Jeudi 1 décembre 4 01 /12 /Déc 10:17
Billet d'humeur...
Un petit séjour pour rêver et m'évader...

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La semaine dernière, il à fait bien froid en Alsace, surtout le matin en montagne...
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Alors, je suis partie dans le Sud-ouest, pour sentir l’air marin et voir le soleil sur la mer à perte de vue...
Une rencontre inoubliable, avec les personnes croisées et entre ciel et mer...

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Revenir est toujours difficile, même s’il est agréable de retrouver son chez soi et de découvrir les merveilleux marchés de Noël si merveilleux dans ma belle région...

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Rester assise, face à la mer et rêver, mais à quoi rêve Madame.S ?
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 25 novembre 5 25 /11 /Nov 10:06

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Le contrat d’aaron. Il était là à mes pieds... – 5 et fin –

Petit bonus pour finaliser mon récit sur le séjour et le contrat avec aaron.

Les vidéos de la promenade en forêt...



Pour celles et ceux qui seraient intéresées, n'hésitez pas à me contacter par mail, je vous transmettrais ces images si vous avez des difficultés à visionner les vidéos...

N’hésitez pas à monter le son, pour entendre aaron gémir...
Regardez bien la mèche de la cravache atteindre son dos et y laisser de jolies traces...

Bon visionnage...

 

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 24 novembre 4 24 /11 /Nov 11:07

 


Le contrat d’aaron. Il était là à mes pieds... – 4 -


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Mercredi...

 La promenade en forêt...

Maintenant qu’aaron à bien travaillé depuis ces derniers jours, je lui permets de m’accompagner pour une promenade en forêt. Mais il ne s’attend sans doute pas à ce qui va lui arriver.
Il doit être puni de m’avoir mal mis ce vernis à ongles. Il doit être puni pour n’avoir pas rempli mon verre d’eau assez rapidement à table, alors que celui-ci était vide depuis trop longtemps...
Il doit être puni pour ne pas être assez rapide pour terminer le repassage et me déranger le soir très tard, alors que je vais me coucher et que le bruit de la vapeur du fer à repasser me réveille quelquefois.
Il doit être puni car il n’a pas embrassé avec délicatesse mes pieds ce matin...

Il avait bien vu que j’avais pris quelques objets dans mon sac et surtout la longue cravache que nous avions choisie ensemble il y a peu.
Ce mercredi matin, nous avions de la chance, le soleil est de la partie, même si le fond de l’air était un peu frisquet ; Mais c’était surtout aaron qui allait souffrir du froid ! Peu importe, cela ne m’arrêterait pas dans mon choix pour ce début d’après-midi. Et il devait se mettre nu dans la forêt que nous allions trouver.

Trouver un endroit sympathique près d’un chemin de terre, avec les feuilles de l’automne, juste un peu à l’écart et surtout, trouver L’ARBRE qui supportera mon petit vermisseau au bout d’une corde...
Nous tournions un moment en voiture avec aaron. Il était mon chauffeur et cela me plaisait beaucoup ! Nous avions bien du mal à choisir l’endroit. Je voyais son inquiétude grandir, il sentait bien que j’étais impatiente à l’intonation de ma voix. Des voitures déjà garées sur ce chemin et nous ne voulions pas croiser trop de monde ! Nous arrivions même à un endroit ou plusieurs camions de pompiers étaient garés et les hommes de la caserne faisant leur exercice !  Cela me fit sourire, aaron également. Non, ce serait trop d’exhibition pour aaron sourires ! Il fallait trouver un endroit plus sûr et tranquille...

Et c’est alors, qu’au détour d’un chemin, le voici... Comme une évidence... Cette petite route nous mène à ce chemin de boue et de feuilles...
Nous nous garions. Aaron ouvrait la porte à Madame.

La promenade en forêt prenait alors une toute autre tournure. Je sortais quelques accessoires de mon sac et la cravache que j’avais dans ma main gauche me servirait alors pour punir mon esclave maladroit ces derniers jours !
La corde était mise en place par aaron. Ces deux bras étaient attachés et il pousserait la chaise qui l’avait aidé à monter vers cette branche qui le soutiendrait.

Et c’est alors que... Je lui disais de repousser la chaise à l’aide de ses pieds.
Ca y est, il est dans le vide, ses jambes se balancent et il est nu comme un ver. Il était très beau ainsi, abandonné et soumis.
Il faisait certes un peu froid dans cette forêt. 

Il va falloir que je le réchauffe un peu ! Ne croyez-vous pas ?

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Aaron se balançait sous l’effet de la mèche de la cravache qui atteignait dorénavant son dos et ses fesses. Il se tortillait à chaque fois que l’objet touchait sa peau. Mais c’est qu’il y prendrait beaucoup de plaisir ! Ces gémissements étaient inhabituels et j’aimais l’entendre ainsi. J’avais l’impression que ce qui se passait le trouble profondément... Il se laissait aller et il était maintenant dans un autre monde.
L’abandon de mon soumis à cet instant était fort. Il me dira ensuite qu’il eut l’impression que cette mèche lui faisait l’amour. La douleur était perceptible, mais cela le rendait encore plus soumis à mon égard. Il « supportait » la douleur par amour pour sa Divine, pour qu’elle soit fière de lui...

J’aimais le dresser et  lui donner ces marques qui seront miennes. Celles de sa Divine...

De longues minutes passèrent, aaron me suppliait alors de pouvoir lâcher prise. Ces bras ne pouvaient plus le soutenir. Il n’en pouvait plus... Je sentais bien qu’il arrivait au bout de ses forces. Mais il n’osait pas encore quémander de pouvoir lâcher prise... Je voyais qu’il souffrait, mais il ne le ferait pas tout de suite. Soudain, je l’entendais...
- « Maîtresse, je vous en supplie, puis-je lâcher ? ». J’attendais encore quelques instants. Il avait mal, mais pas encore assez...
Le supplice dura encore quelques secondes. Je savais qu’il pouvait encore tenir quelques secondes oui. Il le ferait pour moi...
- « aaron, tu peux lâcher la corde ! »...

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aaron se laissa tomber et semblait vraiment épuisé...
Un bon bain de feuilles pour se reposer semblait alors inéluctable ! aaron s’allongeait sans sourciller. 
Et ce fut l’occasion de faire une petite marche à quatre pattes qui sera de mise également...
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Mais il faut penser à se rhabiller. Des promeneurs étaient peut-être au détour de cet endroit. Nous ne sommes pas si loin du chemin qui nous a amené là. Et nous avons croisé un cavalier en arrivant.
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Aaron avant de se rhabiller souhaitait me montrer les jolies traces que je venais de lui faire...
L’air était très vivifiant, vous ne trouvez pas ?

En tous cas, moi qui suis frileuse, je m’empressais de retourner à la voiture. Je rêvassais à l’arrière du véhicule, Aaron était au volant et nous ne cessions de reparler de ce moment unique. Certains silences complétaient ce doux moment partagé.
Nous retournions à l’appartement de Monsieur...


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Aaron avait mérité de s’occuper de mes pieds, avec ferveur et délicatesse...
Et moi, je me prélassais avec mon verre de jus d’orange et mes petits gâteaux, bien au chaud...

Je pourrais vous détailler encore et encore ce séjour, mais à quoi bon. Il faut laisser un peu de mystère à notre histoire et je ne souhaite pas tout dévoiler sur notre intimité. Et vous vous lasseriez sans doute de trop de détails et de moments qu’il ne faut pas retranscrire par pudeur ou respect de l’autre...

Aaron repartit le lendemain, jeudi.
Il eut droit de boire encore une dernière fois à la source et de se délecter de mon champagne avant de préparer ses bagages. Quelle belle récompense et ce «merci Maîtresse » qu’il m’adressa était fort de sens. Il but sans en perdre une goutte, car ce matin-là, l’abondance du nectar était au rendez-vous...

Comme je l’ai déjà dit dans un précédent article, il laisse un grand vide derrière lui. Ces moments complices, tendres, terrifiants... Font de notre histoire, une belle histoire, forte et unique...

A suivre...
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 22 novembre 2 22 /11 /Nov 17:00

Le contrat d’aaron. Il était là à mes pieds... – 3 -

Mardi... Il y maintenant deux semaines tout juste, que le temps passe...

Ce matin, la table pour le petit déjeuner est dressée. Les croissants sont chauds et disposés sur une jolie assiette. Mon chocolat fume encore alors que je m’installe pour me restaurer. Cela sent si bon...
Monsieur est parti tôt ce matin au travail. Il ne sera pas avec nous aujourd’hui. Il reviendra sans doute assez tard.

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Aaron me surprend alors que je rêvasse devant ma tasse. Car il arrive tout souriant dans le salon avec un bouquet à la main ! Et quel bouquet ! Des orties bien fraîches, cueillies quelques minutes plus tôt dans un jardin voisin. Quelle chance en cette saison ! Elles ont l’air bien piquantes ! Mais aaron aurait pu vous dire combien elles l’étaient ! !
Mais aaron n’y aura droit qu’un peu plus tard dans la journée. Car la livraison du lit ne devait plus tarder...

Nous attendions donc la livraison, celle-ci était prévue le matin de bonne heure. Ca y est, le livreur est passé ! Il faut maintenant monter les cartons, aaron à de la chance, chez Monsieur il y a un ascenseur, mais non, je vais lui demander de monter les 3 cartons par les escaliers ! aaron ne s’y attendait pas et dés le premier, il transpire à grosses gouttes. Le lit en bois semble bien lourd ! ! ! aaron me quémande un verre d’eau à chaque montée. Il y en aura donc trois...
Et il faut maintenant déballer les cartons et s’atteler à la tâche...

L'idée de le voir là, à genoux dans cette chambre, en train de mettre ce lit en place, me séduit énormément. Car il ne dormira jamais dans ce lit. Il l'installe uniquement pour moi et Monsieur...

Je vaquais à mes occupations et  à un instant choisi, j’arrivais dans la chambre et je voyais son dos, oui le dos d’aaron en train de monter le lit. Il ne savait pas que j'arrivais avec des pinces qu'il allait porter un moment sur ses tétons... Non, il ne savait pas encore...
Cela lui faisait même, presque instantanément. Mais malgré cette douleur, il n’osa pas demander son reste.
Je repartais aussi légèrement que j’étais arrivée dans la cuisine pour me servir un jus d’orange.
De temps en temps, j’entendais aaron de loin qui grimaçait ; Plus les minutes passaient, plus la douleur devait être vive.
Après une bonne demi-heure de pause, je revenais pour lui retirer les instruments de torture. Il sembla soulagé, le pauvre...

Il fallait qu’il continue son travail et la pause des pinces le divertissaient trop à mon goût ! !

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Mais autre chose l’attendait. Les douces caresses aux fleurs d’orties...
Je m’étais approché sans bruit dans la chambre, ayant pris soin de retirer mes chaussures. Je caressais lentement le dos d’aaron qui sursauta, mais compris très vite ce qui lui arrivait. Il ne bougea plus, en attente de mon bon plaisir...
Je le caressais toujours, dans le dos, sur ses fesses et dans sa raie... aaron poussait des gémissements, cela devait piquer non aaron ! ? ?
Je lui demandais de se retourner. Aaron baissa les yeux et savait que les morsures de la plante allaient attendre son chybre. Même avec sa CB, cela démangeait. Je frottais et frottais encore, pour bien faire pénétrer les feuilles dans sa peau...

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Ces doux petits massages l’auront certainement remis d’aplomb pour continuer le montage du lit de Madame et Monsieur ! Il faut retourner au boulot ! Les jolies fesses d’aaron sont bien rougies de petits points d’accroche. La feuille d’ortie à mordu ses chairs...
J’aime le voir là, à mes pieds, rendre l’âme... Gémir et bomber le dos...

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Aaron reprendra avec sérieux son travail et le lit sera monté en fin de journée...
Il aura mérité de mettre la table pour le dîner. J’ai fait une ratatouille qu’il mangera dans sa gamelle bleue...

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A suivre...
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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 10:00

 

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Le contrat d’aaron. Il était là à mes pieds... - 2 -

Dimanche...

Je vais passer ma journée dans une tenue décontractée. Aaron répondra à tous mes désirs et caprices. Ce sera une réelle journée de repos et cela est appréciable. La douleur à mon bras étant intense ces derniers jours, cette tendinite qui n’en finit plus de me harceler, me fatigue...

Aaron s’est occupé de mon petit déjeuner avec soin. Il a placé ma tasse sur le set de table. Avec le chocolat en poudre à disposition, ainsi que le beurre, la confiture, mon verre de jus d’orange et le sucre et le pain et les croissants qui sortaient tout juste du four. Tout ce qui était indispensable à un bon début de journée.

Pendant que je mangeais, il a commencé à monter le nouveau meuble télé. Je trouvais qu’il allait bien vite à la tâche, aussi je lui conseillais de ne pas aller trop vite, car il devait penser à continuer le repassage. Alors qu’il avait encore le meuble de salle de bains à assembler lui aussi.

Je le regardais œuvrer, pendant que je papotais avec Monsieur qui avait pris place à ma table. Aaron s’interrompit pour préparer le café de Monsieur et lui préparer également sa place. Nous évoquions la soirée passée et ces doux souvenirs étaient plaisants en notre mémoire. Nous avions du temps devant nous, c’était agréable ; Mais le temps passe si vite...

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Je disposais sur la table du salon, très sagement, des poids de différentes tailles qui s’adaptent les uns aux autres. Cela était troublant. Des pinces pour tétons complétaient le décor.
Aaron faisant celui qui n’avait rien vu, compris très vite que ces objets lui étaient destinés.

Aaron venait de temps à autre voir si mon verre de jus d’orange était encore plein ou si j’avais besoin de quelque chose. Le savoir là, à ma disposition, était un réel plaisir. Il avait toujours un œil discret, dirigé en ma direction, de peur de se faire punir pour un oubli.


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Il quémandait quelquefois l’autorisation de venir à mes pieds, pour les embrasser délicatement. Ou plus simplement pour y poser son front. Un geste qui le rassure et l’apaise.
Aaron n’a pas eu de gifle cette fois ; Ayant mal à mon épaule droite, j’ai préféré la préserver. Mais aaron aura bien d’autres plaisirs à venir. Ne serait-ce que d’être là, avec moi, à mes pieds. Il sait que tant d’hommes rêveraient d’être à sa place...

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Je me prélassais dans le canapé, regardant un peu la télévision ou lisant un magazine. Je taquinais aaron sur sa nudité et la difficulté qu’il avait à garder sa CB en place ! Honteux, il me disait que son sexe était trop petit et qu’il devait trouver l’anneau qui serait le seul et bon gardien de son sexe d’eunuque.
« Débrouille-toi petit moineau pour mettre cet oiseau en cage ! » Lui dis-je clairement sur un ton agacé, dont il comprit très vite la teneur !


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Le repas de midi avançait à grands pas. Aaron prépara la table. Tout était à sa place. Une bonne raclette au programme ; Je me léchais les babines moi qui adore cela ainsi que Monsieur.
Aaron nous regardait déjeuner. Il était là, avec nous, mais à genoux.
Je pris soin de lui préparer une assiette à part, en mâchouillant son repas par mes soins. L’idée de manger mes restes, ces aliments mâchouillés par mes dents, ma bouche, le faisaient littéralement chavirer...
Il mangea avec soin, toute l’assiette, qu’il finit par lécher...

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Lundi...

J’ai pris le temps de me réveiller. J’ai entendu aaron se lever, il est assez maladroit quand il bouge en cet instant. Il essaie d’être discret, mais ne l’est pas vraiment ! C’est une tare chez lui. Il fait des bruits sans le vouloir ! ! Eclats de rires ! Et plus il essaie d’être silencieux, plus il fait du bruit ! Mais pour tout vous dire, j’ai un sommeil peu profond, aussi, le moindre petit bruit me réveillera malheureusement. Ou heureusement, ainsi je peux le surveiller. Et quand il m’agace un peu trop, je l’envoie dans le couloir, le sol est encore un peu plus dur, c’est du carrelage, bien plus froid que le parquet de la chambre...
Vous avez déjà trouver un soumis parfait vous ? Pas moi ! !

Hier soir, il à eu le droit de léchouiller un peu mes pieds avant de s’endormir. Les petits bruits qu’il faisait ne me trompaient pas. Aaron était aux anges et il ne se rendait pas compte de ces petits sons qui sortaient naturellement de sa bouche. J’étais troublée car je sentais bien qu’il apportait un soin particulier à sa tâche. Hier déjà, alors que j’étais dans le canapé au salon, il m’a délicieusement bien massé les pieds, avec du gel approprié et il s’est vraiment appliqué. Je voyais son plaisir à me tenir le pied de la meilleure façon qui soit. En essayant de ne pas le fatiguer. En le reposant délicatement sur le petit coussin couleur chocolat.

Mais revenons à ce lundi matin...
Je l’ai donc entendu se lever, une heure avant moi, pour chercher une baguette normale et une baguette viennoise comme je lui avais demandé de le faire la veille. Il en a profité pour sortir le chien.
Il à préparer mes vêtements, bien disposés sur la commode.
La table du petit déjeuner était prête quand je décidais de me lever. Car il ne fallait pas traîner, ce matin là, il fallait chercher le cadre à lattes du « futur » lit qu’aaron assemblera le lendemain. Cette tâche lui incombait et lui faisait plaisir. Et moi donc ! L’idée qu’il soit celui qui assemblerait notre lit, à moi et Monsieur, me plaisait énormément. Aaron se permis de me dire qu’il trouvait que cette tâche était une faveur et qu’il s’y attellerait avec joie et précision.


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Mais pour ma part, je ne devais pas me fatiguer et il se débrouillerait seul pour mettre cet objet indispensable à l’assemblage du lit, avec le matelas et le cadre de lit, sur les barres de toit de ma voiture ! Je me demandais bien comment il allait s’y prendre ? C’était assez lourd et encombrant.

Nous arrivions au magasin. Au détour d’un rayon, nous croisons une vendeuse. Je l’interpellais ; Je lui disais que j’avais vu un cadre de lit aux dimensions 160X200 sur leur site internet.
La personne nous conduisit à un stand ou elle tapait les références sur son ordinateur. La vendeuse n’était pas très agréable, mais était-ce parce-que nous étions un lundi ? Avait-elle passé un mauvais week-end ? Son mari ne lui avait pas masser les pieds hier soir ! Sans doute que non !

Bref, elle nous informait qu’il restait bien un article en stock et qu’il serait donc pour nous ! Comme si nous étions des clients privilégiés ! ! Je me devais de remettre en place cette femme. Je ne supportais pas l’arrogance et le ton de cette femme. Aaron acquiesçait par un regard complice et comprenait mon agacement. Elle commençait par faire une facture et me demandait mon nom ! Bingo, aaron l’interpellait et lui disait d’une voix intelligible et douce, « Il faudrait peut-être mettre la facture au nom de Monsieur, qu’en pensez-vous Madame ?
Je me retourne et regarde aaron.  – «  Tu as raison aaron, tu as bien fait de le souligner, nous allons faire cela ! ! ». La vendeuse reste bouche bée mais ne veux pas trop nous montrer son étonnement. De fait, elle ne dit plus rien et termine le document. Je la remerciais chaleureusement et lui souhaitais une bonne journée. En partant, aaron me signala que la femme nous regardait de la tête aux pieds. Car aaron marche toujours derrière moi et la vendeuse devait clairement se demander qui nous étions à cet instant et quel rôle avait chacun de nous dans cette obscure histoire ? ! Diabolique moment, emprunt de sourires complices avec aaron.

Le chargement se passait sans trop de difficultés. Aaron avait une technique bien particulière et connaissait des nœuds qui maintenaient fort bien le cadre de lit sur les barres de toit. J’étais étonnée car je ne le savais pas aussi « bricoleur », mais surtout, j’avais dans l’idée de le punir s’il faisait mal son travail !

Je ne pu malheureusement que me résoudre à admettre qu’il avait bien arrimé l’objet ! Je le punirais par le biais d’un autre moyen, mais faut-il seulement une faute pour punir ! Il suffit d’inventer une faute, même non commise et punir. Aaron adore ces « coquetteries » venant de ma part. 
J’aurais en tous cas détesté abîmer la carrosserie de ma voiture ou perdre en route mon chargement ! ! Restait la satisfaction de voir aaron se déhancher, cela me faisait sourire, alors que je restais dans mon véhicule, pour le regarder oeuvrer, car le cadre de lit était assez lourd et sa largeur ne lui permettait pas d’être très pratique pour le manipuler. Il s’était bien débrouillé.

Aaron devait surtout continuer le repassage. J’avais retrouvé des draps qui devaient être entreposés dans l’armoire depuis un moment. Il fallait les raffraichir. Et j’aurais détesté l’idée qu’aaron voit sont tas de repassage diminuer trop rapidement.

Le reste de la journée fut des moments complices. Comme souvent ! Aaron sait ce que j’attends de lui et me demande si j’ai besoin de quelque chose pour mon bon plaisir. J’en ai également profité pour me détendre et laisser œuvrer aaron seul. Il était bon de le voir nu, à mon service, à bouger dans tous les sens, de peur d’oublier une chose ou l’autre.
Avait-il peur de se faire punir ? Je ressentais cette peur de mal faire également. Aaron à ce soucis en permanence. Car je trouvais qu’il fallait corriger beaucoup de choses ces dernières heures. Aaron était troublé depuis la signature de son contrat et il était sur son petit nuage. Il fallait qu’il en redescende doucement !


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Je lui demandais de me mettre mon joli vernis à ongles sur les ongles de mes pieds. Aaron, tant bien que mal, essayait de faire bien. C’était pour ma part une catastrophe. Il oubliait certains angles et n’était pas précautionneux. Il était mauvais, tout simplement ! !
Il ne savait pas ce qui l’attendrait le lendemain, pour le punir de cela et des autres petites choses que je ne détaillerais pas ici, tant la liste serait longue, quant à mes insatisfactions de la journée du lundi. J’étais lassée. J’avais dans l’idée de lui faire faire une promenade le mercredi dans la forêt. Et quelle promenade, il ne savait pas à quoi s’attendre...

Mais cela fera l’objet d’un autre article ; Patience à vous, lectrices et lecteurs de mon blog...

A suivre...

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 7 commentaires - Publié dans : Le contrat d'aaron
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 13:39
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Le contrat d'aaron. Il était là à mes pieds... – 1 -

Je ne sais si je vais parvenir à vous détailler cette semaine passée avec aaron. Comment retranscrire tant de joies, d’émotions et de bonheur à travers quelques lignes ? Cela est difficile et vous n’étiez pas présents pour les vivre à nos côtés. Par pudeur, je pense que je ne pourrais pas « tout » vous dire. Et tant mieux... Car je garde jalousement certains moments en ma mémoire. Aussi, ce sera un florilège des moments partagés que je vais vous livrer dans mon blog, en quelques pages, en toute intimité et humilité...
Et les photos me serviront d’illustrations, quelquefois...

Samedi dernier... Car il faut revenir à cette date...

J'étais bien arrivée, sur ce quai de gare. Mais je n'étais pas sur celui-ci. aaron à eu peur. Je me suis effectivement cachée. Il aurait été trop simple d’être là, sans ce petit jeu délicieux. Je me régale car je peux le voir de l’endroit où je me trouve. Il attend sagement sous l’abri. N’ose avancer. Je le sens inquiet. Il regarde à droite, à gauche. Plus personne. Les passagers du train ont retrouvé les gens qui les attendaient. Mais lui ? 
Il ne m'a pas vu arpenter le quai où je m’avance ; Je l’appelle. Même de loin, je vois son sourire, Il est rassuré...
Je ne l'avais pas revu depuis des mois. J'étais surprise de le retrouver comme si rien n'avait changé ; . Tout était resté là où nous étions quittés...

aaron avait ce regard de soumission que je connais bien et qui ne le quitte jamais à mon égard. Ce respect profond qui le caractérise. Cette âme de soumis qui le rend beau à mes yeux.

Je lui ai demandé de monter à l'arrière de mon véhicule. J'aimais le scruter dans le rétroviseur. Il est troublé et parlait sans cesse pour ne pas faire remarquer son trouble. Mais moi il ne pouvait me mentir. Je le ressentais bien ce trouble. Ces yeux en disaient long. Tant qu’il pouvait me regarder en m’adressant des regards. J'aime ce trouble profond qui l'anime... Il est heureux, tout simplement.

Nous sommes allés faire des courses pour la préparation du dîner.  Arrivés à la caisse, la jeune femme passe nos articles. aaron à choisi des collants pour lui. Je regarde la femme et j'aime son rouge à lèvres rouge vermillon. Je lui fais cette remarque, en la complimentant sur celui-ci. Elle est rougissante et me sourit. J'aime le trouble de cette femme et aaron tout autant troublé et surpris par ces propos qu'il ne s'attend jamais à entendre ou vivre. J'aime l'étonner par le biais de petits détails et moments tels que ceux-là.
Nous laissons la jeune femme à sa caisse ; Nous avons encore une longue journée devant nous.

Il faut également penser à acheter des gâteaux pour mon bon plaisir. Aaron sait que je suis très gourmande... Il m’offre donc les tartelettes que je choisis avec délectation.
Je l'ai traîné dans un magasin de meuble pour y acheter un matelas ; Il faudra que nous allions également chercher un cadre de lit à lattes. Oui, car aaron montera mon lit et celui de Monsieur. Je l’ai décidé et cette perspective me ravit et me fait sourire à chaque fois que j'y pense. Car aaron ne dormira JAMAIS dans ce lit. Toujours à la hauteur de mes pieds...

Nous finissons par faire quelques courses alimentaires au supermarché. Aaron pousse le caddie et j’aime cette situation. Il me dit « Maîtresse, que dois-je aller chercher ? ». Trois personnes se retourneront sur notre passage, en entendant aaron m’interpeller de la sorte ; J’adore ces moments ou tout semble naturel et où chacun trouve sa place... Je fais courir aaron dans plusieurs rayons ; Je ne suis pas satisfaite de ce qu’il me rapporte quelquefois. Je le renvoie chercher autre chose...
Les courses seront disposées dans le coffre avec soin et montés à l’appartement de Monsieur. 

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Oui, ça y est... Nous sommes enfin arrivés chez Monsieur. Je peux enfin me détendre. Aaron retire mes bottes avec un grand soin et embrasse mes pieds avec ferveur, après m’avoir demandé de pouvoir les embrasser. Je sais qu’il en a rêvé de cela depuis si longtemps...

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Je lui offre une jolie boîte transparente sur le dessus, qui comporte quoi ? Sa CB ! Un petit cadeau pour la signature de son contrat. Aaron est très ému de ce présent espéré, tant sa condition quémande cet objet. Aaron énuque, rêve de la porter. Mais il faut d’abord ranger les choses qui ne sont pas en ordre dans l’appartement ! Les ordres fusent ! Il faut s’occuper de Madame... Et... Ensuite, il pourra s’occuper de sa CB.

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Il ouvre l’emballage, ému. La pochette comporte la CB a assembler. Un petit nounours servira de porte-clés. Aaron s’empresse de monter l’objet tant attendu...
Fièrement, il vient me montrer l’objet, enfin encagé sur son petit sexe fort bien rasé et propre à mon intention.
Aaron n’aura plus de plaisir, mais jusqu’à quand ?

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Nous sommes donc samedi soir, la table est dressée avec soin par aaron. Tout est à sa place ; La nappe est jolie et le nouveau service est élégant sur cette table dans le salon. Le crémant d’Alsace (bien évidement) sera bientôt servi. Aaron a préparé une assiette originale de pâté en croûte et cela me fait sourire. Les bougies vertes trônent dans les bougeoirs. Mais pourquoi vertes me direz-vous ? J’ai permis à aaron de les choisir dans l’après-midi, car cette couleur lui rappelle mes yeux...

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Je m'installe dans le salon pour prendre l'apéritif. aaron commence à repasser le tas des six machines à laver que j’ai pris soin de mettre de côté pour lui. Je sais qu’il adore repasser, le voilà servi !
Et moi... Je rêvasse et je me détends. J'aime parler avec lui, tout en étant confortablement installée dans le canapé. J'allume d’autres bougies disposées elles sur la table basse. Ambiance...

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Nous sommes également allés acheter deux cravaches ; J’aime savoir qu’aaron est un peu gêné alors que je fais mon choix dans ce magasin. Je détaille les couleurs et les longueurs. Je prends tout mon temps. Mon choix s’arrête sur deux articles de couleur noire. Une cravache courte avec un bout un peu épais pour dompter la corne de sa peau ? Ou encore une très fine, longue et qui se termine par une mèche qui doit être bien efficace ? Je vais finalement acheter les deux !
J’aime savoir qu’elles n’ont jamais servi auparavant. J'y tiens pour cette semaine...

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Monsieur vient de nous rejoindre. Il est rentré du travail et est heureux de nous savoir là. Il s'installe avec nous dans le salon.
Moi... Je suis allée me changer. Il faut que je m’apprête pour cet événement. Je porte un joli collier ras-du-cou avec des perles et de la dentelle ; Du plus bel effet ! Un bustier en vinyle, très seyant ! Et une veste qui l’est tout autant ! Une jupe simple à volants. Et mes chaussures à talons. Aaron ne les connaît pas encore celles-là. Il aime le talon en métal qu’il rêve de lécher... Monsieur Pascal, notre témoin, me complimente sur ma tenue en m'embrassant d'un baiser fort plaisant. Je me sens belle et désirable. Tous deux ne semblent pas in différents à mon charme indéniable. J'aime ce trouble...
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aaron porte son joli tablier blanc que j'affectionne et que je garde de côté pour lui. Il s’est acheté une jolie robe pour l’occasion. Bravo pour son choix car elle lui va à ravir ! Il à enfilé les collants que nous avons acheté dans la journée.
Il s'applique, tant bien que mal, à devancer mes attentes. Je le sens un peu gauche, il semble avoir les idées ailleurs. Il sait que dans quelques heures, après le dîner, il signera son contrat. Cela le rend un peu nerveux, mais qui ne le serait pas à sa place ? Ce contrat qu'il attend depuis 6 ans...

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Tout le sérieux de ce contrat réside dans 10 pages que j'ai mis longtemps à écrire et composer de mes mots et règles. Que de longues heures de réflexions ? De rajouts de mots, de phrases, de suppression de lignes. Un véritable travail titanesque mais engagé. Mais ça y est, il est rédigé soigneusement et avec tout le sérieux que j’y apporte et n'attends plus que nos signatures et celle de notre témoin.

Je me sens repue après ce repas gargantuesque. Je m’étale un peu dans le canapé. Une Divine à bien le droit de se détendre et de profiter des bons soins de son soumis. Aaron m’apporte la télécommande pour que je puisse mettre un peu de musique douce pour me détendre. Mon téléphone est disposé de façon à pouvoir l’atteindre. Mon verre d’eau est toujours rempli si besoin ; aaron s’inquiète de savoir si j’ai froid ? Il sait que je suis frileuse. Il me propose de déposer un plaid sur mes genoux.
Et...
Je demande à aaron de chercher le dossier vert que j’ai posé sur une étagère du salon.
Il tremble.
Il se met d’instinct à genoux et embrasse mes pieds (après me l’avoir demandé !)...
Il est soumis plus que jamais...
Je sens que ses mains tremblent et qu’il est gauche. Peu importe, l’émotion est là.
Je lui demande d’embrasser la mienne. Il s’exécute et remarque mon bracelet qui le fait sourire...

9

Nous commençons la lecture. Instant solennel et fort.
Aaron fait quelques arrêts, pour approuver mes lignes et me regarder droit dans les yeux pour acquiescer mes règles. Une cérémonie simple, mais je l’écoute, moi aussi avec émotion.
La fin de la lecture arrive. De longs moments intenses.
Les larmes aux yeux, mais également avec le sourire, nous signons ces pages empreintes de soumission et de sentiments...

10
10 bis

Aaron est heureux, je suis heureuse... Tout est dit !
Aaron mérite que ce contrat soit signé. Malgré ses maladresses, mais quel soumis peut se targuer d’être parfait, moi je n’en connais pas ! Et le fait qu’il ne puisse être que peu présent, son engagement et sa fidélité à ma personne sont définitifs...
Mais il est grand temps d’aller se coucher. La journée à été bien longue et les suivantes le seront tout autant pour aaron.
Aaron, par terre, à mes pieds, ne cesse de me remercier pour ce moment de joies intenses et ce bonheur que je lui apporte. Ces mots me touchent et me rassurent. 
Je ferme les yeux et je m’endors, paisiblement, dans les bras de Monsieur Pascal...
Aaron lui, claque des dents. Je pense qu’il a un peu froid, sur le parquet de la chambre...
A suivre...
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 12 commentaires - Publié dans : Le contrat d'aaron
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 10:49
17.11.2011.jpeg
Madame et aaron...

Madame et aaron,
Comme sortis des ténèbres,
La divine reine et le pion
Parcourent le damier comme une vertèbre.
 
De pelvienne à cervicale,
Cette colonne osseuse
De manière chirurgicale
Lie les deux pièces joyeuses.
 
Dans ce mouvement
De chatte et de souris,
Le pion de peur est blanc
Et la reine en noir sourit.
 
L'issue est connue,
Et le pion est en sursis.
Mais le jeu continue
Car la reine est juge de vie.
 
Ca y est ! Le piège se referme.
Dans un angle acculé,
Le pion gymnosperme
Sait son heure arrivée.
 
Le triomphe total,
La reine, araignée noire,
De sa seringue buccale
Va piquer ce mâle de foire.

 
                    Soumise wanda - Le 07/11/2011
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 5 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 15 novembre 2 15 /11 /Nov 00:00
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Portrait de Paul Eluard par Salvador Dali - 1929

Un poème sombre d’Eluard...


Toutes les choses au hasard
Tous les mots dits sans y penser
Et qui sont pris comme ils sont dits
Et nul n'y perd et nul n'y gagne
 
Les sentiments à la dérive
Et l'effort le plus quotidien
Le vague souvenir des songes
L'avenir en butte à demain
 
Les mots coincés dans un enfer
De roues usées de lignes mortes
Les choses grises et semblables
Les hommes tournant dans le vent
 
Muscles voyants squelette intime
Et la vapeur des sentiments
Le cœur réglé comme un cercueil
Les espoirs réduits à néant
 
Tu es venue l'après-midi crevait la terre
Et la terre et les hommes ont changé de sens
Et je me suis trouvé réglé comme un aimant
Réglé comme une vigne
 
A l'infini notre chemin le but des autres
Des abeilles volaient futures de leur miel
Et j'ai multiplié mes désirs de lumière
Pour en comprendre la raison
 
Tu es venue j'étais très triste j'ai dit oui
C'est à partir de toi que j'ai dit oui au monde
Petite fille je t'aimais comme un garçon
Ne peut aimer que son enfance
 
Avec la force d'un passé très loin très pur
Avec le feu d'une chanson sans fausse note
La pierre intacte et le courant furtif du sang
Dans la gorge et les lèvres
 
Tu es venue le vœu de vivre avait un corps
Il creusait la nuit lourde il caressait les ombres
Pour dissoudre leur boue et fondre leurs glaçons
Comme un œil qui voit clair
 
L'herbe fine figeait le vol des hirondelles
Et l'automne pesait dans le sac des ténèbres
Tu es venue les rives libéraient le fleuve
Pour le mener jusqu'à la mer
 
Tu es venue plus haute au fond de ma douleur
Que l'arbre séparé de la forêt sans air
Et le cri du chagrin du doute s'est brisé
Devant le jour de notre amour
 
Gloire l'ombre et la honte ont cédé au soleil
Le poids s'est allégé le fardeau s'est fait rire
Gloire le souterrain est devenu sommet
La misère s'est effacée
 
La place d'habitude où je m'abêtissais
Le couloir sans réveil l'impasse et la fatigue
Se sont mis à briller d'un feu battant des mains
L'éternité s'est dépliée
 
O toi mon agitée et ma calme pensée
Mon silence sonore et mon écho secret
Mon aveugle voyante et ma vue dépassée
Je n'ai plus eu que ta présence
 
Tu m'as couvert de ta confiance 
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 2 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Samedi 12 novembre 6 12 /11 /Nov 10:32

http://image.yaymicro.com/rz_1210x1210/0/80f/valentine-s-day-bdsm-gift-80fd1d.jpg

 

 

  Je ne suis rien sans Elle...

 

 

Voilà quelques heures que nous venons de nous quitter,  des heures qui me semblent déjà si lointaines. J'ai eu tant de mal à vous quitter...
Je pense au temps incommensurable qu'il va me falloir pour me remettre de Votre Expérience Inoubliable, où Vous avez simplement dessiner les Règles me liant à Vos Pieds, en sensibilisant mon âme défaillante et fragile, à Vos Belles et Sensuelles Couleurs que je défendrai jusqu'à la mort s'il le fallait.

Je sais pourtant que rien n'est gagné d'avance, la route est toujours longue, Vous risquez encore d'user plus d'une fois Votre Fouet pour me faire comprendre l'exigence de Vos Caprices.

Dans tous les cas, Maîtresse, ces quelques jours passés à Vous servir fût un moment de rareté extrême.
Mon inexplicable dépendance devant Votre Suprématie Féminine, m'a troublé et même fait chavirer, en faisant de moi à la fois cet esclave boulversé et apaisé.

Quel merveilleux paradoxe, me direz-Vous ?!!...

Nous avons maintenant la certitude de notre lien, par la signature de ce contrat, signé de Vos Mains, contresigné par Monsieur et moi-même. Me voilà maintenant enchaîné à Vous, par ces règles dont Vous avez Vous-Même assuré la conception.

Vous m'avez instruit durant ces six jours, de très tôt le matin à très tard le soir, en conformité avec Votre Propre et Exquise Spiritualité, basée sur la confiance, la sincérité, l'exigence et la simplicité.
Vous m'avez, entre autre, permis de m'abreuver à votre source, le goût de votre champagne est encore dans ma bouche....
Vous m'avez parlé pour me guider. Comme toujours.
Vous m'avez nourri de vos restes, mâchouillés soigneusement par vos dents et vos lèvres...
Vous m'avez permis d'effleurer votre dos, vous laver votre dos alors que vous vous délassiez dans votre bain.
Vous m'avez demandé de faire votre ménage et votre repassage. 
Vous m'avez permis de m'abreuver à votre source, le goût de votre champagne est encore dans ma bouche....
Vous m'avez fait profiter d'une promenade en forêt que je ne pourrais jamais oublier...
Vous m'avez cravaché dans ce bois.
Vous m'avez permis de vous vernir les ongles de vos si jolis petits pieds...
Que d'heureux souvenirs...
Merci, Madame...

Cela me rappelle un peu l'éternel thème, du roman de Dracula, où chaque proie désignée par le nosferatu, reste condamné à le vénérer, même après la mort... En gros, j'ai souvent l'impression de penser à Vous 24/24, alors que maintenant je vais Vous idolatrer 48/24...

Maîtresse, Vous remercier encore une fois en utilisant que des mots, représente presqu'un acte d'incorrection, tellement Vous Vous êtes révélée Dominante, Délicate, Envouteuse et Sensuelle, mais je peux réellement déposer le plus sincère des baisers à Vos Pieds pour Vous remercier, ainsi que Monsieur qui a bien voulu m'offrir l'hospitalité, sans oublier G., votre petit chiot, mon jeune et relatif soutien.
Voilà aujourd'hui, une grande histoire qui commence...

esclave aaron, Votre... A jamais...

aaron,
Je te dirais tout simplement...
Tu es parti, tu as laissé un grand vide...
Je reviendrais sur nos aventures, pour nos lectrices et lecteurs dans les jours à venir, car l'ordinateur avec lequel j'écris ce matin n'est pas compatible pour la publication des photos qui jouxteront mes textes... 
A suivre...

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Samedi 5 novembre 6 05 /11 /Nov 09:57
05.11.2011.jpg
Viendra-t-elle ? ...

Ca y est, ma valise est presque terminée.
Elle regorge de vêtements mais aussi de diverses matières et de couleurs délicieuses à l’œil mais surtout au toucher, tel que de la soie, des bas de Nylon, du velours, du satin, de la dentelle et du vinyle...
Une autre valise m’a permis d’y contenir mes chaussures...

Et, bien évidement, un autre sac de voyage contient mes objets de malice et de délices...

Mais finalement, si je n’allais pas retrouver aaron sur ce quai de gare ? Si je lui faisais peur en me cachant. Ou en arrivant tout simplement en retard.
Il aurait peur, assurément...
Il a tellement besoin de me revoir. De pouvoir toucher mes bottes que je porterais ce jour. D’imaginer ce que je peux bien porter sous cette jupe noire.
Ma ceinture l’intriguera, servira-t-elle à autre chose ?
Nous avons un contrat à signer. Il portera sa CB 6000 en ma présence...

Sur le quai, il sera 13 heures 05. Il me retrouvera et me baisera les pieds avec ferveur et dévotion. Pour me souhaiter ma fête...

Si je suis là...

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Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 7 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Samedi 5 novembre 6 05 /11 /Nov 09:29
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Illustrations de textes depuis dessin de Namio par jip.pet et Madame.S
Le relégué condamné à la rééducation en camp de travail ?


" Le destin de certains individus mâles, dans l'Empire Gynarchique qui a fini par s'imposer sur terre dans la deuxième décennie du 21ème siècle, est d'une incroyable ironie :
Songez à ce malheureux, que nous avons déjà vu, sur document, à l'hôpital, livré à un personnel de santé préoccupé, avant tout d'étendre définitivement le Pouvoir Absolu des Femmes (P.A.F) !...
 
Le pauvre - à tous les sens du terme - avait déjà eu la malchance d'être défendu par une avocate inexpérimentée, commise d'office, compte tenu de la situation matérielle de l'accusé. Mais ce n'est pas tant l'inexpérience  de la jeune Femme que son militantisme Gynarchique qui a emporté la décision du Jury.
 
Je l'ai déjà montré je crois : il a plaidé coupable  sur les conseils " avisés " de son avocate, qui lui a fait miroiter l'indulgence du Jury, pour un choix de défense reconnaissant une partie des faits. Sauf qu'à partir d'un certain nombre d'accusations l'indulgence est automatiquement abandonnée. Et tout à l'avenant !
 
Ensuite ! - c'est bien de sa faute aussi  ! - Il a refusé la castration chimique (mais son avocate s'est gardée, là encore, de lui dire que les substances utilisées n'avaient pas généralement d'effets  irréversibles). Cette acceptation aurait réduit sa peine et l'aurait conduit dans un centre de travaux forcés privé !...

Au lieu de ça, toujours funestement conseillé, par son avocate, qui l'aura "plombé", enfoncé jusqu'au bout, nous le retrouvons (VOIR les images CI-DESSUS) dans un Camp d'Etat avec pour "Kapo" une Jeune Amazone à l'ambition forcenée et à la réussite... A l’ascension sociale spectaculaire ! "Fuschia" c'est le nom de la belle plante, Fille d'une modeste Femme de ménage de l'ancien régime, du siècle passée, est déjà, à 25 ans Colonelle du corps des Amazones - cas unique dans l'histoire récente du nouveau corps...
 La ( les ) raison(s) ?

 " Fu " ainsi l'appellent ses amies a :
- Déjà trois esclaves personnels (cela rapporte  90% de points supplémentaires, lorsqu'il en est ainsi avant le 26ème anniversaire) 
- Son mari, dont elle a fait son esclave AVANT mariage (et non l'inverse comme souvent aujourd'hui). Lui rapporte un nouveau bonus de 75% de points.
- Le fait que ce mari, qu'elle s'est appropriée à 16 ans  -  quand elle en avait 20 - était puceau et que cette situation a été " scientifiquement " confirmée (ne me demandez pas comment !) Là ! C’est le jackpot : multiplication par deux de son barème.   
- Le fait que son second esclave soit son beau-père, deuxième mari de sa mère, ce qu'elle a obtenu, voici deux ans suite à la condamnation de beau-papa (plaidée  par l'avocate de ce bougre, dont nous suivons le parcours édifiant !... Tiens !  Pour "harcèment moral et physique et violences sur Femme vulnérable"   
- Le fait que son troisième esclave soit une recrue de prison. Un peu comme notre pauvre ami aujourd'hui, déclaré esclave en début d'année...

Le parallèle entre le troisième et le prochain. Car vous vous en doutez elle n'a pas l'intention de s'en tenir là ! Et tentant ses amies - celles qui ont le droit d l'appeler FU, elles sont peu nombreuses - parient actuellement sur lui... Notre malheureux, celui qui se fait déféquer dans la bouche !... Pourquoi ?
...Parce que si vous regardez bien, il n'a pas d'appareil, rien  pour le contraindre à ouvrir la bouche, ni de cône en forme d'entonnoir pour guider la matière... C'est le fruit d'un dressage de plusieurs semaines qui a valu de terribles corrections au candidat... Pour "mauvaise volonté"... "attitude offensante". "Signes inacceptables de dégoût".

Selon maints observateurs c'est comme ça qu'elle a obtenu l'attribution officielle, l'acte de propriété de son précédent esclave, peu de temps avant que ne s'achève sa peine. L'avenir de notre pauvre homme, mal conseillé , mal défendu est tombé aux mains de l'ambitieuse EST DONC TOUT TRACE...

Mais il est des voix dans le camp, tant chez les condamnés que chez les collègues et subordonnés de FuSchia pour prétendre qu'il ne s'offusque pas de tout ça. Qu'il se laisserait même aller sur cette pente savonneuse avec une forme de délectation...

En tous cas il VENERE sa Maîtresse autant qu'il LA REDOUTE !        
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 3 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 4 novembre 5 04 /11 /Nov 09:51
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La douche dorée pour lui...
Illustrations et interprétations de textes depuis dessin de Namio, par jip.pet et Madame.S

- "Voilà comment je vais t'habituer à avaler mon nectar à mon rythme ! ...
- Oui p'tite chose !... Même quand j'ai une grosse envie et que mon débit te pose problème !! Je ne veux plus t'obliger à nettoyer les sols deux ou trois fois par jour... Ni être tenu de te corriger sévèrement chaque fois que tu es aussi maladroit !
  - Tu sais que je n'aime pas te fouetter!... Je préfère de beaucoup te gifler de temps en temps pour tes petites bêtises et remettre de l’ordre dans ton esprit! Tu te dois d’être attentif et d’éviter tes bourdes à répétition... Je pense qu'en quelques jours de ce régime  tu seras parfait comme urinoir à pattes !"

Le "malheureux" conjoint-esclave n'était pas vraiment navré de la situation dont témoigne cette belle et édifiante image, tout comme le monologue de cette Déité charnelle...

Une situation qui, comme le rappelait son Idole dans son propos, aussi clair que déterminé, constituait en réalité, et depuis un bon moment, une pratique pluri-quotidienne... Non! Il n'était décidément pas malheureux! Mais plutôt heureux oui de répondre aux attentes de sa Divine. Boire à la source était un plaisir et il en redemandait !

Pour lui qui prétendait "N'AVOIR PLUS L'AUTORISATION" de pénétrer Madame depuis belle lurette (elle, de son côté, disait à qui voulait bien l'entendre qu'ELLE N'AVAIT JAMAIS ACCEPTE d'être trivialement besogné par lui...
Qu'un soumis, même dans un état  marital ne pouvait raisonnablement espérer de telles faveurs, même parcimonieuses!... Qu'un esclave ne pouvait être un amant... etc...)!

Bref, pour un  type perpétuellement soumis à la tentation...
Vivant dans l'ombre d'une Femme Supérieure, belle, sensuelle mais au corps inaccessible, sauf à des massages, des soins d'hygiène et de menus plaisirs dispensés au moyen de sa langue servile...

Vivant auprès d'une Femme dont il est raide-dingue, mais qui le fruste et le condamne à la chasteté... A VIE...

... Oui ! Pour un tel individu... Et pour toutes ces raisons... CE QU'IL CONNAIT, CE QU'IL BOIT, CE QU'IL VOIT,  CE QU'IL HUME, là ! Dans la baignoire le ravit et tend à compenser - à faire oublier ? - L'impitoyable frustration... 
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 6 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Jeudi 3 novembre 4 03 /11 /Nov 08:35
03.11.2011.jpg
Je suis vermisseau...
Je suis vermisseau,
Devant Ma Dame Brune,
Un petit être...
 
Frêle, fragile,
Désorienté et perdu.
Le sombre couloir !
 
Au bout, une porte.
Au bout, lumières perçantes.
Au bout, ma Reine.
 
Après brimades
Et punitions, long chemin !
Puis résurrection.
 
                Soumise Wanda à sa déesse

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 2 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mercredi 2 novembre 3 02 /11 /Nov 15:44
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La carte aux trésors... Par aaron...

Maîtresse,
Sachez qu'il m'arrive très souvent de rêver d'un territoire où l'on pourrait vivre ses désirs les plus audacieux, en se laissant guider par de simples coups de fouets.
Il serait dédié aux Dominantes, Dominants et dominé(e)s, amoureux de voluptés, de beautés, de sensualités et bien sûr de plaisirs...
On y croiserait tantôt des marquises masquées, des déesses lascives, et parfois des fouetteuses d'ivoire.
Cet univers n'aurait d'autre ambition, que de charmer et de maintenir ses visiteurs, par son atmosphère, son esprit, son émotion, et sa rareté.
On pourrait tout se dire sans jugements, sans angoisses et sans peur d'être rejeté. Véritable lieu de plaisirs comme de souffrances, on y crierait et on y rirait pour comprendre la teneur de ces moments impitoyables comme de ceux beaucoup plus tendres.
Le respect, la communication, et le soutien resteraient les piliers de ce monde parfait.
 
 Alors ce territoire pas comme les autres, nous laissant tous ébahis ne pourrait que s'appeler ''SYLVANIA''....

Ce monde est peut-être là, proche de toi... Ce trésor est à portée de main. Petit aaron...
Madame.S 

 

 

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Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 4 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 1 novembre 2 01 /11 /Nov 10:34
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Ce fut une séance toute simple, comme je les aime...

Mourir sous ses fesses...

J'étais nu et ne portais qu'une cagoule de coton écru très épais fermée par un jeu de lacet à l'arrière de la tête et qui descendait jusqu'à la base du cou.
 
J'aime que Madame m'attache, mais elle n'aime pas beaucoup cela. Elle n'a pas la patience des noeuds, des cordes que l'on enroule et noue lentement sur le corps de sa victime... Victime qui n'attend que cela, prête à tout pour se retrouver à la merci de sa belle Dame, saucissonnée comme une rosette de Lyon.
J'ai donc apporté à ma Dame une trentaine de sangles de beau cuir fauve épais. De toutes les longueurs, larges de 6 cm.
Si je compte bien, 6 cm fois 30, cela fait 180 cm. 
Lorsque Madame a bouclé l'avant-dernière sangle sur moi, il ne devait rester quasi plus de peau à voir de mon corps. J'étais un gros boudin de cuir fauve. Seule ma tête encagoulée de toile raide émergeait de cet amas de sangles étroitement serrées, des chevilles aux épaules. Je savais à peine respirer. Et c'était bon d'être ainsi à sa merci.
 
Je dois dire un mot de la cagoule.
Elle m'a plu dès que je l'ai vue.
Elle est parfaitement opaque et couvre parfaitement toute la tête. Une pièce de même matière peut s'enlever, permettant de découvrir la bouche et le nez. Au niveau des narines, deux petits boutons métalliques, comme des pressions, peuvent se placer ou s'enlever, laissant apparaître deux oeillets, selon les circonstances, permettant au soumis de respirer plus ou mois difficilement.
Cette pièce de toile était fixée à la cagoule lorsque Madame me l'a mise sur la tête.
 
Il devait rester une sangle courte aux pieds de Madame car elle me l'a serrée autour du cou, juste sous la pomme d'adam, si étroitement que j'ai senti aussitôt une vague de chaleur me monter à la tête.
J'ai senti alors le poids de Madame sur moi.
Elle a marché sur moi.
Sur mon ventre, sur mon torse, sur mes cuisses, sur mes jambes, a écrasé mon sexe caché sous les sangles serrées. Puis Madame a fait rouler sur lui-même le boudin de cuir que j'étais, rouler sur le ventre, rouler sur le dos.
Cela a duré longtempds.
La tête me tournait.
 
Enfin, Madame a ôté la pièce de toile de la cagoule qui cachait ma bouche et mes narines. Elle m'a ouvert les lèvres de ses doigts gantés et y a enfoui une pièce de tissu qui semblait un fin coton. J'ai compris à la saveur du tissu qu'il s'agissait d'une petite culotte de madame.
J'ai senti mon sexe gonfler sous les sangles dès que ma salive mélangée à la culotte longtemps portée a dissout lentement les secrétions absorbées par le coton.

Quel beau cadeau que me fit Madame, ce jour-là, lorsqu'en plus de cette petite culotte dans ma bouche, Madame posa lourdement ses fesses et son con humide sur ma bouche et mon nez qui s'emplit de son odeur intime forte. Ce parfum unique et profond comme celui d'une marée. Je sentais que Madame imprimait à ses hanches un mouvement de rotation légère et mon nez entrait en elle.

Je suffoquais, je l'entendais gémir faiblement. J'avais la bouche et le nez innondés par le jus du con de Madame qui est savoureux. Je ne peux que le comparer à la mer sauvage chargée d'algues et de sel. 

Quelle belle mort, que de mourir dans ces circonstances, ai-je pensé...
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 5 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES

Images Aléatoires

  • Le décolleté de Madame. S
  • Se maquiller en toute tranquilité...
  • Un lien...
  • Chapeau Madame !
  • Bouquet de fouet...
  • Initiales M. S.

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