 

01.04.2012-2.jpg

 

01.04.2012-1--3-.jpg

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 4 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 30 mars 5 30 /03 /Mars 13:05


Voici les photos faites à ma gloire…

               


30.03.2012-1.JPG

 

 

30.03.2012-2.JPG

 

 

30.03.2012-3.JPG

 

 

30.03.2012-4.JPG

 


Et si vous voulez en voir plus, allez voir les pages du blog de la petite soumise…

Voici l’adresse en un clic !

 

link


Et si le clic ne fonctionne pas, voici le lien en direct ci-dessous !


http://servantemalesoum.erog.fr/article-soubrette-male-obeit-a-madame-s-pour-une-sceance-de-bougie-preparation-101689347-comments.html#anchorComment

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 11 commentaires - Publié dans : Photos...
Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 09:58

 

Je rêve depuis sept ans…



29.03.2012-1.jpg

 

 

J’espère qu’elle m’accordera toujours un peu plus, si peu…


 

29.03.2012-2.jpg



Atteindre ses chevilles, ses mollets, ses genoux…



29.03.2012-3.jpg



Boire à nouveau à sa source, je l’espère en secret.


 

29.03.2012-4.jpg



Je ne l’atteindrais jamais, c’est ma vie de soumis, mon destin…


 

29.03.2012-5.jpg



Mais est-ce que je suis en train de faire un rêve ? Vais-je me réveiller.


 

29.03.2012-6.jpg



Elle est et me sera toujours inaccessible…


 

29.03.2012-7.jpg


 

Je n'y arriverais jamais...


 

29.03.2012-8.jpg

 

Depuis les belles plages du Nord de la France, aaron nous parle de sa dévotion, de ses rêves et il espère…

 

Maîtresse,
Parce que Vous êtes l'Être le plus désirable, sur cette terre, je nourris à Votre Encontre, ce profond respect, que les règles établies par Vous-même et Monsieur, m'interdisent de nommer Amour.

 Car vous êtes à lui, comme je suis à vous...

Et pourtant, je préférerai être enterré vivant dans le sable, pour que Vous puissiez tous deux, vivre de manière perpétuelle Votre Épanouissement.
Je crois en la Volupté de Vos Âmes comme en celle de Vos Chairs, surtout quand Vous Vous autorisez à être Femme, avec ses Talents, sa Sensibilité, et avant tout ses Énigmes qui Vous rendent toujours plus Belle et tellement Rare.
Sans que Vous le sachiez, mon coeur réclame Votre Présence, j'ai envie de pleurer mon exil, loin de Vous...
Vous ne cessez d'apparaître comme l'émanation de la Dominatrice, Votre Corps Majestueux et Impénétrable,  suscitant avec une certaine mélancolie mon ravissement et ma dévotion pour Votre Grandeur.
Merci de me faire vivre l'aventure de ma vie à Vos Pieds.
aaron

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance

Images Aléatoires

  • Aux pieds de Madame.S
  • Naturellement nature....
  • Chapeau Madame !
  • Démoniaque...
  • Etre à ses pieds...
  • Madame.S approche sa main...

Présentation

Derniers Commentaires

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés