Vendredi 1 juillet 5 01 /07 /Juil 10:17
01.07.2011
Billet d'humeur
Une certaine vision du bdsm... La mienne !

Je vous confie là mon idéal. Cela ne regarde que moi ! Et je suis prête à échanger avec vous sur le sujet ; Je suis très ouverte d’esprit et je voulais ici vous parler de ma vision propre de la relation...

J’ai souvent envisagé de trouver un esclave gynarchique, un idéal dans la soumission pour moi depuis longtemps, trop restrictif à ce jour à mon goût. C’est certes un idéal de vie, qui je le pense sincèrement, pourrait me convenir. Mais il faudrait que cet esclave me soit dévoué et exclusif. Qu’il n’aie pas d’autre Maîtresse et qu’il porte donc de ce fait une ceinture de chasteté et ce en quasi-permanence ! Ce qui est le principe de la relation gynarchique en réalité.
Mais cet homme existe-t-il vraiment ? Sincèrement ?

J’ai la chance de « posséder » trois sujets qui me sont vraiment dévoués et sur qui je peux compter. Etant mariés, ces personnes ne peuvent pas m’offrir leur sexualité comme je le voudrais ; Pourtant, je sais que je peux compter sur les règles que je leur demande de suivre et ce dans le temps par exemple. Sur d’autres points donc, ils me seront fidèles, comprenez la nuance des actes et offrandes...

Mais malheureusement et en toute honnêteté, je pense qu’une relation vanille, là je parle toujours donc pour moi, cela est tout simplement impossible, voir trop hasardeux.

Pourquoi ?

Parce-que j'ai connu une relation des plus belles, qui a duré trois ans avec un homme que j'aimais et qui m'était soumis et très dévoué, mais je n'aurais pu vivre cela au quotidien. Cela me semble tout simplement in-envisageable à ce jour. Je le sais... Après cette belle relation j'ai eu du mal à me retourner, mais ayant eu si mal au cœur, je n'ai plus voulu "aimer" mon soumis et je le vis mieux ainsi. Oui, je m'en porte à merveille et la distance qui s'installe naturellement entre mon soumis et moi me rend donc plus inaccessible et je crois que cet état de fait décuple la dépendance de mon soumis. 

Voilà mon rêve de jardin secret...
L’idéal serait pour moi de rencontrer un homme qui accepterait ma vie de dominante et qui accepterait également un soumis à mes pieds, dont je me servirais à loisir et que j’enfermerais dans sa cage ou dans sa niche, tout en le respectant, toujours. Cela fait partie des bases de ma vision des choses ; 
Mais cela n'engage que moi et après tout, je n'ai jamais connu de relations S.M. au quotidien et tel n'est pas mon souhait finalement... 

Nous souhaitons tous rencontrer celui ou celle qui nous fera vibrer et avancer, découvrir l'inconnu et la plénitude. Ces rencontres sont rares ; J'ai eu la chance de croiser trois personnes, trois sujets qui correspondent à certaines mes attentes, mais malheureusement ils ne rassemblent pas à eu tous ce que je peux attendre de chacun. Mais oui, une Dominatrice est exigeante et c’est bien normal !
Et voilà pourquoi elle se doit de constituer d’un cheptel de personnes qui peuvent lui apporter la plénitude.

Chaque rencontre génère sa propre alchimie me disait récemment un soumis et je trouve qu’il à fortement raison !

Tant de pratiques, d'envies qui différent d'un individu à l'autre. Des envies partagées qui ne sont pas au rendez-vous au même moment pour l'une et l'autre personne ! Cruel dilemme que la relation entre Dominatrice et soumis dans un quotidien. Comment alterner soumission et amour ? Tant de paramètres, de solutions, de possibilités et envies... Et de déceptions quelquefois.

Difficile de trouver sa moitié dans un monde dit normal, alors dans le SM ! Mission quasi impossible ;
Mais on fait de très belles rencontres il faut l’avouer, même quelquefois de vrais amis...

J'aspire moi aussi à rencontrer des gens qui soient dans une démarche de complicité mais avec tout le sérieux que comporte une relation D/s. Mais je me suis rendu compte avec le temps qu'il était difficile de croiser la personne qui vous fera réellement vibrer. Cela arrive, mais comme je le disais plus haut, est très rare.

A contrario, il faut le souligner et se l'avouer que les vraies bonnes fées du SM sont elles aussi rares, celles de qualité, qui ne font pas que « jouer avec un homme ». Celles qui ont un cerveau et qui s'en servent pour dresser leur sujet tout en respectant la personne qui leur fait face, même si le petit rampant leur appartient ! Celles qui s’investissent dans le temps et font de ces moments, des instants de communion et de délices...

S'épanouir auprès d'une Dame demande quelquefois abnégations et abandons très fort, les règles dans la relation peuvent être des contraintes difficilement compatibles avec la vie de tous les jours et ses impératifs.
Voilà pourquoi à mon sens une relation amoureuse, dite vanille, n'est à mon sens pas viable...
Et pourtant, j'envierais presque ceux qui arrivent à créer autour de leur histoire D/s une réelle histoire d'amour. Vous trouverez dans mes liens, le blog de Maîtresse Flo et son soumis yanode. Pour moi une très belle histoire d’amour. Mais qui ne me ressemble pas.
Et je leur souhaite d’ailleurs un bonheur durable et sans failles. Car j'ai croisé des couples qui étaient très heureux dans leur condition.

J'aime le côté chevaleresque d'un esclave il est vrai. Un valet comme j’aime à le dire, qui sache devancer mes attentes et répondre à celles-ci. J'ai connu cela avec mon premier soumis et cela correspondait fortement à mes attentes de dominatrice. Frapper pour frapper n'est pas dans ma vision du SM.
J'aime que l'on s'occupe de moi, alors ensuite je peux envisager de m'occuper de l'autre.

Je donne quand on me donne... Logique implacable...

Esclave, soumis, sujet, valet, vermisseau, petit chien, et tant d’autres termes que je pratique au quotidien et qui ont tous une connotation spécifique car employée pour une personne bien précise. Cela au gré de mes envies et humeurs. Et qui n’atteignent en rien le respect que j’alloue à chaque personne qui est à mes pieds...

Et par pitié, je ne demande pas au soumis qui me contacte d’être « vendeur » dans sa description, souvent il en rajoute pour se parer de beaux atours, ce qui est légitime et compréhensible ! Mais tout le monde est capable de tout promettre, de me dire, « je fais ceci ou cela ou encore je fais tout ce que vous voudrez de moi ! » Laissez-moi sourire ! C’est ensuite que cela se corse, car les promesses sont bien vite oubliées et non explorées...;

Moi, je lui demande simplement de se mettre à nu, d’être sincère... Et surtout, qu’il ne me promette rien qu’il ne pourrait m’offrir.
Et il faut ensuite laisser le temps au temps ; La confiance s’accorde ainsi. Et l’abandon succède aux craintes et à la peur.

Alors, tout devient possible, ensemble...

Pour finir ma pensée du jour, je vous dirais : « Chacun de nous vit sa domination et sa soumission à sa manière, avec ses goûts, ses règles, codes et autres « dérivés ». Soyons tolérants et respectons l’autre, l’être humain, aussi différent soit-il... » Il faut de tout pour faire un monde, fort heureusement ! Et vivez de beaux moments complices, que vous créerez à partir de vos goûts et vos rêves les plus fous... Osez, en y croyant !
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Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Jeudi 30 juin 4 30 /06 /Juin 09:53
30.06.2011 1
Billet d'humeur
La nuit DEMONIA…

Certains sont pour, d’autres contre ! Le débat est ouvert ! Je suis pour ma part une fervente adepte de cette soirée. Même si je n’ai pu y aller pour les 3 dernières éditions. J’ai même eu l’occasion d’y être invitée et de paraître dans la liste de présentation du site Démonia. N’y voyez là aucune gloire ni fierté, simplement le fait de défendre un tel événement. Je ne veux en aucun cas poser ici une polémique et je respecte ceux qui n’aiment pas cette manifestation. Je suis tolérante ! Et à nouveau je vous parle là de ma propre expérience et d’un avis personnel…. Tous les goûts sont dans la nature.

Je vous dirais bien sûr que beaucoup de gens vont à cette soirée pour se montrer et pour s’exhiber. Mais n’est-ce pas le but de cette soirée ? Après tout, n’est-t-il pas agréable de voir une jolie petite soumise déguisée en petit lapin à croquer ! Ou encore un soumis, qui est souvent présent, affublé d’une tenue complète en cuir et latex, avec des chaussures vertigineuses, avec lesquelles je serais incapable de marcher ! Sans oublier que cette personne avait complété sa tenue de chaînes innombrables qui l’empêchait de faire de grands mouvements et de grands écarts avec ses jambes pour marcher ! Il faut le voir pour le croire !
Et sans oublier toutes ces belles tenues d’apparat, en cuir, latex, de toute beauté, qui rendent encore plus belles ces Dames et ces messieurs. Le dress code est d’ailleurs de rigueur. Rien que du plaisir pour les yeux  !

Faire se rencontrer des gens venant de la France entière et même du monde entier devrais-je dire ! Plus de 1700 personnes s’y retrouvent au mois de décembre et l’affluence ne cesse d’augmenter chaque année. Mais cette fois, la soirée innove et aura lieu en octobre prochain.

Et moi ? Ce que j’aime dans cette ambiance me direz-vous ?

Et bien le simple fait que tout y soit possible ; Je m’explique.

Pour moi cela est synonyme d’une bonne soirée, ou vous n’êtes pas jugé sur vos faits et gestes et ou vous pouvez croiser des gens qui comme vous sont adeptes du S.M. ou vivent une relation de couple tout en conjuguant le bdsm dans leur relation. Bien sur, tout le monde ne mérite que l’on s’attarde sur sa personne, mais vous pourrez y croiser des gens fort sympathiques, comme cela m’est arrivé à de nombreuses reprises.

Et puis pourquoi pas ne pas imaginer que…
Vous pouvez attacher votre soumis à un tuyau et le laisser là pendant 30 minutes ; Personne ne viendra vous demander pourquoi vous avez fait cela !? Tout au plus la dominatrice qui ne sera jamais loin de son sujet, viendra vous dire qu’il est puni si vous vous y intéressez de trop prêt !
Tout est envisageable, cela est alléchant non ! ?

J’aime également marcher dans les différentes salles et voir ce qui s’y passe. Il faut y aller pour voir ! Et là aussi vous ne serez pas déçus !

Malheureusement, il n’y a pas de soirées telle que celle-ci dans l’Est. J’ai entendu parlé de soirées en Allemagne et en Suisse mais je n’y suis jamais allée. Les lieux sont souvent éloignés.

Je pourrais vous écrire un roman, rien qu’en vous faisant le récit d’une de ces soirées. Mais là n’est pas mon but. Seulement vous dire que j’ai plusieurs ami(e)s qui ne savent pas s’ils doivent s’y afficher. Je n’ai qu’un mot à leur dire : Allez-y et vous y passerez assurément un bon moment. Et cela vous permettra pourquoi pas de vous faire un week-end prolongé dans la capitale !

Certains soumis me demandent souvent s’ils peuvent y aller seuls ? Je leur réponds, OUI ! Pourquoi ne pas d’ailleurs tenter votre chance et pourquoi ne pas y trouver une dominatrice qui comblera votre attente ? Les soumis ont souvent du mal à contacter des dominatrices sur les sites internet, lors de cette soirée vous êtes face à face et la prise de contact peut être rapide et se révéler efficace, car la Dame peut vous juger sur pièce ! ! Ne soyez pas timides !

Et vous y croiserez du beau monde, de grandes Dames très réputées et installées sur Paris, mais également venant du monde entier ; Certaines font de très belles démonstrations de leur savoir-faire, notamment en bondage, très beau à voir comme spectacle pour les yeux !
D’autres, vous seront totalement inaccessibles, peu importe.
Et pour savoir qui sera présent, n’hésitez pas à taper « Nuit démonia » sur votre moteur de recherches, vous trouverez des photos, des vidéos qui vous permettront de vous donner une idée de ce qui s’y passe...

Et sur le site officiel de la soirée, vous aurez une liste des personnalités présentes à la prochaine soirée, en octobre 2011 ! Y serez-vous ? !
Il y a déjà du beau monde au portillon ! ! Voici donc le lien...
http://www.nuit-demonia.com/

Pour finir, je vous donnerais un petit conseil, quelquefois un simple regard suffit. Présentez-vous tout simplement face à la Divine qui vous inspire dévotion et respect... Puis agenouillez-vous face à elle et donnez-lui un petit billet doux ou vous aurez pris soin d’inscrire vos coordonnées et une succincte présentation de votre personne. Avec moi, cela à marché pour certaines personnes rencontrées en ce lieu !!

Et moi ? Je vous relaterais sans doute plus tard des moments que j’ai pu vivre à la locomotive (l’endroit où se déroulait la soirée, le lieu a changé depuis). Car j’ai quelques lignes à vous raconter sur le sujet.
Pour finir, sachez que… J’y ai croisé des gens de qualité, de réels échanges intellectuels, des Dominatrices avec qui j’ai passé de bons moments, avec ou sans leur soumis et que je garde dans mon cœur des moments heureux, forts et uniques que j’ai vécu avec certaines personnes qui se reconnaîtront sans doute…

Vous croiserez sans doute une personne de talent parmi la foule, Ludovic Goubet, que j’ai croisé dans un couloir et qui m’a remis sa carte. Cet artiste, fait de très belles photos orientées S.M.
Vous trouverez son site dans la liste de mes liens préférés...
Voici un de ses clichés ci-dessous...

 

30.06.2011 2

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 0 commentaires - Publié dans : Billet d'humeur...
Par Madame. S - Communauté : Soumission et appartenance
Mercredi 29 juin 3 29 /06 /Juin 09:34
29.06.2011
La première rencontre, sur le quai de la gare de Strasbourg...
 
Elle aura fait le trajet de chez elle à Strasbourg.
Je serai parti de chez moi tôt le matin.
 
Nous nous reconnaîtrons au premier coup d'oeil, dans la foule. Mais comme elle n'est pas grande et moi non plus, pour nous reconnaître, nous devrons nous hisser sur la pointe des pieds et faire des gestes pour se signaler à l'autre.
 
Voilà, ça y est. Mes yeux l'on aperçue.
Ses yeux m'ont aperçu.

Nous nous approchons, nous ne sommes qu'à dix mètres l'un de l'autre.

Je porte un petit sac contenant des vêtements de rechange, et un gros sac plein de cadeaux.

Nous avons encore huit mètres à parcourir pour que nos mains se touchent et que nos visages se frôlent.

Plus que sept mètres. Nos coeurs font boum boum.

Six mètres. Nous avons ralenti notre marche, raccourci nos pas.

Quatre mètres. Larges sourires.

Deux mètres. Va-t-elle tourner les talons et fuir ?...

Non, elle ne fuit pas. Elle est courageuse...

Etreinte...

Je laisse tomber les sacs, je la prends dans mes bras, elle pose sa joue sur ma poitrine.

Ma bouche lui embrasse le front, les yeux, les joues, la bouche, le cou... 

Ses seins s'écrasent contre mes côtes.

Nous avons envie de pleurer. Cela fait si longtemps que nous nous attendons !... Des siècles dans le néant avant de nous trouver. Nous arrivons de la nuit des temps à la rencontre de l'autre.

Nous restons là, enlacés, de longues minutes, parmi les passants.

Il s'est mis à pleuvoir. Nous sommes là pour l'éternité. Le temps n'existe pas.
« Ulysse»

 

29.06.2011 2

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 1 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S
Mardi 28 juin 2 28 /06 /Juin 09:02

28.06.2011

 

Luc ou... Le rêve d’un soumis, d’être aux pieds de sa Divine et lui appartenir...

Bonsoir Maîtresse,
Je vois que vous mettez en ligne, analyse, poème, histoires... De soumis sur votre site et comme je viens de retrouver un texte il y a déjà un certain temps sur "Comment je voyais un première rencontre avec une Maîtresse"  je me permets de vous le transmettre... Si vous désirez le publier...
Au plaisir Madame de vous relire.
Luc.

Le 8 Mars 2011 était la JOURNEE INTERNATIONALE DE LA FEMME...
C'est avec beaucoup de respect que je souhaite que cette journée ne soit pas une journée de plus pour célébrer les FEMMES sans qu'il n'y ait d'avancées concrètes dans les 12 prochains mois...! 
Je vais y contribuer à ma façon en espérant très sincèrement rencontrer Celle qui m'acceptera à son service amoureux, soumis et très obéissant. 

Le jour ou j'aurais la grande chance de me présenter à la porte d'une Dame qui saura accepter de me prendre à son service pour quelques heures ou pour la vie, je serais certainement très présentable, ayant fait attention à tous les détails sur ma personne... Et une rose blanche à la main après avoir sonné, je serai à genoux sur le seuil de la porte de son appartement faisant fi de personnes pouvant m'apercevoir dans cette position... sic ! La porte s'ouvre en même temps que mon coeur s'accélere... Elle me dira...
-  Entre ! Va te mettre devant le canapé, yeux baissés et tu restes à genoux !

C'est bien sa voix que j'ai découverte il y a une semaine et ou j'ai déjà pu parler de moi et de ma recherche. Avant de pénétrer dans la piéce, je lui offre respectueusement ma rose blanche (symbolisant son autorité de femme) et m'avance sans discuter plus. Mais j’ai pu par ce geste apercevoir un très beau chemisier rouge pris dans un jean classique et portant des souliers noirs à talons.

S'étant assise confortablement en face de moi et m'ayant observé attentivement pendant une bonne minute, elle daigna m'adresser la parole :
- Merci pour cette très belle rose, bonne initiative en cette journée de la Femme et très simple. J'aime la simplicité... Et aussi les initiatives de la part de mon soumis, c'est bien... Bon j'ai plein de choses à te demander et nos conversations ces derniers jours m'on donné envie d'en savoir plus sur toi mais ce que je ne sais pas encore c'est si tu seras vraiment efficace à mon service et trève de bavardage tu vas de suite ranger toute la cuisine, ma vaisselle ect... Car j'ai reçu du monde hier soir samedi, et au moins tu vas servir à quelque chose, on verra bien ensuite, Allez ! 

Les deux heures suivantes, vous vous en doutez je n'ai pas chômé, et tout en essayant de ne pas déranger Madame qui n'avait pas bougé du canapé et qui avait simplement allumé la TV, il a fallu que je lui demande ou ranger exactement les couverts. Après beaucoup de travail durant ces deux heures, vaisselle, rangement, nettoyage du sol, et l'aspirateur dans le salon... Elle ne s'est levée que deux fois pour m'indiquer où ranger vaisselle et autres objets. J'ai oublié de vous dire que j'avais revêtu un tablier de cuisine blanc à bordure de dentelle qui représentait bien dès ce premier jour ma position d'"homme d'intérieur". Ayant terminé et enlevé ce tablier, je repris de ma propre initiative ma position à genoux devant Madame qui regardait toujours la TV dans le salon. 

Aucun mot ne fut prononcé pendant une bonne demie heure de sa part et je pu à loisir fixer mon regard sur ces très belles chaussures noires qui allaient si bien avec son jean. Malgré la douleur de plus en plus forte en gardant cette même position, mon "bonheur" de soumis était complet et aurait pu durer encore longtemps quand Madame se leva et alla voir tout mon travail, exécuté et ordonné par elle, à la cuisine. Elle revint apparament assez satisfaite, du moins je le pensais car...
- Bon je ne te cacherais pas que je ne suis pas vraiment contente du résultat, il me faudra un travail beaucoup plus appliqué la prochaine fois, crois-moi et je me montrerais beaucoup plus sévère... Tu fais trop de bruit en travaillant et cela me dérange ! Tu as oublié de ranger l'aspirateur à sa place. Bon des détails qui ont leur importance et que je ne laisserais pas passer la prochaine fois. Par contre je t'ai senti très investi et motivé à m'obéir et à me servir au mieux ; Hummm ça me plait beaucoup et tu as tout intérêt à poursuivre dans cette voie car c'est vraiment un homme comme toi que je recherche.

J'étais vraiment aux anges en entendant ses derniers mots de sa part et je me promis de faire encore plus attention la prochaine fois et d'être tout à fait à son écoute. 
- Tu penses bien que je t'ai vu "baver" sur mes chaussures alors avant de partir tu vas les lêcher correctement y compris les semelles et même si c'est une première ne me déçois pas car j'aime énormément voir mon soumis dans cette position. 

Elle savait bien que c'était aussi une récompense pour moi (nous avions également parlé de mes attirances et de mes fantasmes au sujet des chausures en général et des bottes en particulier;) Elle m'accordait ce cadeau, après toute cette matinée à son service et c'était (suprême bonheur) certainement positif pour la suite...

J'ai fait rentré dans ce récit beaucoup de mes fantasmes, si ils rejoignent ceux de la Divine très bien; Mais je tiens à dire que c'est bien la Maîtresse qui doit êtes satisfaite et que tout pour moi sera dirigé vers ce but et uniquement cela...
Luc - 26.05.2011

Bravo Luc, voilà un beau texte qui parle de ton envie de dévotion auprès d’une Dominatrice. 
Je te connais depuis des années aussi je peux affirmer que je suis persuadée que tu trouveras celle que tu cherches depuis si longtemps ; Mesdames, sachez que j’ai pu voir Luc à l’œuvre lors de dîners entre amies et qu’il était parfait dans son style et très attentif au moindre des désirs des Dominatrices présentes ! Et je peux vous assurer qu’il s’occupe du nettoyage de vos vitres à merveille ! J’ai une amie qui vous dirait combien elle à été satisfait de son ménage ! A bon entendeur !
Madame. S

 

 

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Par Madame. S - Communauté : Satin,nylon,soie,fétchisme
Lundi 27 juin 1 27 /06 /Juin 08:48
27.06.2011
Récit d’un soumis écrit il y a plusieurs années,
au lendemain d'une soirée et d'une nuit dont j'ai grand plaisir à me souvenir.
 
Les silences...

Etendus sur le lit, on ne voit que la cîme des peupliers et des trembles par la fenêtre ouverte de la chambre.

Le silence nous entoure.
Juste le bruit des feuilles qui s'agitent au vent. On jurerait qu'il pleut et il ne pleut pas.
Juste le murmure des feuilles dans le crépuscule qui rend le son de la pluie. C'est la musique des peupliers et
des trembles. C'est un bonheur audible. Ce n'est pas le silence absolu et c'est silencieux. 

Pour accompagner ce concert tranquille, votre souffle et le mien.

Et le crissement des chaînes courtes à mes pieds et à mes mains. 

Vous avez déposé les armes au pied du lit.
La longue cravache souple de cuir tressé.
Le court fouet noir se finissant en langue de serpent.

Je suis éreinté, nu sur le lit, le corps marqué.

Vous avez gardé cette robe fourreau de fin lainage noir qui moule vos formes et qui vous sied si bien.
Vos doigts légers, parcourent les stries de mon dos. Les marques sont sensibles et lorsque vous appuyez, je frémis. C'est délicieux.

Le vent est tombé. Les peupliers et les trembles se sont tus.
La nuit aussi est tombée.
C'est le silence.

Vous m'avez fait tourner sur le dos.
Vos dents me mordent.
C'est douloureux et c'est bon.
Vos dents pincent chaque repli de peau, chaque téton, le triture et l'étire.

Une goutte de sang carmin a perlé, est tombée sur le drap blanc.

Je gémis sans bruit. Mes gémissements sont muets. 

Puis, nous dormons.

C'est le silence complet.  

"Alphonse L. à Madame. S"
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Par Madame. S
Vendredi 24 juin 5 24 /06 /Juin 09:07

24.06.2011.jpg

 

Billet d’humeur vidéo.

“ Maîtresse de maison, ça reçoit, mais ça aime surtout donner !” 

Le ton est donné avec cet intitulé accrocheur à souhait que vous retrouverez dans les images de cette vidéo, qui moi, me fait sourire aux larmes ! Vous ne comprenez pas de quoi je parle ? Et bien, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous...

Et ceci pour vous prouver qu’une Dominatrice a aussi de l’humour, voici une vidéo qui vous parle du quotidien de la famille sado-maso et de son pauvre soumis au service de sa Divine Maîtresse...


link

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 1 commentaires - Publié dans : Vidéo...
Par Madame. S
Jeudi 23 juin 4 23 /06 /Juin 08:21
23.06.2011
Billet d’humeur

Neuvième journée nationale du naturisme

« Le naturisme est une manière de vivre en harmonie avec la nature, caractérisée par une pratique de la nudité en commun qui a pour conséquence de favoriser le respect de soi-même, le respect des autres et celui de l'environnement. »

« Vivre nu...
Qui n'a éprouvé une fois dans sa vie le désir d'être nu, de vivre nu dans la nature, libre de s'y ébattre nu, sous le soleil, sur le sable ou dans l'eau ? Cette aspiration peut surprendre. La nudité pourtant est naturelle. A l'origine, l'Être Humain est nu... et il vit nu !
Mais déjà, soucieux de séduire et de s'affirmer, il se pare d'ornements faits de pierres, de lianes, de plumes, de fleurs, de feuilles ou de coquillages. Puis, voulant se protéger de la rigueur des climats, il se couvre de peaux, de fourrures... de fibres tissées. Bientôt, le vêtement distingue le glorieux, le riche, le puissant. Il précise la supériorité hiérarchique, la souveraineté et désigne le pauvre, le manant.
Au cours des siècles... Le nu est pourchassé, réprimé, condamné. De nos jours, les individus restent encore imprégnés de cette pesante interdiction, la plupart n'acceptent pas d'être vus ou de voir les autres nus ! Oser paraître nu reste perçu comme une agression, un acte indécent, scandaleux, une atteinte à la "morale" et aux "bonnes mœurs" !
Avec réticence, et parfois mépris, le nu n'est accepté que dans les arts et le spectacle.
L'être humain a "peur" de son image. »

Aujourd’hui, nous fêtons la 9ème journée nationale du naturisme, pourquoi ne pas essayer de vous promener nu toute la journée chez vous ! Je vous propose cela comme une nouvelle expérience. Et si cela est possible et dans la mesure ou vous êtes libre comme l’air et qu’aucune contrainte ne vous amènera à sortir. Mais il vous est possible de faire cette expérience à n’importe quel moment de votre choix et dans les jours à venir. Mais surtout, choisissez un moment privilégié, rien que pour vous...

Profitez-en pour vous détendre ! Oui, reposez-vous. Et pensez à vous pour une fois, égoïstement, alors que les journées vous semblent longues et faites de préoccupations diverses.
Et pourquoi pas également proposer à votre femme (votre mari) ou votre compagne (votre compagnon) de partager ce moment insolite avec vous.

Je ne vous incite pas à l’attentat à la pudeur non ! Veillez d’ailleurs à faire attention à vos éventuels voisins, ceux-ci pourraient être choqués, quoique je souligne que la loi vous autorise à faire chez vous ce qu’il vous plaît, mais vos voisins pourraient trouver cela choquant !

Non, je vous propose simplement une nouvelle expérience, qui peut-être, vous rapprochera de celui ou celle qui partage votre vie et vous donnera envie de découvrir ensemble de nouveaux jeux.
La nudité ne peut que vous inspirer des moments tendres voir coquins…

Petit aparté : Je ne parlerais même pas d’un petit soumis ou d’une petite soumise, nu(e) à mes pieds….
Tenue des plus normale et adéquate pour accéder aux ordres et caprices de sa Divine...

Je vous dirais pour ma part qu’il m’arrive de déambuler nue chez moi, par simple plaisir de ne porter aucuns vêtements ; Mais il m’est arrivé de nager en Méditerranée, sur une plage naturiste de Camargue. La non moins célèbre plage de Piémenson que je vous recommande cet été si vous passez par la Camargue ! Une plage ou tout le monde est « libre » et l’immensité du lieu vous permet d’être assurément tranquille sur le sable avec le ou les personnes qui vous accompagnent.
(Mais il vous faudra vous procurer une carte de la fédération pour la journée ou plus. J’en parle ci-dessous. Vous serez ainsi en règle.)

Nager nue est un moment rare de communion avec la nature. 
Vous vous sentez libre et tout vous semble si naturel.

Je ne suis pas là pour défendre un point de vue ou les pratiquants de ces idéaux, car je ne le pratique pas au quotidien ni par exemple lors de mes vacances. C’est un mode de vie qui ne me conviendrait pas tous les jours. Mais simplement vous dire de tenter l’expérience…

Et pour ceux qui seraient réticents, je vous demande d’essayer, une fois…

Je comprends également que certaines personnes n’aiment pas leur corps ou simplement l’idée d’exhibition. Comme je le disais plus haut, faites-le seul(e), pour une première fois.
Et pour ceux qui auraient déjà goûté au bonheur, renouvelez l’expérience… N’est-ce pas tout simplement délicieux ?
Belle journée… 


HISTORIQUE et quelques généralités incontournables...

 Le naturisme trouve ses origines en France dans les années 20, sous l'impulsion de médecins hygiénistes et des adhérents à cet esprit précurseur d'un mode de vie plus sain.
Dans les années 40, sous l'impulsion d'Albert LECOQ, le naturisme s'ouvre socialement. La nudité en est une des composantes essentielles.
La Fédération française de Naturisme, créée en 1950, regroupe aujourd'hui 160 associations et 85 centres de vacances répartis sur le territoire français (Métropole, corse, DOM-TOM).
La F.F.N a été agréée le 28 octobre 1983 par le Ministère du Temps Libre de la jeunesse et des Sports, comme association nationale de Jeunesse et d'éducation populaire.
Pour pouvoir accéder à un espace naturiste (club ou centre), il faut posséder une licence naturiste. Cette licence, délivrée par la Fédération par l'intermédiaire d'un club ou d'un centre, constitue :
- pour la Fédération, un moyen de la soutenir dans son travail de reconnaissance auprès des pouvoirs publics.
- pour son détenteur, un laisser passer qui permet d'accéder à tous les espaces naturistes homologués par la Fédération.
- pour les usagers, une garantie de sécurité.

Voici l’adresse du site de la fédération nationale de naturisme qui vous guidera pour toutes vos envies...
http://www.ffn-naturisme.com/
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Par Madame. S
Mercredi 22 juin 3 22 /06 /Juin 10:33
Billet d’humeur...

Pensée philosophique du jour

22.06.2011


Quelquefois, une simple phrase est sujette à réflexion.

La déesse est infiniment grande devant son esclave L'esclave, qui lui est infiniment petit devant sa Déesse. Faites donc un peu travailler vos méninges ! !

A vous de philosopher avec cette citation de Blaise Pascal qui lui nous disait ceci :

"L'infiniment petit et l'infiniment grand se rejoignent en Dieu"…

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Par Madame. S
Mardi 21 juin 2 21 /06 /Juin 09:57
21.06.2011
Sangles et sanglots.
 
Je suis à l'étroit dans vos sangles comprimé.
Elles sont de toutes largeurs et me parcourent le corps.
Plusieurs sont dédiées à mes bras qu'elles emprisonnent.
Mes bras tordus dans la douleur sont tirés dans mon dos.
Poignets et coudes restreints, je suis à genoux,
Ventre, poitrine, les sangles me sanglent
Vous m'avez allongé sur le tapis.

Ce sont de belles sangles rouges et noires.
Je vous les ai offertes, vous me les avez posées,
puis serrées, de plus en plus serrées, à étouffer.
En deux tours de cou, m'en avez fait collier.
J'ai le cou tendu et du mal à respirer.
Tout m'est délicieusement pénible quand vous me contraignez.
Mais, dieu que j'aime être contraint par vous !

Combien de sangles à mes jambes ?
Quatre, six, huit sangles me sanglent les jambes.
Et ma petite chose se dresse, timide périscope pitoyable
dans l'entrelacs des sangles si bien serrées.
Vous me bousculez, me roulez sur le tapis.
Sur le ventre vous m'avez allongé, bien sanglé.
Et sur les fesses cravaché. Longuement, durement cravaché.

Moi, boudiné, lacé, sanglé de rouge et de noir, immobile à vos pieds
et mes tétons vous cherchez, mes tétons vous pincez
mes tétons malmenés, tétons pincés, tétons piqués, 
Tétons mordus, tétons fourbus, tétons vaincus.
Mais la plante des pieds cravachés, c'est une idée !
Ca fait mal. C'est dur. C'est long. Je perds pied.
Le temps n'a plus prise. Je suis perdu. 

Au bout de ma petite chose, une goutte blanche a perlé.
Ma petite chose est ligaturée, empêchée de respirer, de cracher.
Petite chose immobile dans son lien figée,
Petit chose immonde dans son lien recroquevillée,  
Petite chose inutile et fouettée.
Sur le dos, sanglé, cravaché à même le plancher
A mes larmes se mélange votre champagne doré.
 
« A »
21.06.2011 2
Et belle fête de la musique à vous tous !
Madame. S

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 3 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S
Lundi 20 juin 1 20 /06 /Juin 14:45

 

Le décolleté de Madame. S
Le décolleté de Madame. S

La beauté de ma Maîtresse,
Par mon fidèle aaron...
Maîtresse, 
                                                
" Préserver l'épanouissement de son soumis en lui imposant avec beaucoup de subtilité sa manière d'être, garant d'adhésion, d'équilibre, et de fusion... Tout de Maîtresse Sylvania tient en ces quelques mots.

Chaque fois, qu'il m'est donné l'honneur de prendre la plume afin de célébrer le culte de Votre Personnalité et de Votre Corps, je vibre et je tremble en m'enthousiasmant sur le sort que Vous m'avez réservé, celui d'avoir été choisi comme l'esclave de Votre Pensée.

Vous êtes la Seule Personne au monde, à me connaître jusque dans le moindre de mes retranchements, Vous me considérez strictement et sincèrement pour ce que je suis et non pas ce que je devrais être.
Devant Vous, j'ai la liberté absolue de perdre une partie de moi-même en Vous la confiant, je Vous imagine la plupart du temps les Bras Grands Ouverts, assise confortablement dans Votre Fauteuil de Gouvernante, en train d'éteindre ce tout petit rien que je suis.

J’admire les personnes qui utilisent leur intelligence comme face cachée de leur pouvoir, mais sans séduction, elle ne sert pas à grand chose. Je pense que Vous l'avez bien compris avant moi, Vous utilisez ces deux arguments, conjointement et fatalement, comme une lame acérée. Je revis en voyant Votre Visage, s'éclairer de ce Sourire remplie de malices, soudain consciente de la fragilité du moment, quand je Vous fais face nue, faible et désorienté, dans une attitude toute tremblante, en n'osant Vous fixer dans les yeux, ceux de l'Elégance, Vous exaltez alors, car Vous avez soudainement conscience de tenir les rênes.

Votre Charme, Votre Beauté, et Votre Subtilité Vous donne le Pouvoir de contrôler Votre Vie comme celle des autres et la mienne en particulier.

Je crois en Vos Couleurs et en Votre Royaume, où jamais le soleil ne semble se coucher...

Vous êtes une Personne particulièrement Intelligente, dont les Conversations, comme les Ecrits sont Brillants, Sincères de Vérités, et Délicieux. Vous profitez de Votre Esprit Visionnaire, sans le moindre code moral, pour conquérir les êtres et les choses. Personne ne peut effectivement décider pour Vous.

Vous ne revenez jamais en arrière, les souvenirs même si Vous les affectionnez, Vous semblent une perte de temps, comme le présent qui semble Vous intéresser à peine, seul le futur semble réellement compter à Vos Yeux, car Vous êtes une Battante.

Vous faites preuve d'un Charme Foudroyant, preuve en est tous ces regards admirateurs qui fondent sur Vous.
A la fois Séduisante et Envoûtante, Vous avez beaucoup d'Elégance en ressemblant étrangement à une jeune marié, pas encore reine mais qui ne tardera pas à le devenir...

De jolie, Madame est devenue Belle à en mourir, en Vous admirant, je pense chaque fois à ces beautés antiques, romaines ou grecs, qui dissimulent sous leurs traits langoureux, un tempérament forgé dans l'acier, laissant la plupart des hommes, tels de minuscules larves, comblés du plaisir d'être piétinés par l'emprise de leurs semelles.
Vous avez l'image idéale, de l'Elégante Mondaine tant convoitée, telle que je me l'imaginais quand, tout jeune, je parcourais les jardins du Château de Versailles, au travers de mes livres d'histoire, ou quand je regardais déjà de cet œil passionné, des feuilletons TV, comme Angélique ou Vidocq. Rien chez Vous ne semble terne, pas même Votre Puissant Champagne que Vous me faites l’honneur de déguster lors de nos rencontres.

Votre beauté est tout sauf frivole, Vous êtes Telle une Pierre Précieuse Parfaite et Bouleversante de Sincérité.

Vos Pommettes Hautes, comme Vos Lèvres semblent avoir été dessinées par un peintre esthète, Vos Traits sont parfaitement réguliers, Vos Grands Yeux Pleins d'Emeraude, tantôt Passifs, tantôt Inquisiteurs offrent un Regard plein d'autorité, à celui qui a envie de s'incliner naturellement sans mentir et sans réfléchir devant Votre Grandeur d’Ame. D'une Carnation Parfaite, je résiste chaque jour qui passe, à l'envie de caresser Votre Epiderme. Même les couleurs subtiles de Votre Gamme de maquillage, ne cesse de me faire vibrer.

Avec la Grâce et les Manières d'une Lady, Vous incarnez parfaitement le destin de la Dame Accomplie, avec cependant parfois, pour celui qui ose y regarder de plus près, le risque d'y trouver une Féline en approche sur sa proie.

Vous ne Vous contentez jamais de "l’a peu près", Vous faites recommencer sans Vous lasser, en épuisant d'un bonheur mérité, celui qui travaille pour Vous, je m'en souviens...

Passionnée, Passionnante, dotée d'une Volonté Etourdissante, Vous ne cédez jamais à la facilité, surtout quand l'effort est supporté par Vos Soumis. Lorsque l'Envie Vous prend, Vous préférez la douceur d'affliger une séance de coups de fouets pouvant rendre Votre esclave sanguinolent ou encore le marquer de Vos Irrésistibles Petites Aiguilles, plutôt que de Vous perdre dans la rigidité d'une conversation stérile.

                                                             Quant à moi, je ne cesse de m'émouvoir en pensant au fait de communiquer avec Vous sans nécessairement Vous parler. J’ai conscience que le temps passe et que les moments de Votre Vie sont importants.

Tout ce que Vous m'écrivez à une répercussion, solaire sur mon esprit, je crois que la nostalgie de Votre Présence reste pour moi un ferment créatif, car sans Vous  et Votre Présence, je serais bien incapable d'écrire en essayant de comprendre le pourquoi du comment ; l'expression écrite n'a jamais été mon fort.

Votre Puissance réside dans le fait d'attribuer une grande portée morale aux aspects les plus banals de mon quotidien, Vous donnez ainsi un sens aux mystères de mon existence, en m'aidant les idéaliser et même les érotiser. En effet, je ne peux plus jamais m'empêcher de penser à notre  Perversion commune, en admirant une orchidée, en observant la solitude d'un animal dans un parc clos, en examinant, les variétés de cadenas, chaînes et autres liens de cordages dans les magasins de bricolage, en voyant des orties éclore, en mariant mes efforts lors d'un exercice physique, en me brossant les dents... en me gavant d'asperges... en visualisant des noix dans une corbeille de fruits...

Bref je devrais plutôt me poser la question, quand n'ai-je pas une pensée pour ma Dominatrice Sylvania ?...

En Vous appartenant, Vous transformez mon rêve absolu, en réalité, j'ai cette chance inouïe de Vous avoir rencontré voilà bientôt 6 ans et je vibre toujours de la même manière chaque fois que je pense à ce lien étrange qui me lie à Vos Pieds.

Votre Compagnie, plus qu'Evidente m'est devenue Vitale, je reste fasciné par Votre Réussite, Votre Volonté, Votre Ambition, Votre Plaisir, ainsi que par Votre Courage, mis à rudes épreuves les derniers temps.
Tout, chez Vous me plaît, je me prosterne devant Vous, comme devant Vos Attributs, telle que Votre Insistante Demeure, Vos Précieux Bijoux ou bien Vos Nobles Tissus, Votre Veste en feutre gris ne cesse de me troubler, même quelques années après. Vous avez ce rare Talent d'entretenir Votre Beauté, de La mettre en valeur, et de La magnifier.

Vous m'avez appris à concilier l'inconciliable, Vous m'avez appris Votre Manière d'être, une manière d'envisager Votre Vie. Ma dépendance vis à vis de Vous passe inévitablement par la négation de moi-même. Je Vous en remercie du fond du cœur, Votre Aide m'est alors profondément précieuse et Votre Avis toujours Judicieux. Je suis prêt à toutes les folies pour satisfaire Vos Envies.
Je ne suis qu'un prolongement, qui Vous permet d'être Surprenante de vérité, en Vous appelant  Maîtresse Sylvania.

Je ne suis que le marche pieds de Votre Impressionnante et Irrésistible Ascension, tant Familiale, Amoureuse, Mondaine, ou Professionnelle. Vous représentez à mes yeux le message de l'Autorité Suprême.

Je Vous promets de ne jamais me présenter comme un obstacle à Votre Ambition, mais au contraire de tout faire pour Vous  aider  à y parvenir.

minuscule aaron -  26.05.2011
aaron,
Que te dire de plus après cette belle déclaration de soumission, de dévotion et d’amour pour ta Maîtresse, les lecteurs apprécieront (ou non) à la juste valeur de tes mots, qui me touchent profondément.
Je suis heureuse d’avoir un soumis de qualité à mes pieds, depuis déjà tant d’années...
Je suis heureuse aussi de te guider, pas après pas, sur le chemin qui m’anime, celle de te faire devenir un presque parfait sujet. Mais tu sais que tu en es loin et que tu ne le seras peut-être jamais... Courage ! L’inaccessible n’este-t-il pas délicieux et source de motivation ! ? Et une Maîtresse digne de ce nom, ne peut être qu'intellligente pour arriver à te guider dans ta quête, oh combien sérieuse et sincère...
C'est beau, tout simplement.
Mais avançons, ensemble et continuons sur cette belle route qui illumine nos vies.
Madame. S

 

 

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 4 commentaires - Publié dans : Lettres intimes
Par Madame. S
Dimanche 19 juin 7 19 /06 /Juin 11:37
Billet d'humeur...

Un bain pour se détendre en musique...

Et pourquoi ne pas vous prélasser dans votre bain ce matin et vous faire dorloter par votre petit soumis, qui vous lavera les cheveux et le corps en musique ? Un délice !
Bon dimanche...

 

link

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Par Madame. S
Samedi 18 juin 6 18 /06 /Juin 09:30
18.06.2011
Billet d’humeur avec un poème de ma composition...

Il faisait chaud… J’...

Je me suis installée face à la cheminée. Il faisait chaud et c'était bon.
Je me suis mise à nu...
Je n'ai pris aucun complément d'objet. Je me voulais là, seule et vierge de vêtements.
Mes lèvres étaient déjà gonflées. Et j'avais envie d'y coller mes doigts.
Je regardais les flammes ; Mais de quel enfer ?
J'essayais de t'imaginer là. A me regarder. 
J'aurais aimé que ce soit toi qui soit là, sous moi ; A me lécher goulûment ;
J'aurais ordonné, tu aurais obéi.
J'imaginais ta langue s'enfouissant dans mes entrailles.
J'ai branlé, lentement..... Si lentement que cela en devenait insoutenable.
Je devais accélérer, je n'en pouvais plus.
Tu ne pouvais plus me toucher, à un moment je t'ai écarté de mon visage. Et...
J'ai du très brutalement accélérer mes gestes, j'avais trop envie de jouir.
J'ai crié, hurler de bonheur.
Pour toi...
Avec toi dans mes pensées.

Madame. S - 2005
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 3 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S
Vendredi 17 juin 5 17 /06 /Juin 08:33
17.06.2011 
« Madame est de mauvais poil ! Un week-end à la montagne... »
- 4 -

...Comme j'allais demander une fois de plus "C'est vous Madame ?" Un sexe de femme s'est posé sur ma bouche et a englouti mon nez. Ce n'était pas Madame. Je la reconnaîtrais entre cent, à son parfum intime. Cette femme avait néanmoins un parfum intime intéressant, moins sucré, légèrement amer et beaucoup plus salé mais avec moins de force. Madame a un parfum fort, surtout l'après-midi et en fin de journée, qui me fait chavirer.

Elle s'est mise à bouger sur mon visage tandis que des mains - celles de Madame, certainement - me malaxait la queue et les couilles étroitement ligaturées. Ca me faisait très mal. Mais j'aimais les souffrances que m'infligeait Madame. Les deux personnes se sont levées en même temps. J'ai cru entendre des éclats de rires au-delà de la musique qui m'agaçait les tympans.

C'est Madame qui s'est assise sur mon visage. Je l'ai reconnue immédiatement à son odeur, à son goût et aux poils drus de sa toison. Je l'ai léchée avec application, alternant douceurs et pénétration de la langue bien tendue. Je sais que Madame aime cela par-dessus tout. Pendant ce temps, la bouche de la propriétaire me suçait la queue avec une certaine frénésie. Je me sentais prêt à éclater... de bonheur.

Chaque fois que les mains qui maintenaient ma queue sentait venir une contraction caractéristique, tout s'arrêtait. Manifestement, le but était d'éviter toute éjaculation. D'autre part, j'avais le visage mouillé de la bonne liqueur de Madame sucrée et salée à la fois, comme un beignet chinois, avec à l'intérieur cette grosse crevette à quoi me faisait penser la vulve de Madame toute ferme dans ma bouche. 
 
Lorsque tout s'est arrêté, on m'a détaché les pieds et les genoux. On a ôté entièrement mon pantalon et mon slip afin que je sois entièrement nu. On m'a fait lever, on m'a enlevé les menottes, toujours aveuglé par le bandeau. On m'a fait marcher et j'ai senti le vent tiède sur ma peau. Nous étions dans le jardinet, à l'arrière du chalet, m'a-t-il semblé ; Le gravier de l'allée me faisait mal aux pieds.

On m'a adossé à un arbre - j'en ai reconnu la rugosité de l'écorce - auquel on m'a ligoté si étroitement, comme je ne l'avais jamais été. J'ai toujours aimé être ainsi ligoté. Ca remonte à l'enfance, à nos jeux d'enfants au cours desquels j'ai eu des plaisirs de cet ordre tout-à-fait extraordinaires.
 
J'ignore combien d'heures s'étaient écoulées lorsqu'on m'a détaché de l'arbre.
On a du me soutenir.
On m'a fait rentrer dans le chalet.
On m'a fait asseoir sur une chaise.
On a défait le bandeau et j'ai eu très mal aux yeux.
Je me les suis cachés à l'aide des mains afin de me réaccoutumer lentement à la lumière artificielle qui régnait dans la pièce.

Madame était assise en face de moi, vêtue de l'ensemble de vinyle que je lui avais offert tout récemment et qu'elle n'avait jamais porté. Elle était très belle. J'étais fier de ce cadeau. Madame me souriait.

Devant moi, la table était dressée : Une jolie nappe de dentelle blanche, de la vaisselle de grès bleu et gris, des couverts, un grand plat de salade composée, un autre de pommes de terre froides persillées, un poulet rôti, du pain frais, une bouteille de Riesling dans un seau à glace, et, au centre de la table un petit bouquet de fleurs sauvages où dominaient le bleu et le rose pâle, du plus joli effet. C'était une très jolie table.

Nous nous sommes regardé. Nous avons souris. Nous avons éclaté de rire.
- Tu fais moins de bêtises quand tu es attaché ! Allez, va vite t'habiller, vermisseau. J'ai faim.
 
FIN
« A » - 3 juin 2011
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 3 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S
Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 09:17
16.06.2011
« Madame est de mauvais poil ! Un week-end à la montagne... »
- 3 -

...Quelques minutes à peine après que Madame ait quitté le chalet, la porte s'est ouverte. J'ai entendu marcher sur le plancher.
- C'est vous, Madame ? Ai-je demandé.
On n'a pas répondu. Mais on s'est approché de moi. On a débouclé la ceinture de mon pantalon et il a glissé le long de mes cuisses. Les mains ont aussi abaissé mon slip sur mes genoux.

Puis j'ai senti sur mes fesses et mes cuisses les coups de cravache tomber sèchement. J'ai crié. J'ai bandé. Un coup sur la queue m'a fait débander en un instant. Puis, les lanières d'un martinet lourd se sont abattues sur moi. A la moindre érection, un coup la faisait retomber.

Au bout d'un moment interminable et délicieux, tout s'est arrêté.

On a détaché la corde qui m'étirait vers la poutre. On m'a maintenu sous les aisselles pour m'allonger sur le sol où je suis resté ainsi longtemps, allongé sur le dos. Des mains m'ont ligaturé les testicules et le sexe à l'aide d'une cordelette. De temps à autres, quelques coups de martinet tombaient et je me roulais par terre. J'étais toujours aveuglé par le bandeau.

J'ai senti que l'on tirait sur les liens de mes chevilles. Puis on a tiré sur mes poignets, par les menottes, afin de m'étirer le plus possible. Mes bras, surtout me faisaient mal. Mais c'était bon. On avait dû attacher mes chevilles et mes poignets à des madriers de la charpente du chalet entre deux murs opposés.

J'ai redemandé : "C'est vous, Madame ?"
On n'a pas répondu.

Je suis resté étiré ainsi un très long moment. J'entendais marcher autour de moi. La porte qui s'ouvrait et se refermait. Il devait y avoir plusieurs personnes dans la pièce, au moins deux, peut-être davantage. C'était évident. On a placé sur mes oreilles ce que j'ai pris pour un casque audio. C'en était un. Et une musique électronique a été diffusée. Le genre de musique que je déteste, linéaire, sans relief, lancinante. J'ai alors compris que Madame était là. Mais elle n'était pas seule. Il y avait des voix autour de moi. Mais j'étais incapable de les reconnaître, étouffées par la musique.

On s'est assis sur ma poitrine. J'ai senti des poils se mêler aux poils de ma poitrine. C'était une femme. Ce ne devait pas être Madame. Elle n'est pas spécialement légère, mais cette personne était bien plus lourde encore. J'ai pensé à la propriétaire du chalet. Cette grande et forte femme rousse aperçue la veille. Une autre personne s'est assise sur mon bas-ventre.
Cette fois, c'était Madame. J'en étais certain...
A suivre...
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 2 commentaires - Publié dans : Récits et écrits de soumis...
Par Madame. S
Mercredi 15 juin 3 15 /06 /Juin 08:35

 

15.06.2011
« Madame est de mauvais poil ! Un week-end à la montagne... »
- 2 -

...Le jour s'est levé. Un soleil pâle s'infiltrait entre les rideaux mal fermés et éclairait la pièce.
Madame s'est réveillée. Pas de meilleure humeur que la veille au soir.
- Tu n'as même pas pris garde à fermer convenablement les rideaux ! Il n'est que six heures et me voilà déjà réveillée à cause de ta négligence ! Vraiment, qu'est-ce qui m'a pris de t'emmener en week-end ! Mais enfin, j'ai très bien dormi. Je suis reposée. Nous allons pouvoir marcher dans la montagne. Je vais juste te détacher les poignets. Tu libéreras le reste toi-même. Et prépare un petit déjeuner digne de moi. Rachète-toi de tes erreurs !
- Bien Madame.

Madame est entrée dans la salle de bain. Je suis allé à la cuisine préparer le café, réchauffer au four les petits pains afin qu'ils soient frais et croustillants. J'ai mis à table le beurre, le miel, une confiture de fraises et une autre d'abricots.
Tout-à-coup, j'ai entendu des cris venant de la salle de bain, et des jurons !
Je suis accouru, paniqué.
- Où sont les serviettes ? Il n'y a pas une seule serviette alors que j'en avais emporté !
- Pardon, Madame. Elles sont restées dans la chambre. Je vais les chercher.
- Il faut toujours tout réclamer ! Tu ne penses à rien mon pauvre. Tu dois devancer mes besoins et mes envies ! Tu ne sembles pas le savoir. Enfin, nous repartirons ce soir. Je n'ai pas envie de rester plus longtemps avec toi. Une nuit de plus me serait insupportable.

Madame me déchirait le cœur. J'étais triste d'avoir manqué à mes devoirs envers elle, mais j'étais tellement perturbé par la tournure étrange qu'ait pris notre week-end, dès la veille...
- Essuie-moi le dos, les jambes et les pieds. Le reste, tu n'y as pas droit. Et ne regarde pas mes seins, ni mon sexe. Je te l'interdis.

J'ai laissé Madame seule dans la salle de bain et suis retourné à la cuisine. Une fumée bleue s'échappait du four. Je l'ai éteint, et ai ouvert la porte et toutes les fenêtres afin d'évacuer la fumée qui piquait les yeux.
- Tu es un incapable, m'a dit Madame, en entrant dans la cuisine. Il ne te reste plus qu'à aller chercher des croissants et du pain au village le plus proche. J'ai vu qu'il y avait un vélo dans la remise. Sois ici dans une demi-heure. Je n'aimerais pas attendre davantage.
- Bien Madame.

Il y avait effectivement un vieux vélo dans la remise. Les pneus étaient presque à plat et, évidemment, pas de pompe à l'horizon pour les regonfler. J'ai néanmoins enfourché la bécane qui grinçait à chaque tour de roue. La selle mal fixée bougeait sans cesse d'avant en arrière et un ressort me piquait la fesse. J'ai néanmoins parcouru les trois kilomètres me séparant du village. La boulangerie était encore fermée et n'ouvrait ses portes qu'à 7h30. Il n'était que 7h15. J'ai attendu assis sur les marches.

Dès que le boulanger est venu ouvrir sa porte, je me suis précipité à l'intérieur. On bonne odeur de pain chaud régnait dans la boutique. J'ai acheté les croissants, des petits pains ronds aux graines de pavot, un beau pain tout frais pour le repas de midi. Et j'ai renfourché la bicyclette grinçante. Deux chiens m'ont suivi en aboyant sur deux cents mètres.

En arrivant au chalet, j'étais en nage. Mais la voiture de Madame n'était plus là !
Il y avait un mot sur la table : "Je suis en colère contre toi. Tu es en retard. Je suis allée déjeuner à Obernai. Je ne t'autorise qu'un seul pain sans beurre ni miel ni confiture. Sois fin prêt à mon retour. Nous allons marcher. J'ai besoin d'exercice."

Je me suis effondré sur une chaise, exténué. Je n'avais presque pas mangé la veille, n'avais pas fermé l’œil de la nuit. Je me suis versé un bol de café tiède. Décidé à désobéir, je suis allé au frigidaire prendre le beurre et la confiture. Il était vide. Il y avait juste un billet sur la grille : "J'ai dit sans beurre ni confiture !".
J'ai quand même engouffré les deux petits pains au pavot et les croissants. Madame ne saurait quand même pas ce que j'avais acheté. Elle n'en saurait rien.
 
Madame est rentrée une heure plus tard. J'avais débarrassé la table et éliminé toutes traces de miettes de pain et de croissants. Elle portait un fin pantalon de toile, des chaussures de jogging et un pull de fin lainage clair. Je ne l'avais jamais vue dans pareille tenue. Elle était aussi belle que dans ses tenues de cuir ou de latex.
- Je sais que tu m'as désobéi, m'a dit Madame en arrivant. Je suis passée à la boulangerie où tu as acheté des pains au pavot et des croissants. Où sont-ils ? ... Tu les as mangés, n'est-ce pas ! Tu seras puni très sévèrement, je peux te l'assurer.

J'avais mal au crâne à cause du manque de sommeil. Les croissants trop gras me faisaient mal à l'estomac. Je l'ai dit à Madame.
- C'est bien fait pour toi. Tu as ce que tu mérites. J'irai me promener seule. Je ne te veux pas à mes côtés. Ainsi tu pourras te reposer. Mais je vais t'attacher.

Madame m'a attaché les poignets à l'aide de menottes d'acier. Elle a noué une corde de nylon noir à la chaînette reliant les deux bracelets et l'a attachée à une poutre du plafond, afin que je sois étiré, sur la pointe des pieds. Puis elle a lié mes chevilles et mes genoux joints et m'a bandé les yeux à l'aide d'une bande de fin latex enroulé plusieurs fois autour de ma tête.

Et Madame a quitté le chalet...
 A suivre...

 

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Par Madame. S

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  • D/s...
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  • Se maquiller en toute tranquilité...
  • Le décolleté de Madame. S
  • Un joli fouet...
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