Mardi 27 décembre 2 27 /12 /Déc 10:23

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Enfermement…

 

Il n'y a pas d'issue, 

Je tourne dans ma cage 

Fauve impatient et en nage. 

Je suis la vertu !

 

M'a-t-elle oublié ?

Depuis des heures dans l'ombre,

Je rumine le passé.

Je ne suis qu'un nombre !

 

Tout plutôt que l'indifférence.

A quel moment ai-je failli ?

Mes suppliques, mes cris,

Rien n'à endiguer sa vengeance.

 

Je ne veux pas sortir ...

Cette enveloppe corporelle,

N'appartient qu'à Elle.

Enfermement, je ne veux pas sortir !

 

Soumise Wanda en offrande à sa Déesse MS.

 

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Dimanche 25 décembre 7 25 /12 /Déc 12:06

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Joyeux Noël à tous…


Merry Christmas !


Joyeuses fêtes de Noël !


Felizes festas de Natal !


Alegres fiestas de Noël !


Feste allegre di Natale !


Vrolijke feesten van Kerstmis !

 

 

 


NOËL


Courez à la forêt prochaine,

Courez à l'enclos des fermiers;


Coupez le gui sur le grand chêne,

Coupez le gui sur les pommiers !


Coupez le gui! Coupez le houx !

Feuillage vert, feuillage roux;


Mariez leurs branches !

Perles rouges et perles blanches.


Coupez le gui! Coupez le houx !

C'est la Noël! Fleurissez-vous.


Chassez les grives et les merles,

Chassez la mésange au dos bleu

Du gui dont les fleurs sont des perles,

Du houx dont les fleurs sont du feu!

 

Charles Frémine


 

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Samedi 24 décembre 6 24 /12 /Déc 17:34

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LES SAPINS

 


Les sapins en bonnets pointus,

De longues robes revêtus

Comme des astrologues,

Saluent leurs frères abattus,

Les bateaux qui sur le Rhin voguent.

 

Dans les sept arts endoctrinés

Par les vieux sapins leurs aînés

Qui sont de grands poètes

Ils se savent prédestinés

A briller plus que des planète

 

A briller doucement changés

En étoiles et enneigés

Aux Noël bienheureuses

Fêtes des sapins ensongés

Aux longues branches langoureuses

 

Les sapins, beaux musiciens,

Chantent des Noëls anciens

Au vent des soirs d'automne,

Ou bien, graves magiciens,

Incantent le ciel quand il tonne.

 

Des rangées de blancs chérubins

Remplacent l'hiver les sapins

Et balancent leurs ailes

L’été ce sont de grands rabbins

Ou bien de vieilles demoiselles

 

Sapins médecins divaguants

Ils vont offrant leurs bons onguents

Quand la montagne accouche

De temps en temps sous l’ouragan

Un vieux sapin geint et se couche

 

Guillaume Apollinaire(1880-1918)

 


Et bon réveillon à toutes et tous !...

Et de beaux joujoux demain sous le sapin...

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 22 décembre 4 22 /12 /Déc 10:42

 

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Un ange sur la terre… Destructeur ou purificateur ?

 

Le ciel et la terre, 

Soumis aux forces divines, 

De cet édifice en pierre, 

Ne l'ont pas vu sortir. Devine? 

  

Eclairée de Lune,

Corps nu d'une brune

Que l'aura des dieux

A jetée devant mes yeux.

 

Premiers pas incertains.

L'ange contemple l'horizon,

Que de frêles arbres-humains

Viennent perturber la pamoison.

 

La foulée devient ferme,

Elle est en apesanteur.

Voit-elle la peur

Sur mon épiderme ?

 

L'attraction est trop forte.

La déesse aura raison

De l'âme que je porte.

Soumis à sa maison.

 

Déchainement et fusion,

Son âme divine, filaments,

Comme l'œuf de la création,

L'osmose vient finalement.

 


Soumise wanda, que sa muse la déesse Madame inspire

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 19 décembre 1 19 /12 /Déc 11:36

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La fièvre...

Illustrations et interprétations de textes depuis dessin de Namio, par jip.pet et Madame.S

 

- " Bois mon bonhomme ! ... La doctoresse dit qu'avec la fièvre que tu as, il n'est pas bon que tu boives trop, mais je crois savoir pourquoi ta fièvre persiste lapin ! Et un peu de bon pipi de Femme Supérieure ne peut pas faire de mal à un pauvre bougre comme toi ! ...  Tu vas voir je vais arranger ça... Tu vas vite te sentir mieux ! ... Hahaha ! ...

- Mais la doctoresse a raison quand elle exige qu'on te pose sans délai une cage de chasteté. Ma collègue en rapporte une tout à l'heure. On va te la poser ensemble...  Et ça va bien calmer ta libido ! ... Il parait que tu étais du genre harceleur avant ton internement ? !... Que tu as été condamné pour ça ! C'est très vilain tu sais !

- Mais s'il y a des infirmières qui bâclent leur boulot, ce n’est pas ici. Tu vas vite t'en rendre compte. Quand tu vas partir pour le camp de rééducation où tu va purger tes trois ans - à moins que tu ne nous demande la castration chimique pour réduire ta peine de moitié -  tu ne comprendras même plus vraiment pourquoi tu as été condamné !

-  Tu aimes mon pipi ? Bois vite, je sens qu'il y en a beaucoup et ça m'ennuierait de te corriger  si tu perds trop du précieux nectar ! "  

Ce qu'il advint après ce cruel monologue ? (Atypique du monde Gynarchique qui avait progressivement  conquis la planète peu après le début du 21e siècle)... 

Et bien je vais vous le dire :

Le pauvre BOUGRE reçu bien la CB sur son pénis, préalablement trempé dans la glace (ce qui n'a rien de bien agréable pour celui qui subit la chose, mais permet un rabougrissement spectaculaire de l'appareil sexuel... Propre à le faire entrer sans trop de soucis dans la cage de chasteté et qui facilite d'autant l'entrée du "service trois pièces" dans la structure de contrainte).

L'infirmière du monologue et de l'excitante image la lui installa avec son amie, et ce fut pour elles l'occasion d'une franche rigolade ! Il faut dire que ces Dames et Demoiselles n'ont pas tous les jours  l'occasion de  " traiter " des délinquants sexuels  et surtout de niveau 2... C'est à dire des hommes condamnés pour HARCELEMENT ET AGRESSION(S).

Le niveau 2  c'est au moins deux ans de relégation en camp de rééducation et de travail... Si notre bonhomme " s'est pris trois ans " c'est  qu'il a été inculpé suite  à des dépôts de plaintes de sept Femmes en moins de deux ans  - plaintes déposées à la suite de délits que la société de la fin du 20e siècle considérait encore comme mineurs, voire... inexistants  (propos grossiers, graveleux, voire  orduriers  adressés en public à une Femme... comportement de  " drague lourde et manifeste ", attouchements " volés " non consentis, du genre  " main au panier ", vols de baisers, " pelotage divers " par exemple dans la promiscuité des transports en commun...

Et puis le malheur de ce pauvre homme, et qui acheva de le plomber, il faut bien l'avouer, c'est qu'il fut " défendu " par une avocate adepte d'un Gynarchisme " dur "... Une avocate proche du PFRG (Parti Féministe Radical et Gynarchiste) oui ! "proche" mais pas adhérant l'avocate, car lorsqu'une avocate ne veut pas voir  ce genre de dossier lui échapper elle doit évidemment cacher ses préférences philosophiques, culturelles et politiques, surtout lorsqu'elles sont aussi tranchées... Le malheureux bénéficiant de l'assistance judiciaire, pour cause de revenus modestes, personne ne l'informa, bien entendu  de la " couleur politique " de sa  " défenseuse «...

...Et qu'aurait il pu y faire ? Je vous le demande ! ...

Les avocats de sexe masculin n'acceptent jamais ce genre de dossiers sensibles... Même les avocats commis d'office bénéficient d'un droit de retrait... Pas question de plaider hors du politiquement correct de l'époque, celui du Féminisme Gynarchique triomphant dans toutes les sphères de la société du temps...

Bref le pauvre gars vit tous ses délits placés sur le même plan, avec une unique qualification celle "d'agression sexuelle caractérisée" qualification admise, y compris par son avocate, qui ne jugea pas utile de différencier une plainte pour propos déplacés d'une poursuite pour geste obscène ou pelotage, attouchements... Pour ne pas parler du pire la tentative de viol... Et le viol...

... Dès lors, sept plaintes en deux ans ! L’affaire de notre gaillard était bien naturellement réglée... Et au-delà de cinq c'était non la prison " simple " mais la RELEGATION et la REEDUCATION, puis le camp de travail.

Pour en revenir à sa cage de chasteté, celles de la deuxième décennie du nouveau siècle étaient bien plus contraignantes et sophistiquées que les modèles plus anciens, genre CB 2000, 3000, 6000 etc...  Des anneaux  de type piercing étaient " rivés " dans la peau et la CB ne pouvait donc être ôtée et reposée à tout bout de champ. De plus le pénis était coincé dans un mini-tube rigide fermé, équipé d'un orifice à hauteur de méat urinaire pour évacuer l'urine  et programmé pour balancer des décharges électriques et brûlures dès que le pénis ébauchait un semblant d'érection. Si je ne me suis pas trop mal exprimé là dessus, on verra aisément pourquoi  un condamné soumis à ce traitement, à ces décharges, à ces brûlures au moindre frémissement de désir  finira  par demander la castration chimique... Et pas seulement pour espérer une réduction de peine...

Ce récit selon le succès qu'il peut ou non  rencontrer aura peut être une troisième partie, illustrée ou non de nouveaux documents et qui traitera des questions encore négligées :

La relégation, la rééducation, l'encadrement sexuel du délinquant etc...

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 09:35

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Initiales MS…

 

La porte close,

Des hurlements étouffés.

L’interdit cause.

 

Dans l’âtre chauffé,

Des fers rougis crépitent,

Avides, joyeux.

 

Rires carnassiers.

Une main gantée, sublime,

Attise le feu.

 

L’heure approche.

Le bétail inquiet hurle,

Il connait son sort.

 

Les fesses gravées,

Il porte à tout jamais,

Initiales … MS.

 

                            Soumise Wanda

 

Nota bene ; Un petit mot de remerciement à Rémi, qui même s'il n'est plus là et nous à quitté subitement, celui-ci m'avait si gentiment confectionné ces magnifiques initiales, mais pour marquer qui ?...

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mercredi 14 décembre 3 14 /12 /Déc 10:55

 

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Noël des traditions en Alsace...

 

Une fois n’est pas coutume, un coup de gueule ce matin !

Je suis navrée de vous le dire, mais l’Alsace reste la région qui vit au son de Noël depuis tant d’années, je trouve dommage que d’autres marchés s’installent ici et là et n’ont que le mauvais goût de porter le nom de marché de Noël, mais n’en auront jamais la saveur et la chaleur de notre région.

Je comprends que tout le monde veuille son marché de noël à proximité de chez soi, mais n’est-ce pas là une façon de dénaturer les traditions chères aux régions ?...

 

Voilà encore un point de vue qui ne regarde et n’engage que moi…

Si vous en avez l’occasion et la possibilité,  je vous conseille donc de passer quelques jours dans ma région pour y découvrir les lumières de Noël et l’ambiance chère aux alsaciens en cette période. Je ne peux m’empêcher de vous faire ce petit coup de publicité sourires !

Je suis sûre que vous êtes en train de finaliser votre liste au Père Noël ! Mais avez-vous été bien sages pour mériter ces présents de votre Maîtresse ?

 

Un Noël qui brille de mille feux…

En décembre, depuis 1570, le voile de l’hiver glisse doucement sur la ville et Strasbourg se pare de son manteau de fête. Des guirlandes de lumières s’enroulent autour des arbres, s’élancent dans le vide au-dessus des rues en attrapant des étoiles puis poursuivent leur course de fenêtre en fenêtre... Strasbourg est couronnée reine de lumière depuis les vallées qui se préparent aux mois sombres. Elle scintille au loin.

Les petites maisons merveilleuses sont de retour sur les places...

...elles libèrent dans la ville des myriades de trésors qui ravissent les yeux, des brassées d’odeurs qui chevauchent la bise et parfument la ville entière. Dans des forêts de majestueux sapins, devenus pour un temps rois de la ville, l’odeur fraîche de la sève se mêle aux fragrances chaudes et enivrantes de l’orange et de la cannelle... l’effluve subtile d’un pain d’épices trempé dans un chocolat chaud dépose une touche d’enfance sur ce monde féerique.

Chacun vogue dans cet univers hors du temps au gré des parfums, des lumières, des envies... Petits et grands se remplissent les yeux de souvenirs, chaque maisonnette est une promesse de surprises, de trésors à déposer sous l’arbre de Noël. Sous l’œil bienveillant d’une cathédrale séculaire, les marchés de Noël, voyages hors du temps, vous permettent de retrouver les saveurs, les lumières et l’émerveillement d’un Noël que Strasbourg désire, rendre plus magique encore chaque année.

Les lumières de la Ville…

A Strasbourg, les rues, les maisons, les façades des églises, les fenêtres, les balcons brillent de mille feux. Les innombrables décors, tous plus originaux les uns que les autres, ont été patiemment fabriqués durant l’automne, à l’image des couronnes de l’Avent accrochées sur les portes en signe d’hospitalité.

Des chemins de lumières et des rosaces étincelantes, vous guident vers les marchés de Noël et les rues commerçantes inondées de lucioles, de branches de sapins et de douces mélodies, comme une invitation à la flânerie. Les illuminations de Noël des rues commerçantes sont organisées par l’association des Vitrines de Strasbourg en partenariat avec la Ville de Strasbourg, du 25 novembre au 16 janvier.

Le Grand Sapin, féerie des Noëls blancs…

Dressé au cœur de la cité et au-dessus du Village du Partage, majestueux, le Grand Sapin (30 m de haut, le plus grand sapin de Noël naturel d’Europe) s’habille de magie. Les lumières scintillantes illuminent la nuit, éveillent les regards, et les emplissent d’une vision de rêve. Au pied du grand sapin et au cœur d’un paysage d’hiver, des rennes gambadent dans une féerie de Noël blanc. La décoration et l’illumination sont conçues par Antoinette Pflimlin. Du 26 novembre au 16 janvier, place Kléber...


 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Samedi 10 décembre 6 10 /12 /Déc 09:40
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Je suis à Elle...

Ma chère Dame Sylvania, ma Déesse, ma Reine,
 
Je vous offre ce texte. Sans doute le plus beau que je vous aie écrit. Mon préféré.
Je l'ai composé comme on pourrait composer une musique, avec un rythme très particulier. Répétitif comme le Boléro de Ravel.
Un jour, je composerai avec des mots un boléro de Ravel rien que pour vous..

Un jour, ou deux…
 
Imaginons que nous passions une journée ensemble. Ou deux jours.
Une journée, ou deux jours,  dans une maison, loin de la ville, loin du bruit, une journée dans une maison nichée dans votre belle montagne.
Une petite maison basse, avec des fenêtres à petits carreaux, avec du carrelage de terre cuite, un carrelage juste ciré. 
Une petite maison avec une chambre et un grenier, une cave et une grande pièce à la fois cuisine et salon, une cheminée et des bûches qui brûlent dedans, et un pot-au-feu qui cuit lentement. Imaginons tout cela.
 
Il fait chaud dans la maison. Vous avez marché pieds nus tout l'après-midi, pieds nus, vêtue d'un pantalon de toile noire, large et souple,
d'un chandail de laine noire qui souligne vos courbes, rien d'autre, pas d'artifices. Vous portez sans doute un joli slip de dentelles sous votre pantalon et un soutien-gorge assorti sous le pull-over. Et sans doute rien d'autre. Sans artifices. 
Vous n'êtes  pas maquillée, juste vos yeux soulignés, la peau nue, fraîche, douce au toucher. Une peau de soie.
Nous avons marché dans les sentiers durant la matinée. Pas de grande randonnée, non, juste se balader. 
Main dans la main ? Pourquoi pas ? Est-ce admis de la maîtresse au soumis ?
Une tendre balade sous le soleil et le vent, la matinée. Un soleil d'automne aux feuillages si beaux, des jaunes pâles aux rouges flamboyants et des pourpres.

Puis nous sommes rentrés et vous vous êtes déchaussée. Vous avez marché pieds nus dans la maison, tout l'après-midi. Il faisait chaud. De grosses bûches brûlaient dans la cheminée. Et nous avons lu, nous avons parlé. Beaucoup lu. Beaucoup parlé. Et nous nous sommes tus aussi.
Le soir tombant, nous avons mangé ce pot-au-feu délicieux, bu du vin blanc de votre pays, un petit Riesling ordinaire, vif et charmant. 
Pas de grand cru, juste ce petit vin blanc. Puis vous vous êtes enfoncée dans le canapé profond, moi assis à vos pieds, sur le carrelage ciré.
Et j'ai léché vos pieds. Chaque orteil, j'ai sucé, nettoyé. Et entre chaque orteil ma langue a frotté, lessivé. Parfois, vous avez ri. Je vous ai chatouillée. 

Vous étiez belle, riante et chatouillée. 
Vous vous êtes un peu assoupie sur le canapé, moi aussi, la tête sur vos genoux.
Et nous avons écouté le concerto pour clarinette de Mozart interprété par Michel Portal. Instants délicieux.
Imaginez-vous cela ?
 
Le concerto terminé, nous sommes montés dans la chambre. Une chambre mansardée, blanche, plafond parcouru d'un assemblage de poutres sombres.
Un lit sobre et moelleux pour soutenir vos reins, un lit couvert d'un boutis carmin. Vos cheveux noirs étalés sur le boutis carmin. 
Et vous, en dessous de dentelle noire et vos cheveux noirs sur le couvre-lit carmin. Mes yeux étaient enchantés. Mon esprit illuminé par tant de beauté.
Il y avait un coffre de bois sombre dans la chambre. Vous y avez pris une corde de lin noir. Une belle corde souple et épaisse. Rien qu'une corde longue.
Et vous m'avez déshabillé puis attaché les mains à une poutre élevée, à l'aide de la corde noire et tirée dessus pour m'étirer le corps.
Rien que cela. Une belle corde noire pour m'attacher, étiré, tendu.
J'ai bandé, un peu, lorsque vous m'avez attaché les pieds avec la corde qui pendait de la poutre et traînait sur le plancher ciré.
Je n'étais que nu, attaché, étiré. Juste ce qu'il faut. Pieds entravés. Bien étiré.

Vous m'avez dit que j'étais beau. Je ne suis pas beau, mais je vous ai cru. Je ne suis beau que nu et attaché à une poutre, étiré, dans une chambre au plancher ciré, avec un lit couvert d'un boutis carmin.
Vous m'avez fouetté comme Baudelaire fouetta sa négresse, boulevard Saint-Germain.
C'était un fouet court. Un fouet bref. Un fouet noir de neuf lanières plates et dures. Un fouet qui fait mal.
La peau de mon dos, de mes hanches, de mes cuisses s'est carminée, se confondant au couvre-lit.

Puis vous avez détaché mes pieds, dénoué la corde de la poutre et m'avez amené sur le lit. Au pied du lit. 
Vous avez attaché mes mains à un montant du lit, et mes pieds à l'autre montant. Derrière la tête, les mains, liées au montant du lit.
J'étais couché au bout du lit, sur le boutis carmin,  lié aux montants du lit.
Tout en me regardant, ainsi attaché, nu et le dos rougis, vous vous êtes donné du plaisir, avec vos doigts.
Vos doigts qui fouillaient votre toison, frottait votre petit bouton.
Vous avez gémi et j'ai bandé à vous regarder. Et nous avons dormi.
 
C'était pleine lune. Je me suis réveillé, au pied du lit, sur le boutis carmin, en pleine nuit.
La lune jetait un regard d'acier jauni sur notre chambre mansardée. Vous aviez les jambes emmêlées dans le boutis carmin.
J'ai contemplé longtemps vos jambes emmêlées, croisées dans le carmin. Et un sein rond qui dépassait. Et votre téton tendre qui me regardait vous regarder.

J'aurais pleuré de tant de beauté dans cet univers carmin, de lune éclairée. Vous avez remué sur les oreillers. 
Votre toison m'a regardé. Une toison courte, noire et drue.  Une toison profonde comme  l'eau tranquille d'un lac. 
Et la fente au milieu, comme un trou d'eau profond d'un lac, une douce obscénité, m'a regardé.
Vous vous êtes touchée. Vous vous êtes redressée sur les oreillers et m'avez regardé vous regarder.
Vous êtes venue à moi. Vous m'avez touché, moi entravé au bout du lit. Et vous m'avez bandé les yeux. Et j'ai bandé au pied du lit.
J'ai senti vos doigts serrer le lacet et me gonfler le membre sec, sève contenue, sève retenue. Et votre odeur forte et pleine s'est emparée de moi. 

Mon nez englouti par vous. Ma bouche bâillonnée sous votre intimité. Ma langue enfouie dans votre rosette. 
Moi suffoquant, bouche écrasée, nez englouti en vous, le visage noyé de vous. 
Moi suffoquant sous vos odeurs salées et cuivrées. Ces odeurs qui me rendent fou. Nous avons crié. Puis nous avons dormi.
 
L'aube pâle et blanche est survenue. Vous m'avez détaché des montants du lit.
Vêtus comme la veille, rien de plus, nous sommes descendus, j'ai rallumé  le feu dans la cheminée.
Le thé chaud fumait. Le pain chaud répandait ses odeurs matinales. 
La croûte était craquante, la mie tendre, le beurre fondait dedans. Et le miel parfumait tout.
J'ai occupé le canapé et vous avez disparu.
J'étais encore tout gorgé de vous. Imbibé de vos sucs mêlés au miel.

Un long temps s'est écoulé et vous avez reparu, divine et somptueuse, gainée d'une combinaison de matière soyeuse qui épousait vos formes pleines. La taille haute, bien prise dans le cuir d'une jupe ample et courte. Je devinais le bombé de votre ventre, et la toison drue palpitant sour le cuir.

Vous m'avez serré un collier dur au cou, prolongé d'une laisse et vous m'avez tiré. Moi à genoux. Traîné vers l'escalier.
Gravi chaque marche, sur les genoux. Jusqu'au grenier. Sur un banc de cuir capitonné, vous m'avez poussé.
Vous m'avez écartelé sur le banc capitonné, maintenu par des sangles de cuir serrées.
Vos mains on glissé sur ma peau. Vos mains de chevreau m'ont palpé et fouillé.

J'ai vu l'instrument dans vos mains. Un manche de bois prolongé d'un cuir large et dur, comme un cuir de barbier, long d'un demi-mètre.
Un demi-mètre de douleur qui s'abat sur moi. Mon cul rougeoie. Le cuir blesse. Le cuir mord. Votre main caresse.
Puis vous revenez à ma vue. Vous vous baissez, plongez vos yeux dans mes yeux, me caressez les cheveux et la joue.
Cheveux caressés, vous vous redressez, soulevez votre jupe. A votre ceinture, gode dressé, luisant. Gode glissé dans ma bouche,
entre mes dents. Gode allant et venant dans la gorge comme un amant. Gode mouillé, vous quittez ma vue. Je sens vos mains sur mon dos,
plié sur le banc. Et le gode mouillé glisser en moi, et vous me possédant. Le cuir encore s'abattant. Vous, allant et venant. 
Infiniment.

Cul battu.

Cul content.

Je suis à vous à présent…
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Par Madame. S
Vendredi 9 décembre 5 09 /12 /Déc 10:15

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Joyeux anniversaire aaron !


***********


 Pour aaron, jalousement...

Quelques mots et deux photos, spécialement pour toi...

Pour que tes rêves soient encore plus fous et pour te remercier et te récompenser de ta fidélité et ta dévotion à ma personne.

Bon anniversaire petit chien à mes pieds...


 

09.12.2011 2

 

 

Aaron,

A mes petits petons,

Joyeux luron...

 

 

Aaron,

Sous Madame.S

Toutes ses faiblesses...

 

 

Madame.S

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 8 décembre 4 08 /12 /Déc 10:37
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Ô Ma Déesse,
je supplie votre grâce
nu et servile.

Aux pieds parfumés
de ma Maitresse, je vie
mon choix de soumis.

Ecrasées, liées,
mes attributs de mâle
souffrent, quel bonheur!

Ma muse MS,
Je vous dois la liberté
dans votre cage.

Soumise wanda pour sa divine Maitresse.

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 5 décembre 1 05 /12 /Déc 10:41
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Un lien très subjectif. Des photos pour rêver...

De magnifiques clichés très esthétiques. De quoi vous faire rêver pendant un peu moins de 4 minutes.

A déguster sans modération !


Voici le lien dans le cas ou le « clic » ne fonctionnerait pas :




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Et je ne peux m’empêcher ce petit clin d’oeil et ces félicitations à la nouvelle Miss France 2012 car elle est alsacienne cette année ! ! Elle s’appelle Delphine Wespiser. On appréciera, ou pas ! Mais je suis et reste chauvine sourires...Et je ne peux m’empêcher ce petit clin d’oeil et ces félicitations à la nouvelle Miss France 2012 car elle est alsacienne cette année ! ! Elle s’appelle Delphine Wespiser. On appréciera, ou pas ! Je précise que je ne félicite pas la jeune femme, car pour moi, les miss sont bien trop stéréotypées et se ressemblent toutes ! Mais je parle bien de ma région qu’est l’Alsace ! Une précision d’importance, car je n’en reste pas moins chauvine sourires ! !
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Dimanche 4 décembre 7 04 /12 /Déc 00:00

 

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Le petit journal et Madame Lise...


Un petit journal gratuit est mis à la disposition du public dans les transports en commun. Il s'appelle "Métro". Il ne fait que reprendre les grands titres de la presse quotidienne et un bref résumé des informations. Une rubrique intitulée "Kiss and Ride" permet aux lecteurs de s'adresser des messages personnels.

Un jour, consultant cette rubrique parfois amusante, je tombe sur une annonce qui semble me concerner. Le texte disait: "Je croise chaque matin un monsieur fort sympa aux cheveux et barbe blancs coupés très courts. Je descends l'escalier de la gare centrale, il le remonte. Nous nous sourions, nous nous saluons. Un jour, il m'a dit combien mon sourire lui faisait du bien et illuminait sa journée. Cette attention m'a touchée. Et je dois vous avouer que, moi aussi, votre sourire illumine ma journée. J'aimerais que nous fassions connaissance, si vous le souhaitez. Je m'appelle Elisabeth, j'ai vingt-huit ans et je suis de nature très autoritaire, mais j'espère que cela ne vous fera pas peur. Voici mon adresse email: madame.lise.de.la.gare.centrale@hitmail.tom. A bientôt, j'espère.".
J'ai immédiatement visualisé Elisabeth. Une grande fille brune, très sympa et souriante, effectivement.

Le soir même, j'ai adressé un courriel à Elisabeth. J'ai reçu une réponse presque immédiate: "Je te remercie pour ton message bien sympa. Cela me fait plaisir, néanmoins, je dois te dire que je ne tolère pas d'être tutoyée. Désormais, tu me vouvoieras. C'est la première condition que je pose. Il y en aura d'autres."

J'ai été très surpris du ton de ce message; surpris et assez excité. N'était-elle pas, entre les lignes, en train de me proposer une relation à caractère dominante/soumis ?
Cela ne m'était jamais arrivé, n'étant ni de nature soumise, ni de nature dominante et, à vrai dire, je ne m'étais jamais interrogé sur ces questions qui n'ont jamais fait partie de mes préoccupations.

Dans le mail suivant, Lise me fixa rendez-vous.
"Tu arrives à la gare centrale vers 7h30. Tu pourra être chez moi pour 8 h. Voici mon adresse. (Suivait l'adresse de Lise, dans le centre de Bruxelles.) Je t'attends dès demain. Je suis en congé."

Je me suis rendu à pieds au domicile de Lise. J'ai acheté en route quatre croissants dans une boulangerie. Je me suis retrouvé face à un immeuble de trois étages, dans une rue étroite d'un quartier commerçant assez animé. 
Six sonnettes avec des noms en regard.
Elisabeth D.

Je sonne et dans le parlophone, elle me dit: "J'ouvre. Deuxième étage à gauche". Et la porte d'entrée de l'immeuble se déverrouille.

Je dois avouer que je n'étais pas tout-à-fait tranquille. Cette jeune femme qui me faisait penser sinon à une étudiante, du moins à une jeune institutrice d'enfants en bas âge n'était manifestement pas celle que j'avais cru lorsque je la croisais chaque matin.

J'arrive devant sa porte. Une étiquette sur la porte avec son nom.
Je sonne.
La porte s'ouvre.

Elisabeth m'apparait enveloppée dans une vaste sortie de bain en coton éponge blanc.
- Entre, me dit-elle.

Je me retrouve au centre d'un petit appartement fort coquet. Un living avec coin cuisine très fonctionnelle. Deux portes menant aux chambres, j'imagine.
Je lui tends les croissants, elle me prend par la main.
- Viens, le thé est prêt dans une minute. C'est bien d'avoir pensé aux croissants.

Je reste debout devant la table. Lise s'assied, j'écarte une chaise à mon tour.
- Non, viens près de moi, me dit-elle.
Je me sens assez nigaud, debout à côté de la chaise où elle est assise.
- Bien. Mest-toi à genoux à présent.
- Ce n'est pas sérieux ? Je lui demande.
- Très sérieux. Sinon, la porte est là.
Je décide d'obéir, de jouer le jeu, et je m'agenouille à côté de sa chaise.
- Ne me regarde pas comme ça. Baisse les yeux.

Lise se met à manger un croissant. Elle m'en met un morceau sous le nez de temps en temps en me disant:  "Prends-le doucement".
A mon grand étonnement, j'obtempère. J'y prends même un certain plaisir que je ne comprends pas.

Tout en déjeunant, elle m'interroge sur moi, sur ma vie, ma famille. Lorsqu'elle a terminé un deuxième croissant, elle se lève.
- Viens avec moi, me dit-elle.

Elle ouvre une des deux portes du living et me fait entrer dans une pièce sombre. Le volet de la fenêtre est baissé.
- Déshabille-toi complètement et couche-toi sur le ventre sur le plancher, au centre de la pièce.
Je ne suis guère surpris de cet ordre. Je décide de poursuivre l'expérience qui, décidément ne me déplaît pas du tout.

Lise va vers un coin de la pièce et en revient avec entre les mains deux paires de menottes en cuir qu'elle me serre aux poignets derrière le dos et aux chevilles. Les bracelets sont reliés entre eux par un gros anneau d'acier. Elle me replie les genoux sur les fesses et accroche un mousqueton à l'anneau des menottes de chevilles à celui des menottes des poignets. Me voilà immobilisé.

Je me tord le cou pour tenter de voir ce qu'elle manigance derrière moi.
Elle s'empare d'une corde.
Elle en attache une extrémité au mousqueton et lance l'autre extrémité au-dessus d'une poutre du plafond.
Elle tire sur la corde avec force. Je sens mes bras et mes pieds étirés vers le haut.
Elle noue la corde afin de la maintenir tendue.
J'entends Lise ouvrir un tiroir dans un coin sombre de la pièce.

Elle revient vers moi tenant un morceau d'étoffe noir. C'est un simple sac de coton épais, qu'elle me glisse sur la tête et qu'elle ajuste en me serrant autour du cou ce qui doit être une ceinture ou un collier. Je ne peux décrire ce que j'ai ressenti à cet instant. Je devais être à la fois en état de panique sans possibilité de me rebeller et dans un certain état de bien-être incompréhensible. Mais force m'est de constater que je bandais dur !
- Je reviens dans un moment, dit-elle, me laissant seul dans la pièce. 
 
J'ai bien du rester une heure ainsi attaché. Lorsque Lise est revenue, elle m'a ôté le sac de la tête et a entrouvert le volet et j'ai pu voir le décor. C'est une pièce vide. Seule une commode en bois sombre, dans un coin. Tout autour de la pièce, à un mètre du sol environ, une barre de bois de section ronde est fixée aux murs par des attaches de laiton. Cette pièce a du servir de classe de danse.

Lise passe derrière moi.
Elle dénoue la corde tendue.

Mes bras et mes cuisses se détendent et me font mal. Puis elle ôte le mousqueton et mes pieds retombent sur le sol. Lise passe devant moi. Elle porte une jupe courte de coton noir sur des bas qui semblent de latex et un soutient-gorge de latex également. Elle s'agenouille à côté de moi et me caresse les fesses puis les testicules. Je ne bande plus à ce moment. Mais sa main se met à me serrer les couilles très fort et je pousse un cri sourd.
 
Lise me libère les mains dans le dos et rattache  les menottes de cuir bras en avant, puis elle noue une corde à l'anneau d'acier. Elle se lève et va attacher la corde à la barre de bois qui court le long du mur en tirant fort afin de m'étirer les bras vers l'avant. Elle fait de même aux chevilles et tend la corde du plus qu'elle peut en la fixant à la barre du mur opposé. Me voilà tout étiré à quelques centimètres du plancher, la queue trainant sur le sol. Lise revient vers moi et me remets le sac de coton sur la tête. Elle me laisse ainsi un long moment. Les muscles des membres me font mal.

Lorsqu'elle revient dans la pièce, aussitôt, des lanières lourdes me flagellent les fesses, les cuisses, le dos. Mais la douleur est supportable, presque agréable. Après cette série, ce sont des coups plus secs qui me sont administrés, avec une cravache, sans doute. Sans aucune pause entre les séries de coups, elle passe à un autre instrument qui doit être une fine baguette souple.
Là, ça devient douloureux...
Les coups sont secs, en séries rapides alternées par des séries plus lentes et plus ajustées, plus sèches. Je dois serrer les dents. Je sens mon esprit s'embrumer. Je me surprends à aimer cela. Enfin, Lise me donne une dizaine de coups de cette baguette sur la plante des pieds. Je bande à nouveau. C'est presque insupportable, j'ai envie de crier, mais je regrette presque, lorsqu'elle s'arrête de frapper.
 
Lorsque Lise met fin à mon doux supplice, qu'elle vient m'ôter le sac de la tête et détache mes poignets et mes chevilles, je me surprends à regretter que cela se termine déjà.
- Voilà, me dit-elle. Tu es surpris, hein ?
- Ca, on peut le dire. Je n'aurais jamais imaginé prendre autant de plaisir à cette situation.
- Tu as bien assuré, je trouve pour une première fois ! Je suis satisfaite.
- Pensez-vous qu'il y aura d'autres fois Madame Lise ?
- Tu peux me tutoyer à présent. Ces moments sont des intermèdes dans ma vie. A partir de cet instant, tout reprend son cours normal. Branlons-nous mutuellement, pour terminer cette matinée. Je veux sentir tes doigts et ta langue partout. Puis tu m'inviteras à dîner ?
- Tu auras un repas de princesse...  

Alphonse L.
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Samedi 3 décembre 6 03 /12 /Déc 11:12

03.12.2011.gif

Un hommage à une grande Dame disparue...
Maîtresse,
Il y a un peu plus d’un an un véritable chaos émotionnel venait Vous saisir, mais aussi Milady et toutes les Dames qui font partie du cercle auquel vous apparteniez, et bien sûr toutes les dominatrices, soumises et soumis du Cercle à l'annonce du décès de la regrettable Madame Lia.

Elle nous a quitté si vite... Trop vite...

Aussi, permettez-moi la rédaction de ce courrier, pour ce qu'elle fut, une grande prévenante au cœur d'or...
Même si nous n'avons très certainement pas de réponses, á toutes nos questions, là où elle est, elle a maintenant tout loisir, de nous observer, avec la joie qui la caractérisait tant.
Elle ne doit plus s'encombrer de préjugés et du conformisme ambiant de notre société, en rencontrant un maximum  de soumis heureux et attachants, sans la moindre difficulté. 

En sachant que nous ne l'oublions pas, elle doit peut-être aussi ressentir un profond apaisement.
Chacun détient la clé pour faire le deuil d'un être aimé. Mais comment faire au mieux pour se rappeler de cette dame généreuse, se conduisant avec une parfaite distinction, capable d'assumer son rôle de dominatrice comme celui de procureur dans nos jeux de rôles quelquefois, en arrondissant parfois les angles d'une sanction un peu indigeste, de soutenir ses amies, quand il le fallait, en faisant preuve d'une humanité exceptionnelle ? 

Nous ne l'oublions pas en gardant très simplement  dans nos cœurs, une trace de sa vie, un peu comme devant une étoile filante, on peut faire des vœux d'éternité... 
Aaron

Aaron,
Il était important de rendre hommage à cette grande Dame qu’était Madame Lia et je suis touchée que tu aies eu l’initiative de ces quelques lignes, qui me rappellent à elle, qui me manque terriblement... Elle restera à jamais en mon cœur, précieusement.
Madame. S
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 5 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Samedi 3 décembre 6 03 /12 /Déc 10:14
comme-j-aime-son-attitude.jpeg
Comme j’aime son attitude, ses postures... Par jip.pet...

Comme  j'aime ces postures !
Ces positions,
Ces attitudes !!
Ma Dame et moi, nous avons chacun la nôtre,
Mais c'est ELLE qui a choisi la mienne ,
ELLE qui me L'IMPOSE...
 
ELLE me l'OFFRE en même temps :
Vous voyez comme je tends du mieux que je le peux ma pauvre tête ?
Comment je  furète à la recherche d'Odeurs et Saveurs, qu'ELLE seule SéCRèTE !
Comme il m'est difficile d'atteindre mon Graal,dès qu'ELLE fait remonter.
Comme sa position  et son espièglerie l'y autorise, son trop tentant fessier !!
 
Parfois  ELLE sera presque debout, après m'avoir bien  " agacé ", vainement ... Longtemps,
ELLE aura fait glisser, l'un après l'autre, ses vénérables pieds, sur la pliure de mes coudes,  les forçant à s'écarter encore...
Je n'aurai plus alors... Qu'à la supplier,
 
Oui ! LA SUPPLIER  de me faire une insigne faveur :
Le DON  généreux d'un indicible  NECTAR ?
de quelque fabuleuse SéCRéTION ?
Là !!... A l'aplomb de mon visage, de ma bouche dont j'aime  qu'elle m'ordonne de l'ouvrir !
 
Souvent, ainsi, à mon humble place, bien conscient de mon audace, je l'implore d'avoir quelque bonté ... 
Immérité ! J'en conviens ...
 
Mais ELLE sait me récompenser,quand j'ai été "une bonne petite chose”, un gentil toutou...
A moins, tout simplement, qu' ELLE aspire  juste à se soulager... Soupirant d'aise... Ou riant "à  gorge déployée"  selon l' humeur du moment ...
 
Ces moments pleins d'ivresse, pour moi, jamais ne sont  assez long !
Merci Ma Dame de toutes vos bontés !

jip.pet  " petite chose "
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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Vendredi 2 décembre 5 02 /12 /Déc 10:06
02.12.2011.jpg
Déclinaison de Madame et aaron en ballade champêtre...

Le ciel embrumé, discrètement
Les arbres fantômes
Se cooptent dans l'anonymat
 
Dans un nid de feuilles, les amants
Transcriptomes
Surpris dans leurs ébats.
 
Les rôles inversés, assumants,
La Divine fait l'Homme
Et le vermisseau... Pas de débat ! 
 
                        soumise wanda
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance

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  • Le décolleté de Madame. S
  • Aaron. A genoux...
  • A mes pieds...
  • Chapeau Madame !
  • Naturellement nature....
  • Couleurs d'été acidulées...

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