Mardi 14 juin 2 14 /06 /Juin 10:55
14.06.2011
Un nouveau  récit imaginé et que je vous fais partager, venant de A. de Belgique...
Récit imaginaire. Toute ressemblance avec des personnes vivantes ou disparues serait fortuite.
 
« Madame est de mauvais poil ! Un week-end à la montagne... »
- 1 -

Cela fait deux mois que j'ai loué un chalet de montagne pour Madame et moi.
Madame m'avait dit : "J'ai envie que nous passions un week-end ensemble, au calme. Occupe-toi de la réservation et choisis bien !"
 
J'ai passé des heures, des soirées durant, pour trouver, enfin, un week-end encore disponible dans un charmant petit chalet de rondins, de style canadien, à une heure de route de Strasbourg.
- Une heure de route, c'est beaucoup, m'a dit Madame. Tu sais que je suis fatiguée en fin de semaine, mais ça n'a pas l'air de te préoccuper beaucoup !

Je regrettais déjà mon choix et imaginais tous les quolibets et punitions que j'aurais à subir durant ces quarante-huit heures ! Je me consolais en imaginant qu'il y aurait des surprises délicieuses, même si elles étaient éprouvantes.
Nous sommes passés prendre les clés du chalet au domicile des propriétaires. C'est un homme grand et maigre d'apparence austère qui est venu ouvrir. Pas très agréable.
- Tu aurais pu trouver un proprio plus sympa, franchement, ça a mal commencé avec cette route à parcourir et ça ne s'arrange pas ! Quel personnage désagréable ! 
 
Arrivés aux abords du chalet, nous nous sommes réjouis.
- Ma foi, c'est un beau chalet ! Bon, installons-nous. Je voudrais m'étendre un peu pendant que tu prépares un bon  repas. Je suis lasse...

Lorsque j'ai introduit la clé dans la serrure, celle-ci a refusé de tourner ! Bigre que se passe-t-il ?
- Ce n'est pas la bonne clé. Le propriétaire a du se tromper, ai-je dit, la tête basse.
On ferait peut-être mieux de tout annuler et de rentrer chacun chez soi non ! ?  C'est un week-end de merde que tu m'offres là !
- Je n'y suis pour rien, Madame.
- Ah tais-toi ! Tu m'agaces. Retournons là-bas, je n'ai pas envie de refaire soixante-dix kilomètres.

Comme nous allions repartir, la femme du propriétaire est arrivée en camionnette. C'était une grande femme rousse à forte poitrine et large fessier.
- Mon mari s'est trompé de clé, Madame, il n'a pas l'habitude, excusez-nous !
Nous avons échangé les clés. Pendant que j'entrais nos sacs à l'intérieur, Madame est restée auprès de la propriétaire à bavarder un long moment.
 
Le chalet était confortable, bien meublé. Madame s'est effondrée dans le sofa pendant que je préparais une collation avec les provisions que j'avais fait le matin même.
J'avais dressé une jolie table, avec une nappe bleu vif, des assiettes blanches, de jolies verres à pied. Et, au centre de la table, j'avais posé un petit vase en verre ciselé contenant quelques roses rouges cueillies dans les parterres à proximité du chalet. C'était beau comme le drapeau français. Il y avait un beau pain de campagne, du beurre demi-sel, du jambon persillé, du fromage, des figues, des noix, quelques poires.

J'ai appelé Madame. Elle semblait toujours de mauvais poil.
- Je suis tellement fatiguée ! ... Je n'ai pas très faim.
Elle a quand même pris place.
- Ces roses rouges sur cette nappe bleu roi, c'est du plus mauvais effet. Tu aurais pu les choisir blanches, tes roses ! Tu es vraiment nul aujourd'hui ! Ce n'est pas de nature à m'ouvrir l'appétit, le sais-tu ?
Je la regardais l'air étonné.
- Ne me regarde pas comme ça ! Ne me regarde pas du tout, tu ne le mérites pas !
J'ai baissé la tête. 
- C'est tout ce que tu as trouvé à m'offrir à manger ? M’a-t-elle demandé sèchement.
- Mais, vous aimez le bon pain et le fromage, et aussi le jambon !
- J'aurais préféré du saumon fumé. Et c'est quoi, ça ? ... Elle désignait l'excellente bouteille de bordeaux, un Saint-Emilion Grand Cru classé d'un excellent millésime. On est en Alsace ici !

Madame a quand même mangé, mais elle n'a bu que de la limonade en pestant car elle n'était pas assez fraîche, et m'a obligé à en boire également après m'avoir fait ranger la bouteille de vin.
Je n'ai presque rien avalé. De la limonade sur du Munster et du jambon, ça ne passait pas.
- Tu feras la vaisselle plus tard, viens me masser les pieds.

J'ai suivi Madame dans la chambre. Elle s'est étendue dans le lit. Je l'ai déchaussée, ai pris l'huile parfumée dans son sac et lui ai massé les pieds avec beaucoup d'attention, comme elle aimait que je le fasse !
Au bout d'un quart d'heure d'application de ma part, Madame m'a dit :
- Assez d'huile. Lave-moi les pieds avec ta langue à présent.

Au toucher, l'huile était très agréable, mais au goût une vraie infamie ! Dès que je me suis mis à lécher les orteils de Madame, j'ai eu des haut-le-cœur. Cette huile était à la fois sucrée, amère et poivrée et collait à la langue comme de la glu dès qu'elle était en contact avec la salive. 
- Mes pieds te dégoûtent ? M’a-t-elle demandé.
- Non, Madame. Je n'ai pas osé lui dire la vérité.
- Continue alors. Applique-toi !

Le cœur n'y était pas. Je léchais sans passion, sans entrain. Madame m'a repoussé du pied. Je suis tombé sur le plancher.
- Il est tard. Je vais dormir. Je vais t'attacher sur cette chaise pour la nuit. Tu ne mérites pas de dormir allongé.

Madame m'a attaché les poignets aux montants de la chaise, les chevilles aux pieds et la taille au dossier afin que je ne tombe pas.

J'ai passé une nuit horrible, comme lorsqu'on dort dans un train de banlieue, réveillé par chaque secousse du convoi...

A suivre...
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Par Madame. S
Samedi 11 juin 6 11 /06 /Juin 09:15
Les joujoux, le harnais...

Parfois, une simple photo suffit à éveiller nos sens... Je vous en offre deux ce jour.

Voici donc des joujoux, pour rougir des fesses ? Un sexe ? Des seins ?

11.06.2011 2

Et...

Un harnais rouge, pour une femme. Mais qui le portera pour la seconde fois ?

11.06.2011

Moi, cela m’inspire... Et vous ?
Rêvons, ensemble...

Je vous souhaite de passer un excellent week-end de la Pentecôte.

Madame. S
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Par Madame. S
Vendredi 10 juin 5 10 /06 /Juin 08:18
10.06.2011
La relation gynarchique - 3 -

Réflexions et expérience…. Par esclave julien

Dans les relations gynarchiques les ruptures sont plus provoquées par le mâle, que par les Déesses. Pourquoi ?

Le « vrai » mâle gynarchique, pas l’amateur sincère BDSM ou seulement pervers du BDSM, une fois sous la coupe de sa Déesse en est physiologiquement amoureux.

Dans son idéal de la Femme, être supérieur parmi tous les êtres, sa raison d’être sera sa Déesse, et il va orienter sa vie autour d’elle, pas à pas. S’il travaille celui-ci va orienter son travail vers elle ou en changer pour être plus près d’elle, sa vie quotidienne va être rythmée autour d’elle, ses loisirs, son organisation de vie, etc. Elle sera le centre de tout, et il va s’activer à « graviter » autour...

La Déesse n’a pas, bien entendu, vocation à  être amoureuse !  Elle devient Déesse car elle aime Dominer,  est à la recherche d’un équilibre de vie, voire d’un ami fidèle et sincère.
Une Déesse est une Femme, son côté tendresse parfois « bascule » et crée lentement, au fil de la relation, un déséquilibre…

Là est le problème : Peu à peu, le temps de la « passion-découverte » épuisé, la relation peut basculer dans une relation presque « normale ». Comme tout un chacun, certes qui peut être très belle et constructive (là n’est pas question) mais qui va niveler la relation mâle-Femme, tout le contraire de la nature du gynarchique.
Conclusion : Le gynarchique n’aura d’autre choix que de s’échapper de cette relation faussée…

La méthode intelligente, la discipline, le règlement qui va "solidifier" l’équilibre intelligent (comme utilisé au Japon) sera donc « la règle de vie du couple gynarchique » ; Un cahier, presque l'équivalent du Livret de Famille en quelque sorte...
L’on peut méditer des années sur la question, il n’y a pas d’autre choix, sauf cas rares de couples ayant déjà vécu ce type de relation.

J’ai rencontré dans cette communauté gynarchique japonaise et chinoise des gens simples, mais aussi une majorité de personnes très intelligentes ; Beaucoup de grands PDG, médecins, ingénieurs, juges… Pourquoi ? Ont-ils « fait le tour » des relations hommes-femmes et souhaitent-ils une relation « totale » et fidèle ? Aspirent-ils à plus méditer que d'autres sur le sens de la vie, les relations humaines ? Oui, sûrement…

C’est là aussi, dans ces réflexions, que l’on trouve la raison de l’acceptation et de la nécessité des « Dons de Déesses » à leurs esclaves. S’ils paraissent extrêmes à certains c’est qu’ils n’ont pas assimilé et compris la notion d’amour absolu de l’esclave gynarchique…

Le « Cahier », clé de voûte culturelle de la relation gynarchique en Chine et au Japon et où seront consignées les « règles », rappels de punitions, périodicité des corrections, contrats… Mais aussi demandes d'autorisation, permissions, autorisations d'éjaculations du mâle, etc... A tout son sens et sera la matérialisation de l’équilibre de la relation, couple amoureux ou non.
Chaque « manquement » à la punition ou à la correction, souvent pour des raisons affectives de la Femme, ébranlera la solidité de cette relation et fera souffrir en silence son esclave mais dans le mauvais sens…

Au cours de nombreuses années de voyages dans le monde entier, j’ai observé la nature des Déesses :
Les Déesses sont des Dominatrices pro. A la recherche de sentiments, d’amitié ou d’amour au travers d’un homme, certes un esclave, mais qui la comprenne, partage son univers, l’écoute. Il est son confident.

Elles sont aussi des femmes pour qui le « penchant » Dominatrice est trop fort parfois ; Tous les jours ne sont pas les mêmes, mais quand cette envie fait surface, elle sait qu’elle peut avoir un esclave fidèle et sincère chez qui elle trouvera son équilibre sainement ;

Des Déesses Femmes déçues par les hommes, un peu dépressives, et qui découvrent un homme qui l’adore, un homme attentionné, concerné par elle… Alors elle jouera le jeu de Dominatrice par amour peut-être, mais les deux y trouveront équilibre tout de même… Intelligente, après son analyse, la relation pourra être solide.

Des Déesses Femmes « Ultra sensibles », possessives car l’amour parfait et total doit exister et elle l’on « enfin » trouvé en cet homme adorateur, et elles-mêmes prêtes à tout par amour et de peur de perdre cette relation seront de parfaites Dominatrices guidées par le fameux cahier…

De jeunes Déesses, jeunes Femmes qui ont besoin de « protection », naturellement attirées par le Senior protecteur et conseiller, l’ami cher, le jardin secret sur qui elles pourront compter. Au fil des rencontres elles prennent confiance en elles grâce aux pratiques de la Domination qu’elles exercent sur leurs seniors, presque comme une thérapie en fait…

Enfin des Déesses « simples » Femmes vivant mal leurs solitudes, craignant  les aventures et qui soudainement découvrent à la fois ce petit monde gynarchique et enfin l’amitié qu’elles recherchaient sans avoir à vivre ensemble avec un homme ou autres contraintes… L’esclave viendra faire le ménage, des courses, aidera, sera là quand elle souhaitera, pour les coups durs, etc…

La vie est une question d’équilibre, les êtres sont comme ils sont, l’on ne peut pas modifier un être : la Femme est un être supérieur,  le mâle gynarchique son esclave car esclave dans l’âme, dans sa nature, son cœur et cela pour diverses raisons ; peu importe qu’elles soient dues à son vécu, son éducation ou dans ses gênes… Dans ce sens le parallèle peut être fait avec les « vrais » Gay, ceux qui vouent leurs vies à Jésus, etc...
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Alors que j’expliquais le sens d’une « vraie » relation gynarchique lors d’une soirée entre amis, une Femme me rétorquait qu’une fois encore c’était la recherche du plaisir de l’homme qui était le fondement ce type de relation, et qu’elle ne se voyait pas punir un homme qu’elle apprécie ou qu’elle aime.
J’ai expliqué qu’une Domina Pro, aussi connue et puissante soit-elle, elle, est l’objet du plaisir sexuel du mâle qui cherche dans un temps assez court à éjaculer en fin de « session ». Elle le sait, d’où la raison que la plupart d’entre elles ont un gynarchique ami fidèle et confident…
Je lui ai aussi répondu que c’était sans doute parce qu’elle n’avait pas d’aspiration « naturelle » à dominer pour répondre ainsi, mais aussi que je la comprenais...

J’ai rajouté qu’objectivement, un homme à la recherche de punitions, corrections, humiliations, etc... Peut trouver satisfaction très facilement, et même pour peu d’argent, du moment qu’il ne faisait pas appel à des Dominatrices « équipées » ou exerçant dans des Donjons, accessoires qui n’intéressent pas l’esclave gynarchique. 
Pour lui, un regard, une parole suffira. Mais, à Basel par exemple, de belles asiatiques de 16-20 ans, de studios, sont tout heureuses d’utiliser une simple cravache une demi-heure pour 80 CHF, une heure pour 120 CHF…

Et pourquoi un gynarchique pendant des années viendra vous faire votre ménage et tant d'autres choses sans réclamer de sexe ?
Enfin, de nombreux pervers « épousent » des filles de l’Est ou d’Asie pour vivre leur perversion quand ils le souhaitent… Pourquoi ne pas les imiter ?

Tout simplement, parce qu’un gynarchique souhaite une relation vraie... Il est sincère et à des sentiments...

Esclave Julien - 26.05.2011

Julien,
Voilà un troisième article portant sur ta réflexion, assez prenant et criant d’une certaine vérité, qui traite justement de la Gynarchie d’un point de vue très intéressant. Nous ressentons bien que tu as connu ce statut de gynarchiste dévoué et engagé et que tu es heureux dans cette condition. Cela est fort de défendre ton point de vue, surtout dans un monde ou beaucoup de personnes se perdent et ne savent pas toujours comment se positionner. Toi, tu sais où tu souhaites t’abandonner et à qui... Bravo ! Ton expérience nous est profitable.
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Par Madame. S
Jeudi 9 juin 4 09 /06 /Juin 08:28
09.06.2011
Poème « O »...

A Vous Souveraine…

A Vous Reine Souveraine
Qui tenez Votre royaume de la paume
D’une main ferme
Vous employez les termes
Et apparaissent les fantômes
D’un rêve multichrome
Faisant côtoyer les enfers
A tout sujet de fer
Le plus fidèle d’entre eux
Vous supplie avec grands aveux
De la pardonner
De la torturer
Pour que Votre magnificence soit enfin lavée
De cet affront que je Vous ai fait

Votre « O » - 12/11/2007

Jolie façon qu’avait eu « O » à l’époque pour s’excuser d’une faute commise et ainsi prétendre alléger sa punition. Elle à réussi à m’émouvoir, un peu, mais à été néanmoins punie !
Toute punition doit être donnée et acceptée et ce avec gratitude suite à un manquement de la soumise (ou du soumis)...
Madame. S
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Par Madame. S
Mercredi 8 juin 3 08 /06 /Juin 08:31
08.06.2011
Billet d’humeur. L’homme-chien...

Le meilleur ami de l’Homme

Théâtre d'intervention déambulatoire et provocateur pour la rue
Création en 2009

Tenus en laisse par leur maîtresse, trois hommes-chiens de bonne tenue font les courses !

La course aux résultats pour gagner plus : plus de reconnaissance, plus de caresses, plus de plaisir dans leur gamelle...

Ils perturbent l’espace public, se jouent des situations qu’ils rencontrent, posent question sur l’état des relations humaines.

Ils n’auront de cesse d’être battants, d’avoir du chien, du mordant, du flair pour plaire...

Une intervention satirique et improvisée sur les scènes de nos villes, ou comment certains traitent les Hommes comme des chiens et d’autres leurs chiens mieux que les Hommes...

Pour en savoir plus sur cette troupe de théâtre délirante !... Je vous recommande ce lien...
http://www.elephantvert-theatre.com/index.php?option=com_content&view=article&id=11&Itemid=10&lang=
fr&71c78c07ae8fe7881905fdfba8d4decf=6dc4b691bd09f6ebbbc34aef011232cc
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Par Madame. S
Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 09:08
07.06.2011
Transpercé...

Il y a deux ans, aaron se faisait percer le téton gauche à ma demande. Acte symbolique oh combien important pour moi car il le faisait au nom de notre histoire, mais surtout pour l’honneur de sa Maîtresse et il ajoutait ainsi une nouvelle marque d’appartenance à Madame. S...
Je n’oublierais jamais ce beau moment partagé...
Je vous fais partager ici le ressenti et les émotions d’aaron après ce moment magique...

Maîtresse, 
Permettez-moi encore une fois, de Vous remercier du fond du cœur pour cette journée, tellement enrichissante. J’ai envie de me prosterner devant Vous, comme un croyant le ferait devant la Vierge. J’ai toujours ce même désir infini de Vous rendre hommage, en Vous léchant la Pointe de Vos Semelles.
J'ai le cœur plein de Vos Bontés et de Votre Manière de Vivre, cela ne sort jamais de mon esprit. 

Je crois que le "paraître" de notre société nous conforme dans une sorte de morale insipide et fade, qui nous détache de la sincérité et de l'authenticité de nos engagements.
N'est-il pas reconnu comme vulgaire et grossier, que de parler de ses fantasmes en public ?

Pourtant en dépit de ce conformisme ambiant, cela fait incontestablement, beaucoup de bien, de savoir qu'il existe une Personne sur terre, de grande confiance, qui vous connaît mieux que quiconque et que moi-même, avec qui on est capable d'échanger, de parler, de sourire, de rigoler et même de pleurer dans une absolue transparence. 
Cette Personne, c'est Vous...

Nous attendons l'Un et l'autre, que nous disions, des choses vraies, sans aucun a priori, sans aucune réserve, et sans aucun calcul. Je crois que rien n'est pire pour Vous, comme pour moi, que l'anonymat, l'impersonnel, et le repli sur soi.

Je pense que chacune de nos confidences, s'attirent et deviennent toujours plus intéressantes, au point de nous faire comprendre que la confiance a quelque chose de précieux. 

Doit-on considérer la journée de ce samedi, il y a deux ans, comme un moment de vérité ? Je ne sais plus, car j'ai la certitude de vivre cette vérité quotidiennement depuis bientôt quatre ans, mais il en reste que notre lien évolue étonnement dans une forme éblouissante et miraculeuse. 

Notre instrument de plaisir, passe inéluctablement, par Votre Notion de Souveraineté qui se nourrit de mon envie de sacrifice. Cette stratégie du destin, nous mène invariablement, vers le temple du soupir. Il faut selon moi, descendre bien bas dans la souffrance, pour en ressortir et vivre plus philosophiquement, dans l'âme d'un être spirituellement protégé. 

Ce fut réellement un moment qui étonne l'existence, qui m'avertit que je suis subitement subordonné, à la loi de Maîtresse Sylvania, surtout que je ne pouvais rêver mieux que de me faire transpercer de part en part, à deux centimètres de mon cœur, sous Votre Regard tellement élégant et exquis, et devant la pointe de cette professionnelle du fleuret. 

Au moment de nous quitter, Vos Beaux Yeux, emprunts de Voluptés, et encore plus les miens (mais justes pour l'humidité...) prouve que l'émotion était là, présente, dans la forme la plus simple de son expression. 
Nous garderons en nous pour toujours, l'instant de ce jour, comme une caresse délicate, voulue par Vous...

J'ai chaque fois, au-delà de chacune de nos rencontres, cette sensation de passer, de l'être humain à cette nourriture vivante, juste là présente pour satisfaire Votre Besoin de Spasmes et de Sensations... 
Comme je Vous l'avançais l'autre jour, Vous êtes capable de me faire très mal, comme de l'acide dégoulinant sur un corps nu, sans jamais Vous révéler méchante ou sournoise.

Au moment, où je Vous écris ces quelques lignes, samedi soir, j'ai très mal mais cependant sans le moindre doute, je vis un véritable ressourcement et je suis fier de souffrir pour vous. Je sais déjà que ce petit bijou, va bouleverser le sens de mon existence, en me rappelant à tout moment de la journée que je porte maintenant Votre Emprunte contre mon cœur et ceci jusqu'à ma mort. 

C'est chaque fois, le même soulagement, que de mettre à nu, mon esprit, mes émotions, mais aussi mon corps tout entier, qui semble aujourd'hui définitivement marqué par la Grandeur de Votre Ame. 

Samedi matin, l'appréhension d'un être conforme à la société, c'est à dire raisonnable, lui aurait donné envie de faire marche arrière, alors que pour moi, ce fut l'inverse, j'avais qu'une envie, celle de courir vers Vous, vers Votre Magnétisme, et pour rien au monde, j'aurais voulu manquer ce rendez-vous marquant (sans jeu de mots...), même si la trouille me nouait les tripes. 

Ce qui veut dire que Votre Beauté, Votre Intelligence, subtil mélange de connaissances, d'intuitions et d'énergie font que Vous êtes bien plus forte que ma raison. 
Encore une fois, Vous m'avez fait franchir, allègrement la frontière, qui sépare le fantasme de la réalité.

Je me souviendrai toute ma vie de Votre Soutien, durant l'épreuve, en se tenant simplement la main, ce geste fut très simple, très beau et suffisamment explicite.

Vous m'avez plongé depuis, dans un véritable sentiment de paix et de sérénité, j'ai l'impression que le chaos de mon inconscience s'est soudain apaisé, un peu comme si par Votre Lucidité, Vous aviez dirigé un faisceau de lumière sur une zone d'ombre. Votre Conscience m'aide à resurgir d'une forme de léthargie. 

Je porte maintenant ce petit anneau fermé, en mon sein, pour me rappeler que je Vous appartiens, ce qui est génial c'est que la sensation n'est jamais absente. Il y a toujours au moins cette gêne, puis dans la graduation de la douleur cela peut soudain aller jusqu'au très douloureux, en espérant que la cicatrisation n'atténuera pas le mal subit... 

Encore merci, Maîtresse, Vous êtes réellement cette Divinité, qui faites tout naître et tout sentir à mon émotion, je Vous voue mon existence jusqu'à mon dernier soupir. 

aaron, Votre humble et obéissant serviteur, plaqué au sol devant Vous, tel une pieuvre...... 
07.06.2011
Le piercing d'aaron... Le vrai...
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Par Madame. S
Lundi 6 juin 1 06 /06 /Juin 15:01
Billet d'humeur
Toilettes d’entreprise…

Je ne vous ai que peu parlé de mon fidèle soumis scatman. Pourtant, il a bien sa place à mes pieds ; Il me mérite. Le voici donc et qui plus est en photo ! Vous le découvrirez dans de nombreuses aventures...
Et je ne vous dis que cela pour vous mettre l’eau à la bouche ! Patience...

Quand un esclave se soumet dans les toilettes de son entreprise, en regardant les clichés de sa Divine Maîtresse et selon ses diverses demandes… Voici le résultat !

Mais il va bien falloir songer à retourner travailler maintenant, vilain garnement ! Si ton patron savait ! ! Et vous aussi, filez à votre travail non mais ! Je vous vois derrière vos écrans, vos yeux détournés de vos dossiers en cours.

Bravo scatman ! Comme à ton habitude, tu as bien obéi à mes ordres et directives ! Je suis heureuse d’être l’initiatrice de ces moments de complicité partagés avec toi et... Je te félicite. Tu seras gratifié lors de notre prochaine rencontre... Mais je n’en dirais pas plus... Chutt...

06.06.2011 1 06.06.2011 2 06.06.2011 3
06.06.2011 4 06.06.2011 5 06.06.2011 6
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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Samedi 4 juin 6 04 /06 /Juin 09:12
04.06.2011 04.06.20111 2

      Musique...


Les liens d’Eros...

Voici les paroles d’un morceau de musique intreprété par Etienne Daho et Marianne Faithfull qui lit un extrait de "La vénus à la fourrure" de son grand-oncle Léopold Von Sacher-Masoch. Extrait intégré à la chanson de façon élégante et qui ne permet aucun doute quant à la teneur des propos de celle-ci !
Etonnant et troublant que ce morceau que j’avais découvert il y a quelques années et que je retrouve avec plaisir. A écouter de toute urgence si vous ne connaissez pas...

Vous trouvez ce morceau sur l’album “Réévolution” édité en 2003 chez Virgin, dans le bac de votre disquaire préféré !

Et vous pouvez l’écouter  en faisant quelques clics sur mon blog dans la rubrique “Pages perso”...
(Je souligne qu’il vous faudra sans doute patienter quelques instants, après défilement de la publicité arrghh ! Vous aurez ensuite accés aux liens vers lesquels je vous envoie !)

"...Aimer, être aimer, quel bonheur !
Et pourtant, comme tout éclat est terne,
Auprès de la félicité remplie de tourments,
Que l'on éprouve en adorant une femme qui fait de l'homme son jouet,
En devenant l'esclave d'une créature tyrannique,
Qui vous piétine impitoyablement"

Elle est là, ma vénus allongée, le corps et les poignets sanglés
Dans son imper en latex elle m'observe, comme la proie de ses projets

Attitude polaire de surface, sourire de Joconde apaisé
Elle est la main qui me cherche et me frôle, du bout de ses ongles laqués

Oh surtout ne crie pas avant d'avoir mal, me dit elle, les corps étrangers
Ont le goût capiteux du parfum des roses, du romanesque et du secret

Les liens d'Eros tout puissants, sont-ils plus attachants que les liens du cœur ?
Les liens d'Eros tout puissants, sont-ils plus attachants que les liens du sang ?

Qui est la victime de qui, dit elle, le sacrifié ou son bourreau ?
Peu importe le flacon, si c'est éphémère, mais pourvu que le charme opère

Pénètre jusqu'aux fondations de mon âme, souffle-t-elle, avant de céder
Libérée par l'impact de mes morsures, par la chaleur de mes baisers

Les liens d'Eros tout puissants, sont-ils plus attachants que les liens du cœur ?
Les liens d'Eros tout puissants, sont-ils plus attachants que les liens du sang...”

 

 

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Par Madame. S
Vendredi 3 juin 5 03 /06 /Juin 08:17
03.06.2011
Le radiateur...

Un petit récit imaginaire par “A” de Belgique...

Madame. S,
Un petit récit imaginaire inspiré par vous, par nos échanges. Cette scène est tellement impensable pour moi que je déteste avoir trop chaud autant qu'avoir froid ! C'est du fantasme poussé loin.
Pour votre plaisir, Maîtresse étouffeuse...

Le radiateur...
 
C'était l'hiver. Je m'étais vêtu très chaudement. Je suis frileux. Pantalon de velours, gros chandail, une grosse parka en toile épaisse fourrée de laine, grosses chaussures, à la demande de Madame. J'imaginais que nous aurions une sortie en montagne dans le froid et la neige. La chambre exigue où j'attendais Madame était fraîche. J'avais même gardé ma parka.

Madame est entrée.
- Tu n'est pas à genoux, vermisseau ?
- Pardon, Madame. Je ne vous ai pas entendue entrer.
- Pas de commentaire. C'est trop tard. Tu aurais du m'attendre à genoux. Assieds-toi sur cette chaise.
J'ai pris place sur la chaise, seul meuble, au centre de la petit pièce de 7 ou 8 m².

Madame m'a attaché sur la chaise à l'aide de sangles utilisées pour l'arrimage de marchandises sur les camions. De larges sangles de nylon rouge à boucles autoblocantes.
Elle m'en a mis autour des chevilles et des genoux, autour de la taille et de la poitrine, six ou sept. J'était comprimé comme on ne peut l'imaginer. J'avais peine à respirer.

Puis Madame m'a passé une cagoule de latex sur la tête. Toute fermée, juste un petit trou en face de chaque oeil et un troisième à hauteur de la bouche. Par les trous des yeux, je ne voyais pas grand chose.
J'ai vu Madame se diriger vers le radiateur, puis elle est sortie en me disant: "A plus tard" !
 
Au bout d'un quart d'heure, j'ai compris qu'elle avait poussé le chauffage. La chaleur montait rapidement. Vêtu comme je l'étais, ça devenait tout simplement suffoquant et j'étais en nage. J'ai essayé de ne pas paniquer, ne pas m'énerver, pour contrôler la température de mon corps, si tant est que ce fût possible.

Je ne sais combien de temps s'est écoulé entre sa sortie et son retour dans la chambre. Une heure trente ?... Peut-être davantage. J'étais épuisé.

Alors madame a collé des bouts de scotch opaque sur les trous des yeux et je n'y ai plus rien vu.
Je sentais les mains de Madame me caresser la tête, le joues, le cou, tout ce qui était recouvert de latex. C'était doux. Cela m'apaisait.

Puis elle a collé un morceau de scotch sur la bouche. Je n'y étais pas préparé. J'ai très vite paniqué. Je me sentais complètement démuni, à sa merci, prêt à mourir pour son plaisir.

Je savais que son plaisir n'était pas de me faire mourir, mais de bien me faire éprouver son emprise qui était totale. J'étais vraiment sa chose, complètement dépendante d'elle. Plusieurs fois, elle a ôté et remis le bout de tape sur ma bouche, en ne me laissant parfois prendre qu'une faible goulée d'air. Je suffoquais. Je mourais entre les mains de Madame.

“A” - 30.05.2011


Diabolique que cette situation ! Cela m’inspire... Bravo « A ». Il est tout à fait possible de reproduire une telle scène dans une pièce quelconque mais comportant un radiateur !... Les lecteurs apprécieront...
Madame. S
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Par Madame. S
Jeudi 2 juin 4 02 /06 /Juin 10:29
02.06.2011
Les contrats - 7 - FIN

Voici donc le dernier article sur les contrats que je vous ai fait partager. Il en existe des centaines et comme je vous le disais, inventez vos propres paragraphes et accordez le temps nécessaire à cette écriture d’un genre si particulier. Cet engagement est fort de sens, ne signez jamais un tel document si vous n'êtes pas sûr de votre engagement auprès de celle qui sera LA DOMINATRICE (LE DOMINATEUR) dont vous rêviez depuis toujours... Encore faut-il la (le) trouver et les personnes de qualité sont rares. J’oserais même ajouter que j’ai croisé des dominatrices et des dominateurs qui à mon sens ne méritaient pas ce titre. Je suis violente dans mes propos, mais je le pense.
Je vous souhaite en tous cas de trouver celle (celui) qui fera de vous un(e) soumis(e) heureux(se), comme vous le deviendrez sous son pouvoir.
Avec ce contrat, vos signatures, vous rendrez sans doute encore plus belle la dominatrice qui vous a choisi…


ACCEPTATIONS

Par ma signature ci-dessous, je m'oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-dessus, aux trois annexes jointes ainsi qu'à toutes autres que ma Maîtresse choisira d'ajouter à une date ultérieure.

Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à ma Maîtresse, pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée.

J'offre mon consentement à ma soumission à Maîtresse S sous les termes décrits ci-dessus en ce ___   jour de mois de ______________    de l'année ________.

                                              ___________________
Signature du soumis.

J'accepte le désir de Mon esclave, que je baptise du nom de « _________________ ».
Je me charge de la responsabilité de son bien-être, de son dressage et de le discipliner afin de servir encore plus parfaitement Ma volonté.

J'offre Mon acceptation à la soumission de Maîtresse S sous les termes décrits ci-dessus en ce ___ jour de mois ________________de l'année __________.

                                                       _____________________
Signature de la dominante.

Moi, Maîtresse ou Maître___________________________________, marraine ou parrain, témoigne que les deux parties ont échangé en ma présence leurs consentements en toute connaissance de cause et lucidité sous les termes décrits ci-dessus en ce ___ jour de mois _______ de l'année _____.

                                                       _____________________
Signature de la marraine ou du parrain.

Ce contrat à été imprimé en trois exemplaires et signé par les trois parties présentes à la signature de ce contrat, à savoir…:
1 pour Maîtresse S
1 pour la Marraine, Maîtresse, ou le parrain... (Il peut également y avoir deux parrains, voir plus de témoins).
1 pour l'esclave …
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Par Madame. S
Mercredi 1 juin 3 01 /06 /Juin 08:21
01.06.2011
Les contrats - 6 -

CONSENTEMENTS :

Ma soumission est faite en connaissance que rien ne me sera demandé qui pourrait m'avilir en tant que personne et que cela ne réduira en rien mes responsabilités à utiliser au mieux mes potentialités. Face à mes obligations familiales, (j’ai … enfants par exemple dont nous tiendrons compte),  rien ne sera exigé de moi qui puisse de quelle que manière que ce soit nuire à ma relation ou causer du tort à mes enfants, ni limiter mes devoirs de père ou de mère.

Ceci étant, moi, _________________________________ demande instamment, avec lucidité et en réalisant la pleine signification, tant explicite qu'implicite, que cette offre soit comprise dans l'esprit de confiance, d'attention, d'estime et de dévotion dans laquelle elle est donnée.

Si ma Maîtresse devait se rendre compte que Ses aspirations ne sont pas rencontrées par ce contrat ou trouve celui-ci trop contraignant ou qu'Elle souhaite pour toute autre raison annuler le présent contrat, Elle peut le faire en me le notifiant verbalement en concordance avec la nature consensuelle de cet accord.

Pour ma part, moi  ________________________________ je renouvelle ici même mon renoncement à cette clause de résiliation. Je souhaite m’engager au service de Ma Maîtresse tant qu’Elle décidera de m’y garder.

Nous comprenons l'un et l'autre qu'une annulation signifie une cessation du contrôle défini et impliqué dans le cadre de ce contrat et non une terminaison de notre relation en tant qu'amis et amants. En cas d'annulation, chacun accepte d'expliquer à l'autre ses raisons et d'évaluer ensemble nos besoins et notre situation d'une manière ouverte et affectueuse.

Cet accord servira de base pour une extension de notre relation, dédiée, sur l'esprit d'une domination et soumission consensuelle avec l'intention de poursuive notre prise de conscience et notre exploration, à promouvoir la santé, le bonheur et l'amélioration dans nos vies.

Ce contrat, fort de sens et établi entre chacune de parties, pourra être complété et modifié à l’avenir avec des rajouts de textes, voir de nouveaux alinéas ou encore règles, si Maîtresse le juge nécessaire. Ceux-ci compléteront ou modifieront ce texte publié et signé en ce jour du : __________________________________.

Il devra être contresigné à chaque modification, par chacune des parties.
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Par Madame. S
Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 08:32
31.05.2011
Les contrats - 5 -

EN SA PRESENCE :

Je ne porterai pas de vêtements en Sa Présence, sauf avec Sa Permission. Je porte ce qui est jugé adéquat par ma Maîtresse. Quand Elle se trouve dans la même pièce que moi, je dois Lui demander la permission avant de quitter la pièce en expliquant pourquoi et où je me rends. Pendant les repas, je sers ma Maîtresse et me couche à Ses Pieds pendant qu’Elle mange. Ma nourriture est fournie par ma Maîtresse à sa discrétion. Quand je m'adresse à ma Maîtresse ou quand Celle-ci désire me parler, je dois adopter un comportement attentif et vigilant, et regarder ma Maîtresse dans les yeux sauf en cas d'instructions contraires. 

REGLES DE CONDUITE EN PUBLIC

En tout temps je me conduirai d'une façon telle à ne pas attirer l'attention sur ma Maîtresse et sur moi-même.

Je m'adresserai à ma Maîtresse en l'appelant par « Madame » si l'usage de Maîtresse est non approprié. Je me conduirai d'une manière déférente envers ma Maîtresse en public. Je dois en outre veiller à ce que mon comportement et mes propos en public soient de nature à valoriser ma Maîtresse. Je pourrai me vêtir mais devrai obtenir l'approbation de ma Maîtresse pour tout vêtement que je souhaite porter en public. 

Sauf stipulation contraire, je ne porterai pas de sous-vêtements. Ma Maîtresse se réserve le droit, tout en considérant les convenances sociales, d’afficher mon statut d’esclave dans le geste ou la parole (il Lui est par exemple possible de dire en public : « c’est Mon soumis qui va s’en occuper… » ou « confiez ce paquet à Mon soumis… »).

REGLES DE CONDUITE AU TRAVAIL

Aucun article du présent contrat n'a pour dessein de nuire à ma carrière professionnelle. Ma Maîtresse souhaite que je travaille durement et honnêtement et que je me conduise d'une manière à apporter à tous les deux respect et honneur. Que je m'épanouisse dans mon emploi. Durant mes périodes de travail, il m’est permis d'organiser mes rendez-vous, de m'habiller d'une manière convenable pour mon travail et de quitter la maison si nécessaire. Pendant mes périodes de travail, je peux répondre au téléphone et discuter affaires sans la permission explicite de ma Maîtresse.
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Par Madame. S
Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 08:08
30.05.2011
Les contrats - 4 -

REGLES DE CONDUITE EN PRIVE

EN SON ABSENCE :

Les jours où ma Maîtresse est absente, je La salue en me prosternant devant Ses Photos que je me dois d’exposer dans la totalité de l’appartement (si je suis célibataire). Je porte Son Collier. Ce collier ne pourra être retiré sans demande d’autorisation sauf dans des cas de convenance sociale (visite au domicile d’une personne étrangère, facteur etc.…). Je respecte un emploi du temps journalier strict établi par mes soins et validé par ma Maîtresse. Cet emploi du temps sera modifié en fonction de mes activités professionnelles à venir.

En son absence je me dois par les moyens de communication dont je dispose (téléphone, portable et Internet) de montrer à Ma Maîtresse combien je La vénère et Lui suis dévoué en prenant garde à ne pas La lasser ni L’inonder par trop de messages. A ce titre chaque message de quelque nature que ce soit se devra d’être concis et ne recèlera aucune futilité. Je me dois également d’être joignable à tout instant.

Les connexions Internet ne seront réalisées que sur convocation de ma Maîtresse afin de l’y rejoindre. Seule la navigation à des fins professionnelles sera exempte d’autorisation. Enfin, je m’engage à remettre à ma Maîtresse la totalité des codes d’accès à mes fournisseurs Internet afin de Lui permettre de contrôler la fidélité de son esclave. Ma Maîtresse est La seule et unique autorité pouvant procéder ou faire procéder à la suppression des mails de mon ordinateur. 

Mon domicile est la propriété exclusive de ma Maîtresse. Elle en possède le double des clés et peut y venir à sa guise que je sois présent ou non à n’importe quelle heure de la journée et de la nuit (si l’esclave est célibataire là encore). A cet effet, en tant que gardien du « Donjon » de ma Maîtresse, je remplirai mes obligations d’entretien et d’équipement conformément au contrat de location conclu entre ma Maîtresse, bailleur et moi-même, locataire.
Je me dois de veiller à ce qu’il soit toujours dans un état de propreté irréprochable, parfumé, rangé et de température agréable pour le confort de ma Maîtresse. A compter de ce jour je n’ai, sauf autorisation de ma Maîtresse, pas le droit de dormir dans Son Lit et de respecter la chambre lieu privilégié de Son Intimité que ce soit en présence ou non de Ma Maîtresse. Par respect, il a est convenu que je ne peux m’y tenir debout, que je ne peux y pénétrer entre 20 heures et 9 heures (10 heures le dimanche).
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Par Madame. S
Samedi 28 mai 6 28 /05 /Mai 09:47

 

28.05.2011
Les contrats - 3 -

J’accepte toutes les pratiques que ma Maîtresse aime réaliser ainsi que celles qu’elle souhaiterait essayer à l’avenir.

Elle peut me punir sans raison si ce n'est Son propre plaisir. Je jouis du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n'affectent pas Son traitement Ses décisions. De plus, j’accepte que ma Maîtresse, si Elle se fatigue du bruit que je fais, me bâillonne ou prenne d'autres mesures pour me réduire au silence.

Je répondrai honnêtement et directement à toute question qui me sera posée et informerai spontanément ma Maîtresse de toute émotion ou sentiment qu'Elle est en droit de connaître. Quoi que ma Maîtresse attende de moi que je Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut me préoccuper, je ne devrai pas interpréter cela comme une permission de me lamenter ou de me plaindre. Je formulerai mes soucis d'une manière polie et respectueuse et accepterai avec élégance le jugement de ma Maîtresse à ce sujet sans la moindre plainte.

Je parlerai toujours à ma Maîtresse avec amour et respect. Je m'adresserai à Elle en tout temps en disant « Maîtresse » ou « Madame ».

Ma Maîtresse a le loisir de m'offrir des périodes de liberté pendant lesquelles je peux m'exprimer en Sa présence ouvertement et librement. En Son absence, je consignerai mes réflexions dans mon « cahier des libertés ». Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d'aucune punition. Il est cependant convenu que je continuerai à m'adresser à ma Maîtresse avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement.

J’accepte qu'une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l'esprit ou à la lettre de ce contrat et je supporterai la correction avec reconnaissance.

La forme, désignation et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de ma Maîtresse. Ma Maîtresse se réserve le droit de prolonger à sa guise la durée initiale de la punition ou la nature de cette dernière. Ma Maîtresse est particulièrement attentive à ne pas me causer de dommages physiques qui nécessiteraient l'intervention d'une tierce personne du corps médical.
   Le cas échéant, je RENONCE à toute possibilité de poursuivre ma Maîtresse en justice en cas d’accident qui serait de par la nature de notre relation non pas un manquement de Sa part mais une erreur de la mienne.

Un cahier de punitions a été fait pour la bonne tenue des châtiments. Ma Maîtresse le consultera à loisir.
 
Ma Maîtresse et moi-même admettons que chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu'à ce que les deux parties conviennent à ce que le ou les problèmes soient résolus.

Il m’est permis de m'engager dans des activités non expressément interdites par le contrat ou par décision ultérieure de ma Maîtresse. Sauf indication contraire dans ce contrat, tout droits et privilèges appartiennent à ma Maîtresse et Elle peut les exercer comme bon Lui semblera.
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Par Madame. S
Vendredi 27 mai 5 27 /05 /Mai 08:26

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Les contrats - 2 -

  En retour J'accepte :

 De respecter la totalité des règles de ma Maîtresse. (ANNEXE 1)

 D'obéir à Ses Ordres au mieux de mes possibilités.

 De m'efforcer à surmonter mes sentiments de culpabilité ou de honte ainsi que toutes mes inhibitions qui interfèrent avec mes capacités à La servir et qui limitent mon épanouissement en tant que Son soumis.

 D'entretenir une communication honnête et ouverte.

 De lui vouer une totale fidélité tant morale que physique et surtout sexuelle.

 De révéler mes pensées, mes sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne.

 De L'informer de mes souhaits et de mes besoins perceptibles, reconnaissant qu'Elle est seul juge pour déterminer si et comment ils seront satisfaits.

 De m'efforcer à entretenir une image de moi-même positive et à atteindre des objectifs et espérances réalistes.

 De travailler pour Elle et ou avec Elle pour devenir une personne heureuse et accomplie.

 De combattre les aspects négatifs de mon ego ainsi que mes inquiétudes qui pourraient nuire à la réalisation de ces objectifs.

REGLES GENERALES :

J'accepte d'obéir à ma Maîtresse à tous égards. Mon esprit, mon corps, mon cœur et mon temps Lui appartiennent. 

En tant qu'esclave je renonce à utiliser SON Mot de Code, me fiant totalement à ma Maîtresse en qui j’ai une confiance sans limite. Ma Maîtresse, seule, évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée. Je maintiendrai mon corps disponible pour ma Maîtresse à tous moments. A cet effet je me dois de respecter une hygiène corporelle (propreté, rasage…) au dessus de tout soupçon. En outre, j'accepte que ma Maîtresse possède le droit de déterminer si d'autres personnes peuvent utiliser mon corps et l'usage qu'ils peuvent en faire à la seule exception qu’aucun acte sexuel ou geste de tendresse de ma part ne pourra être pratiqué ayant promis fidélité à ma Maîtresse.

J'accepte de maintenir mon corps disponible pour ma Maîtresse à tous moments. Je manifesterai mon acceptation et ma disponibilité à servir en tout temps au foyer et à d'autres temps et lieux spécifiés par ma Maîtresse. Je reconnais que ma Maîtresse peut utiliser mon corps ou mon esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurité et avec les personnes qu'Elle pourrait choisir, que cela soit femme ou homme. Je ne pourrai jamais contester cela pour le plaisir de ma Maîtresse; Je serai obligé d'accepter d'être livré à ma dominante en présence d'autre sujet mâle ou femelle et obéirai à toutes les demandes de ma Maîtresse.

 

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Par Madame. S

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