Vendredi 7 octobre 5 07 /10 /Oct 13:40
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Une autre vision des choses...
Par Alphonse.L

Je voudrais évoquer une dame que j'ai croisée à plusieurs reprises à la fin des années 80.
La pratique du bdsm, on le sait, est anticonformiste. L'anticonformisme étant une manière de bousculer les normes en usage.
Cette dame bousculait les conformismes du SM, car même étant anticonformisme, avec le temps, prend une forme de conformisme en intégrant ses règles. C'est ainsi.
Cette dame m'a beaucoup impressionné. J'ai oublié son nom de maîtresse. C'était un nom arabe.
Pour les besoins de ce récit, je l'appellerai Madame Aïcha. Elle était algérienne. C'était avant le Net.
Tout se passait par les petites annonces des journaux et revues spécialisées et le téléphone.
 
Cette dame avait une annonce avec sa photo dans un magazine sm de petit format. Une très belle femme brune, au visage un peu osseux, le nez droit comme un peu cassé des jolies berbères. J'ai composé son numéro de téléphone. Nous nous sommes parlés durant plus d'une demie heure. Nous semblions sur la même longueur d'ondes. Elle habitait Paris. C'était une professionnelle. Pourtant, avant de raccrocher le combiné, elle a ajouté : 
"... Et ne t'inquiète pas pour l'argent. Je ne fais payer que ceux qui méritent de payer mes services.
Pour les autres, il ne s'agit pas de service, mais d'un don que je leur fais. Je pense que ce sera le cas avec toi. Je te sens bien."
 
Je l'ai rappelée le soir même pour convenir d'un rendez-vous. Ce serait une semaine plus tard, une belle journée du mois d'octobre, à 11 heures.
 
Elle occupait un petit deux  pièces dans une rue perpendiculaire à la rue Saint-Denis, au dernier étage d'un immeuble à façade claire. Un escalier étroit vers les étages. Pas d'ascenseur. Il n'y avait qu'une seule porte avec sonnette au dernier étage. Les autres portes, devaient, j'imagine donner accès à des pièces de service.
Madame Aïcha a ouvert la porte.
C'était vraiment une très belle femme. un vaste sourire aux dents étincelantes. Le teint olivâtre. Elle m'a fait entrer. 
- Entre, Alphonse, m'a-t-elle dit. Je suis contente de te voir. J'ai eu très bonne impression, au téléphone l'autre soir.
- Merci, Madame. Vous m'avez fait un très belle impression également.
- Pas de "Madame", s'il te plaît, Aïcha. Chez moi, pas de chichis. Je trouve tout ce cérémonial ridicule.  
    Ces maîtresses hautaines qui se font appeler "Madame" ou "Maîtresse"... N'oublions pas que les Anciens tutoyaient le Très Haut. Le tutoiement n'est pas une forme d'irrespect. Je tiens à être tutoyée comme une vraie déesse”, ajouta-t-elle en éclatant de rire.
 
Elle portait des tenues classiques de dominatrice. Cuir, latex, rien de très original. Pourtant un jour d'été elle me reçut en djellaba blanche.
Elle était sublime et fut bien plus excitante que toutes les autres fois.

Elle aimait manipuler la corde et a commencé par me ligoter dans diverses positions permettant ensuite tous les plaisirs possibles, cravache, martinet, godes, pinces... Oui, elle m'a pris au gode-ceinture. Elle était belle, moi sur le dos, poignets attachés eux chevilles, genoux écartés, elle membrée de caoutchouc noir, tout en me pinçant les tétons de ses ongles puissants. Les coups qu'elle administrait était brefs et secs.

J'allais la voir une fois tous les deux mois environ. Je passais deux ou trois heures chez elle.
Vers vingt heures, elle quittait son studio et nous allions dîner ensemble. Je l'invitais et la retouvais en lui offrant une rose rouge.
 
Elle a quitté Paris en 1993 pour s'établir à Marseille. Au bout de quelques mois, je n'ai plus eu de nouvelles d'Aïcha... L'Algérie n'était plus très loin...
 
Alphonse L.
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mercredi 5 octobre 3 05 /10 /Oct 08:59
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Billet d’humeur, le prix Nobel de médecine...

Une fois n’est pas coutume et il m’arrive de faire des petits apartés dans mon blog, ces billets d’humeur au jour le jour qui me tiennent à cœur et que je vous fais partager.
Aujourd’hui je voudrais adresser mes félicitations à l’un des nouveaux prix Nobel de médecine, décerné hier, qui plus est, ce médecin est alsacien ! Je ne suis pas chauvine non ! Juste un peu sourires !

"Le Français Jules Hoffmann (l’alsacien donc), mais également l'américain Bruce Beutler, et le Canadien Ralph Steinman ont reçu le prix Nobel 2011 pour leurs travaux sur le système immunitaire. Leurs prix leur seront décernés lors d'une cérémonie officielle à Stockholm le 10 décembre, date anniversaire de la mort du fondateur du prix, l'industriel suédois Alfred Nobel.

"MM. Beutler et Hoffmann se partagent une moitié du prix pour leurs travaux sur le système immunitaire inné. M. Steinman est récompensé pour ses travaux sur le système immunitaire adaptatif", a précisé le comité. Les recherches des trois lauréats ouvrent la voie à de nouveaux médicaments et vaccins et permettent de combattre des déficiences immunitaires comme l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn, ainsi que "des thérapies contre les cancers", comme l'explique le jury.

Né au Luxembourg, Jules Hoffman, 70 ans, directeur de recherche au CNRS, professeur à l'Université de Strasbourg et lauréat de la Médaille d'or du CNRS 2011 se réjouit d'une telle récompense pour l'immunologie: "Cela fait quarante ans que je m'intéresse à l'immunité innée existant chez les insectes. C'est la seule ligne de défense dont ils disposent pour lutter contre les agents infectieux. Je suis très heureux car ce prix récompense la discipline de l'immunologie."

Ralph Steinman, 68 ans, "a découvert les cellules dendritiques du système immunitaire et leur capacité unique à activer et réguler l'immunité adaptative, dernière étape de la réponse immunitaire de l'organisme au cours de laquelle les micro-organismes sont évacués du corps", ajoute le comité.
Lors de l'annonce de l'identité des lauréats, Ralph Steinman était mort depuis trois jours, soit le 30 septembre. Il souffrait d'un cancer du pancréas depuis quatre ans.

Or le comité Nobel n'attribue pas de prix à titre posthume, à une exception près : quand le décès intervient entre l'annonce du prix et sa remise effective. Malgré cette règle, le comité, qui ignorait que Ralph Steinman était mort, a décidé de maintenir son choix."

Oh, je sais bien qu’il ne lira sans doute jamais mes pages, mais je tenais à en dire un mot ce matin, car cela compte, aussi, dans la vie.
Et même si mon blog est orienté BDSM, il me semble utile de vous faire part de ce qui me touche, car ce blog n’est-il pas mon journal intime ?
Nota bene :
Source internet : http://www.neuillyjournal.com/bien-etre/sante/item/1620-le-nobel-de-medecine-2011-decerne-a-hoffman-steinman-et-beutleur

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 4 octobre 2 04 /10 /Oct 11:10
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Billet d'humeur

Envie de crème fouettée aux fruits rouges ! ?

Je suis très gourmande et je suis sûre que votre Maîtresse l’est aussi, alors qui va me préparer ce délicieux dessert ?
Et moi j’aiderais ce petit vermisseau avec mon fouet pour terminer la recette et rendre encore plus onctueuse cette crème à fouetter ! ! Mais rendre plus onctueuses et moelleuses quoi ? Vos fesses ou ! ? Mystére...

Voici la recette : Ingrédients :

250g de fruits rouges + 50g pour la déco
50g de sucre en poudre
1 c. à c. rase d'agar-agar
500g de fromage blanc
1 briquette de crème semi-épaisse
5 sachets de sucre vanillé (ou environ 38 g de sucre vanillé TM31)
Quelques biscuits secs de votre choix pour la déco
Ustensiles

Préparation :
Préparer le coulis de fruits rouges : mettre les fruits et les 50g de sucre dans le  et programmer 8 minutes / 100° / vitesse 3 (mettre le panier sur le couvercle pour éviter les éclaboussures).
A la sonnerie, ajouter l'agar-agar : 1 minute / 100° / vitesse 4 (panier anti-éclaboussures).
Réserver dans un bol.
Sans rincer le  : insérer le fouet, puis verser le fromage blanc, la crème, le sucre vanillé, et fouetter 3 minutes sur vitesse 3 (n'oubliez pas le panier anti-éclaboussures  ).
A la sonnerie, vider le bol de coulis rouge dans le , fouetter 1 minute sur vitesse 3.
Verser dans des verrines (soit 5 grosses soit 10 petites), décorer avec le biscuit de votre choix, quelques fruits rouges, et réserver au frigo minimum 2h.
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 3 octobre 1 03 /10 /Oct 14:09
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Votre jument...


Jument de Madame,
Mon encolure se pâme
Et ma croupe attend la lame
Du fouet qui meurtri mon âme.

 
soumise wanda pour sa déesse.
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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Samedi 1 octobre 6 01 /10 /Oct 10:54
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Le face-sitting par serge...

Fesses rondes, plates, menues ou charnues
Asphyxie des formes consenties et voulues
Contenir l’étouffement infligé tant attendu
Emprise humaine, a elle dévolue

Sous cette enveloppante prison de chair
Il ne faut faillir, juste tenir pour son respect
Trouble des sens, des essences, sans air
Tentations vaines et absurdes de vouloir s’échapper
Implacable torture, tout en confiance et savoir-faire
Naufragé asservis entre les effluves et l'humidité
Génitrice de ce supplice intime et ultime.... Juste merci.

votre dévoué serge
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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Vendredi 30 septembre 5 30 /09 /Sep 10:51
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Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 11et fin -

… Armelle m’entraîna sur le drap de protection et me fit enfiler une grande culotte en coton.
Les premiers verres furent un enchantement, mais petit à petit je gonflais. Bientôt je sentis une pression de plus en plus forte sur ma vessie.
Muriel devait aussi être proche de craquer. Je la sentais tendue tout prêt de moi. Les verres se succédaient. J’étais comme une baudruche distendue. Je ne voulais pas lâcher mon urine ainsi devant ses femmes qui avaient pourtant exploré toute mon intimité. 
Mais la fatigue et le volume d’eau eurent raison de moi. Cela commença par quelques gouttes que je crus pouvoir bloquer. Mais quand je dus bouger pour boire le verre suivant, je perdis tout contrôle et sentis un liquide chaud envahir ma culotte puis couler le long de mes cuisses.
La tête baissée je ne maîtrisais plus rien, laissant le soulagement de ma vessie apaiser la honte de la situation.

« Bien nous allons y aller maintenant ! » dit Marie. Merci pour cette formidable soirée. »
« Tu ne veux pas emmener Muriel aux toilettes avant de partir ? »
« Non elle va encore se retenir jusque dehors, elle fera dans la rue ! »

Des bises furent échangées, je restais debout, les jambes légèrement écartées, trempée de moi-même.
Quand tout le monde fut parti, ma maîtresse retira mon bandeau et me dit d’aller me doucher.
Elle me conduit ensuite nu dans la chambre, plaça une alaise absorbante sur le lit. Elle me fit coucher sur le dos, attacha mes mains aux barreaux du lit.

Elle retira sa culotte m’embrassa longuement et chaleureusement avec la langue puis me fourra son dessous roulé dans la bouche.

« Bonne nuit… »

Elle sortit en éteignant la lumière.

Je tournais la tête pour apercevoir le réveil. Il était trois heures du matin ;
Je m’endormit….
Petite Alexandra…
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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Jeudi 29 septembre 4 29 /09 /Sep 10:37
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Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 10 -
… On la releva et l’emmena.

« A ton tour Alexandra ! ».
Agnès, exécute la sanction sans ménagement.
« Elle prendra la même position que Muriel mais devant le canapé la tête entre mes cuisses. !»

Je me laissais positionner comme ma maîtresse l’avait demandé. Je caressais sa culotte avec mon nez en attendant le premier coup.

On m’enleva mes jupons, offrant ainsi à Agnès mes jambes.
Ce fut comme une brûlure, la douleur était diffuse mais bien présente.
Je n’eus pas le temps de reprendre mon souffle, les lanières me mordaient à nouveau ; trois, quatre fois de suite. Comme ma consœur, j’étais en larmes…

Je verrouillais les hanches et les genoux pour empêcher mes jambes flageolantes de céder. Les coups se succédaient de manière aléatoire sans que je pus me préparer à aucun d’entre eux.
Ma maîtresse me maintenait la tête en me caressant. Apres le dernier coup, elle me redressa et m’embrassa sur le front.

Je tremblais, mes fesses étaient en feu, ma bouche était douloureuse et sèche. Comme si elle avait deviné ma soif, ma maîtresse défit le bâillon.

« Tu dois avoir soif ; non ? »
Je hochais la tête…
« Nous allons terminer la soirée par une épreuve qui te désaltérera. Muriel aussi d’ailleurs. Vous allez toutes deux mettre ses deux culottes blanches et vous placer debout face à nous sur le drap en vinyle. Chacune à votre tour vous boirez un verre d’eau. Armelle vous les servira. Le jeu s’arrêtera quand l’une d’entre vous ne pourra plus maîtriser sa vessie. »…
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 13:21
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Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 9 -

… « Six minutes ! », Proclama Armelle, qui devait tenir le chronomètre.
«  Décidément tu ne sais pas te retenir ! Tans pis pour toi, le spectacle trop court te vaudra quatorze coups de martinet."
«  Puis-je commencer avec Muriel ? » Demanda Marie.

«  Bien sur, moi je laisserai Agnès infliger son châtiment à Alexandra. »
La tête de Muriel reposait encore entre mes jambes et elle m’embrassait avec douceur et ferveur.

« Lève tes fesses petite suceuse ! »

Je sentis la soubrette présenter sa croupe. Sa tête, par un mouvement de bascule, prit appuie sur le haut de mes cuisses. Elle tremblait, je crus sentir une larme couler sur ma peau. 

« Un ! » Cria-t-elle quand les lanières mordirent ses fesses.

Il y eut une pose. Puis les deux et troisièmes coups retentirent très rapprochés, ponctués du compte de la suppliciée.
Je sentais ses mains crispées sur mes jambes. Une nouvelle pose, plus longue.

«Quatre ! » dans un sanglot…

Encore une pause. Elle reniflait sur mon bas-ventre. 

«Cinq ! » Dans un gémissement.
« Et six ! » Acheva Marie en faisant claquer le martinet comme jamais.

Muriel tomba à genoux en pleurant et en gémissant sans retenue…
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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Mardi 27 septembre 2 27 /09 /Sep 08:44
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Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 8 -

… « L’épreuve suivante va opposer nos deux soubrettes. Le jeu durera au maximum vingt minutes. Muriel devra faire jouir Alexandra le plus rapidement possible en utilisant ses mains et sa bouche. Alexandra tu devras résister le plus longtemps possible.
Il y a bien sur un enjeu.
Il sera de toute façon délivré et sans doute partagé. Vingt coups de martinets seront donnés à la fin de l’épreuve. Muriel recevra autant de coups que de minutes avant d’avoir fait jouir Alexandra et Alexandra le complément jusqu'à vingt."

« Muriel mets-toi en place entre les jambes de Alexandra. Prêtes? Top chrono ! »

Quand les mains caressantes de la soubrette soulevèrent mes froufrous, je bandais déjà.
Les lèvres qu’elle m’avait offertes après la douche entourèrent mon gland et l’humidifièrent aidées par une langue douce et chaude. Je me laissais aller à soupirer de plaisir.
Aidée de ses mains, la bouche de Muriel m’emmenait inexorablement vers le plaisir.

« Retiens-toi ou ton cul brûlera », dit en rigolant ma maîtresse.
« Fais le cracher ou tu ne pourras plus t’asseoir, encouragea Marie. »

Mais ces voix étaient lointaines, je ne pouvais lutter. Bientôt je sentis mon entrejambe se cabrer. Je retardais le moment fatidique encore quelques secondes, moins à cause du martinet que pour prolonger le plaisir de cette douce caresse.

Puis, Criant de plaisir sous mon bâillon, la tête rejetée en arrière, je libérais ma semence dans la bouche de Muriel qui l’avala…
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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 14:03
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Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 7 -

…Sa main se retira doucement m’arrachant un gémissement au passage mais j’étais déjà sans force et totalement vaincue…

Rapidement, on injecta du gel dans le trou béant et une autre main plus fine pris sa place.
Les quatre femmes me prirent comme prévu sans que je n’oppose aucune résistance même si mon corps entier refusait ces intromissions.

Cassé, les jambes flageolantes on me remit debout. Ma maîtresse demanda à Muriel de me conduire à la salle de bain de m’aider à me laver et de me coucher pour que je me repose.

Avec beaucoup de douceur ma consœur s’exécuta.
Une fois dans la salle de bain elle me retira les pinces, me déshabilla, retira mes bracelets et mon collier ainsi que le bandeau et le bâillon comme il lui avait été recommandé.

Elle était belle, rousse aux yeux verts, grande, mince et pale. Elle me sourit et sans dire un mot me doucha.
Elle m’aida à remettre mes bas, mes chaussures et me fit mettre une robe propre en vinyle noir bordée de dentelle blanche.

Elle s’excusa à voix basse de devoir me remettre le foulard sur les yeux et le bâillon. Avant qu’elle n’emplisse à nouveau ma bouche je murmurais un : « Merci », mon premier mot depuis des heures. Je sentis ses lèvres chaudes embrasser les miennes puis, l’étoffe que je savais maintenant être une culotte réinvestir ma bouche.
Une fois dans la chambre je me pelotonnais sur le lit et m’endormit.

Ma maîtresse vint me réveiller.

« Je suis fière de toi, mais la soirée n’est pas terminée. Lève-toi. »

Elle me prit par la main et m’entraîna au salon. Elle me fit asseoir sur une chaise…
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 23 septembre 5 23 /09 /Sep 07:41

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Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 6 -

…Elle me dilatait doucement, en douceur, en me caressant la croupe et le dos. Je me laissais envahir, fermant les yeux sous le bandeau pour mieux me concentrer sur mon sphincter dilaté.
Parfois elle poussait un peu plus loin puis me libérait pour mieux m’emplir de gel et revenir à la charge. Personne ne parlait, la musique couvrait tous les bruits.

Je sentis les doigts loin au fond de moi me caresser tendrement les muqueuses rectales.
La tête me tournait, je ne sentais pas la douleur mais juste la résistance de mes muscles, dilatés.
Il me semblait que mon bassin allait exploser sous la pression. 

« Détends-toi, on va y aller maintenant. » 
« Dit doucement ma maîtresse, au creux de mon oreille. »

Je me sentis comme un condamné à mort, c’était inéluctable, elle allait entrer, je sentis les larmes emplir mes yeux, j’étais résigné, pourvu que ça aille vite…

D’une poussée lente mais ferme, les cinq doigts suivis de la main et du poignet s’engouffrèrent en moi.
Je criais pour chasser la douleur et la peur, mais personne ne du s’en rendre compte.
Tout était calme autour de nous, l’ambiance me paru presque religieuse.

Mon cœur battait la chamade.
J’étais en sueur. 

Nous restâmes ainsi un long moment. Puis ma maîtresse reprit la parole.

« Maintenant je veux que vous preniez chacune votre tour ma place. Je l’ai déflorée mais elle doit savoir s’offrir entièrement à qui je veux. Quand elle est en soubrette elle m’appartient comme une poupée que je peux prêter quand cela me chante et sans son avis ! »…

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 22 septembre 4 22 /09 /Sep 07:26
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Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 5 -

...« Ca fait longtemps que je prépare ma soubrette pour cet événement. Ce soir, devant vous, Alexandra va en quelque sorte perdre son pucelage.
Je vais la fister ! 
Oui, vous m’avez toutes bien entendu… »

« Mais comme pour une corrida je vais laisser une novice la préparer. Armelle, toi qui n’as jamais sodomisé personne, commence à la dilater avec ce plug. Tu enduis le plug et la rosette avec ce tube de crème ; Voilà, tu écartes bien les fesses, tu poses le bout, oui, et tu pousses doucement. »

Je sentis mon anus s’ouvrir sous la pression du plug, la sensation était assez agréable mais je savais que la suite serait beaucoup plus douloureuse…

« Voilà, maintenant tu fais des petits va et viens et quand tu sens que ça passe, tu pousses plus fort pour l’introduire jusqu’au bout, mais tout cela doit se faire progressivement, sans trop de hâte. »

Je fus bientôt investi par l’objet…

« C’est bien ! Je t’ai senti un peu hésitante mais c’est normal. Tu vois ça passe très bien, et en plus elle aime ça cette petite salope.
Bon, à moi de jouer maintenant. Agnès peux-tu prendre le caméscope pour immortaliser ce moment s’il te plaît ? »
« Oui avec plaisir. »

J’entendis ma maîtresse enfiler un gant d’auscultation en latex.

Quelqu’un augmenta le volume de la musique qui me paru hypnotisante, mon bâillon m’engourdissait toute la bouche.

Je sentis le plug sortir en dilatant de nouveau mon vagin masculin.
Une rivière de gel lubrifiant coula entre mes fesses. J’étais tétanisé par la peur et la honte d’être ainsi donné en spectacle devant des femmes que je n’avais même pas encore vues. Pourtant je savais que je devais me détendre le plus possible pour accepter la main entière de ma maîtresse en moi et ainsi lui prouver ma docilité et mon amour.
Ses doigts se frayèrent un passage entre mes fesses.

Je soupirais sous mon bâillon…
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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Mercredi 21 septembre 3 21 /09 /Sep 08:41
21.09.2011
Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 4 -

… Mes narines se posèrent sur la première étoffe que Muriel me colla sur le nez. Ce n’était pas celle de ma maîtresse, elle sentait le parfum.
La deuxième n’était pas la bonne non plus, l’odeur était forte, sa propriétaire devait être déjà très excitée mais le bouquet ne m’était pas familier.
La troisième me paru être la bonne. La quatrième sentait la lessive et l’adoucissant mais pas ceux que j’utilise pour soigner les dessous de la femme que je sers. Je pensais donc avoir trouvé quand Muriel me fit sentir la dernière culotte. Celle-ci aussi pouvait la bonne.

« Alors Alexandra, quelle était ma culotte ? »
Après une courte hésitation je montrais trois doigts.
« Perdu !!! Crièrent en cœur Marie et Agnès. »
«  Tu n’es pas capable de me reconnaître ! Tiens, comme ça tu vas t’imprégner de mon parfum ! »

Je sentis une paire de main me saisir la tête et m’enfiler une culotte qui me recouvrit le nez. J’avais honte, à la fois de ce masque que je devinais ridicule et d’avoir déçu ma maîtresse. On me fit allonger sur le dos et je sentis tout le long de mon corps les talons s’enfoncer plus ou moins dans mes chaires. 

Après le café on demanda à Muriel de mettre de la musique, de se donner en spectacle en dansant, puis en se caressant.
Je restais étendu sur le sol et les pieds me torturaient le corps au rythme de la musique ou des gémissements de l’autre soubrette. 

« Au tour d’Alexandra d’assurer le spectacle, déclara ma maîtresse. »

Je sentis au même instant mes tétons étirés et modus par les pinces. Heureusement les pieds quittèrent mon corps pour que je puisse suivre tant bien que mal le mouvement.

Apres quelques pas on me retira mon string, puis à l’aide de la chaîne on me fit mettre à genoux la tête sur la moquette les jambes écartées et la croupe offerte…
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Par Madame. S - Communauté : AFFICHEZ VOS FETICHISMES
Mardi 20 septembre 2 20 /09 /Sep 14:07

20.09.2011
Voici la photo de la vraie… « Petite Alexandra, apprêtée… »…
Ne la trouvez-vous pas jolie ? Moi, beaucoup…

Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
- 3 -

… Ma maîtresse entra, Agnès rabattit ma jupe sur mes fesses et voulu me relever.

« Non laisse là ainsi, elle est très bien comme ça pour les présentations. Marie, Armelle je vous présente Alexandra ma soubrette. Elle est à votre disposition pour la soirée et devra vous obéir. »
« Alexandra tu auras de l’aide ce soir, Marie est venue avec Muriel, sa soubrette. »
«  Muriel, détache les mains de la petite Alexandra, guide-la jusqu’au canapé et mets lui un plateau dans les mains ! »
«  Bien madame. »

La voix tremblante de Muriel était celle d’une jeune fille timide. Elle me détacha et me conduit à deux pas de là par la main. 
Je me mis à genoux. De moi-même. Et elle m’aida à prendre un des plateaux que j’avais préparés. Je le présentais devant moi au niveau de ma poitrine.
Les quatre femmes vinrent prendre place sur le canapé et entamèrent une discussion de salon pendant que Muriel leur servit à boire.

Pendant un certain temps, ce fut comme si je n’existais pas, à part les deux fois ou l’on demanda à Muriel de changer mon plateau, personne ne m’adressa la parole ni ne fis allusion à moi.

Mes genoux et mes chevilles étaient engourdis par la pose. Je tentais de me faire une opinion à l’aveugle sur chacune des invitées.

J’imaginais qu’Agnès avait la quarantaine, dynamique, sans doute connaissait-elle très bien ma maîtresse.
Marie me paraissait être la plus Agée, plus de soixante ans mais alerte et soignée. Elle vivait à Versailles et Muriel semblait être sa soubrette à demeure.
Armelle était plus jeune, entre vingt et trente ans, elle parlait peu, je pense que la situation était nouvelle pour elle. C’est Marie qui l’avait fait inviter. Je crus comprendre qu’elle était sa filleule…

« Je vous propose un petit jeu avant de prendre le café, annonça ma maîtresse. Alexandra connaît bien l’odeur et même le goût de mes culottes. Nous allons voir si elle est capable de reconnaître ma culotte juste en la sentant. Mesdames pouvez-vous retirer vos dessous et les confier à Muriel ? »

« Bien, maintenant Muriel va faire sentir successivement les cinq culottes à Alexandra qui nous indiquera ensuite avec ses doigts en quelle position se situait la mienne. Si elle se trompe, elle nous servira de repose pieds pendant que nous prendrons le café. »…
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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Lundi 19 septembre 1 19 /09 /Sep 14:44
19.09.2011
Soirée de soubrette…
Petite Alexandra nous fait le récit en souvenir d’une de ses soirées…
-2 -

… Elle m’aida à me mettre debout, je sentis la chaîne se tendre et poussais un cri étouffé par le bâillon quand les pinces vinrent tirer cruellement mes tétons. En équilibre sur mes chaussures à talons je suivis ma maîtresse. Le chemin m’était familier, elle m’arrêta dans l’entrée juste au moment ou la sonnette retentit………. 

Ma maîtresse me laissa pour aller ouvrir. J’entendis une voix féminine inconnue saluer avec chaleur la femme que je sers. Elles s’approchèrent de moi,
« Alexandra je te présente Agnès, tu lui obéiras docilement ainsi qu’à toutes mes amies qui seront là ce soir. Agnès je te présente Alexandra, elle est là pour nous servir…. 

- Parfait, j’espère que tu te montreras à la hauteur Alexandra. Je peux l’emmener au salon avec moi ?
- Oui bien sur, mais tu la laisse attachée comme ça pour l’instant. Soit gentille, guide-la avec la chaîne.
- Suis-moi !

Je sentis la chaîne se tendre et j’avançais de mon mieux pour que mes tétons soient épargnés. Comme nous nous dirigions vers le salon, j’entendis la sonnette retentir. Quelques secondes plus tard Agnès m’arrêta.

- Mets-toi à genoux. Ce que je fis immédiatement redoutant que ce soit la chaîne qui m’y oblige. Laisse moi t’inspecter. 

Je la sentis tourner autour de moi puis sa main repoussa au fond de ma gorge le bâillon déjà bien enfoncé. Elle souleva ma jupe par derrière, me poussa sur la nuque jusqu'à ce que ma tête touche le sol.
J’étais ainsi offerte la croupe tendue.

Elle fit claquer les jarretelles, me caressa les fesses avant de m’assener une claque sèche et brûlante. Elle écarta mon string et mes deux lobes pour jouer avec ma rosette d’un doigt que je sentis prolongé d’un ongle menaçant…
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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme

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