Lundi 25 avril 1 25 /04 /Avr 09:03
23.04.2011
Les pratiques…
Et la "relation", le "partage" D/s…
- 2 -
La confiance :

Selon votre ou mon expérience, la confiance est presque un sujet tabou. Certains ont peut être eue la chance de ne croiser que des dominatrices dont on rêve et auront de bons souvenirs. Mais je pense que la majorité d’entre nous, je parle autant pour les Dominatrices que les soumis, auront vu leur rêve s’évanouir...

Fort heureusement il m'est arrivé de vivre de belles histoires, mais il faut bien se l’avouer, ces belles histoires sont rares. Différents cas de figures se présentent à nous :

J'ai souvent été déçue par des pseudo soumis qui ne recherchaient à vivre qu'une relation dite ponctuelle et qui étaient en attente uniquement de « leur petit plaisir » et qui ne s'intéressait pas à moi spécialement. J’ai la chance de m’en rendre compte et cela se ressent rapidement chez les fantasmeurs !
Je ne juge pas une personne qui souhaite vivre de façon éphémère son fantasme, mais qu’il soit honnête dans ce cas et des le début de la relation. Nous avons tous des attentes diverses. Et je comprends également qu’un homme marié ait du mal à se libérer pour une nuit ou une journée entière.

A vous de savoir ce que vous voulez partager avec votre Dominatrice et le temps que vous puissiez lui « offrir ».
 Réfléchissez bien à cela avant même de commencer à chercher celle que vous adulerez.

Je vous dirai que je peux aussi comprendre une femme qui souhaite vivre son coté dominant et ce à des moments bien précis et qui souhaite conserver une vie de famille par exemple. Mais pour la majorité des femmes dominantes, nous avons toutes besoin d'un week-end par exemple pour instaurer ce climat de confiance et partager. Je ne peux dominer un homme de 17 heures à 18 heures 30 !
J’ai besoin de temps pour m’occuper de lui...
J’ai besoin de temps pour qu’il s’occupe convenablement de moi...

Mais que diable, affichez clairement vos idéaux et ce des le début de la relation !
Cela fait partie également du climat de confiance dans la relation qui pourra alors peut-être s’installer.

Ou dites simplement que vous ne recherchez qu'une relation de type ponctuel !

Ne perdez pas votre temps et le ne faites pas perdre à la dominatrice avec qui vous êtes en contact.
Respectez la relation D /s...
Et une dernière chose, si vous ne souhaitez pas poursuivre les échanges qui ont débutés entre vous et elle, envoyez-lui un simple sms, un mail de quelques lignes, en lui disant que vous souhaitez tourner la page. Cela ne vous prendra que quelques minutes et vous repartirez, certes la queue basse, mais laisser une personne sans nouvelles peut être inquiétant et est pour moi synonyme de mépris.
J’ai même eu l’occasion de connaître des événements inattendus, comme ce dîner avec un soumis qui a eu un accident de voiture après notre dîner. Je ne l’ai su que 6 mois plus tard...

Ne laissez pas une dominatrice dans le flou ! Ou alors vous ne savez pas ce que veut dire le mot respect, principe fondamental dans ce type de relation.
Aimeriez-vous, vous-même que cette femme vous laisse ainsi, sans vous faire part de sa volonté de vous revoir ou non ?
Il y a tant de déceptions que parfois les rencontres entre D et s sont faussées. Soyez sincères !

Cela sent le vécu ! Oui ! Mettez-vous toujours quelques instants à la place de l'autre. Etre caché derrière un écran ne vous permets pas d'en devenir moins humain. Respectez l'autre et d'autant plus si cette femme est dominante…
J’ai multiplié les rencontres pour en faire un constat amer. Dorénavant, je choisis avec plus de minutie mes partenaires et j’évite de me déplacer pour rien ! Chaque rencontre est différente, souvent enrichissante il est vrai, mais souvent décevante car vous avez fantasmez par le biais de trop longs échanges sur Internet. Ne rêvez pas devant un écran. Rencontrez-vous rapidement si vous sentez cette petite étincelle qui s’active en vous.
Ou au contraire, ne rencontrez pas cette personne et dites stop ! Mais décidez-vous rapidement.

Je pense qu’Internet nous à permis de nous rencontrer plus aisément la personne que l’on espère et cela est un outil formidable pour s’aborder et se reconnaître. Il est vrai qu’il est difficile d’arriver dans un dîner et de vous présenter en tant que femme Dominatrice qui recherche un soumis !
Mais Internet a tout gâché également ! J’ose le dire, car à mes yeux c'est le net qui a permis à de nombreux farfelus de s'auto-proclamer soumis alors qu'il n'en est rien. 
Et malheureusement ce sont les vrais soumis qui parfois en font les frais, car à force d'avoir à faire à des plaisantins on doute de tout le monde. 

La confiance se mérite, mais uniquement dans le temps et par les marques et preuves de respect que vous apportez à votre Maîtresse. Elle doute, lassée par tant d'histoires sans fond…

Aidez-la à y croire, encore…
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Par Madame. S
Dimanche 24 avril 7 24 /04 /Avr 09:54
24.04.2011
Aujourd’hui, c’est Pâques !

Petit clin d’oeil à tous les petits soumis...
Avez-vous fait votre récolte d’œufs dans votre jardin, ou dans votre appartement ?

J’aurais quelques idées pour vous, petits soumis, si nous faisions ensemble la chasse aux œufs, quelqu’un serait-il intéressé pour l’année prochaine de faire quelques photos à l’appui ?
Eclats de rires…

Ou alors, votre Dominatrice s’est elle occupé personnellement de vos œufs ? Quelle chance !
Attention aux excès en tous genres, vos petits oeufs sont sans doute très fragiles, pauvre petites coquilles fragiles de petit poulets...

En attendant, profitez bien du soleil qui règne depuis plusieurs jours et ne laissez pas vos jolies petites fesses blanches rougir au soleil, il serait dommage de ne pas laisser ce soin à votre Dominatrice de vous les zébrer de sa propre main !

Ou alors, pour Pâques, n’aurait-elle pas envie de vous sonner les cloches ?

Joyeuses Pâques à toutes et tous...

24.04.2011 2

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 5 commentaires - Publié dans : Divers fêtes et occasions
Par Madame. S
Vendredi 22 avril 5 22 /04 /Avr 09:43
22.04.2011
Les pratiques…
Et la "relation", le "partage" D/s…
- 1 -

Je sais, vous allez me dire que chaque Maîtresse est différente, qu'il est difficile de trouver chaussure à son pied, que vous appréciez telle ou telle pratique, que certaines dominatrices ne sont pas orientées sur vos envies, que vous êtes souvent déçu de vos rencontres du passé, que toutes sont des femmes vénales que tout est compliqué. Que sais-je encore…

Vous êtes souvent aigri, mais ne croyez-vous pas que moi-même je suis déçue en me disant que je n'ai pas trouvé la perle rare (et pourtant je croyais l'avoir croisé un jour…)…
Certaines femmes, même vénales vous apporteront (ou vous ont apporté) un moment de perversité et je ne suis pas la pour juger une femme qui demande une offrande à ses services. Elle est peut être dans le besoin ou à fait le choix d'en faire son métier…

L'osmose entre une dominatrice et son sujet est rare. Et vous ne trouverez pas la dominatrice qui vous fait vibrer à chaque coin de rue, simplement parce qu'elle représente vos fantasmes, car elle est blonde ou brune, avec des cuissardes ou des escarpins. Allez chercher un peu plus loin, prenez le temps de vous poser les bonnes questions pour aboutir à une relation de qualité, si vous voulez que cette histoire soit durable, belle et complice.

Mais arrêtez donc un peu de vous plaindre !
Allez, venez vous coucher à mes pieds, dans votre panier et écoutez-moi…

Vous êtes-vous seulement demandé si vous cherchiez dans la bonne direction ? Si vous aviez simplement pris le temps de "comprendre" la femme qui est face à vous. Qui elle aussi à des envies et qui reste femme avant tout ? 

La notion de respect dans la relation D/s?

Ce mot vous dit-il quelque chose ? (Pas toujours certains minables que vous êtes !)
Inversement, la dominatrice de vos rêves vous respecte énormément et c'est elle qui prend soin de vous… C'est à elle qu'incombent les responsabilités pour vous assurer une sécurité dans chaque acte ou pratique.
Souvent, vous ne vous souciez même pas de cette Maîtresse de qui vous attendez tout ! Vous pensez seulement à vos jolies petites fesses à rougir. Réfléchissez un peu avant de vous jeter dans la gueule du loup. Et si je vous dis cela aujourd'hui, c'est que je trouve le rapport évident entre les pratiques et la relation bdsm entre un soumis et sa Dominatrice.

Les droits de la dominante et l'acceptation.

Certes, pour commencer je vous dirais qu'une Maîtresse à tous les droits face à son esclave. Cela est légitime et vous n'y changerez rien. C'est dans la logique du dominant et du dominé. Chacun ses goûts et Dieu sait qu'il y en a beaucoup dans la nature. Vous n'aimez pas son champagne ? Posez-vous les bonnes questions. Ne suis-je pas en train de refuser à ma Divine ce fabuleux nectar qu'elle me donne, m'offre et qui vient d'elle ? Cela est normal et vous devez "La" boire. Elle est faite de liquides d'une qualité rare. Ne gâchez jamais cela.

La dominatrice décide de ses châtiments et l'esclave n'est pas en droit de refuser quoi que ce soit qui vienne d'elle. Je vous dirais également pour ma part qu'il est impossible de renoncer à la cravache par exemple. Magnifique objet terrifiant mais aussi caressant. Prolongement naturel de la femme dominante.
Mais avant tout, c'est à elle de se faire PLAISIR…

La Dominatrice certes en position Dominante, mais respecter les tabous et limites d'un sujet est aussi une chose importante. 
Même Dominatrice je ne franchis jamais les limites de mes sujets. C'est après une question de confiance de dialogue, de dépasser ses limites et de progresser et avancer en totale confiance dans une totale harmonie. 
Enfin cela m'est propre. Une relation D/s se construit petit à petit et c'est au fil du temps qu'on arrive souvent à faire accepter à son soumis des actes qu'on aurait jamais pû vivre quelques temps auparavant. 

Mais je vous dirais aussi bon sang mais OSEZ !

Osez tout dire à votre Maîtresse. Je vous parlais de vos plaintes et jérémiades en débutant ce texte, mais n'êtes-vous pas également responsable d'une histoire qui à pris fin alors que vous ne saviez pas vraiment pourquoi ? Vous savez bien que toute dominatrice à le choix de ses sujets; Ils courent les rues et les sites internet ! N'oubliez jamais cela; Elle, ne vous regrettera peut-être pas, mais vous ? Avez-vous pensé à vous si elle vous rend votre liberté. Vous retrouver sans collier est terrifiant. Ce que vous pouvez perdre si vous ne lui obéissez pas ou si vous lui refusez certaines pratiques.

Parlez ensemble, communiquez et confiez-vous à elle.

Elle est là pour vous écouter et surtout, vous entendre...

Faites-lui confiance...
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Par Madame. S
Jeudi 21 avril 4 21 /04 /Avr 09:30
21.04.2011
Littérature...Textes choisis…...
Un peu de littérature… Textes choisis…

"... La femme ne sent son pouvoir qu'autant qu'elle en abuse."

"L'amour ressemble à la soif : une goutte d'eau l'augmente."

"La dépravation suit le progrès des lumières."

"La plus vertueuse des femmes n'est qu'une coquette plus raffinée...."

"Le bonheur ... est un fruit délicieux, qu'on ne rend tel qu'à force de culture."

"Le mérite produit une inégalité juste."

"La pudeur des femmes n'est que leur politique ; tout ce qu'elles cachent ou déguisent n'est caché ou déguisé que pour en augmenter le prix quand elles le révèlent."

"Les mœurs sont un collier de perles; ôtez le nœud, tout défile."

"Princes, régnez sur des hommes; vous serez plus grands qu'en commandant des esclaves."

"Le bonheur n'est pas une plante sauvage, qui vient spontanément, comme les mauvaises herbes des jardins : c'est un fruit délicieux, qu'on ne rend tel, qu'à force de culture."

"Je m'aperçu bientôt que l'amour ressemble à la soif : une goutte d'eau l'augmente."

Soyons hommes, et ne soyons que cela; aussi bien c'est une entreprise absurde que de vouloir être davantage.

Nicolas Edme Restif de La Bretonne
(1734-1806)
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Par Madame. S
Mercredi 20 avril 3 20 /04 /Avr 09:23
20.04.2011
Madame.S et les deux petits soumis...

Récit personnel Lyon... - 11 –

Fin du récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

...Ensuite, nous remontons au premier pour boire un verre. J’ai bien besoin de me désaltérer après toutes ces émotions !
Bien que des personnes soient déjà parties, il reste encore beaucoup de couples affairés dans chaque coin de la maison et les bruits qui viennent de loin ne laissent aucun doute sur le supplice des soumis. Des coups de cravache et de fouet cinglent encore dans ma mémoire…
D’autres personnes font l’amour, ici et là… Je ne suis pas là pour le sexe… Mais ces petits soupirs et autres gémissements ne me laisse pas indifférente. Je ferais l’amour en rentrant à l’hôtel.
Images cruelles, images sensuelles, quel délicieux mélange…

A la fin de soirée, je demande à mon sujet de se coucher sur une longue table en bois dans le salon. Il y a un feu dans la cheminée et il fait chaud.
Je l'attache solidement avec ses bracelets de cuir qu'il porte aux chevilles et aux poignets ;
Le voilà à ma merci, à nouveau. Je demande à pierre, soumis de mon amie dominante Cathy à mes cotés, de s'allonger à son tour sur mon sujet. Le poids de pierre est moindre de celui de Fred. L’inverse aurait été envisageable, mais nous n’aurions pas pu les laisser un long moment ainsi, à les admirer, entassés.
Le tableau est très drôle. D’autres dominatrices viennent s’asseoir à mes côtés pour apprécier le spectacle.
Ce « sandwich d’hommes » est très alléchant et je ne peux m’empêcher de m’approcher pour les caresser de mes mains tout d’abord…

Je les fouette avec ce martinet à lanières de cuir assez fines, qui laisse de jolies traces et je les griffe pour leur laisser mes empreintes...
J’aime les caresser tour à tour. Ces deux corps meurtris sont si beaux. On aimerait presque les voir s’emboîter.
Leurs sursauts doivent troubler celui qui est en dessous ou au-dessus ;
Je leur demande de me lécher les doigts et je les enfonce dans leur bouche, tour à tour.
Je m'occupe de leurs seins et à nouveau, le martinet...  Quel enchaînement. Ils semblent apprécier leur torture, mais aussi un certain plaisir. Leurs gémissements ne trompent pas…

Maîtresse Cathy monte sur le dos de pierre. Fred est en dessous. Le poids de deux personnes sur lui doit être difficilement supportable mais il ne dit rien ! Maîtresse Cathy s’amuse et joue à la belle cavalière ! Elle trône sur ces deux pauvres petits soumis et elle est fière ! Elle est belle dans son ensemble fait de lacets et maille.
Soudain, je demande à pierre, qui ne s’y attendait pas, de se reculer.
Et je donne l’ordre à mon soumis de jouir dans sa main, puis d’avaler le tout sans faire aucune histoire...
Les dominatrices  présentes dans la pièce, regardent, amusées... Elles aiment le spectacle et font des commentaires à tout va...  Elles humilient tour à tour Fred et pierre. Ils sont rougissants et ils n’osent rien dire.
Ils n’ont pas la permission de se plaindre.

La fête à durer toute la nuit, fait de jeux avec divers dominas. Des petits sujets, pleurnichant pour leur cause. De petites exhibitions mais sans grande qualité.
Certaines dominatrices ne m'inspiraient pas et je n'ai pas eu envie de nouer un dialogue. Le feeling, cela ne s'invente pas. Maîtresse Cathy m'a plu pour sa simplicité et sa façon de parler du bdsm. Et leur couple, exemple rare dans ce milieu, m'a laissé rêveuse.

L'amour entre sa Dominatrice et son sujet est-il possible ? Voilà un vaste sujet que je développerais plus tard…

Je ne vous ai raconté ici que mes meilleurs souvenirs. Merci à Pierre et Cathy, couple amoureux dans la vie, d’avoir partagé avec moi et Fred d’aussi bons moments complices…

Impressionnant, car ici tout est possible, et naturel. Et surtout réel...

Voici donc mon premier récit, par bribes de souvenirs... 
Repartie fatiguée de notre nuit d'ivresse. Je prends le volant pour rentrer sur Lyon... Fred s’endort à mes côtés dans la voiture qui roule tranquillement sur l’autoroute qui nous mène à l’hôtel.
Le jour se lève.
Je m'effondre dans le lit de ma chambre d'hôtel. Fred lui dort déjà.
Je me couche, épuisée, en regardant ma montre.
Il est 7 heures et le soleil s’est levé et entre par la fenêtre et sur la jolie place Bellecour, presque déserte à cette heure...

20.04.2011 2

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 2 commentaires - Publié dans : Récit intime Lyon
Par Madame. S
Mardi 19 avril 2 19 /04 /Avr 10:07
19.4.2011
Récit personnel Lyon... - 10 –

Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

...pierre est maintenant attaché à sa chaise avec des jolies menottes d’acier.
Je le laisse là, un peu seul, assurée qu’il ne peut se libérer...

Une dominatrice, puis une seconde, avaient laissées là leur soumis ; Elles venaient donner un coup de cravache par-ci par-là, ou se faisaient masser les pieds, installées confortablement dans les canapés de cette pièce aux murs de couleurs pourpres et chaudes.
Les pauvres toutous attendaient leur Maîtresse, tête basse et ne pouvait qu'accepter leur sentence.
Rester là, attendre, langue pendante, assoiffés…

Une soumise, elle, avait été aussi abandonnée par son Maître, attaché à une croix de Saint-André. Les passants avaient le droit de la toucher, à n’importe quel endroit de son corps… Cela était très excitant. On sentait bien qu’elle redoutait ses mains inconnues.
Ses yeux craintifs exprimaient ses sentiments.
Elle semble être très sensible quand on lui caresse sa poitrine. Elle tressaute à chaque main qui la touche.
Certaines caresses semblaient plus appuyées et il y avait des hommes qui en profitait pour lui faire vraiment mal semble-t-il. D’autres, étaient plus légers dans leurs mouvements et savouraient la chair de cette jeune femme à la peau blanche. 

Elle répétait sans cesse aux personnes qui s’approchaient : « Vous pouvez me caresser, mon Maître vous le permet, il veut que je sois là pour votre plaisir et quand il reviendra, je lui serais encore plus dévouée et je suis très heureuse et excitée de lui avoir fait plaisir… »
Une femme déposa deux pinces à linge sur ses tétons.

Brune, ses cheveux foncés tombaient sur ses épaules. Ses seins étaient de taille honorable, mais pas très gros, avec une large aréole. Et assez beaux, proportionnellement à sa taille de guêpe.
Elle était vraiment jolie oui. Ses poils pubiens étaient bien présents et elle avait de grands yeux marron.
La plupart des hommes lui caressaient les seins, les femmes elles allaient la caresser et étaient plus sensuelles entre elles. Simplement toucher sa peau et la chaleur que son corps dégageait.
Et moi ? Je suis allée caresser cette femme, ou plus précisément ma main à frôler sa joue, puis son cou.
Elle m’a regardé, attendrie et j’ai senti que j’aurais pu la mettre à mes pieds.
J’ai forci mon geste.

J’appuyais sur sa gorge ma main.
Son regard était beau et tendre.
Elle aimait les femmes, sans doute...
Mais je ne peux m’occuper d’elle, dommage...
Une petite chose attend sagement sur son fauteuil que je vienne le délivrer.

Je me retourne, car je sens que Pierre ne sait ce qui va lui arriver avant que je ne le libère. Il est apeuré et j’aime cela.
Je lui caresse délicatement la joue, puis…

Je le gifle !

Son étonnement est certain. Il baisse la tête et me dit « merci Madame, merci pour tout ce que vous avez bien voulu m’infliger. Je suis honoré que vous ayez voulu vous occuper de moi pendant ces longs instants de bonheur. Je ne vous oublierais jamais, Maîtresse... »
Je lui réponds : « Tu as été un bon sujet pierre, obéissant et soumis, je te recommanderai à mes amies, si d’aventure… »
« Et maintenant va ramper jusqu’aux pieds de Ta Déesse… »
Je le renvoie à quatre pattes, avec son collier à sa Maîtresse…
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Par Madame. S
Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 10:38
17.04.2011
Récit personnel Lyon... - 9 –

Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

...Je redeviens alors plus sage.
Comment plus sage ? 
Plus gentillette tout au plus ! Je le regarde fixement dans les yeux et je commence à le branler de mon escarpin. Je demande à pierre de se mettre sur le dos. Et d’attendre mes ordres !
Il est là, face à mes jolis pieds. Le bout de ma chaussure frôle ses testicules ! Aurait-t-il peur que j’enfonce un peu plus l’extrémité de ma chaussure ?

Il aime, je le vois. Cela l'excite et il en redemande. Ses yeux deviennent à leur tour pervers, puis demandeurs. Soudain, j'enfonce un peu plus le talon de mon escarpin sur sa tige. Plus précisément sur le bout du gland. Je fais mine de faire entrer mon talon fin dans ce petit trou qui est la terminaison de son sexe.

Il a peur…

J'écrase son gland, un peu plus fort. Il ne sait si je vais oser faire entrer quoi que ce soit dans son membre. Finalement… Je finis par lui déposer des gouttes de pluie de cire, sur son sexe et autour. C’est si joli ce dessin qui se forme sous mes gestes. Des arrondis de cire entre les cuisses. Et sur le gland.
Je m'arrête. Je sens que pierre n'en peut plus et qu'il à très mal… 
Je continue un peu malgré tout son supplice et je finis moi-même par lui faire glisser des perles de cire, mais cette fois sur tout le corps…

Il brame ce pauvre animal…

Mais c'est une petite salope qui aime se faire dorloter par sa Maîtresse.
Je suis une femme dominante, qui s’occupe de lui, il ne sait ce dont elle est capable et ce qu'il pourrait lui arriver, abandonné à mes caprices, il est excité et il tremble souvent. 
Je hurle soudain à son oreille ! "Tu as froid petit chien ?"! Il sursaute et me répond : "Non madame, la cire me réchauffe bien le corps". "Merci Maîtresse"…

Pour finir... Je lui fais lécher les talons de mes escarpins et je sens qu'il adore cela. Son sexe est au maximum de son excitation. Je le sens gonfler et gonfler encore. Des petites gouttes de sperme s'échappent de son orifice. Il ne peut cacher qu'il est très excité et qu'il a envie de faire gicler son nectar.
pierre est au summum de son excitation. Il attend sans doute la phrase magique qui lui permettra de gicler ! ? Je me penche à nouveau et lui glisse à l’oreille :  «  NON, pierre, tu ne pourras pas jouir ! » Sa tête, ses yeux, se baissent immédiatement ! Il à compris...
Il ne jouira pas !  Il ne l'a pas mérité…

Maîtresse Cathy, elle, monte sur le dos de Fred. Ca y est, elle est assise confortablement sur lui et éclate de rire ! Fred à un corps robuste et il est très tentant de monter sur sa croupe.
Elle lui donne quelques coups de cravaches, censés le faire avancer. "Oui, mon cheval, avance !"
Elle frappe, il crie.

Elle lui fouette les fesses avec le deuxième instrument qu'elle à dans la main gauche. Un martinet à petites lanières de latex. Fred acquiesce. Il aime cela et seuls quelques gémissements sortiront de sa bouche.
Le plaisir est au rendez-vous et les Maîtresses sont belles et hautaines.
Le partage entre le soumis et la dominante se voit et se ressent à plein nez… La nuit est belle et tout est possible.
Fred se retourne, discrètement, puis me regarde. Il sait qu'il ne doit porter aucune atteinte aux jeux que nous partageons. Il doit respecter la Maîtresse qui le domine et ne rien laisser paraître. Mais…

Je sens dans ses yeux que tout va bien, qu'il aime ce qui se passe.
Je ressens aussi son amour… Ses yeux ne mentent pas.

 Il aime se faire dominer ; Il aime savoir qu'il à été prêté, mais c'est dans mes mains qu'il se sent heureux... Je le sais… Je lui renvoie un regard complice, tout en lui montrant pierre à mes pieds caressant mes chevilles… Puis léchant les talons de mes escarpins…
Je sais qu’il aime ce spectacle, lui aussi.
Moments de partage et de connivence…
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Par Madame. S
Samedi 16 avril 6 16 /04 /Avr 11:26
Récit personnel Lyon... - 8 –

Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

...Fred est libéré des griffes acérés de Maîtresse Cathy et retourne gentiment m'attendre à quatre pattes prés du divan.
Sa peau est zébrée de blanc et de noir. Maîtresse Cathy à utilisé des bougies de deux couleurs et l’effet est très joli. Des coulées de bougie en feraient presque un joli tableau humain.
Maîtresse Cathy semble lasse et n'a plus envie de s'occuper de lui et l'abandonne après lui avoir rendu sa liberté. Elle lui enlèvera ses bracelets, son bandeau et ses liens et lui demandera de rester gentiment dans cette position, en attendant mon retour. J’aime admirer la cire dispersée sur son corps.
Un instant, j'ai voulu le rejoindre et jouir du spectacle. Mais soudain… J'en décide tout autrement…

pierre, à qui j'ai retiré le bandeau de ses yeux, comprend précisément à cet instant et à mon regard que rien n'est terminé…
Il pensait s'en sortir sans trop de mal et pourtant, me voilà décidée à le faire plier encore un peu…
A mon tour, je décide de faire monter la pression que je ressens au fond de moi et j'accélère le mouvement.
Le voilà libre, sans liens ni cordes. Je le veux penché sur ce tabouret en métal.
Le voilà offert Son cul en pâture. Tout le monde le regarde ;

Pauvre petit homme à ma merci…

Je lui donne des coups de martinet et de cravache. Les traces faites précédement par le fouet sont encore bien présentes.
Mes mains s'affolent et je ne peux résister le voyant ainsi les fesses tendues et offertes. Je dois le fesser et lui rougir la peau. Il crie, mais essaye de rester le plus discret.

Le bout de ma cravache semble terrifiant à la vitesse ou ses fesses changent de couleur.
Je le sens à sa façon de se mordre les lèvres. Il croyait que le sort en était jeté, mais non, mes doigts claquent à nouveau sur sa croupe. Le bruit de mes mains, répété, résonne dans la pièce.
pierre essaie alors de me glisser une parole ? Je me penche et il me dit alors : "Madame, j'ai très chaud aux fesses et j'avoue avoir mal".
Je lui réponds : "Petit toutou à quatre pattes, obéis sans broncher et tais-toi où je te remets ce bâillon boule pour faire taire tes aboiements..". Il acquiesce et sert encore plus fort ses lèvres. J'apprécie sa détermination.
J'alterne ensuite entre fessée, coups de martinet et cravache. Les traces s'accentuent. Ses fesses deviennent très sensibles…

La rougeur est accentuée par les coups et de la chaleur se dégage de son derrière en feu.
Sa queue grandit à nouveau...
Aucun doute, ce petit homme d'un soir est marqué de ma perversité.
La peau durcit et rougie par mes soins est un spectacle unique et féerique.
Epuisée, je vais m'asseoir quelques instants et je me régale de ce spectacle…
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Par Madame. S
Vendredi 15 avril 5 15 /04 /Avr 09:07
15.04.2011
Récit personnel Lyon... - 7 –
Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

...La cire de la bougie coule sur Fred. Maîtresse Cathy distille ce liquide chaud avec parcimonie et ses gestes sont précis. Elle monte un peu plus haut la bougie, pour que le filet mette un peu plus de temps pour atteindre la peau. Ou alors la flamme viendrait presque lécher les poils du dos de son esclave...
« Quelle artiste tu fais là Cathy ! Lui dis-je en éclatant de rires ! ». Maîtresse Cathy me renvoie un sourire.
pierre lui est toujours là, entre mes mains.

Je viens de lui ordonner de se mettre debout. Je lui ai retiré son bâillon. La bave à abondamment couler sur le sol. Après lui avoir attaché ses mains et ses pieds de façon machiavélique, car il est ficelé avec des bracelets et des liens.

Il se relève comme il peut. Ses gestes sont hésitants, imprécis. Difficilement bien sur et cela me fait sourire ! Cathy sourit à son tour et vient me confier quelques petites confidences à mon oreille. Je la découvre alors très coquine et même vicieuse. Cela me surprend mais j’aime son initiative et notre connivence.
Nous remarquons qu’autour de nous l'assistance qui s’est installée est toute ouïe et personne ne perd une miette de nos jeux.

Le spectacle de ses chiens à notre merci doit être terriblement excitant.

Je tourne autour de Pierre, par la droite, par la gauche. Je caresse ses cheveux, sa croupe. Il ne sait si cette main va encore le frapper ou lui procurer des frissons d'excitation.
pierre, toujours aveuglé par son bandeau, me glisse à l'oreille : "Madame, j'ai peur, mais avec vous je dois avoir confiance. Je vous sens vibrer, je ressens votre plaisir et j'ai envie de m'abandonner comme jamais…".
Je suis flattée mais n'en perds pas moins le fil des choses. Je dois penser à lui et à sa condition d'esclave.
Face à moi… Il ne peut qu'accepter.

Je décide de lui retravailler les seins qui sont déjà meurtris par les pinces que je lui avais posées et je sens rapidement que je le fais vibrer.
Je sens son petit téton droit durcir sous les roulements de mes doigts. Puis le gauche gonfle à son tour. J'approche ma poitrine de son torse.

J'enfonce mes ongles, encore...

Il l'avait-il peut-être encore un peu espérer, il peut à nouveau sentir mon abondante poitrine sensuelle contre lui. J'accentue ma position. Je souhaite l’exciter.
Je vois son chybre durcir et il ne peut cacher cette excitation montante. Je sens qu'il fait tout pour ne pas me décevoir. Il ne sait finalement s'il a le droit de bander ou si je vais le punir pour cela. Je ne dis rien…
Il ne peut que reculer sous la force de mon geste et il finit par glisser et se mettre à genoux. C’est bien ce que je désirais, qu’il plie sous la pression des mes doigts sur ses seins. Qu’il s’agenouille pour moi !
 Je le laisse sentir mon parfum et rêver que mes seins le frôlent, encore. 
Même à genoux, face à moi, légèrement penchée vers lui, je lui tiens toujours les tétons. Je le sens vibrer et chavirer…

Je n’ai pas envie de lâcher ses tétons. Ils se sont rallongés et la peau travaillée s’est ramollie.
Il me remercie tout bas, "Merci, Maîtresse, merci pour ces délices. Mon Dieu que vous êtes Divine, que vos doigts m'emprisonnent avec gourmandise, merci…".
Je lui retire le bandeau qui lui cachait ses yeux ; Pour qu’il puisse voir que ma salive coule et qu’elle arrivera bientôt à sa bouche... 
Puis…
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Par Madame. S
Jeudi 14 avril 4 14 /04 /Avr 15:07

 

Récit personnel Lyon... - 6 –
Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005
...Je sens une certaine agitation. Je tourne la tête sur ma droite. Je regarde Fred qui est toujours là, abandonné et nous échangeons avec Cathy des sourires complices. J’aime la finesse de cette jeune femme dominante et coquine.
Maîtresse Cathy, après avoir flagellé mon sujet, va s'asseoir quelques instants sur un fauteuil.
Même au loin, j'aperçois le dos de Fred, Rouge et zébré, meurtri mais non sanguinolent. Elle inspecte de loin elle aussi, je la vois depuis son fauteuil.
Fred bouge la tête dans tous les sens. S'impatienterait-t-il ?
A quelle sauce va-t-il être cuisiné ?
Au bout d'un moment… D’un pas décidé... Elle vient de terminer  sa cigarette.
Dans sa main gauche une bougie de couleur noire.
Je sais qu'elle va allumer cette flamme, qu'elle fera tomber la cire sur ? Ses fesses, son dos ?
Et pourquoi pas son sexe d’homme rebelle et sachant pourtant que cette femme lui tiendra tête et qu’elle à sa queue entre ses mains ? 
Il doit sentir que quelque chose se trame.
Le bruit du briquet ne semble pas passer inaperçu et Fred tourne immédiatement la tête en direction de la Maîtresse qui le domine.
La chaleur de la méche doit être perceptible.
pierre, lui, Ne sait pas ce qui l'attend pour poursuivre. Il est là. 
Je lui ai permis de se relever quelques instants, mais sans pour autant pouvoir bouger de l’endroit que je lui avais indiqué. Sagement, il est resté là, à attendre...
Les pinces, retirées, puis remises toujours aux seins. Il aime cela, je le vois et l’entend.
Je m'approche, très près de lui. Il doit sentir ma poitrine opulente contre son torse. Je lui ordonne de se remettre à genoux en le prenant par le peu de cheveux qu’il a sur le crâne. Il semble surpris mais sa bitte est à nouveau en érection ! « Mon petit pierre, tu es donc excité à l’idée de te faire malmener ? ». « Merci Maîtresse, c’est très bon d’être entre vos mains ».
Il ne sait toujours pas et pourtant il s'attend à tout, au pire ? Au meilleur ?
Je prends un instrument… Et je lui donne des coups de fouet, à droite, à gauche, sur le derrière de ses jambes, sur les mollets, les cuisses. Je fais glisser les lanières devant, derrière, lentement. Sur les fesses, le dos, sur le devant, son torse, ses bras. Tout y passe. Je dose savamment mes gestes et j’exulte de voir mon esclave à genoux.
Je le caresse de mon instrument.
La lenteur doit aussi faire partie de la scène et être savourée. Puis, sans trop attendre, j'active enfin le mouvement.
Je frappe !
Je lui donne une caresse de ma main.
Puis je frappe à nouveau. Fort. Encore, encore… Encore…
J’alterne avec la force en frappant durement avec les lanières du fouet et la douceur de ma main. J’alterne ensuite la douceur du fouet et la férocité de ma main qui claque sur ses fesses.
La nuance est terrifiante.
Il crie maintenant à chaque fois que le bruit du fouet retentit.
Sa peau commencera-t-elle à ne plus pouvoir supporter mes assauts ?
Je n'ai pas envie d'arrêter, je me fais plaisir et je sais qu'il aime cela, lui aussi, même si la douleur le fait geindre.
Pauvre petit homme…
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Par Madame. S
Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 15:58
13.04.2011
Récit personnel Lyon... - 5 –
Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

...Pierre supporte les pinces que je lui ai mises depuis bientôt 15 minutes maintenant. Je lui glisse à l'oreille qu'il doit se souvenir que c'est surtout en les retirant qu'il aura très mal. Il me répond : "Je sais, Maîtresse, j’ai peur de cet instant, je vous en supplie, faites au mieux...".
La bave coule sur le côté droit de ses lèvres. Une petite boule rouge, un baillon qu’il porte depuis quelques instants fait maintenant son effet.
Pierre me regarde, intimidé et baisse rapidement les yeux.
Il n’aurait pas du me regarder !
Je lui mets donc un bandeau sur les yeux. Je disparais de sa vue. Cela me permets de réflèchir à ce qui va être la suite de sa condition. Tout est possible...
Je suis toute excitée. Pierre est à moi à cet instant et je jubile de mon pouvoir…
Je l’attache sur une chaise avec des cordes, à genoux.
Je le regarde en m'éloignant de lui de quelques mètres. Il entend mes talons mais ne comprend pas. Sa tête bouge pour essayer de savoir ou je me dirige, mais seul le son qui lui arrive aux oreilles peut l'aider. Il à du mal à deviner et il a un peu peur. Il ne sait pas. Les yeux bandés, les sens sont décuplés et la peur est grandissante; Le moindre geste, bruit, la moindre odeur semble impressionnante.
Puis, je me rapproche, doucement. Un talon, puis l'autre ; Un talon, puis l'autre.
Le claquement de ceux-ci résonne et je le vois trembler. Il angoisse, mais contrairement à ce qu'il pense, je m'approche et je lui caresse son dos, délicatement, d'abord avec le tissu de mon bras ganté de dentelles. Puis je le retire. Et là il sent ma main, ma petite main si douce et pourtant d'une efficacité redoutable.
Je le caresse délicatement, je ressens son plaisir, je vis, je vibre avec lui.
Son excitation monte. Il ne sait pas si je vais frapper sur son dos, ses fesses ? Ses mollets ? Ni si ce sera avec ma main, un instrument, ou pourquoi pas mes cheveux ? Oui, mes cheveux longs glissent maintenant sur son dos ; Il ne doit pas savoir de quel objet je me sers. « C’est doux Madame, me chuchote-t-il... Mais qu’est-ce donc ? »
Je ne réponds pas...
Les méches de mes cheveux de jais parcourent délicatement son dos et ses reins.
Je sais qu'il aime ce que je lui fais. L'attente est insupportable.
Son sexe est grandissant. Une queue large et rougeoyante. D’un diamétre honorable et qui m’honore...
Je me suis accroupie et face à lui je m'approche. Il sait que je suis là, tout prés, mais où ? Je sais que mon parfum lui arrive dans ses narines.
Il ne voit rien…
Il est à moi…
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Par Madame. S
Mardi 12 avril 2 12 /04 /Avr 09:22
12.4.2011
Récit personnel Lyon... - 4 –

Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

...Peu après, il est temps d’entrer en scéne ! "J'échange" mon soumis Fred avec Maîtresse Cathy, une dominante fort sympathique que nous avons rencontré en début de soirée et avec qui nous avons partagé le repas. Pierre est sur futur mari.
(Nota benne : J’en profite pour le glisser ici, ce couple vit ensemble et partagent souvent le S.M. au quotidien. Ils gèrent leur vie, pourtant ils sont des enfants mais savent que leur amour est fort dans ce rapport D/s. Bravo à eux pour cette complicité et tout leur amour.)

Dans un coin, j’attire Pierre par son collier. Il semble un peu surpris par la fermeté de ma main et ma déteramination. Je le vois, il suit des yeux mes escarpins et il bave d'impatience.
Cathy, elle emmène mon soumis a quelques mètres de nous, elle installe mon sujet dans un carcan. Ta tête est emprisonnée dans cet outil fait de bois. Je lui ai mis sa jolie cagoule noire. Ca y est, il ne peut plus bouger et il ne peut que rester sage et tendre sa croupe.
Elle décidera, je lui fais confiance et je lui accorde un moment ou tout peut arriver. Elle sait déjà sans doute ce dont elle a envie. Il doit accepter, sans conditions.

Revenons à moi. 
Je bande les yeux à Pierre…
Maîtresse Cathy bande les yeux à Fred…
(Je me suis promise d'avoir toujours un œil sur mon sujet).
Puis elle commence par cravacher Fred, il ne gémit pas. Il adore cela ! Je suis fière. Exhiber mon soumis me plaît et je sais qu'il sera obéissant. Je sais que c'est un sujet de qualité et prêt à tout. Elle cherche ensuite plusieurs martinets. Les lanières sont fines, grosses, larges, noires, rouges. Tout est là, prés d'elle. Elle choisit minutieusement son objet. Tous  sont de tailles différentes et elle commence par le plus petit et le plus sagement possible, fait glisser les lanières sur les fesses et de dos de Fred. Ses gestes sont précis et beaux.
Puis, elle frappe, une fois, deux fois… Elles s’applique à glisser les différents fouet sur son dos, ses reins, ses jambes et ses pieds.

Elle glissera même sur son cou et tentera de l’étrangler avec les plus longues lamelles de cuir.
Le bruit des laniéres sur la peau est excitant. La rougeur prend place à chaque nouveau coup de fouet. Les jolies rayures contrastent de blanc et de rose.

Une autre dominatrice s’approche. Et contre toute attente, elle s’accroupis à hauteur du sexe de Fred. Elle l’attache avec de simples petites cordes. Je ne dis rien. A nouveau, je laisse Maîtresse Cathy prendre les initiatives qu’elle jugera nécessaires.

Je regarde ce spectacle avec délice et je laisse Pierre, impatient à mes pieds.
Je m’approche discrétement de lui, ses yeux sont brillants et écarquillés. Il salive encore un peu plus. Je vois sur ses lèvres, les gouttes perler.
Je lui ai mis un bâillon boule il y a quelques instants et il semble apprécier de se faire rabaisser de la sorte.

Il ne peut plus se plaindre !
Il ne peut que se taire...

Je lui travaille les tétons, délicatement. Puis de plus en plus fermement ; je me sers de mes ongles pour les lui enfoncer dans ce petit bout de peau fait pour mon plaisir. Ses mimiques me prouvent que j’ai raison de l’asservir. Ses petits seins roulent sous mes doigts.
Il souffre, pour moi, pour mon simple plaisir...

 Je lui chuchote à l'oreille : "Tu es à moi pour de longues minutes, attends-toi à souffrir, mais tu le feras parce que je suis une divine Maîtresse et que je sais que je t'ai envoûté".
Pierre me réponds timidement : «  merci Madame, de vous occuper aussi bien de moi, merci... »
Il est temps de lui mettre des pinces sur les tétons. 

Il gémit. Il a mal, sans doute…

Et alors ?? …

12.4.2011 2


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Par Madame. S
Lundi 11 avril 1 11 /04 /Avr 11:07
11.4.2011
Récit personnel Lyon... - 3 –

Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

... Au sous-sol, un objet à particulierement attiré mon attention. Il y a là une cage qui peut contenir "à peine" une personne. J'y installe mon soumis et je le vois gêné par sa condition. Il a les yeux bandés et il sait simplement que je l'ai mis dans une cage, quand je le lui ai dit vouloir l’y mettre, il a écarquillé les yeux, car il a bien compris que dans cet endroit, il n’aurait pas beaucoup de place pour se mouvoir. Car il est, bien évidement, à genoux dans cet endroit fait de barreaux de fer.

Il doit d'ailleurs sentir sur sa peau et sur ses genoux le quadrillage de ceux-ci lui rentrer dans la chair. Mais il ne se plaint presque pas. J’attache ses poignets avec des menottes à la cage. Ainsi, il bougera encore un peu moins !
Je sais que c'est un sujet habituellement "endurant" et résistant, mais là il m'épate. J'aime savoir et je sens qu'il est fier en étant en représentation devant ce public qui peut le voir là, qu’il ne bouge pas et qu’il subit.
Juste quelques gémissements d'une discrétion qui me surprendrait presque.

J'apprécie son "attente"...
Il ne quémande rien.

Mais il est très attentif et à l’écoute de tout ce qui se passe autour de lui. Aurait-t-il peur ? Etre privé de la vue le fait être d’autant plus attentif aux bruits qui l’entoure.
Je me plais à faire glisser mon petit fouet sur le côté droit de la cage. Ce bruit le fait sursauter. Une femme s’approche, en un regard nous nous comprenons et j’acquiesse ce qu’elle va faire, elle tient dans sa main une cravache qu’elle glisse délicatement pour atteindre le dos de ses pieds. Se demande-t-il si c’est moi qui tient cet objet, ou sait-il que c’est une autre femme qui tient ce bel instrument ?
Nous échangeons toutes deux un sourire complice. Je jubile.

Je lui ai promis de rester a ses côtés. Il essaie de dissimuler ses tremblements mais je sais qu’il doit avoir peur.
Il s’approche des barreaux de la cage, me cherche. Sa joue droite est collée sur le métal. Je lui souffle l’air chaud qui sort de ma bouche sur son oreille. Et je lui dit : « Retourne te coucher, sale chien... ». Ses reins s’abaissent d’un coup et il s’agenouille  sur le côté.

Je le trouve très beau...

Mon attention est détournée par un gémissement d'un soumis qui se fait fouetter. Un cri, des cris, des râles de plaisir ? De douleur ? Je pense que ce sujet est heureux. Sa Maîtresse s’occupe de lui devant des spectateurs très intéressés. Quel beau cadeau elle lui fait de l’exhiber.
Une soumise se montre. Elle essaie de sa cacher derriére celui celui qui la tient avec une laisse autour du cou. Sa tête est baissée, sans faillir. Elle est nue, son  corps très fin, presque trop. Ses seins sont menus et sa peau est blanche. Ses lèvres orangées sont très foncées. Ses cheveux roux et longs lui tombent sur ses frêles épaules.
Son maître diffuse quelques commentaires sur sa personne aux gens qui assistent au spectacle : « Regardez-la, elle est à moi, prête à m’accorder tout ce que je lui demanderais de faire. Venez et  proposez-moi un beau moment, je pourrais alors vous accorder de passer un moment avec Zoé. Elle vous étonnera. »
Mais je ne peux me distraire pour le moment. Je m’occupe de Fred qui est toujours dans sa cage. Les minutes s’égrainent et il continue de trembler. Je lui demande s’il à froid. Il me réponds d’une petite voix :  « Non Madame, merci de vous en soucier... ».

Tout est possible ce soir et je me régale, installée dans mon fauteuil.

Silencieuse, j'observe une dominatrice et je me nourris de ces mots diffusés par sa voix douce, ou qui au contraire s’élève d’un ton et qui ferait presque peur ! Elle dresse joliment son esclave et soudain hurle ses commandements. Quelle femme !
Mais moi, là, je suis avec lui.
Mon soumis est en attente. Il sait que je me suis assise près de lui. Il sait qu'il peut me faire confiance car la sécurité est pour moi très importante.
Son oreille semble bien attentive à la voix de cette dominatrice qui crie au fond de la pièce. Je sais que cela l’excite. 
Je continue de savourer mon breuvage et le spectacle que mon soumis m'offre est un doux  plaisir pour les yeux…
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Par Madame. S
Samedi 9 avril 6 09 /04 /Avr 09:31
Récit personnel Lyon... - 2 -

Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

Nous voilà dans un des donjons…
Il y a là plusieurs personnes déjà affairées.
Un homme est a genoux, en train de lécher les chaussures de sa Divine. Un autre, caresse délicatement les jambes de sa Maîtresse. Une soumise est cambrée, attendant le doux petit fouet que son Maître passe délicatement ou plus brutalement sur ses reins. Ses petits gémissements de plaisir sont savoureux et je salive en voyant cette jolie scéne.

Pour ma part, je choisis de m'asseoir dans un canapé et mon soumis se met à genoux à mes côtés. J'aime le voir en attente. A ne pas savoir ce qui va lui arriver. Prêt à tout, pour moi…
Mais il attendra son tour, car soudain une dominante rit aux éclats devant son sujet, exhibé et "mis en vente" pour quelques minutes. "Mes amies, vous pouvez faire de lui tout ce que vous voudrez", crie-t-elle à qui veut l'entendre, "Je vous le prête et il aime se faire humilier, profitez-en et amusez-vous bien! Il est très endurant et capable de beaucoup".

C’est une très belle femme, assurément dominante. Elle porte un corset de cuir qui souligne sa poitrine. Des bas résilles noirs et des cuissardes de la même couleur complétent sa tenue. Ses cheveux sont d’un brun foncé et ses yeux sont joliment soulignés d’un trait noir. Son rouge à lèvres est écarlate et j’aime ses gants en dentelle.
Son esclave porte de jolis bas noirs et des chaussures à talons. Son cul lui, est offert, alors qu’il est cambré sur une chaise.

Cette Dame a envie d'une complicité pour donner quelques coups de cravache à son soumis. Je ne peux la laisser ainsi, sans aide, ne croyez-vous pas ? ! C’est alors que chaque dominatrice présente l'aidera dans sa tâche ! Ne faut-il pas s'entraider dans une pareille situation et si une consœur vous demande votre concours ? Je suis pour ma part toujours disposée à aider une dominatrice à mâter son soumis. J’aime cette complicité qui se crée et la perversité de deux femmes face à un sujet à terre.
J’entre donc dans l’arène et je veux dompter ce mâle...
D'ailleurs, je sens que ce soumis en redemande ! Je passe délicatement ma main droite sur une de ses fesses, puis la seconde.

Quand vais-je frapper ?

Un coup, deux, trois, quatre... Il aime se sentir zébrer de ce bel instrument et il remercie chaque dominatrice d'un "Merci, Maîtresse" à chaque coup qu'il reçoit sur ses jolies fesses… Endurant et maso. J'avoue que cela me plaît. Les traces deviennent plus rougissantes et il semble avoir de plus en plus mal.
Mais il acquiesce.
Il ne peut faire autrement.
Il est attaché et à disposition de SA Maîtresse. Elle en a décider ainsi. Comment pourrait-il refuser cela à sa Reine ? Il se doit d’être respectueux, qui plus est en public et montrer combien il est attaché à elle.
Intéressant spectacle que cet animal dans l’arène qui n'attends que la punition…

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Par Madame. S
Vendredi 8 avril 5 08 /04 /Avr 10:20
Récit personnel Lyon... - 1 –

Récit intime
Soirée lyonnaise, mai 2005

Je rentre de mon week-end à Lyon...
Une soirée privée. 
Arrivés vers 22 heures. Beaucoup de voitures sont déjà garées. Nous passons un portail blanc. 
J’appréhende un peu car je ne connais pas ce genre de rencontres. Je ne connais aucune personne présente, à part celui qui m’accompagne. Les contacts ont été pris par téléphone, par cercle très privé. Je ne sais presque rien et cela m’excite tout autant que le fait de ne pas savoir ce qui pourra se passer.
Je suis presque déçue car la demeure n'est pas de mon goût, trop récente. Il fait nuit. 
Cela dit, je dois avouer que c’est un magnifique pavillon chez un particulier, avec terrasse desing et grande piscine. Celle-ci est dissimulée derriere de jolis arbres centenaires dans le parc.

J’aime l’idée de nous savoir cachés et que personne ne sait ce que nous faisons là.
Qui pourrait croire qu’ici, se rencontrent des personnes de tous horizons ! ? Des personnes qui arrivent en costume cravate, en jeans et qui se changent dans un salle à leur arrivée ?

Après avoir fait le tour de la maison, je constate qu'il y a environ une centaine de personnes présentes. 
Nous visitons les lieux. Au rez-de-chaussée, deux donjons aménagés, des coins câlins, des toilettes et deux salles pour dîner. Des tables pour le dîner sont dispersés un peu partout.
Au premier, une grande cuisine, avec des tables jonchées de victuailles en tous genres. Le champagne coule à flots. Une bonne ambiance régne ici. La musique est agréable et variée. Certains se déhanchent. Un grand salon avec baie vitrée et une belle cheminée et son feu qui crépite... Il fait chaud.  L'ambiance est chaude oui, tout le monde sait pourquoi nous sommes là et pourquoi eux sont présents...

J’aime regarder les jolies femmes apprêtées, certaines sont vraiment très belles. Une soumises avec un joli collier rampe pour réclamer une caresse à chaque convive. Un autre petit vermisseau quémande un petit coup de paddle, car sa Maîtresse lui à demander de se présenter à chaque dominatrice... Encore un autre, qui s’occupe des pieds de sa Divine en s’appliquant, car il sait bien que des yeux sont rivés sur lui et que sa Dame doit être fier de lui.

Tout le monde à apporté quelque chose. Nous sommes arrivés pour notre part avec deux bouteilles de champagne, l'hôte nous l'avait demandé. Simple participation amiable pour que la fête soit agréable et conviviale.
Personne ne sait ici qui fait quoi. De quelle catégorie socio-professionnelle nous sommes, ils sont ? Peu importe. Le sm nous rapproche et nous fait nous rencontrer dans cette soirée hallucinante ! 
Les gens viennent à notre rencontre et nous bavardons. De quelle région êtes-vous ? Par quel biais êtes-vous arrivés là ? Quels sites Internet fréquentez-vous ? Les gens pour la plupart se connaissent et sont souvent de la région lyonnaise ou proche. Mais il y a aussi des gens de Metz, Paris, Marseille, Aix ou Cannes. Je croise d'ailleurs un ancien soumis au détour d'une salle dans la soirée. Cela me fait bien sourire.

Dîner de salades, une grande paella, et ou charcuteries avec boissons en tous genres. Le dîner est oppulent et nous profitons de la variété des plats présentés.
Les gens en profitent pour se découvrir à table et il se créent des affinités.
Il y a aussi des échangistes, mais je mets au clair de suite le fait que je suis venue pour voir et jouer, mais pas pour le sexe. Je suis avec mon soumis, Fred et je tiens à "l'échanger" avec une autre dominatrice. Jeu qui me semble intéressant…

J'ai sympathisé avec un couple dont elle est dominante et lui soumis. Cathy et Pierre. Ils vivent ensemble depuis 7 ans et sont de la région. Une attirance amicale et cérébrale s'est installée rapidement.  Nous partageons le repas avec eux et deux autres couples. Les rires fusent et les gages sont légion ! 
Mais chutttt… Nous décidons de nous rendre au donjon du rez-de-chaussée…

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Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 0 commentaires - Publié dans : Récit intime Lyon
Par Madame. S

Images Aléatoires

  • Le décolleté de Madame. S
  • Se maquiller en toute tranquilité...
  • Un lien...
  • Chapeau Madame !
  • Bouquet de fouet...
  • Initiales M. S.

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