Jeudi 18 août 4 18 /08 /Août 14:41
Madame.S, le retour !

Me voilà donc rentrée, un peu nostalgique des paysages en ma mémoire, petit tour en France, agréable au demeurant, avant mon retour en Alsace.

Voici donc, mon pied pour les amateurs ! Sur une plage à Carry-le-rouet...

18.08.2011

La trace de mes pieds sur la plage de Piémenson en Camargue. Délicieux moment...
Qui va me suivre ?
18.08.2011 2

Une crique où la couleur de l’eau incite à rêvasser et où on se sent seule au monde, dans les belles calanques Marseillaises...
18.08.2011 3

Et pour finir...
Un lever de lune sur les Alpes, un soir, près d’Albertville...

 

 

18.08.2011 4

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Par Madame. S
Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 09:36
Partir... Partir...

Les vacances !

Et voilà, c’est bientôt le départ. Quelques jours de repos, bien mérités, loin de tout...
Me voilà déjà les pieds en l’air, sur mon transat, dans mon jardin... 

Mais au fait, dites-moi, y a-t-il un soumis sous mon transat ? ! Vous le voyez peut-être vous ?
Qui sait ! ! !


23.07.2011
Et bientôt, les pieds dans le sable...


23.07.2011 2

Je vais donc aller mettre mes jolis petits petons à respirer le bon air marin des côtes méditerranéennes
et pour finir, un air frais et vivifiant de la haute-montagne...

Et regarder le soleil se coucher...

23.07.2011 3

A très bientôt, peut-être...

Madame. S pense bien à vous tous...
Et vous ?
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 14:48
22.07.2011
Merci à Thierry W. de me permettre la publication de ses photos...

Eléments de réflexion. Etre soumis par “nature”...

Lorsque je m'agenouille ce n'est pas devant un stéréotype, mais devant quelqu'un qui a gagné mon respect. La vie n'est pas un mystère à résoudre, mais une réalité à expérimenter. La nature est seule juge de la moralité. Les philosophies justes font survivre les communautés. Les philosophies immorales les condamnent.
 
La peau marquée est une marche, un croisement sans point de non retour.
Lorsque le corps est touché par la volonté de l'autre, et non de sa propre volonté, il n'est plus possible de "il s'agit d'un jeu". La vérité du choix est là,sur la peau, silencieuse mais inévitable.
 
La vie d'un soumis se compose essentiellement de patience et d'étude. Un soumis peut aussi être un bon cuisinier, d'une conversation intelligente, au fait des questions politiques, capable d'entretenir un débat philosophique, aussi bien que de danser, compétent sachant tenir un intérieur, sachant la frontière délicate entre savoir s'offrir lorsqu'il le convient, ou reposer tranquillement aux pieds de celle qu'il admire, en bref, être préparé à toutes choses qu'elle peut requérir de lui.
 
Le soumis se réfère à une nature, à la personnalité, aux besoins, il s'agit plus d'un dégradé de gris que de blanc ou de noir. Un soumis naturel, l'est naturellement, le besoin d'aller vers celle-ci est plus puissant que le besoin d'aller vers sa liberté. En conjonction se trouve sa capacité à s'abandonner. Cela demande de l'intelligence, l'abandon de soi, et la force de vouloir poursuivre sur cette voie.
Son ventre brûle sans décison consciente de savoir pour qui il brûle.
 
Cela demande de la force de poursuivre au-delà de nos peurs et de nos luttes, pour devenir le soumis qu'elle sait que nous pouvons être...
 
L'abandon spirituel c'est apprendre à s'abandonner, et accepter la vie pour ce qu'elle est, pas ce que l'on en souhaiterait. En apprenant à "laisser aller", cela ne signifie pas abandonner, ou de ne plus avoir pied dans la vie. Cela n'excuse pas de ne pas arriver à vivre. C'est un moment de reconnaissance de savoir que je suis à une certaine place, qu'il s'agit du bon chemin, laisser la colère où résister à l'acceptation m'éloigne de l'avancement, de la progression.

Dans l'acceptation on trouve la force et la paix , aussi bien qu'une incroyable perception de l'abandon de l'esprit humain.
 
Les soumis ont un désir inné de plaire et de de soumettre, si leurs attentes de plaire sont résompensés avec plaisir, ils tenteront de plaire plus encore pour augmenter leurs récompenses.
 
Etre un soumis "naturel" par nature, implique que l'individu a des traits de personnalité inhérents, innés qui le prédispose à ce chemin.....
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 21 juillet 4 21 /07 /Juil 10:38
21.07.2011
Récit d’un séjour parisien… - 8 - Fin…

…Malheureusement… Et étonnement, j’en avais assez…

Je m’étais lassée car la présence de ces hommes qui butinaient me laissaient un peu sur ma faim.
Je décidais de mettre un terme à ce moment. Un peu déçue par la « courte » durée de ce jeu qui m’avait pourtant bien plu au commencement de la soirée.

Je terminais alors cette fessée manuelle, avec envie tout de même, il faut le souligner et aidée de la cravache et du martinet. 

De longues caresses, tendres et sensuelles, complétaient le tableau.

J’avais envie que Joëlle sache que pour moi ce partage avait été fort et que je n’étais pas indifférente au fait qu’elle « réceptionnait » mes coups ou mes caresses sans jamais rien refuser et son acceptation était belle.

Je pense aujourd’hui qu’elle était allée jusqu'à ses limites, oui les siennes et qu’elle avait alors tout fait pour me faire honneur et résister à la douleur.

Je la remercie pour ses « efforts », sa soumission et sa persévérance...
Je la caressais doucement. Depuis ses épaules et jusqu'à ses pieds, je m’appliquais à la détendre, lui redonner vie et revenir à elle, sans me presser.
Sa peau n’était pas très douce, mais ses jambes étaient fermes et accueillantes.
Joëlle gémissait par de jolis petits cris de bonheur. Elle bougeait sa tête dans tous les sens.
Espérait ma bouche…
Non, il suffit !

J’allai retrouver son mari pour lui faire part de mon souhait de clore ce moment.

Je m’installai un moment dans le fauteuil ancien qui se trouvait dans la pièce. Je la regardai encore un instant. Apaisée. Offerte...

Le mari ensuite a accordé à plusieurs hommes d'entrer dans cette pièce et très rapidement, la tournure du moment fut inattendue ! Un gang bang, entremêlait les personnes. Tous les hommes fourraient leur sexe en cette femme.
Elle, suçait...

J'ai à ce moment décider de me retirer. Ce qu'a fait également mon dominant complice. Il y avait un "tournant" à ce moment précis de la soirée et la voir se faire prendre par plusieurs personnes ne faisait plus partie de mon plaisir personnel…

Je redescendis au bar, prendre une dernière coupe de champagne...

Si je devais faire un résumé de cette soirée ? Je dirais que j'aurais aimé une vente un peu plus sérieuse et certes moins ludique et j'aurais également apprécié un peu plus de monde présent. Mais cela dépend de tant de paramètres et les soirées ne se ressemblent pas, fort heureusement. Je garde néanmoins le souvenir d’une bonne soirée… Et je remercie encore mes complices pour les bons moments que nous avons partagés ensemble.
Je suis partie du club vers 3 heures 30, satisfaite, mais épuisée…

Avec toujours, mes souvenirs gravés à jamais en ma mémoire…

FIN
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mercredi 20 juillet 3 20 /07 /Juil 18:21

 

20.07.2011
Joëlle accepte les délices...

Récit d’un séjour parisien… - 7 -

…Il fallait montrer à ces hommes que j’étais « LA FEMME » de la soirée et que je décidais du sort de Joëlle. Je devais imposer ma domination et rappeler discrètement certes, a ces hommes qui m’accompagnaient que ce qui se passait été fait sous mon contrôle. J’avais besoin d’affirmer qu’une dame de mon rang « décidait ».

Rappeler que c’est moi qui avait acheté cette femme. Et je tenais à ce que l’on ne l’oublie pas, car je sentais que des débordements (d’ordre vulgaire) étaient possibles dans la situation présente. 

Je précisais par ailleurs au mari de Joëlle que je ne souhaitais pour ma part ne pas partager d’instants de la sorte. Qu’une fois « rassasiée » de mon plaisir et de celui de Joëlle, je respectais celle-ci et que ce qui se passerait plus tard ne me regardait plus… Son époux me sourit et me remercia en me disant que le fair-play et le respect qu’il découvrait ce soir en ma personne l’étonnait. Qu’ils avaient fait quelques soirées dans des clubs sm et qu’ils avaient été bien déçus par certaines rencontres ! Il en faut pour tous les goûts et pour tous ! … J’en conviens…

Puis, je retournai vers Joëlle, encore étourdie par la langue de cet homme resté accroupi pour voir le spectacle aux premières loges.

La cravache frappa d’un coup calibré et faible. Joëlle qui ne s’attendait pas à cela, eu un sursaut et sa tête se mis en arrière. Je la rassurais, toujours d’une voix douce, à son oreille. Je lui dis que j’allais faire attention à tous mes gestes et qu’elle ne devait pas avoir peur.
Mais je devais songer à l’alternance des gestes.

J'ai alors frappé plus fermement, avec la cravache bien en main cette fois.
Les cris étaient plus forts, plus appuyés.

Je lui demandais de se relever et de se mettre face au mur en levant les bras. Elle s'exécuta, et je la frappais encore et encore, en la caressant par intermittence.

Mes mains frôlaient son dos, ses hanches et ses cheveux.
Puis, mes ongles glissaient le long de sa colonne vertébrale.
Un moment, je lui tirais les cheveux, elle me dit : « Merci, Maîtresse pour ces moments de joie, de désir et de plaintes. Vous m’excitez, Madame, merci… ».
Elle avait mal, mais son mari, à nos côtés et les quelques regards échangés faisait qu'elle vibrait encore, pour lui, pour eux, pour nous…

Son mari décida à son tour de lui caresser son triangle et son bouton s’enflamma rapidement. Il la connaissait bien et savais comment la faire vibrer et l’emporter dans un tourbillon de jouissance.
Elle bougeait de droite à gauche et gémissait, tant qu’elle le pouvait, mais cela ne pouvait être en total silence ; Elle aimait sentir les doigts de son homme parcourir sa chatte avec précision. Il savait comment l’incendier et lui donner du plaisir.

Cela m’excitait terriblement et j’embrassai à pleine bouche Joëlle...

Une osmose que nous partagions tous ensemble dans cette pièce.

Nous entendions d'autres soumis se faire battrent au loin.
J'aimais entendre leurs cris.

Joëlle avait toujours les bras levés et elle ne pouvait se refuser à moi. Sa jupe relevée m’excitait.
Comme si j’avais pu la « prendre » là, mais je n’avais pas mon gode ceinture, quel dommage…

Et je frappais, encore. Les flashs de l'appareil photo étaient comme des stroboscopes.

Tout à coup… Joëlle, qui n’en pouvait plus, à jouit, plusieurs fois, sous la langue de cet homme et sous les coups que je lui administrais de ma main ou avec cette cravache, avec l'aide de ce dominateur.

J’étais heureuse, oui vraiment heureuse d’entendre et de sentir le plaisir de Joëlle.

Elle semblait rassasiée et tellement soumise...

Je me disais qu’elle était bien sous mes ordres et sous ma domination…

 

 

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 19 juillet 2 19 /07 /Juil 21:16
19.07.2011
6 mains, rien que pour Joëlle...

Récit d’un séjour parisien… - 6 -

…J’aimais me mettre un peu en recul et regarder ce spectacle. L’homme soumis léchait à en baver et il aimait apparemment ce qu’il faisait. Appliqué, minutieux. Les minutes passaient et il ne se lassait pas. Les jolies petites fesses de Joëlle l’inspiraient sans doute et il en redemandait.

Le petit trou de Joëlle était écarté par l’homme dominateur et ses fesses encore rouges étaient belles entre ces mains qui guidaient presque le lécheur. Ecartant ou refermant, un peu la raie.

La sève coulait sur ses jambes...

Souhaitant me mettre un peu en retrait, je restais à sa hauteur et lui caressais les seins. Je lui chuchotais de petites choses à l’oreille : « Ma petite Joëlle est une coquine qui aime se faire entreprendre ; Viens, frotte-toi contre mon épaule, réconforte-toi et abandonne-toi. Fais-moi confiance et je te guiderais loin, si loin… ».

Elle fermait les yeux et penchait la tête sur mon épaule.

Mais moi. J’aimais lui tirer les cheveux, délicatement, puis plus fermement.

J’aime tant ce chaud et ce froid, ce mélange de tourmentes et cette envie de revenir, inlassablement vers l’autre.
Ce partage et cette passion du geste…

Puis je décidai pour ma part de lui donner quelques coups de cravache.
Cela avait assez duré !
Elle prenait trop de plaisir bon sang !

J’étais là pour lui rappeler que son plaisir comptait, mais que le mien ne devait pas se confondre dans les mains ou les bouches de ses hommes.

Je tapotais tout d’abord la fesse gauche. La, en dessous, juste sur le pli de la fesse. J’avais pris soin de relever la peau bombée et je la soutenais de ma main gauche, pour frapper de la main droite.

Et puis la fesse droite, là encore dans ma gauche. Le petit manche de ma cravache me permettait l’aisance nécessaire pour atteindre la peau sans me reculer et rester à son contact. Je répétais et répétais encore l’opération.

Joëlle tournait la tête et quémandait des baisers. Je lui refusais ceux-ci. 

J’étais en train de m’amuser et elle ne devait pas me faire changer de route.

Rester Maîtresse est à ce moment ce que je veux être. Et oublier tout…

Elle cria au bout de quelques coups répétés. La langueur du geste me faisait frémir et je savais que la façon de la malmener l’excitait terriblement. Le soin apporté à ma précision dans le geste m’assurait des soubresauts prouvant que je lui faisais non plus du mal, mais du bien.

Joëlle s’emportait un peu trop sous le flot de caresses qui déferlaient sur sa peau.
Six mains se promenaient sur sa peau blanche.
Etait-ce ces petites mains de Madame. S ? Non, elle savait reconnaître celles-là.
Mais les 4 mains d’hommes, cela était plus difficile et je voyais dans ses yeux son tourment. Cela l’excitait et elle en redemandait.

Joëlle était-elle un peu coquine et un brin vicieuse ? Je le crois. Emportée dans ce tourbillon de caresses, elle en voulait encore…

Mais… Qui faisait quoi ?

Je revenais à des petits coups de martinet à lanière fine de daim noir. Les zébrures étaient si belles sur cette peau.
Puis, je fis tomber la cravache et le martinet. Pour revenir à des tapotements mesurés de mes mains.
Elle avait peur. Elle se reculait, ne sachant pas quand la sentence tomberait.

Quel plaisir au moment de la fessée ?
Quand l’autre ne sait pas !
Quand... Oui quand votre main atteindra votre fesse !

Patientez. Reprenez de plus belle. Puis laissez souffler. Et frappez !
Alternez avec des caresses, vraies et tendres. Aidez-la à l’abandon. Telle est ma domination…

Joëlle se cambrait et l’acceptation était jouissive.

C’était bon…
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 18 juillet 1 18 /07 /Juil 10:59

 

18.07.2011
Joëlle est fouillée... Madame. S à ses côtés...

Récit d’un séjour parisien… - 5 -

…Elle était là, belle, pour moi et cet homme qui m’accompagnait. Rien que pour la Divine que je suis à ses yeux. Et parce que je l'avais décidé ainsi.

Sa jupe relevée sous ses reins, ses bas résilles, dessinant joliment ses jambes jusqu’en dessous de fesses…

Puis, le dominant à son tour donna quelques tapes sur les deux fesses joufflues. Il était précautionneux et je le trouvais bien tendre et sa sensibilité me plaisait. Il comprenait ma façon d’imaginer la situation et de la rendre aussi plaisante que possible pour tous.

Il prenait lui aussi le temps de s’occuper de cette jolie blonde à notre merci.

Je caressais Joëlle, partout. La lenteur de mes gestes, la précision de ceux-ci, la rassurais sans doute. Mes mains sur sa peau, glissaient et j’aimais lui transmettre cette forme de délicatesse.
Mes caresses l’apaisaient, la réconfortait et consolidait ma position... De dominante.

Sa bouche laissait quelquefois échapper des petits râles. On la sentait ailleurs, comme moi qui profitais du spectacle de ses fesses offertes à mon plaisir.
Elle posait un instant sa tête sur mon épaule, elle recherchait un contact, quand je m'approchais d'elle.

Elle se rassurait ainsi, elle sentait ma main ferme ou douce, mais elle s'abandonnait avec confiance. 

Par alternance, chacun à notre tour, nous lui donnions cette fessée qu’elle attendait, qu’elle espérait.

Elle devait mouiller. Car ses yeux ne mentaient pas quand je lui soulevais le menton et que je constatais qu’elle vibrait sous nos mains en soutenant son regard.

Le dominateur me regardait et laissait son visage expressif me confirmer sa jouissance, à lui aussi. Il adorait la prendre par surprise.
Sa main tapotait, ou frappait plus violemment. Ses yeux brillaient et il était bien.

Tout cela se passait dans un silence, pas de paroles oui.
Juste des bruits, connus, des mains sur ses fesses.
La « cérébralité » était le mot décrivant ce moment.

Son mari laissa alors entrer un autre complice de ce moment. C’était l’homme soumis de la soirée qui était vendu aux enchères. Il me sourit et je lui permis de se joindre à nous. J’étais surprise qu’il prenne le rôle d’un dominant. Mais pas étonnée finalement, car celui-ci avait dû être alléché par ce qu’il avait pu voir jusqu’ici et désirait sans doute un spectacle un peu plus croustillant avec la complicité de mâles qui se trouvaient à mes côtés.

L’homme entra et en silence, commença par atteindre les fesses de Joëlle avec ses doigts. Il la fouillait sans ménagement et attendait que Joëlle s’exprime plus bruyamment. Je trouvais ses gestes précis, mais un peu trop brusques.

Après un moment, ses gestes se firent plus lents et il s’accroupit, pour atteindre les jambes de Joëlle et les caresser de bas en haut... Et sa langue commençait par lécher délicatement entre les deux fesses de la soumise.

Puis, il glissait sa langue dans la raie, pour descendre jusqu'à son petit trou.

Les râles de Joëlle devenaient de plus en plus bruyants.

Je lui caressais les seins, en lui tirant délicatement les tétons. 

Ma bouche croisait la sienne. Nos lèvres, humides, s’emballaient...

Lui, léchait, profondément…

Et avec ardeur et plaisir…

 

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 3 commentaires - Publié dans : Récit d'un séjour parisien...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Dimanche 17 juillet 7 17 /07 /Juil 10:10
17.07.2011 4
Les fesses rougissantes de Joëlle et Madame. S...

Récit d’un séjour parisien… - 4 -

…Je lui demandai de faire face au mur.

Bras relevés et appuyés contre celui-ci.
Je lui caressai les cheveux, la nuque, les bras. Puis le dos, cambré et offert. Les jambes, chaudes et presque transpirantes. Le peu de vêtements gardés sur son corps, comme si on les lui avait déchirés. Ses gants noirs en mitaines, ses bas résilles et jupe retroussée...

Je m’attardais maintenant sur ses fesses…

J'allai doucement, puis de plus en plus vite. Mes mains virevoltaient tour à tour sur la fesse droite, puis la gauche
Elle rougissait et ses fesses devenaient chaudes.

Le dominateur qui m’accompagnait, dans un regard, me fit comprendre qu’il aurait aimé partager avec moi cet instant. Je me reculai un peu et je lui laissai ces fesses rougies et encore tièdes. Il prit soin de la caresser sur les hanches et de ne lui donner que de petites tapes bien légères. Je le trouvais bien sage.
Car elle méritait qu’on sache si elle pouvait en supporter un peu plus.

Elle devait être obéissante !

Elle commençait à gémir et de petits soubresauts la rendaient encore plus soumise. J'avais envie qu'elle ait encore un peu plus mal. Mais juste pour qu’elle sente combien je la dominais et qui tenait les rennes de ce moment…
Un homme m’accompagnait, mais je lui rappelais à l’oreille que c’est moi qui l’avais acheté pour ce moment et que je décidais de son sort.

Elle me répondit d’une petite voix, « Oui, Madame, vous êtes seule à décider de ce moment que je savoure avec vous. Je vous obéirai et sous la douceur de vos mains, j’apprendrai… ».

Je l’embrassai sur la bouche, délicatement. Je sentis qu’elle avait envie de chercher mes lèvres et elle attendait un autre baiser, sans doute.

Je n’en avais pas envie…

Le dominateur à mes côtés, alla chercher un gant de toilette pour rafraîchir ce joufflu encore meurtri par mes mains et les siennes. J’avais trouvé cette attention très gentille et il semblait lui aussi vouloir prendre soin d’elle et de ce moment…

Son mari prenait toujours des photos.
Les voyeurs étaient de la partie. Mais ne venaient pas troubler notre moment. Le mari était à l’entrée de la pièce et veillait à notre quiétude.

Cette complicité m’était agréable et je passais un bon moment…
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 2 commentaires - Publié dans : Récit d'un séjour parisien...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Samedi 16 juillet 6 16 /07 /Juil 15:31
16.07.2011 2
Joëlle dans les bras de son mari et la main de Madame. S...

Récit d’un séjour parisien… - 3 -

…Nous avons bu un verre, et nous discutions de choses et d’autres, tranquillement, et je faisais monter l’envie. Ne précipitant rien, je proposais à cette femme et son époux de monter dans la pièce à thème que j'avais pris soin de choisir et ou se trouvait un joli secrétaire ainsi qu'un beau fauteuil de style.

La jeune femme semblait apeurée. Mais je lui pris alors la main. Je la sentis plutôt confiante à cet instant et ce geste, simple, la rassura pourtant.
L’accompagner vers un lieu mystérieux et à la lumière tamisée m’enchantait.
Je savais qu’elle en avait envie.
Je l’avais senti pendant nos échanges en début de soirée. Elle était certes très intimidée, mais un peu coquine. Son sourire ne me trompait pas et je voyais dans ses yeux qu’elle était «prête » à s’abandonner.

Un des dominateurs, qui avait avec moi monté les enchères m'a gentiment demandé de participer à ce que j'appellerai "mon doux plaisir". J'ai accepté car ce Monsieur était fort sympathique et m'inspirait confiance. 
Je ne m'étais pas trompée. Il fut ensuite un complice de choix.
Mais je me permettais de lui dire que c’est moi qui avais acheté cette dame et que je souhaitais un complice de qualité et pas un inquisiteur. Ce hochement de tête pour acquiescer me rassura.
Je me suis occupée de Madame Joëlle avec un plaisir certain. Elle buvait mes mots, avec ce petit regard en coin, toujours respectueux. Elle attendait mes consignes.

Et là, je la guidais, doucement à se pencher sur le fauteuil, à l'endroit ou je lui avais dis de s'installer. Les genoux sur l'assise, la tête appuyée contre le dossier et les mains sur les accoudoirs, la tête baissée.

Elle était offerte et attendait apparemment avec anxiété les coups que j'allais lui donner avec la cravache que je tenais dans ma main droite…

Je faisais silence.
Je la regardais, avoir peur. Ne pas savoir si…
Ou si….

Aussi elle fut surprise quand elle sentit qu'au départ elle n'aurait droit qu'a ma main…
Perversion du moment.

Un petit sourire adressé à son époux, resté à l’encadrement de la pièce pour ne pas gêner mes faits et gestes. J’appréciais de le savoir là et de regarder. Prendre quelques photos de ce merveilleux moment.

Cette cravache dans ma main, fût finalement déposée sur le bureau. « Non, pas tout de suite ma jolie ! ».
Elle tremblait.
Je demandais à son mari de s'asseoir dans le fauteuil pour la soutenir...

Je m’assurais par quelques paroles de son bien être, elle m’assura être confiante et heureuse d’être vendue à une jolie Dame de mon rang tout en me demandant d’une petite voix de lui permettre de baiser ma main.
Je lui permis ce petit plaisir.
Et je finis par lui glisser une main sur sa tête, puis sur sa nuque. Pour lui tirer un peu les cheveux ou les lui caresser, en glissant mes doigts dans sa chevelure.

Elle tremblait encore plus…

L’on pouvait presque entendre le bruissement du silence.

Ma main, douce et caressante, lentement, balayait sa peau, douce et ferme. 
L’alternance des fesses était un délice. Ma main tapait la gauche, puis la droite. Quel bonheur...
Et je la guidais vers les supplices et délices de ma paume, ferme ou plus coquine…

Elle attendait et sursautait à chaque fois que ma main atteignait sa croupe…

 

16.07.2011 1

Des mains se proménent sur les fesses de Joëlle...

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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Vendredi 15 juillet 5 15 /07 /Juil 10:05
15.07.2011
Récit d’un séjour parisien… - 2 -

…Ils étaient là, tous à genoux, là, devant le public, et face à moi. A se présenter brièvement, puis, le maître de cérémonie, Maître Didier, nous faisais leurs éloges. Mais nous faisait également sourire, en nous disant qu’en période de soldes, nous ne pouvions tomber sur d’excellents sujets du moment ! Quel farceur !

On présenta également tour à tour les personnes dominantes, désireuses de faire leur achat. On me présenta comme la Dame venue de l’Est ! J’ai beaucoup apprécié, même si cela donna confusion et on me demandait même plus tard dans la soirée si je venais du fabuleux château d’Owk ! Cela me flattait, quoi que je n’aie pas la prétention d’être à demeure dans cet endroit que j’imagine de rêve pourtant…

Une certaine soumise, toute vêtue de latex, et à la cagoule "catwoman" était vendue par son maître pour 5O coups de martinets, uniquement. Et pour rien d’autre.
Elle était la, jolie, filiforme et avec de grands yeux ressortant de sa cagoule noire. Genoux à terre, bras relevés et ses mains courbées comme une petite chatte, elle nous regardait et nous disait de sa petite voix : "Maîtres, Maîtresses, achetez-moi, très cher, pour que mon maître puisse me nourrir de Kit et Kat". Hilarant. Oui, délicieusement drôle !

Une femme assez banale dans son style, était vendue, pour ce que l'on pouvait désirer, mais ceci pour un quart d'heure. Alléchant…

Une autre, encore, pour un dressage de 30 minutes, mais avec progression lente et perverse.
L'homme, quant à lui, sans collier se vendait en nous disant qu’il était « prêt à tout », pour avoir le bonheur d'être dans les mains d'un ou d'une maîtresse.

Prêt à tout, voilà qui est bien prétentieux quand vous ne savez pas quel personnage vous avez face à vous. La souffrance a des degrés si variables. Et seule une Maîtresse ou un Maître digne de ce nom pourra juger du degré que vous pourrez atteindre dans la douleur et sous ses mains…

Et la dernière, que j'ai moi-même achetée, (la femme du couple de belges avec qui j'avais parlé en début de soirée), pour une fessée magistrale et pour s'occuper d'elle le temps que je le jugerais nécessaire et agréable.

Certes intéressant, la fille était assez jolie, blonde, peu de formes malheureusement et une poitrine que je ne trouvais pas harmonieuse, mais jolie. Elle ne m'inspirait pas vraiment, pour tout dire, mais je ne pouvais reculer. Repartir sans un achat m’aurait sans doute quelque peu déçue.

J'ai aimé monter les enchères, un dominateur à mes côtés semblait intéressé par cette femme. Je le sentais nerveux en me suivant dans mes propositions d’enchères et les prix montaient à une vitesse folle.

Cette femme étant la dernière, j’avais récupéré ici et là des billets que les gens m’avaient donnés. 
Les 3 premières femelles présentes étaient vendues pour 2 à 300 mignonnes. Maître Didier présentait pourtant cette dernière femme comme « débutante ». Jeune et joli sujet, que son mari désire exhiber pour partager un moment avec une personne plutôt expérimentée et qui saurait guider sa femme en toute confiance.

Elle faisait donc saliver les dominateurs présents. J'ai monté les enchères ; Au départ je n'avais que 220 mignonnes à mon arrivée au club. Mais les gens qui n'avaient pas fait leur achat, m'ont gracieusement offert leurs billets ; Je suis ainsi arrivée à  posséder 960 mignonnes dans les mains.
Et le patron de l'établissement est même venu me glisser à l'oreille qu'il me demandait d’acquérir cette femme car il préférait que cette soumise soit entre les mains d'une dame plutôt que d'un dominant assoiffé et qu’il connaissait comme étant bourru ! Je ne m’étais donc pas trompé. Tout au long de la soirée, cet homme m’est apparu comme antipathique. Et cela avec beaucoup de gens présents. 

Mais je n'ai pas eu besoin d'un rajout quelconque, j'avais assez avec ma "récolte amicale". J'ai donc eu la chance d'acheter Joëlle adjugée vendue pour 660 mignonnes ! Une domina de l'Est, de classe et de goût achetait sous les yeux de ses hommes dominants une femme soumise !

Je voudrais ajouter ici quelques mots sur ce monsieur. Si celui-ci lit un jour mes textes qu'il sache que je respecte les hommes dominants, mais que je n’oublierai pas sa goujaterie à mon égard. Après mon achat et donc ma victoire, j’imagine fort bien que cela lui ait déplu, celui-ci vint à ma table me demandant de lui montrer les billets que j’avais en mains et me demandant si je possédais bien la somme demandée pour l’achat de cette belle. Je tombais des nues. Et ce grossier personnage gâchait un peu du moment. Je lui proposais, d’un ton assuré et très froid, de s’asseoir à ma table et de compter ensemble les billets que je tenais dans mes mains. Se sentant pris au piège, il refusa tout aussi sèchement et se retira en bougonnant.
Je n’avais rien à me reprocher, j’avais bien sur pris soin de compter un a un les billets que je possédais et je ne cherchais vraiment pas à marchander ni à voler l’un des dominant(e)s de la soirée…

J’étais surtout incroyablement attristée de voir que certaines personnes ne jouaient pas le jeu et n'étaient pas fair-play... Peu importe...
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 12 juillet 2 12 /07 /Juil 11:44
12.07.2011
Le beau secrétaire, dans une pièce chez Cris et Chuchottements...

Récit d’un séjour parisien… - 1 -


Récit d’un séjour parisien… Il y a quelques années…
A Paris tout est si bruyant, le monde défile sous nos yeux.
Et le contraste est si fort et violent j'oserais dire... Ma montagne qui a eu si longtemps son tapis blanc, malgré nos magnifiques journées d’avril et de mai, ressemblant fortement a de belles journées d’été.
J'aime les saisons tranchées…
 
Comment pouvoir raconter à une personne non présente tout ce que j'ai pu vivre, alors qu'il y a eu des moments intenses, d'autres moins. Des instants ponctuels, plus orientés à la « cérébralité ». J'aimerais tant pouvoir emporter les gens qui comptent pour moi dans ma poche, les savoir petite souris et regarder par le trou de serrure, pour voir ce que j'ai pu vivre. Partager en ma compagnie. Il est si difficile d'apporter des mots à une scène vécue. Alors que chacun pourrait le vivre de manière si différente...
Je vais essayer de faire au mieux, de faire partager ces moments, à ma façon... Avec vous, qui me lisez chaque jour ou a chaque parution et moins souvent…
Ai-je fait un bon récit ? Je l'espère, voilà que je le partage, en toute simplicité et sans interdits…
A savourer ou détester…
 
Je dois avouer que ma curiosité et mon goût pour les nouveautés ont fait que  j'ai aimé découvrir ce club S.M. qu'est Cris et Chuchotements, rue Truffaut à Paris, non moins réputé pour ses belles soirées. 
Je vous le conseille donc et vous le recommande !
Je suis arrivée à Paname le jeudi 10 février. La soirée avait lieu le soir même. Je ne voulais rater cela.

L'accueil à été agréable. On m'a donné quelques billets de "20 mignonnes", imprimés spécialement pour le club, et destinés à la vente d’esclaves.
J'ai descendu les escaliers vers le temple du marquis... La soirée « vente d’esclaves » s’annonçait pour le mieux.

Le club « Cris et chuchotements » est un endroit de style et de bon goût. De vieux meubles et de vieux fauteuils, des tableaux, une cave voûtée chaude et attirante, de petites salles à thèmes… 
L'ambiance ce soir là était assez décontractée. Peu de monde à mon arrivée. Mais bientôt, les sièges se trouvaient remplis de jolies dames dominantes et de messieurs dominateurs. Les gens s'abordaient facilement. D'autres étaient apparemment des habitués, un peu plus distants dirai-je. Mais j'étais bien et les femmes seules dominantes sont invitées avec plaisir ;

J'ai lié connaissance avec un couple déjà présent, puis un soumis et pour finir le patron et un autre couple de belges, de passage. Alain et Joëlle. Lui est dominateur, elle sa femme, soumise.
J'ai aimé cette soirée "Vente d'esclaves", ou étaient là, quatre femmes et un homme, prêts à s'abandonner à un ou une maîtresse, selon qui pourrait acheter et pour quel usage ?... Je jubilais. Je ne pouvais rester là sans « acheter » l’homme ou une femme…
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Lundi 11 juillet 1 11 /07 /Juil 09:36
6ème anniversaire...

Aujourd’hui, est une date importante pour moi et aaron. Mon soumis si dévoué.
Voilà 6 ans que nous nous sommes rencontrés. C’était un 11 juillet.
Voici donc quelques lignes pour toi aaron...
J’imagine que cela ne représente sans doute rien pour vous, pour moi, c’est beaucoup ! Tant d’émotions partagées, de moments de fusion, de communion.
Je suis Dominatrice, certes, mais cela ne m’empêche pas de dire « merci » à aaron, pour les merveilleux moments que nous avons vécus et ceux à venir...
Aaron, je me souviendrais toujours de cet instant, ou tes yeux ont croisé mon regard, le premier, d’une longue série, que seuls nous connaissons tous les deux, gardons précieusement cela en notre mémoire...
Voici pour toi, un petit poème, glané sur internet...
 
MA SOUMISSION

Parcourir ce chemin
Sans penser et sans peur
Savoir tendre ma main
En écoutant mon coeur

Avouer mes désirs
Sans crainte ou fausse pudeur
Tendre vers le plaisir
Accepter la douleur

Vous laisser me guider
Tout au long du parcours
Même les yeux bandés
Par un ruban de velours

Mains et pieds attachés
Je continuerais encore
Toujours pour progresser
Vous offrirais mon corps

Mon cœur, mon âme, mon esprit
Vous en prendrez possession
Car là réside l'envie
D'une réelle soumission

Anonyme

Et pour finir, une photo, rien que pour toi... Je sais qu’elle te fera plaisir...
Je t’embrasse sur le front, mon aaron...
11.07.2011
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 7 juillet 4 07 /07 /Juil 09:42

 

07.07.2011
Les pratiques

Le fouet...

« Fouet » en français. « Whip » en anglais. « Peitsche » en allemand...
Autant de sonorités pour dire sa musique...
Définition du dictionnaire : « fouet », nom masculin, sens 1 : Cordelette de cuir attachée à un manche dont on se sert pour frapper un animal, une personne. Synonyme cravache...

« Je voudrais te fouetter ! ». « Tu mériterais le fouet ! »...
Quelle plus frissonnante promesse de punition peut on faire à quelqu’un. Rien de comparable à la menace d’une fessée plus libertine et moins ambiguë d’humiliations et de souvenirs anciens mêlés.

L’un de mes instruments de musique préférée avec la cane. Pour les passionnés, l’idéal est de les fabriquer soi-même. C’est un bel objet, qui sent bon le cuir et le bois.
Je parle ici bien du fouet.
Constitué d’un manche, d’une ou plusieurs lanières de cuir, courtes ou longues. Ou encore d’une seule lanière, efficace et très fine.

Fusion entre une dominatrice et son soumis. Décalage qui se crée entre le moment ou la Maîtresse arme son bras et le geste, puis le claquement sec de la mèche qui va allumer bientôt le plus beau des feux de fesses...
Le soumis se cabre de plus en plus.
Il accepte.
Il se tord et gémit après avoir anticipé et redouté la morsure.

Il peut y avoir aussi quelques claquements magiques, qui seront bons et qui ne feront pas si mal...
Des claquements dans l’air, qui n’atteindront pas même une fesse.
Dosés savamment par Madame !...

Les marques sont nettes, propres. Le dessin, franc et beau. Comme un dessin tatoué sur un dos ! De l’art.

Le fouet cherche son chemin. Trace comme une route. Découpe un air. Précipite le geste.
Il siffle.
Il claque.
Il enlace.
Il mord...

Et se retire, revient au sol, dans le vide.

La main de la Maîtresse passe sur le corps de son sujet. Il à chaud, pour elle...
Serpent dressé en lents méandres, se lover autour de la main de la Dominante. Ramenant ainsi à elle, prédatrice, son soumis, en sanglots...

Quel partage, quelle beauté du geste et de l’esprit...

Détails d’importance et comme à mon habitude, je vous parle de la sécurité !

Le fouet est une quasi arme. Il peut s’avérer coupant et terrifiant si l’on utilise cet objet sans précautions.
Oubliez de viser le visage. Pensez également aux reins, d’une extrême fragilité et très vulnérables.
Nous n’oublierons pas de souligner que le fouet présente deux inconvénients majeurs pour celle ou celui qui ne saurait pas s’en servir intelligemment !
1- Il est extrêmement dangereux et peut transformer une scène BDSM en carnage pour celui ou celle qui est fouett(é)e ou pour les personnes autour. La mèche peut atteindre à pleine force une vitesse d’impact incroyable, qui pourrait atteindre le visage par exemple.
2- Il nécessite un espace important. Devant, derrière, sur les côtés et en hauteur. Longueur du bras + celle du fouet. Cela ne s’invente pas !

Humilité et prudence sont les mots clés...

 

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 3 commentaires - Publié dans : Les pratiques...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mardi 5 juillet 2 05 /07 /Juil 09:58
05.07.2011
Vague à l'âme

Un jour de vague à l'âme, triste, nostalgique,
Mes pas me conduisirent dans les allées claires
De la Citadelle ; Dos aux vestiges de briques,
Moi, sur un banc de bois et sous un réverbère.

Un couple s'enlaçait sur la pelouse, à l'écart,
Des passants flânaient, lents, sous les frondaisons,
Un gros monsieur méditait en fumant le cigare;
Je demeurais seul sur ce banc et sans raison.

Dans la pénombre qui glissait sur la ville
Au bout d'une allée, je vous vis paraître
Et dès cet instant, seul,  timide et servile,
S'éveillèrent en moi d'autres raison d'être.

Passant, brillante, haut bottée, fière et sévère,
Vous m'avez regardé sur mon banc, comme nu
Vous êtes arrêtée, m'avez toisé, juge de fer
Et j'ai baissé la tête, naturellement vaincu.

Je me suis levé, marchant en retrait de vous,
Nous sommes allés où vous me conduisiez,
Mené en laisse imaginaire mais réelle, nous
Avons gravi la côte menant vers des voluptés.

Nous sommes entrés dans un immeuble vieillot
Qui sentait bon le romarin et l'encaustique.
Un ascenseur poussif nous a élevés très haut
Sous les toits, sur un grand lit chimérique. 

Vous m'avez pris dans vos bras, bousculé, puni,
Vous m'avez embrassé sur la peau du dos
Puis jeté là, négligé, ignoré sur le tapis,
Repris, cravaché; humilié, j'ai courbé le dos.

J'ai frémis à chaque coup reçu de vous
J'ai vibré au claquement du cuir sur ma peau
Ah combien ces tourments m'étaient doux
Vous qui valez dix et plus et moi zéro.
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 1 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 09:40
02.07.2011
Un petit récit imaginé et que je vous fais partager, venant de Gaston...

Le masque et la dentelle.
Et la toison de Madame, un travail de précision...

Depuis quelques temps, Madame et moi écumons les gîtes de la région.

Cette fois, nous avons jeté notre dévolu sur un bâtiment très ordinaire et qui ne paie pas de mine, près de Molsheim, proche de Strasbourg.
On dirait une annexe en blocs de béton ajoutée à une habitation. Le plafond est bas, les fenêtres petites. L'intérieur est assez ordinaire et ne reflète pas vraiment ce que nous avions vu sur le site de location. Le mobilier est disparate mais assez confortable.
L'équipement est néanmoins complet.
 
Je savais, en arrivant au gîte, que Madame allait m'infiger une punition. Je n'avais pas été à la hauteur ces derniers temps.
Je dois bien le reconnaître. J'avais négligé Madame.
Pour tout dire, j'avais été en-dessous de tout...

 - Déshabille-toi et enfile ceci. Je ne veux pas t'entendre !

Madame m'avait tendu une culotte en dentelle rose. Je me suis exécuté sans dire un mot.
La petite chose en question, une fois glissée le long de mes jambes et de mes cuisses, avait eu beaucoup de mal à franchir le cap des hanches.
Une fois en place, ce slip ne tenait pas la totalité de mon service trois pièces. Seul un testicule y était entré, mon sexe passait la tête au milieu d'une touffe de poils par-dessus l'élastique. Je devais avoir l'air fin ! Madame qui était allée ranger ses effets à la chambre, a pouffé de rire en me voyant.
- Et ben, ça te va bien, ces fanfreluches ! Tu as l'air con mais j'aime bien te voir ainsi. Je dois penser à te féminiser un peu. Tu es bien trop mâle !
- Va chercher mon grand sac noir dans le coffre de la voiture.

Après avoir ouvert la porte, j'ai eu quelque hésitation. J'ai vérifié que personne ne passait dans la rue à ce moment avant de sortir, mais Madame, sans complaisance, m'a poussé dehors d'une bourrade dans le dos. Heureusement, je n'ai vu personne à moins de vingt mètres. J'ai rempli ma mission en toute hâte. Lorsque je suis revenu vers la porte, celle-ci était fermée à clef. Madame aime les plaisanteries.

J'ai attendu, le sac au bout du bras, face à la porte, afin qu'on ne voie que mon postérieur depuis la rue. Madame m'a ouvert en rigolant au bout de cinq minutes.
- C'est vraiment trop drôle ! 

Madame a fouillé dans son grand sac à malices et en a sorti un serre-taille en coutil écru garni de baleines. Elle me l'a fait passer et a serré le cordon le plus qu'elle pouvait. Je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais eu la taille aussi fine. Mais cette contrainte n'était pas désagréable.
- Il ne te manque qu'un jupon de tule et un soutif, mais ce sera pour une autre fois.

De son sac, Madame a retiré une boîte en carton brun. Dans ce carton, il y avait une besace de couleur vert kaki. Provenant sans doute de l’armée. Elle en a sorti un masque à gaz qu'elle m'a placé sur la tête. Madame m’avait fait part de cet achat, mais je ne savais pas quand elle s’en servirait. Le moment était donc venu ! Il était de caoutchouc blanc, très enveloppant sur le visage, maintenu par des sangles à l'arrière de la tête. Ce masque m'a obligé à ralentir ma respiration.
Après quoi Madame m'a sanglé les bras le long du corps depuis les épaules juqu'aux poignets à l'aide de courroies de nylon rouge munies de boucles autoblocantes. Elle m'a ensuite fait reculer dans un coin de la pièce et m'a sanglé les genoux et les chevilles joints. Après quoi Madame a tracé à la craie le contour de mes pieds sur le sol.
- Voilà. Reste là. Ne bouge plus du tout jusqu'à ce que je revienne. Je vais me reposer jusqu'à l'heure du souper.
 
Lorsque Madame est reparue, une heure plus tard, je n'avais guère bougé, juste de quelques centimètres afin de maintenir l'équilibre. Mais mes pieds n'étaient plus à l'intérieur du tracé à la craie.
- Tu as bougé, vilain. Tu n'est pas obéissant. J'aurais aimé que nous passions une soirée agréable, mais elle ne sera agréable que pour moi, je le crains. Je vais préparer mon souper. Il y a longtemps que tu as jeûné ? 

J'ai bien grommelé quelques mots, mais au travers du masque, ce devait être inaudible.
Lorsque Madame est revenue de la cuisine, elle a ôté les sangles qui me comprimaient le corps.
- Bon j'ai changé d'avis. Tu auras mes restes. Je me suis préparé une salade et du poulet froid. Tu aimes les os de poulets ? Je te donnerai les ailes aussi, je n'aime pas les ailes. Ensuite j'aurai un travail de précision à te confier. Si tu le fais bien, tu pourras dormir dans ma chambre. Viens ici que je t'enlève ce masque à gaz. Il te va bien, c'est un bon achat. Ca me change de ta tête. Assieds-toi par terre à côté de ma chaise pendant que je mange.

Madame m'a donné les os de poulet à ronger. Quelques morceaux de peau trop cuite, et une aile. Elle a donné la seconde aile au chat de la propriétaire qui dormait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
- Lave-toi les mains et viens me rejoindre dans la chambre.

J'ai obtempéré et me suis présenté à elle. Elle tenait à la main le paddle que je lui avais fabriqué de mes mains à l'aide de cuir sellier épais d'une belle teinte fauve.
- Voilà ce que tu vas faire. J'en ai marre de la toison de mon sexe trop drue. J'aimerais une toison plus légère. Tu vas m'épiler un poil sur deux. Si tu me fais mal... Elle a fait claquer le paddle d'un coup sec dans sa main gauche pour me faire comprendre ce qui m'attendait.
- Place-toi à côté de moi sur le lit avec le cul relevé et fais bien attention.
Je me suis attelé à la tâche avec application, entre les cuisses de Madame. Cela a duré plus de deux heures.

J'étais tiraillé par une envie folle de lécher le sexe de Madame, son beau sexe rose et rouge si odorant. Son parfum intime que j'appelle le N° 5 de Madame me rend littéralement fou.

Une fois la toison de Madame allégée comme elle le souhaitait, je suis allé à la salle de bain. J'avais le derrière tout bleu.
De retour auprès d'elle, elle m'a passé autour du cou le collier de maintien que j'avais réalisé à partir de deux ceinturons épais réunis côte à côte à l'aide de rivets de laiton et munis d'anneaux. Il se ferme à l'aide de deux boucles et maintient le cou tendu, la tête haute.

Madame m'a fait asseoir par terre, au pied du lit et m'a attaché par le collier au montant du lit.
- Je te souhaite bonne nuit, vilain.
- Bonne nuit Madame.
« Gaston » 11 juin 2011
02.07.2011 2
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance

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