Jeudi 26 mai 4 26 /05 /Mai 09:56

 

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Les contrats - 1 -

Certaines dominatrices sont pour, d’autres contres. Pour ma part, je suis pour. Mais à certaines conditions. Il faut par exemple que le soumis soit prêt à une fidélité sans faille à mon égard, (s’il est marié, il pourra y avoir dérogation pour son épouse).

Et que ce contrat, soit fait à deux, ensemble. Je veux dire que mes règles figurent en premier lieu dans les textes, des choses que j’estime incontournables, voir indiscutables, mais j’échangerais longuement avec mon soumis des mots que nous souhaitons intégrer dans ce contrat ensemble.
Cela met souvent plusieurs mois avant de prendre une forme réelle et que les textes soient complètement trouvés. Mais un contrat ne se signe pas à la légère, c’est un réel engagement, pour ma part et cela vous permet de plus, entre temps de voir si votre histoire en vaut la peine et si elle mérite de ce fait d’y intégrer un contrat…

J’ai déjà pour ma part pratiqué les contrats dits signés. Deux en tout et pour tout. Ce qui est peu en plusieurs années d’existence. Mais cela ne se fait pas à la légère et comporte un engagement moral. Ce sont à mon sens une des preuves de l’engagement d’un esclave envers sa dominatrice. Ce papier, n’en est pas un simple avec des mots imprimés avec un ordinateur, ce contrat, comporte votre signature, votre engagement et souvent des témoins. Cela ne se fait pas à la légère et pour  moi j’y mets tout le sérieux que cela peut demander. Et cela est l’occasion de vivre une belle soirée que vous n’oublierez pas…

Je n’ai pas créé beaucoup de contrat, car à chaque signature, je m’engage auprès de mon esclave sur du long terme et je le respecte d’autant plus dans sa vie d’homme et de soumis. Tout le monde ne mérite pas ce statut d’esclave privilégié…
Ce n'est pas un engagement comparable au mariage, mais je peux dire que cela y ressemble, là encore je parle pour moi… Et je vous le dis avec tout le sérieux qu’on me connaît…

Voici donc ci-dessous un exemple de contrats que vous pourrez établir. Vous en trouverez sans doute beaucoup d’autres sur divers sites spécialisés…
Et surtout, vous pourrez y ajouter vos mots propres et un véritable sens à donner à votre vision de ce contrat qui engage deux parties distinctes.
Et je suis persuadée que votre Divine saura être machiavélique et y ajouter sa propre touche qui personnalisera au mieux ses vœux pour ce contrat qui vous liera à elle et inversement elle à vous !...
Une dernière précision, qui est pour moi d’importance, le contrat qui suit s’établit ci-dessous est écrit au masculin, mais vous comprendrez qu’il est tout autant applicable à une femme...

(Je vous éditerais l’exemple de contrat en plusieurs articles, car les textes sont longs).



Contrat de Soumission et D'esclavage

Maîtresse et esclave : Contrat d'esclavage.
En ce jour du ________________________, il est établit entre les deux parties, Maîtresse S d’une part et esclave……………………, d’autre part, un contrat de soumission dont la durée est soumise à la seule et unique décision de Maîtresse S. Par ailleurs, et selon ses désirs clairement énoncés, l’esclave ……………. renonce à son droit de pouvoir y mettre fin souhaitant servir Sa Maîtresse tant que celle-ci daignera lui accorder ce privilège.

Je soussigné____________________________________________________________
Agissant librement et à cœur ouvert, demande à Maîtresse S qu'Elle accepte la soumission de ma volonté à la Sienne et qu'Elle me prenne sous Sa protection et sous Sa gouverne, afin que nous puissions croître en amour, confiance et respect mutuel. La satisfaction de Ses besoins, désirs et caprices sont compatible avec mon désir en tant que soumis de Lui être agréable. A cette fin, je Lui offre l'usage de mon temps, de mes talents et capacités. De plus, je demande avec une humilité sincère que, en tant que ma Maîtresse, Elle accepte la garde de mon corps pour l'accomplissement et l'embellissement de ses besoins sexuels, spirituels, émotionnels et intellectuels.
Pour y parvenir, il Lui est donné toute latitude pour l'utilisation de mon corps quel que soit le moment et le lieu, en présence de quiconque, pour Son usage personnel ou pour en faire don, comme bon Lui semblera.

De mon plein gré, moi _________________________et mû par mon désir d'exprimer mon amour et ma dévotion envers la Femme que j'aime et que j'adore, je m'offre en esclavage à ma Maîtresse pour une durée indéterminée dans le temps laissée à Sa discrétion durant la période qu'Elle désirera, quand Elle le voudra, aussi souvent et aussi longtemps qu'Elle l'exigera. Me considérant comme l'esclave à plein temps de ma Maîtresse durant ces moments, je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son Plaisir et Ses Désirs sans hésitation, ni considération pour moi-même ou pour d'autres, en vertu des règles et pratiques énoncées par ma Maîtresse et acceptées par moi.

Je demande qu'Elle me guide dans tout comportement sexuel, sensuel ou lié à une scène, avec ou sans Elle, de façon à ce que cela aide à mon épanouissement en tant que personne.

Je demande à Maîtresse S en tant que ma Maîtresse, qu'Elle utilise le pouvoir dont Elle est investie par Son rôle pour me modeler et me façonner, pour m'assister à accroître ma force, mon caractère, ma confiance et tout mon être, et qu'Elle continue à m'aider à développer mes compétences artistiques et intellectuelles.
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Par Madame. S
Mercredi 25 mai 3 25 /05 /Mai 08:52
25.05.2011
esclave serge

C’était un soir... D'espoir...

Ou le récit d’un esclave, qui croisa ma route il y a déjà plusieurs années. Et avec qui je suis toujours en contact.
Je tenais à publier ce courrier, qui exprime tant d’espoir de la part d’un esclave désirant avec sincérité appartenir à une Maîtresse. Ou plutôt, d’appartenir et d’être aux pieds de Madame. S
Je tenais à publier ce texte, qui pour diverses raisons me touche profondément...
L’espoir, ah ! N’est-ce pas terrible et à la fois beau et fort que... L’espoir ?

Espérance ! Ou le récit de ma rencontre avec la plus troublante et déstabilisante des femmes et des dominatrices en particulier.

C’était un soir, une fin de nuit comme il y en a tant sur notre terre, et pourtant, il y a des moments qui vous marquent à jamais sans pour autant que des marques tatouent votre peau !

C’était un soir, une fin de nuit comme il y en tant sur la planète, et celle-là fut magique par votre présence, votre regard, et vos égards !

C’était un soir, une soirée ou l'humble soumis qui vous écrit ces mots, arpentait, attendait, errait, dans les allées d'un club dédié, en ces temps là, au monde SM à Bebing ! Ce lieu, qui était un temple pour nous, les amateurs des jeux BDSM et qui était d'ambiance feutrée, avec une atmosphère, un état d'esprit, une tolérance prompte a laisser nos désirs d’obéissance et d'autorité, suivant notre condition. Que ce soit dans les salles aménagées de croix, carcan, sièges, lits, fers, sling, cages... Et dotées de nombreux accessoires de souffrances et/ou de plaisirs, que ce soit au bar, a l’accueil, dans la prison... Tout ce lieu respirait le SM sous l’œil bienveillant de Maîtresse Sabine et celui parfois moins condescendant des dominantes et dominants.

Cet endroit est à présent fermé, mais vous, vous êtes toujours présente en moi, en mon âme, en mon esprit, jours après jours, consciemment ou inconsciemment vous êtes là !

Je vagabondais, ça et là, au milieu des salles, des accessoires, des regards, des jeux, des Maîtresses et des Maîtres, des soumises et soumis.
Je vagabondais, entre les cris et les rires, les soupirs et mes pleurs, les ordres et les menaces, les coups et les caresses...

Oui je vagabondais car il est notoire que souvent le soumis non accompagné, reste seul, désespérément seul, il est là mais personne ne le voit, personne ne le veux... !

Et pourtant... Après avoir été utilisé par Maîtresse Sabine, propriétaire des lieux, après avoir subit ses foudres et satisfait ses envies et désirs, elle me récompensa par le plus beau cadeau de mon existence de soumis voir de ma vie... : elle me présenta à vous et me permis de vous rencontrer !!!!

Ce fut pour moi un pur moment de bonheur.

Vous étiez là, assise sur ce tabouret, toute de noir vêtue, dialoguant avec une autre dominatrice. Je me suis avancé suivant les ordres de Maîtresse Sabine et me suis mis devant vous, honteux d’être nu, elle fit de brèves et banales présentations et après, votre magie opéra sur moi.........

Il y a eu votre regard qui a croisé le mien, brièvement c'est vrai, car vous m'avez fait baisser les yeux très vite mais le mal était fait ! Vos yeux reflétaient à eux seuls votre sévérité, votre charisme, votre autorité et j'ai su de suite que rien ne serait jamais plus pareil en SM pour moi !

C’était un soir là, ma plus belle des soirées SM, vous m'avez mis à vos genoux, j’étais nu, je n'ai eu de vous que quelques questions pour mieux me présenter, vous avez discerné la personne que vous aviez là, en dessous de « Vous ». Et vous m'avez juste autorisé à m'occuper de vos pieds, de vos jambes sans rien en retour.
Oui, sans rien de plus, sans punitions, sans ordres, sans sévices ni services, sans sévérité juste être là a vos pieds, être présent, en adoration, empli de félicité d’être considéré par vous.
Vous cette Divine Déesse qui me permit ce soir la d’être cérébralement et physiquement heureux d'exister pour pouvoir vivre des pareils moments !

Bien sur que j'ai rêvé, espéré, souhaité que vous m'utilisiez plus, que vous me testiez davantage. Comment vous exprimer mes envies ? Que de vous je puisse en voir plus, en sentir plus, en respirer plus... Quitte à devoir subir, souffrir, fléchir, pouvoir vous monter que je pouvais aller plus loin que vos genoux, pouvoir sentir le poids des talons sur ma peau.......
Bien sur, j'ai imaginé. Imaginé qu'elles étaient vos pratiques, vos attentes, vos jeux, vos désirs. Aimiez-vous faire mal, aimiez-vous plutôt faire souffrir, aimiez-vous les jeux softs, les jeux cérébraux, aimiez-vous humilier, rabaisser, étiez-vous perverse, sensuelle... ?
Ou mieux encore, tout ça a la fois ?
Ce sont tant d'interrogations qui ce soir la restèrent en suspend.

J'oserais ainsi avouer qu'a la vue de votre sublime stature, une idée, une envie, un désir tant soit peu qu'un soumis ait le droit d'en avoir ; M’a traversé l'esprit...!
Vous étiez assise et vos formes généreuses, plantureuses, dignes d'un tableau de Rubens ou de Renoir ont évoquait en moi des désirs d’étouffement, d'emprisonnement comme la pratique du "face-sitting" (pratique déjà essayé auparavant, que j'ai adoré, mais ma piètre prestation a la vue de la personne qui me l'a infligé m'avait value une gifle mémorable et depuis moi je désire m’améliorer.)

Le temps qui s’était arrêté en même temps que vos yeux m'aient fait fléchir (je ne me souviens même plus du visage de la personne qui dialoguais avec vous le soir là), nous avait rattrapé. 
Il fallait quitter l'endroit, je fus relevé de ma position et de ma brève fonction d’esclave éphémère.

J'ai eu le droit de vous regarder, vos yeux me fixaient, je demandais à être votre esclave, être à votre service, vous avez hésité et j'ai eu le bonheur de recevoir de vos mains le sésame ! Un numéro de téléphone, le vôtre...

Vous m’avez congédié...

C’était un matin, un matin comme tant d'autres sur la terre...

C’était tout cela,  c’était il y a quelques temps, des années, c’était hier pour moi et j’espère juste qu'un jour « CE SOIT,..... »! J’ai toujours, l’espoir, d’être à vos pieds, un jour...

C’était un matin, un matin comme on n'en oublie jamais, je suis resté prostré, incrédule, envoûté, ensorcelé, alors que vous aviez déjà disparue dans la nuit.....

Votre éternel dévoué, serge.

Voilà un texte qui résume l’espoir du soumis d’être aux pieds d’une Divine qui vous inspire dévotion et vénération. Ne dit-on pas que l’espoir fait vivre, le tien me surprendra toujours et me touche bien évidemment... Depuis des années, tu es là et tu m’attends, sans lassitude, n’est-ce pas cela les sentiments dans le SM ? L’attirance irrépressible envers une Maîtresse que l’on imagine être la seule, l’unique qui nous fera vibrer comme personne d’autre ne pourrais le faire ?
Mais tu sais que je ne peux te dire que cela... Un jour, peut-être serge...
Et malheureusement je ne peux dire plus.
Madame. S

Quelques citations sur l’espoir pour toi serge...

« J’aimerais terminer sur un message d'espoir. Je n'en ai pas. En échange, est-ce que deux messages de désespoir vous iraient? »
Citation de Woody Allen 

« Hier n'est qu'un rêve, demain n'est qu'une vision. - Mais un aujourd'hui bien vécu fait de chaque hier un rêve de bonheur, et de chaque demain un rêve d'espoir. - Par conséquent, envisagez bien ce jour. »
Anonyme 

« On ne donne aux gens que l'espoir que l'on a. »
Citation de Emile-Auguste Chartier.
Propos sur le bonheur (1928)

« L’émotion qui annonce l'amour est une sorte d'ivresse où se trouvent mêlés la crainte et l'espoir du plaisir. »
Citations de Emile-Auguste Chartier
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 1 commentaires - Publié dans : Lettres intimes
Par Madame. S
Mardi 24 mai 2 24 /05 /Mai 09:40
24.05.2011
Un poème de la part d’herakles, que je vous fait partager...

Déesse

Princesse, Déesse, Maîtresse
Ce soir je Vous le confesse
Je m’abandonne à Votre tendresse
Même quand le jeu exalte la rudesse
De l’Amazone vengeresse
Qui exige les plus audacieuses caresses

De vos reins j’admire la cambrure
De Vos seins j’épouse les courbures
Mes sens s’enivrent de Votre chevelure
Mes lèvres posent de tendres brûlures 

Sur la pointe de Vos chaussures
De Vos talons je veux goûter la morsure
Qu’ils dansent sur moi , de leur fière allure
Dessinant sur moi de charmantes zébrures…

Audacieuse, Victorieuse
Triomphante et malicieuse
Vous sentez sous Vos pieds

Mon désir qui s’étire…
Mes lèvres impatientes
Toutes Gonflées de désir

Recherchent Vos lèvres
Celles qui servent d’écrin 
Au diamant de Votre féminité

Ma bouche s’y colle, s’y soude, s’y fond
Ma langue s’y confond
Votre miel est pour moi, ardente abeille
La plus douce des merveilles…

2 avril 2011- HERAKLES
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 1 commentaires - Publié dans : Poésie...
Par Madame. S
Lundi 23 mai 1 23 /05 /Mai 11:06
23.05.2011
Parfum de luxe ou odeurs corporelles ! ?

Le débat est ouvert entre aaron et "A »
Voici un droit de réponse de la part de « A » de Belgique pour aaron.
Je trouve le point de vue intéressant des deux parties au sujet de mon parfum pour l’un et mes odeurs pour l’autre. Je voulais donc vous faire partager ces divergences d’opinions, entre soumis...

« Je me suis permis un petit commentaire sur votre blog, au sujet de vos parfums. Vous savez qu'un seul compte pour moi.

Le seul vrai. Ceux qu'on achète en rayons de parfumerie ne valent pas tripette, tous sont factices, sont à tout le monde.

Un seul est vrai: le vôtre qui n'est qu'à vous et à qui vous l'offrez. Je rêve de me mettre derrière les oreilles et à la racine de la barbe du "Madame S" et d'emporter avec moi vos senteurs les plus fortes, les plus crues, les plus authentiques, les plus intimes. Et nous ne serions que quelques uns à porter votre essence à même notre peau, privilégiés et comblés. 

Etre soumis aux pieds d'une Dame dans les effluves de Dior, Chanel ou Guerlain... Quelle déconvenue ! Les deux sont tout simplement incompatibles.
Les parfums, fussent-ils de haut luxe, doivent être réservés aux soirées publiques ou mondaines, non aux moments intimes dans la lumière vacillante des donjons, ou celles plus tamisée des chambres des délices.

Je n'ai rien dit de plus dans ce commentaire, afin de ne pas blesser votre soumis qui a fait l'éloge de ces produits manufacturés et de luxe sur votre peau. 
Je respecte son avis mais ne le partage absolument pas.
Il y a parfum de luxe et parfum de luxure. 
 
Votre «  A ».

Et vous ? Préféreriez-vous le parfum de votre Divine en bouteille, ou bien ses odeurs corporelles ? 
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 7 commentaires - Publié dans : Lettres intimes
Par Madame. S
Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 10:11

22.05.2011

 

Petit billet d'humeur personnel

Bon Anniversaire à Monsieur Pascal

 Je souhaite à Monsieur Pascal une belle journée et de beaux joujoux !!!

Je t'embrasse très fort

 Madame.S

Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 4 commentaires - Publié dans : Divers fêtes et occasions
Par Madame. S
Samedi 21 mai 6 21 /05 /Mai 08:45
21.05.2011

Un petit récit imaginé et que je vous fais partager, venant de A. de Belgique... 18 mai 2011

Une messe basse...
 
Madame m'est apparue, sombre silhouette, cheveux lâchés sur les épaules.
Elle portait un chandail marin bleu nuit ouvert sur l'épaule et une jupe de toile ample qui amadouait ses formes généreuses.

Elle s'est vautrée sur le canapé de velours gris. Vraiment vautrée, abandonnée. Oui, elle s'est abandonnée au canapé qui l'a littéralement absorbée.

Je me suis assis à ses pieds. C'est ma place, à ses pieds. Je ne me sens aucun droit d'être ailleurs. Surtout pas à sa droite.
Elle a posé un pied sur mon épaule. C'était bon de sentir son pied qu'elle appuyait de tout son poids sur mon épaule.

- Déshabille-toi, me dit-elle. J'ai envie de te voir nu !
J'ai obéi. 
J'étais à ses pieds, rampant comme un ver. Nu comme un ver.
Elle a levé sa jupe sur son ventre. Elle ne portait pas de culotte, pas même un string. Rien.
J'aimais sa touffeur noire. Elle a gardé son chandail. Avec rien dessous.
J'aurais aimé la toucher. Caresser cette toison drue et courte, fendue de rose sombre.
Je n'y avais pas droit.
Pas toucher. 

Mets-toi à genoux, contre le canapé, me dit-elle.

Elle m'enveloppa la tête de ses cuisses puissantes et je fus aussitôt absorbé à mon tour par sa moiteur enivrante.
C'était la fin de la journée. La toilette du matin était déjà loin. 
L'odeur de Madame était l'exacte odeur à attribuer à Dieu, si tant est que Dieu eût une odeur. Mais Dieu n'a pas d'odeur.
Sa sève et ses sucs, mêlés à l'urine discrète. Elle me faisait tourner la tête.

Vas-y, dit-elle, lèche bien, petite chose. Applique-toi !

J'enfouis mon nez en elle, ma langue glissant dans son anus avant de masser les lèvres offertes, des lèvres qui portaient tout l'encens des églises.
Des lèvres d'offrande aux dieux.
Elle me repoussa du pied au bout d'un long moment. Je me retrouvais allongé sur le dos. Nu et sur le dos, sur la peau de chèvre.
Elle fit glisser sa jupe et m'enfourcha la tête. Elle ne pouvait plus voir qu'un peu de mes yeux, souvent fermés pour profiter de l'offrande.

Ma langue me faisait mal, tout entière en elle; ma langue qui est bien entraînée. Une langue faite pour la plus haute besogne: lécher.
C'est bien, petite chose, continue, lèche le con de ta Dame. Lèche plus fort. Mon bouton qui gonfle aussi. Oui, agis aussi des lèvres... Continue...

Tu te relâches, petite merde. Lèche fort. Et plus vite maintenant. Allez !
Madame imprimait un va-et-vient de plus en plus intense à ses hanches sur mon visage. Je gardais les yeux fermés. Elle bavait sur mes joues.

Madame a poussé deux longs cris rauques comme des râles...

J'avais mal aux mâchoires mais j'ai sentis ma semence se répandre sur mes cuisses.
Lorsque Madame s'est levée, elle a regardé mon sexe pitoyable, évanoui dans mes poils et dans sa liqueur.
C'était bien mais tu as trop vite ralenti le rythme. Je suis un peu déçue.
Et tu ne devais pas éjaculer. Ca je ne l'admets pas.

Je suis trop lasse ce soir, mais tu dormiras attaché à côté de mon lit et demain tu seras fouetté dès l'aube...
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 1 commentaires - Publié dans : Lettres intimes
Par Madame. S
Vendredi 20 mai 5 20 /05 /Mai 08:55
20.05.2011
C’est le pied !

Aujourd’hui, avis aux amateurs et fétichistes des pieds, collants, jambes, j’ai voulu vous faire un petit cadeau.
Des photos que j’ai décidé de vous faire partager avec ces quelques images de mes jolis petits petons !
Un 36 et demi, 36,5 voir un 37 selon le chausseur…
Des clichés à découvrir… Avec chaussures… Pieds nus… Ou encore un ensemble de gambettes.

20.05.2011 2

Que vous puissiez imaginer que je vous piétine, vous écrase, que j’appuie là…
Que vous goûtiez à la saveur de ma peau, ma transpiration. Que vous me léchiez  mes petons gainés de talons…
Le dessous de mes chaussures… Que vous nettoyez savamment mes jolis escarpins…
Que vous me massiez mes divins pieds, les chevilles, les mollets…
Que mon joli pied nu vous écrase la nuque…

Que vous ayez tout simplement, peut-être, un jour, la chance d’être à mes pieds !

Une foule de plaisirs en perspective...
Ceux qui ont "goûté" se souviennent...
Ne salivez pas, je vois que cela vous excite…

20.05.2011 3
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 3 commentaires - Publié dans : Les pratiques...
Par Madame. S
Jeudi 19 mai 4 19 /05 /Mai 09:58
19.05.2011
Aaron et mon parfum, « Amarige » de Givenchy...

« Maîtresse,

Je Vous envoie ce courrier, en ayant choisi de m'étendre sur Votre Parfum, sans en révéler la nature, peut-être que cela fera baver Vos Bloggeurs, à moins  que Vous ne préfériez écrire de Votre Sainte Plume qu'il s'agit d'Amarige de Givenchy : 
" Votre Parfum entêtant dans mon corps d'ingénu... »

Tout comme Votre Parfum, Votre Générosité est naturelle, tout comme Votre Parfum, Votre Charisme est renversant, tout comme Votre Parfum, Vous ne faites jamais semblant, tout comme Votre Parfum, Vous dégagez une Grande Pureté et Votre Potentiel ridiculisent tout ce qui Vous entoure.

Votre Fragrance fascine mon esprit en juxtaposant l'image de l'énergie et de la beauté, et révélant ainsi le vecteur de Votre Force de Caractère, hermétiquement protégé de toutes attaques extérieures.
Comme un appel au mouvement, chaque fois que je rentre dans une parfumerie, je ne peux m'empêcher de courir vers cette petite boite écarlate, pour ressentir l'effluve qui m'emporte dans le sillon de Votre Plaisir, de Votre Satisfaction, et qui me rappelle le bonheur de Vous suivre dans la poussière de Vos Pas.

Ce bouquet de fleurs est plutôt déstabilisant, il bouscule mon cerveau, mes certitudes, et mon corps tout entier.
Même si nous sommes l'Une et l'autre « spatialement » éloignées, Votre Arôme me rappelle que je reste inextricablement lié à Votre Magnétisme Bouleversant.

Quand ce tendre accord floral vient chatouiller mes sens, j'ai l'impression de vibrer dans une pureté absolue, lavé de tout pêché, dans un rêve insaisissable où la douleur y est pure.

Cette Fragrance semble initier la rencontre du mythique, c'est à dire Vous et de moi, l'intimité. Le thème du printemps, du renouveau ne se lasse jamais d'enivrer mon système olfactif, et au-delà ma pensée tout entière.

Voici l'image que me renvoie Votre Parfum : très fruité et fleuri, il suggère un jardin clos polychrome, où se côtoient la rose, le jasmin, le magnolia et d'autres fleurs majestueuses, tendres et narcotiques, sous un soleil de feu éclatant et éblouissant.

Cette odeur s'ingénue à susciter des émotions et des enthousiasmes, il possède au fond de lui-même, quelque chose d'indéfinissable qui éveille le désir et le goût de l'interdit.

Sachez, Maîtresse, que Votre Parfum engage ma conscience et mon corps tout entier, dans le plaisir de Vous appartenir."

Aaron »

Aaron, 
Toujours en subtilité et en finesse ;  Je vous ai dévoilé le nom de mon parfum. Il serait alléchant d’aller chez son parfumeur et  pourquoi donc ne pas renifler la délicieuse odeur que vous aurez peut-être la chance de sentir sur ma peau, si je me penche un jour sur vous... Mais pourquoi pas également laisser la magie opérer et attendre de le sentir sur moi !
Mais il vous arrivera peut-être de sentir mon second parfum, que je porte selon mes humeurs ! Le célbrissime Chanel Numéro 5. Imparable, cette fragrance m’ennivre, différement du premier de Givenchy.
Vous aurez l’un ou l’autre... Mystère...
Madame. S
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Par Madame. S
Mercredi 18 mai 3 18 /05 /Mai 08:36
18.05.2011
Un petit poème que je vous fais partager, venant de A. de Belgique... 12 mai 2011

Crucifié d'amour.
 
Depuis combien d'heures suis-je là
Où vous m'avez mis, adossé à cette poutre verticale
grosse comme un arbre jeune au tronc lisse et blanc ?
Par de longues ceintures de cuir épais je suis maintenu,
monté sur un bloc de bois qui m'élève un peu plus haut que vous.
Les ceintures fort serrées me maintiennent là, fixe, immobile.
Il y en a autour de mes chevilles, sous les genoux et juste au-dessus.
Il y en a une en haut des cuisses, une encore, large,  à mes hanches,
au-dessus de mon sexe qui s'est dressé.
Deux, larges mêmement, me ceinturent la taille contre le poteau, 
faisant corset creusant mon ventre jusque sous les côtes.
D'autres me fixent les poignets et les bras à la poutre horizontale. Je suis crucifié.
D'autres encore, pour m'adosser, me maintiennent la poitrine et les épaules.
D' autres ceintures larges m'entourent le cou et la tête contre la poutre,
rendant impossible tout mouvement. Je peux à peine respirer.
Comment bouger ? C'est impossible.
C'est inconfortable et c'est délicieux.
Mon esprit s'absente, comme si je mourais.
Douce perfidie, perversité aimante, vous ôtez le bloc de bois sous mes pieds
et me voilà suspendu contre le poteau des délices. Je suis crucifié.
La tête maintenue, raide, je souffre et je ne vois pas.
Vos doigts triturent mes tétons. J'ai mal et c'est bon.
Des poids les tirent vers le bas que vous agitez et me font grimacer.
Puis la cravache qui arme votre bras s'abat sur moi
et s'abat encore, cinglant mes cuisses, ma poitrine et mon sexe rabaissé.
Ainsi vous me montrez combien vous m'aimez comme nulle autre ne m'a aimé
dans l'amour de la douleur et de la contrainte.
Mon seul présent: abandonner mon corps, mon coeur et mon esprit à ma Reine
et survivre à ses pieds.
Je reste béat dans ma félicité. 
Vous m'avez crucifié.
 
« A. »
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Par Madame. S
Mardi 17 mai 2 17 /05 /Mai 14:41
17.05.2011 3
Petit billet d’humeur personnel...

Je souhaite à Monsieur Pascal une bonne fête.
Je l’embrasse très fort.
Madame. S
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Par Madame. S
Mardi 17 mai 2 17 /05 /Mai 10:20
17.05.2011-copie-1
Photo « O »…

Ne trouvez-vous pas qu’elle est belle ? Elle dégage beaucoup de sensualité, de grâce. Oui, c’est bien elle, la vraie  «O »... Je voulais vous faire partager ce cliché, de grande importance pour moi, elle...
Malgré son regard baissé on devine son trouble et son humiliation. Sait-elle qu'elle est présentée ici ? 
Sa corde autour de son cou, sa laisse de perles...
"O" sait qu'elle est observée ici et même si je puis affirmer qu'elle est très rougissante à cette idée, elle prend cela comme un grand et beau cadeau et avec une fierté qu'elle peut afficher, car elle le mérite vraiment...

Ne trouvez-vous pas qu’a travers cette photo l'on peut voir que la soumission féminine est véritablement une merveille de l'esthétisme !!

Mon blog est là pour vous parler comme un livre ouvert, de ma vie de dominante. Vous dire combien pour moi cela est beau que la domination au masculin, mais également au féminin.
Avec mes mots et le désir de faire partager, sans prétention aucune.

Je vous parle de "O" car elle a fait partie de ma vie, de femme et de dominante. Et elle a beaucoup compté pour moi.
Je la possède avec mes mots, mon physique et le simple fait d'être moi, entière et vraie...

Et moi, je la trouve infiniment jolie…

Madame. S

J’attends dorénavant celle qui pourra m’accompagner dans une soumission au féminin, pour écrire une autre histoire, ensemble...
Je ne recherche pas une femme qui ressemblerait à « O », mais une autre âme, qui aimerait s’abandonner à moi.
Mesdames, Mesdemoiselles, contactez-moi si cette quête est là la vôtre...
Madame. S
Laisser un petit mot à Madame.S... - Voir les 3 commentaires - Publié dans : Carole, mon "O"...
Par Madame. S
Mardi 17 mai 2 17 /05 /Mai 10:11

 

17.05.2011
Mon "O"... - 10 - Fin du récit…

Ou la soumission au féminin.

…Cela m’avait beaucoup excitée…

J’entendais des voix d’hommes au dehors de la pièce. Cela me troublait un peu, mais me donnait encore plus envie d’exhiber ma soumise et moi-même.

Je me mis à quatre pattes au-dessus d'elle, dans la position du 69. Je demandai à ma petite chienne de lécher sa Maîtresse.
Consciencieusement, avec lenteur.
Je sentais sa langue obstinée et habile qui cherchait mon bouton. Elle s'appliquait au mieux. Donner du plaisir à sa Divine était indispensable.

Je lui demandai de continuer à se branler. Je lui murmurais des mots crus. Elle vibrait. Je n'en pouvais plus, elle m'excitait et me savoir là, au-dessus d’elle, savoir que je pouvais à tout instant cracher sur sa vulve ou l’atteindre de ma langue était jubilatoire.

J’ai alors jouis, rapidement dans sa bouche...

La « cérébralité » du moment était intenable et cette jouissance ne pouvait être que rapide sous ses coups de langue expérimentés.
« O » ne triche pas avec son plaisir et celui qu’elle donne à sa Maîtresse. Elle aime me faire plaisir...

Repue, je me mis à ses côtés en lui demandant de se faire jouir.
Elle se tourna vers moi, et presque naturellement, s’approcha de ma nuque et soudain me mordit le cou, très fort, en jouissant dans mes bras et sans doute pour ne pas hurler sous la vague de son orgasme. 

Je restais là, quelques instants, silencieuse, le regard dans le vague...

Je lui demandai de faire de même ; Rester à mes côtés et rêver.

Je me relevai, satisfaite et heureuse de ce moment partagé. 
Nous avons rejoint le bar. Il restait peu de personnes dans le club. Tout le monde avait profité des divers coins câlins.
Seul un soumis est resté attaché et encagé dans la petite pièce aux barreaux de fer. Il est beau, là, accroupi et son regard de cocker me ferait presque pitié...

Nous rentrons dans la nuit. Il est 4 heures et les arbres de la forêt vosgienne dansent encore sous un vent tiède et je me sens fatiguée... Le silence s’est installé presque naturellement. Nos pensées tourbillonnent et s’affolent encore. Nous ne parlons pas beaucoup pendant sur le chemin du retour. « O » rêvasse et me regarde quelquefois discrètement, du coin de l’œil. Je le sens, je ne veux pas tourner la tête. Je lui laisse ce petit plaisir. Tout comme moi, elle n’a pas besoin de parler.

Nos regards parlent pour nous finalement…

Nous savons, nous venons de vivre, nous profitons de nos souvenirs, encore présents en notre mémoire. Et nous remémorer ces instants vécus il y a quelques minutes à peine leurs donnent une autre dimension.

J’accompagne « O » dans la chambre d’amis. Je veux là laisser se reposer. Seule.
Nous reparlerons de tout cela demain.
Me glisser dans mon lit est un délice.
Je m'endors, paisiblement, avec toutes ces belles images qui remplissent ma tête...
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Par Madame. S
Lundi 16 mai 1 16 /05 /Mai 09:58
16.05.2011
Mon "O"... - 9 -

Ou la soumission au féminin.

...Elle souffrait en silence. L'acceptation était inévitable.

Les coups de martinet et de cravache s'entremêlaient. Ses jambes rougissaient à leur tour. La finesse des traits de cravache ressortait sur sa peau blanche. Je faisais attention au moindre de ses gémissements. Elle avait mal, mais elle appréciait ce qui lui arrivait.
« O » aime tant satisfaire sa Dame…

Elle aimait, car c'était sa Maîtresse qui prenait du plaisir à la voir ainsi, obéir et accepter. Le plaisir n’est pas dans le coup donné, mais dans la façon ou l’on le donne, non pas pour faire mal, (pas toujours !), mais également pour montrer une certaine forme de perversité et cela fait partie de mon rituel. Frapper pour frapper, cela m’est arrivé, mais avec des personnes plus maso et consentantes d’un tel supplice.

« O » elle, petite et jeune soumise débutante, n’aurait pas pu supporter de tels coups. Je voulais lui faire un peu peur, juste pour qu’elle goûte à mon claquement, la force de mon poignet, savamment dosé.

Jolie petite « O », cheveux ébouriffés, bras le long de son corps, jambes écartées.

Je lui ai ensuite demandé de se retourner. Violemment, je lui ai pris les jambes entre mes mains…
Je les lui écartais, pour lui déchirer son collant à hauteur de son string. Pour le lui enlever complètement. Je voulais qu’elle soit dénudée, totalement, pour l’offrir à ces regards voyeurs.

Oui, ses cordes noires retirés, elle était maintenant nue. Pour que je puisse la regarder, exhibée pour mon plaisir.
Je mis des menottes à ses chevilles et à ses poignets.

"Branle-toi pour moi, petite salope. Je veux que tu le fasses pour moi, sale petite chienne !"...
Toujours sans un mot… Elle s'excitait. Sa main cherchait son sexe et son petit bouton. Rapidement, des râles de plaisir emplissaient la pièce.
J’aimais la voir prendre du plaisir devant moi, pour moi, parce que je lui avais demandé de le faire.
Puis, je lui demandais de prendre en main le gode vibrant que j'avais sorti de mon sac. Elle n’avait pas vu ce que j’avais caché dans mes affaires. Elle sembla un peu étonnée.

Je la caressais partout. Et je m’attardais sur ses petits seins, petits mais si sensibles. Je l’embrassais.

Elle se branlait toujours...

Tour à tour, entre caresses et sévices, je continuais en lui torturant les seins, en les faisant rouler dans le creux de mes mains, puis entre mes doigts. Puis, j’appuyais sur l’aréole, je la contournais, j’asticotais sa peau fine qui me séparait de sa poitrine. Elle gémissait. Et ses râles me rendaient attentive mais je m’en trouvais fort troublée.

Je lui pris les tétons entre mes lèvres, puis les suçotant, je la sentais se retenir un peu, ne voulant pas exprimer sa grande excitation, mais sentant ensuite mes dents prendre son téton, elle eut un gémissement qui ne me trompa pas.

Elle aimait me sentir près d’elle et je me rendis compte qu’après plusieurs minutes, je finis même dans mon empressement par écorcher un de ses tétons. Involontairement, bien sur. Mais elle fut étonnamment ravie. Me disant que cela lui laisserait un merveilleux souvenir.

Elle gémissait, encore…
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Par Madame. S
Samedi 14 mai 6 14 /05 /Mai 09:03
14.05.2011
Mon "O"... - 8 -

Ou la soumission au féminin.

…Je reprenais, il est vrai, difficilement mes esprits.
Mon excitation était bien présente. Cela ne m’arrive pas souvent lors d’un moment partagé, j’essaie vraiment de garder tout contrôle, cela va sans dire et ne parler que de sécurité avant tout. Mais avec « O » tout était différent. Son abandon me troublait et ses silences me rendaient encore plus perverse. Elle était prête à tout et savoir que je pouvais la dominer avec cette infinie tendresse, mais aussi cette fermeté me rendait plus sensible dans mes mouvements et mes punitions.
Mais... Ma culotte s’humidifiait et je ne pouvais me cacher plus longuement.

Je pris la tête de « O ».

Je l’embrassai brusquement à pleine bouche. Je lui avouai discrètement en lui chuchotant à l’oreille que ce petit instant ou elle devint rebelle, avait su me déstabiliser. Elle me souriait et je la trouvais si jolie.

Je n’aime pas les surprises, mais comment vouliez-vous que je punisse cet égarement. J’aimais ce qu’elle venait de me faire et j’en voulais encore. Encore…
Avec mon baiser, je lui prenais les deux mains et je l’encourageais à prendre mes seins dans ses mains. Elle les palpait et elle était assoiffée. Je ne l’arrêtais plus…

Tout à coup, je la stoppai net dans son élan. Et je la remis à sa place.
Qu’il était délicieux de la sentir à nouveau repentante et soumise. Envieuse de toucher, encore...
Elle baissa la tête et attendit.

Je tournai alors autour du lit. Lui demandant de toujours garder la tête baissée : « Ne relève pas la tête vilaine petite chose ! Ou je vais être très mécontente ! ».

Elle ne bougeait pas. Le silence était religieux dans cette chambre sombre. Tout au plus, l'on entendait les badauds attirés par nos murmures, leur tête encastrée dans les petites ouvertures d’indiscrétion.
Cela m’excitait. Savoir qu’on ne pouvait entrer et que j’étais là avec « O ». Que les hommes pouvaient nous voir, mais ne pas nous toucher. Oui, je jubilais ! Telle une panthère s’occupant de son festin.

« O » était si jolie, en attente, silencieuse. De sa peau blanche et de ses vêtements noirs. Sa chevelure en bataille, après que je lui aie pris les cheveux pour les lui tirer pendant que je la collais contre ma poitrine.

Et, sans qu’elle s’y attende, je m’arrêtai à la hauteur de son dos. Et là, un coup de badine traversa la pièce et atterri sur ses petites fesses. Elle sursauta, bien sûr.

Je recommençai et plus fermement. Puis, une troisième fois, plus sagement…
J’alternais la douceur des coups avec la fermeté de mes caresses ou inversement la douceur de mes mains et la fermeté de mes coups donnés.
« O » émettait de jolis petits bruits en essayant de ne pas trop crier. Elle subissait mais elle aimait.

Je vins lui caresser le dos, des épaules jusqu’à ses reins...

Ses fesses commençaient sérieusement à rougir… Et les traces sur ses fesses étaient bien présentes et marquaient sa peau...
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Par Madame. S
Vendredi 13 mai 5 13 /05 /Mai 08:04
13.5.2011
Mon "O"... - 7 -

Ou la soumission au féminin.

…Je la caressais, partout. Lentement, puis plus fermement. Je sentais des petits sursauts de plaisirs, mais aussi de peurs. Elle ne savait pas ce que je lui réservais dans cette pièce ou la lumière tamisée laissait deviner nos corps, mais laissait un peu de mystère également.

J’alternais les supplices et les délices. 

Je lui avais demandé de s’allonger sur le ventre et elle ne bougeait pas. Sa concentration était au maximum. Son souffle se faisait plus discret, sa respiration lente. Cette jeune femme me plaisait et partager avec elle ce moment était magnifique. Elle attendait, soumise.

Nous ne faisions plus « qu’une »…

Je lui caressais les cheveux, en glissant mes mains entre ses mèches brunes. Je l’empoignais par les épaules…
Abandonnée, elle se délectait de mes paroles chuchotées à l’oreille. De mes mains caressant sa nuque, puis son dos, ses fesses, et ses pieds. Elle aimait ne pas savoir quand je lui donnerais ce coup de cravache, puis ce deuxième sur ses petites fesses. Elle avait pourtant bien vu que j’avais apporté cet objet dans cette pièce et d’autres petites choses que j’avais dans mon sac de vinyle.

Je voulais la faire patienter. Qu’elle ne sache pas quand je pourrais la caresser, ni quand je pourrais lui exprimer et lui rappeler qu’elle était ce soir là ma soumise et que je décidais de sa condition. L’alternance de la douceur et de la sévérité contrastait et je la sentais détendue. Confiante d’être entre mes mains.

Il fallait maintenant alterner les douceurs et les aigreurs...

Je voulais surprendre ma proie. J’attachai ses jambes d’une corde noire, douce au toucher. Je ne serrai pas trop les liens, c’était pour elle la première fois. Je ne voulais pas l’affoler… Mais je la sentais déjà un peu plus tendue. Sa respiration s’accélérait. Et bien sûr elle devait avoir un peu peur. Je lui dis à l’oreille : «  Ne t’inquiète pas, fais-moi confiance, je suis là pour ton plaisir et le mien, pour notre communion des sens. N’ai pas peur… »

Je me mis face à elle. Je lui relevai la tête. Tête qu’elle n’avait pas osée soulever jusque là. Je lui demandai soudain assez sèchement de me lécher et cela de façon délicate, mes seins. La lourdeur de ceux-ci remplissait son visage. Je m’avançai pour que sa tête s’encastre entre ma poitrine. Sa petite tête se logea sans peine et disparu sous la peau. Elle allait ne plus respirer pendant quelques secondes.
Je comptais dans ma tête les moments qui la séparaient de la délivrance...

Elle aimait s’enfouir dans la masse et s’étouffer. Puis se reculer, un peu, un tout petit peu, pour admirer ce présentoir. Je les tenais avec mes mains, sur le dessous et je les lui présentais. Elle bavait d’excitation. Elle les embrassait, lentement, longuement…
Soudain… Elle releva rapidement les yeux, pensant que je m’étourdissais de ses lèvres et sa langue. Mais non, je la regardais, fixement. Elle baissa alors rapidement la tête et les yeux, mais elle osa au passage suçoter un téton et le prendre délicatement dans sa bouche, sans ma permission. Mais je n’ai pu l’en empêcher, c’était si agréable. Elle les prit à pleine bouche, gourmande et assoiffée. Elle était salope, mais non vulgaire et j’aimais la sentir là pour moi et mon seul plaisir…

J’avoue qu’a ce moment, je me laissais un peu aller et je savourais ce plaisir infini…

Ma tête tournait et virevoltait…
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Par Madame. S

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